Swagger
Pleurer c'est mâle sauf pour leurrer le mal.
Plaisir lesbien, ça fait gémir c'est bien.
J’ai les couilles en vadrouille, mes baloches se font la malle.
Impuissance d’un puissant qui s’épuise pour un rien.
Et ça n’a pas de sens comme dans un film de uc.
Rien à branler comme si j’étais eunuque.
Fais pas les gros yeux comme si t’étais grand-duc,
Cette meuf est chaude, j’ai sa mouille sur ma nuque.
Et je suis fin prêt pour son grand bassin,
J’ai pas pris de bonnet mais elle m’en passe un.
Je lui reluque le maillot comme un mec pas sain,
Puis j’envoie la mayo, non attends, pas ça !
C’est pas comme si je pouvais lui dire
Que c’est pas commencé et j’ai déjà fini !
Je sais pas comment faire, je veux être Houdini
Et mettre les voiles comme burkini.
Pose sa main sur ma verge, nique la mer, elle force !
Faut que je prenne le large, j’aimerai être la Corse.
« C’est ma mère qui m’héberge, faut qu’elle soit d’accord.
- Putain mec t’es barge, c’est toi qui m’accoste… »
Pleurer c'est mâle sauf pour leurrer le mal.
Plaisir lesbien, ça fait gémir c'est bien.
J’ai les couilles en vadrouille, mes baloches se font la malle.
Impuissance d’un puissant qui s’épuise pour un rien.
Et ça parle de tass’, ça parle de casse,
Ça parle de tape et de cap ou pas cap,
De poukis, d’équipes, d’esquiver les stups,
De sape, de schlass et de cannabis cup.
Ça parle beaucoup, mais ça fait rien.
Y a moins de fours que de galériens.
Ça veut niquer les tours comme désordre aérien
Mais fait le mort tous les jours, président algérien.
Ça veut jouer les bandits, comme Montana
T’es moins Tony, qu’Hanna Montana.
Si t’es de Bundy , qu’on te condamna
T’es comme Al Bundy avec sa nana.
Coincé dans prison mais t’as rien d’un taulard,
T’es ton propre maton comme Pablo Escobar.
Privé d’horizon quand tu t’enchaine au bar
C’est que tu l’appelles chaton qu’elle rapplique épaulard.
Pleurer c'est mâle sauf pour leurrer le mal.
Plaisir lesbien, ça fait gémir c'est bien.
J’ai les couilles en vadrouille, mes baloches se font la malle.
Impuissance d’un puissant qui s’épuise pour un rien.
Sans succès, je m’arrête, j’en ai fini de draguer.
N’écoute plus ta baleine, ne te laisse plus parquer.
Si t’attends qu’elle soit prête, t’as pas fini de tanguer
Grimpe à bord de ma charrette, quittons cette vie flinguée.
Si t’es derrière moi, plus jamais je bégaie.
Wesh, dégage ta nana, il est temps de la larguer.
A la traîne isolés, bien plus forts conjugués.
Garde- le pour toi, mais je crois bien qu’on est gays.
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