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Bordeaux, une histoire de ponts


yacinelevrailefou

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Hangar 20 – Quai de Bacalan- Bordeaux, la ville où il ne faut surtout pas vous rendre, vous y trouverez sans doute plus à y cultiver que la suffisance de votre peine. Travaillez, prenez de la peine c'est de cultures qui, ici, en manquent le moins.

Entrez-observez-découvrez..

Entrez ou non dans l'univers des ponts, magnifiques ouvrages d'art ou véritables exploits techniques. L'exposition permanente de Cap Sciences, conçue et réalisée par Cap Sciences et CUBE INGENIEURS, avec le soutien de la Communauté Urbaine de Bordeaux et la participation de Vinci.

Ce dernier saura vous plongez au cœur du chantier du pont désormais "Pont Chaban-Delams", au nom d'un illustre libérateur de La France aux côtés du Général Leclerc; désigné comme un "homme hors du commun" par un élu communiste l'ayant connu de son vivant dans l'exercice de la fonction de Maire de la ville de Bordeaux, tout comme Monsieur Alain Juppé au sein de la CUB.

Sans être mécontent de l'air des anciennement mauvaises eaux coulant en cet estuaire bien que critiquant vivement l'étendue de cette mode qui a prétention de faire de la Nation un ensemble de sujets autonomes-sortes de Barons républicains pour un état absolutiste; de renommer une administration en vertu de communautés de communes-métropoles liberticides par un "centralisme" appauvrissant et le paysage et nos concitoyens; desservant l'intérêt même d'entreprendre pour celui d'une administration conquérante, privative, privé, soumise aux marchés plus centrés encore sur le monde. Monde qui, hélas, est de finance (réalisation d'une machine "trop humaine", nihiliste, œuvre des monnaies de métal, fusion des œuvres de la monnaie)… Finances de métal et non métallurgiste des finances, la ferronnerie des âmes, les âmes fêlons, le feu du fer et non le fer du feu… L'enfer de nos réalisations, la réalisation de nos âmes brûlantes trempées dans la finance qui n'est pas d'eau mais de feu. Feux d'inconsciences, feu la conscience, l'oubli de la culture, celui de la réalisation du bien-être de tous, de chacun ou d'un Soi à travers une volonté au dessus de nos yeux, de notre tête : l'épée circulaire, le tranchant de nos vies, le tableau de nos guerres, celui de nos espoirs, La Vie.

A noté que les avancées techniques et hydrographiques en cette région furent d'une importance capitale dans l'effort d'ingénierie français. Je souligne le caractère exceptionnel de tous les secteurs liés à la construction : ouvriers, cadres, ingénieurs, architecte, héritiers du savoir-faire non pas d'une civilisation mais du monde entier à travers la communication de chaque rives, à travers tous les ponts que l'homme à su entreprendre, construire et utiliser dans l'intérêt du monde, de tous; hommes et femmes, de leur région, de la Gironde autant que de La France ou du Japon.

Il est nécessaire au monde d'admettre la spécificité de la culture en ce qu'elle soit socialement neutre; au sein d'un monde qui derrière chaque fleuve, chaque mur, toutes les barrières visibles ou non. Cet effort de conscience de Soi, de l'autre, de ce "extérieur" qui nous entoure tous, se doit d'être en chacun de ce "tous", d'être sans cesse défini, redéfini et plus encore construit. Construisons tous les ponts dont nous réclamons la nécessité afin d'entreprendre un enrichissement dépassant le fait ouvrier ou bien financier et autre accumulation de n'importe- quelles richesses, dans le simple but que l'inévitable demeure cette paix extérieure en nos intérieure définitivement reliés. Construisons de par la science universelle les ponts entre les mondes pour que soit reconnu l'éducation suprême, celle qui est et non celle que nous sommes légitimement à la recherche, non pas la nôtre, ni la leur, mais la découverte de ce permanent, de cet invariant qui nous fait être parmi les hommes, parmi les mondes, dans l'univers.

L'éducation ne se transmet pas, ni ne se construit, ni ne s'apprend; elle se découvre à mesure que nous prenons conscience des intentions qui nous animent, celles que nous observons dans ce qui ne peut s'animer, n'y trouvant pas nos âmes ni ne se reconnaissant en tant que nous, mais bien en tant qu'appartenant à ce qui nous dépasse, se faisant alors notre culture, celle que notre éducation se doit sans cesse au bien, la Connaissance de Soi, de l'autre, des mondes; le Bon : la miséricorde, et non l'outil qui se dit meilleur car l'avenir nous en apprendra ce qu'il y avait de pire à abolir le bon de nos sociétés, la justice qui marquait l'appartenance de Soi en cet autre aux mondes; ce qui fît Lois et miséricorde et non ce qui se veut Règles et laxisme. Du dogme et des doctes, il n'y a que l'aspect exceptionnel, ce qui est révélé, l'extrahumain, l'extra-universel… Ou bien, non; le sujet métaphysique voire l'au-delà de l'ontologie, l'acte de discourir en nous, ce nous qu'il nous faut chercher par le discours non dans son origine mais par delà, cet au-delà qu'il est nécessaire à nous, aux mondes, de désirer pour qu'universellement nous construisions de bons ponts. Et qu'il soit le meilleur atout d'un bon jeu, la girondine des stades; le Louvre de Bordeaux, l'œuvre d'un Chaban-Delmas…du Japon à l'Aquitaine : le pont Chaban-Delmas.

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