(10 janvier 2011)
Le territoire de l'attirance se trouve entre la préoccupation instinctive qu'amène celui qu'on ne domine pas, et la peur de celui qui nous domine trop.
Être accessible et non-dominé, serait-ce l'incarnation de l'attirance ?
Ce binôme paradoxal semble correspondre à tous les exemples que j'amène à mes yeux.
Tous les jeux de séduction me semble les exacerber directement.
Et même dans les amours dissymétriques, non "accouplé", le rejeté me semble toujours l'être à force de s'être rendu inaccessible tout en ayant aussi multiplié les signes de sa propre domination.
Le (pour)suivit au contraire semble toujours accessible (aux yeux de celui qui est attiré) et forcément non dominé, non dépendant, puisqu'il s'enfuit.
.
0 Commentaire
Commentaires recommandés
Il n’y a aucun commentaire à afficher.