Foule et solitude
Souvenirs d'une autre époque...
La nuit tombe sur la ville.
L'envie de rentrer directement n'est pas là ce soir là.
Détour à travers des quartiers commerçants.
Les vitrines éclairées tentent de me vendre mille et une choses que je ne vois qu'à peine.

J'avance tel un somnambule au milieu des passants qui se pressent en cette fin de journée morose.
La ville et ses habitants sont comme un être vivant, et ce soir j'arrive à en sentir le pouls.
Voyageur perdu dans cette immensité, je me sens plus seul que jamais.
A part, comme invisible...
Je ne sais pas vraiment quel chemin prendre, j'avance sans autre but que marcher..
Les dix minutes habituelles de trajet se transforment en heures d'un voyage vers moi même.
Si je suis invisible pour les autres, je les regarde également sans les voir.
Sous mes pas le trottoir défile.
Mon corps brule les calories dans cette quête d'une plénitude que lentement je m'approprie.
La fatigue doucement chasse le stress.
Retrouvailles avec moi même.
Sans même rendre compte, je me suis rapproché de ma destination.
C'est apaisé, l'esprit un peu ailleurs que je retrouve mon repère.
Cette minuscule chambre qui d'habitude m'étouffe se transforme ce soir en cocon protecteur.
Douche rapide, repas frugal.
Je ferme la porte.
Un fond de musique, presque pas de lumière.
L'univers disparait, la ville si proche semble désormais bien loin.
Plus seul que jamais et pourtant si bien en cet instant ...
La nuit tombe sur la ville.
L'envie de rentrer directement n'est pas là ce soir là.
Détour à travers des quartiers commerçants.
Les vitrines éclairées tentent de me vendre mille et une choses que je ne vois qu'à peine.

J'avance tel un somnambule au milieu des passants qui se pressent en cette fin de journée morose.
La ville et ses habitants sont comme un être vivant, et ce soir j'arrive à en sentir le pouls.
Voyageur perdu dans cette immensité, je me sens plus seul que jamais.
A part, comme invisible...
Je ne sais pas vraiment quel chemin prendre, j'avance sans autre but que marcher..
Les dix minutes habituelles de trajet se transforment en heures d'un voyage vers moi même.
Si je suis invisible pour les autres, je les regarde également sans les voir.
Sous mes pas le trottoir défile.
Mon corps brule les calories dans cette quête d'une plénitude que lentement je m'approprie.
La fatigue doucement chasse le stress.
Retrouvailles avec moi même.
Sans même rendre compte, je me suis rapproché de ma destination.
C'est apaisé, l'esprit un peu ailleurs que je retrouve mon repère.
Cette minuscule chambre qui d'habitude m'étouffe se transforme ce soir en cocon protecteur.
Douche rapide, repas frugal.
Je ferme la porte.
Un fond de musique, presque pas de lumière.
L'univers disparait, la ville si proche semble désormais bien loin.
Plus seul que jamais et pourtant si bien en cet instant ...
3 Commentaires
Commentaires recommandés