Je réfléchis à ce que j’appelle la Logique du Pivot. Elle part de l’idée qu’il existe une seule vraie contradiction (y)↔(−y) et que toutes les autres sont des pseudo-contradictions. Le principe classique x = x devient alors relatif au pivot : la logique classique s’applique quand aucune contradiction réelle n’agit, et est étendue quand le pivot intervient.
La Logique du Pivot est nouvelle parce qu’elle reconnaît une seule vraie contradiction, (y)↔(−y), et neutralise toutes les autres.
Ell