La publication par un quotidien marocain (Akhbar Al-Yaoum) d'une fatwa du Conseil supérieur des oulémas, qui représente l'islam officiel au Maroc, requérant la peine de mort contre tout musulman qui apostasie sa religion a suscité une controverse au Maroc.
« Celui qui renonce à sa religion est apostat et il doit retourner à sa religion. S'il refuse, il perd la vie et l'au-delà et il doit être condamné à la peine de mort », précise le Conseil supérieur des oulémas. La fatwa rappelle
Près de trois français sur quatre (73%) disent avoir une image négative de l'islam… C'est ce qui a été révélé par un sondage œuvre du cabinet Tilder et l'Institut Montaigne. Ce même sondage révèle que seulement 32% des français jugent les valeurs islamiques compatibles avec les valeurs de la société française.
Quelques mois avant, un sondage Ipsos réalisé pour "Le Monde" dans le cadre d'une enquête sur le populisme nous fait apprendre que huit français sur dix jugent que la religion
Inacceptable, injustifiable et inexcusable ce qui s'est passé à Casablanca jeudi dernier. Très graves ces incidents qui ont précédé le match de football opposant l'équipe du Raja de Casablanca à celle des FAR en plein centre ville de la métropole économique.
Les autorités publiques assurent que toutes les mesures avaient été prises pour cette rencontre qui opposait les deux premiers du championnat marocain. 3.000 membres des forces de l'ordre avaient été mobilisés, révèlent des mé
Abdelilah Benkirane a encore une fois réussi à montrer que le gouvernement au Maroc n'a pas de réel pouvoir et que tout est toujours entre les mains du roi… cette fois-ci, c'était sur le plateau de l’émission « Internationales» diffusée sur TV5.
Interrogé par les journalistes de TV5, Le Monde et RFI, sur sa relation en tant que chef de gouvernement avec le Palais et la hiérarchie dans la prise des décisions, monsieur Abdelilah Benkirane a répondu : « Bon, ce n’est pas toujours évident