Aller au contenu

8 habitudes et attitudes que l'on retrouve chez (presque toutes) les personnes les plus intelligentes, selon la science


metal guru

Messages recommandés

Invité Éphron
Invités, Posté(e)
Invité Éphron
Invité Éphron Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 3 heures, dbm27 a dit :

Le test de qi validé par l'oms ( wisc pour les enfants et wais pour les adultes) est le meilleur predicteur de la reussite scolaire et professionnelle.

À mon avis, vous vous trompez. Le meilleur prédicteur de réussite scolaire et professionnelle, c'est d'abord les conditions socioéconomiques et culturelles. Le milieu social d'origine détermine largement le cursus des étudiants du secondaire par exemple : "En moyenne de 2019 à 2021, parmi les jeunes âgés de 25 à 29 ans, 67 % des enfants de cadres, de professions intermédiaires ou d’indépendants sont diplômés du supérieur, contre 33 % des enfants d’ouvriers ou d’employés" (INSEE).

Ce sont ces raisons qui font qu'au-delà d'un certain niveau d'étude, les femmes deviennent minoritaires alors qu'elles sont plus nombreuses et performantes en deçà de ce niveau. "Parmi les admis au baccalauréat de la session 2022, 52 % sont des filles", et "alors qu'elles représentent 58 % des inscrits en Licence et 61 % en Master, elles ne sont que 49 % en Doctorat" (INSEE) ; sachant, de plus, que les filières les plus valorisées restent majoritairement l'apanage des hommes. De même pour ce qui est postes les plus prestigieux et les mieux rémunérés, les femmes restent aujourd'hui encore largement inférieures numériquement à y accéder (INSEE). Et ce sont ces mêmes conditions, en particulier culturelles, qui pendant des siècles ont maintenu les femmes hors de l'instruction et dans des rôles subalternes. Et l'on peut en dire autant pour ce qui est des minorités ethniques.

 

Citation

Thérapeutique parce qu'il permet d'analyser le fonctionnement cognitif du sujet et donc poser un diagnostic sur certaines difficultés que ce fonctionnement peut engendrer puis éventuellement proposer des solutions pour y pallier. Et c'est son efficacité pour atteindre ces objectifs qui au final détermine la validité de ce test.

Sauf à mal comprendre votre propos, je crois que le terme de thérapeutique n'est pas approprié dans ce contexte, puisqu'il n'est en l'occurrence pas question de maladie ici ; l'échec scolaire ou professionnel n'étant pas encore classé, à ma connaissance, parmi les maladies par l'OMS... De plus, je ne vois pas en quoi un soutien psychosocial permettant d'améliorer les conditions de réussite d'une personne confirmerait la validité des tests psychométriques ; entre autres facteurs, on peut très bien attribuer ce résultat à l'effet Pygmalion. Du reste, des études récentes montrent que la psychanalyse obtient d'aussi bons résultats que les TCC (ici et ), or qui prétendrait encore aujourd'hui que la psychanalyse est une discipline scientifique ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
  • Réponses 45
  • Créé
  • Dernière réponse
Membre, 52ans Posté(e)
dbm27 Membre 1 449 messages
Mentor‚ 52ans‚
Posté(e)
il y a 16 minutes, Éphron a dit :

À mon avis, vous vous trompez. Le meilleur prédicteur de réussite scolaire et professionnelle, c'est d'abord les conditions socioéconomiques et culturelles. Le milieu social d'origine détermine largement le cursus des étudiants du secondaire par exemple : "En moyenne de 2019 à 2021, parmi les jeunes âgés de 25 à 29 ans, 67 % des enfants de cadres, de professions intermédiaires ou d’indépendants sont diplômés du supérieur, contre 33 % des enfants d’ouvriers ou d’employés" (INSEE).

Ce sont ces raisons qui font qu'au-delà d'un certain niveau d'étude, les femmes deviennent minoritaires alors qu'elles sont plus nombreuses et performantes en deçà de ce niveau. "Parmi les admis au baccalauréat de la session 2022, 52 % sont des filles", et "alors qu'elles représentent 58 % des inscrits en Licence et 61 % en Master, elles ne sont que 49 % en Doctorat" (INSEE) ; sachant, de plus, que les filières les plus valorisées restent majoritairement l'apanage des hommes. De même pour ce qui est postes les plus prestigieux et les mieux rémunérés, les femmes restent aujourd'hui encore largement inférieures numériquement à y accéder (INSEE). Et ce sont ces mêmes conditions, en particulier culturelles, qui pendant des siècles ont maintenu les femmes hors de l'instruction et dans des rôles subalternes. Et l'on peut en dire autant pour ce qui est des 

Ce ne sont pas des predicteurs mais des facteurs de réussites

 

il y a 16 minutes, Éphron a dit :

 

 

Sauf à mal comprendre votre propos, je crois que le terme de thérapeutique n'est pas approprié dans ce contexte, puisqu'il n'est en l'occurrence pas question de maladie ici ; l'échec scolaire ou professionnel n'étant pas encore classé, à ma connaissance, parmi les maladies par l'OMS... De plus, je ne vois pas en quoi un soutien psychosocial permettant d'améliorer les conditions de réussite d'une personne confirmerait la validité des tests psychométriques ; entre autres facteurs, on peut très bien attribuer ce résultat à l'effet Pygmalion. Du reste, des études récentes montrent que la psychanalyse obtient d'aussi bons résultats que les TCC (ici et ), or qui prétendrait encore aujourd'hui que la psychanalyse est une discipline scientifique ?

Oui j'employais le terme thérapeutique dans un sens trés large en pensant plutôt au terme "clinique" mais pas forcément suffisamment signifiant. Ce qui compte c'est de savoir que le test de QI ne se résume surtout pas par une mesure chiffrée. 

Si un diagnostic bien posé permet plus qu'une absence de diagnostic ou un diagnostic mal posé d'améliorer les conditions de reussite des sujets, l'outil qui a permis de le poser joue son role. Et d'autres critères que je n'ai pas détaillés evaluent egalement la validité des tests psychométriques, la validité externe que j'ai donc ici présentée n'étant qu'un élément.

Alors pour plus de details je t'invite à  lire des ouvrages de presentation de ce qu'est la psychométrie avant d'affirmer des opinions peu étayées. 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Éphron
Invités, Posté(e)
Invité Éphron
Invité Éphron Invités 0 message
Posté(e)
il y a 36 minutes, dbm27 a dit :

Ce ne sont pas des predicteurs mais des facteurs de réussites

 

Oui j'employais le terme thérapeutique dans un sens trés large en pensant plutôt au terme "clinique" mais pas forcément suffisamment signifiant. Ce qui compte c'est de savoir que le test de QI ne se résume surtout pas par une mesure chiffrée. 

Si un diagnostic bien posé permet plus qu'une absence de diagnostic ou un diagnostic mal posé d'améliorer les conditions de reussite des sujets, l'outil qui a permis de le poser joue son role. Et d'autres critères que je n'ai pas détaillés evaluent egalement la validité des tests psychométriques, la validité externe que j'ai donc ici présentée n'étant qu'un élément.

Alors pour plus de details je t'invite à  lire des ouvrages de presentation de ce qu'est la psychométrie avant d'affirmer des opinions peu étayées. 

Nous n'avons visiblement pas les mêmes références. Je pense que la question de l'intelligence est plus complexe, plus riche et plus ouverte, et qu'elle mérite mieux que ce que prétendent les prosélytes du QI, et la pauvreté et l'approximation de ton argumentaire en est une bonne illustration.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 52ans Posté(e)
dbm27 Membre 1 449 messages
Mentor‚ 52ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, Éphron a dit :

Nous n'avons visiblement pas les mêmes références. Je pense que la question de l'intelligence est plus complexe, plus riche et plus ouverte, et qu'elle mérite mieux que ce que prétendent les prosélytes du QI, et la pauvreté et l'approximation de ton argumentaire en est une bonne illustration.

Mes références sont les règles de la psychométrie que visiblement tu ne connais pas. Elles sont trop longues à detailler ici c'est pourquoi je t'invitais à te renseigner un peu avant de proposer ton jugement définitif.

Evidemment la question de l'intelligence ne pourra jamais être réduite à la psychométrie notamment parce que l'intelligence est difficile à définir. Mais la psychométrie connait ses limites tout en definissant des objectifs précis en termes de construction d'outils  qu'il convient de bien connaître avant de les estimer. Actuellement leur faiblesse réside surtout dans la base théorique qui est la plus difficile à assurer mais leur validité relative n'est pas à mépriser.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Éphron
Invités, Posté(e)
Invité Éphron
Invité Éphron Invités 0 message
Posté(e)
il y a 2 minutes, dbm27 a dit :

Evidemment la question de l'intelligence ne pourra jamais être réduite à la psychométrie notamment parce que l'intelligence est difficile à définir.

Là, je suis d'accord. C'est une nuance importante.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 75ans Posté(e)
boeingue Membre 23 346 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
Posté(e)
Le 12/07/2023 à 21:45, Elisa* a dit :

Ô ben nooon suis trop déçue… me suis crue hyper méga intelligente  ! :adieu:

 

ben moi aussi !!

je pensais  étre  Einstein , j'suis déçu !!!

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.


×