Mes vacances

J'aime frissonner




C'est avec la Mercedes familiale que je me rends en ville. Il y a une quarantaine de kilomètres par la Nationale. C'est vendredi, c'est le 28 juillet 2023, ce sont les vacances. La circulation est dense. Pour éviter de m'engager dans les rues je gare la voiture sur le parking du centre Leclerc. C'est gratuit. Il y a toujours de la place. C'est à un quart d'heure des rues piétonnes. Je laisse ma culotte dans le vide poche. J'aime me sentir parfaitement libre sous ma robe d'été. Un fin coton fuchsia pas du tout transparent mais léger. Je porte mes ballerines mauves. Mon sac à main de cuir brun que j'emmène souvent en sac à dos. J'apprécie de ménager mes "effets". J'attends quelques minutes. Voilà une belle opportunité qui arrive. Un beau jeune homme poussant son caddie. Je sors de l'auto à l'instant précis où il regarde par là.

Premier délicieux frisson qui doit me faire rougir. J'ai mes Ray-Ban Wayfarer à branches larges. Impossible de savoir ce que j'observe. C'est rapide. Parfaitement contrôlé. L'instantané permet quand même à mon innocente "victime" de voir. Je me lève, réajuste ma robe. Sans un regard, je ferme la portière pour partir de mon pas décidé. Pour apprécier l'effet de mon "show", je fixe l'écran de mon I-Phone. Je l'utilise là comme un rétroviseur. Le jeune garçon se retourne à quelques reprises pour me voir partir. Le ciel reste couvert mais il fait doux. Je respire à plein poumons ma joie de vivre en pensant aux aventures qui m'attendent en ville. Il y a du monde. Un afflux de touristes qui connait son pic entre le 14 juillet et le 15 aout. Nous sommes en plein dans ce créneau. Je flâne nonchalamment dans les rues pavées.

J'avise le square entre le musée et la cathédrale. J'y pénètre par la grande grille de fer forgé. Quel meilleur terrain de jeux qu'un square. Surtout pour une coquine désirant s'encanailler un peu. Ce sont surtout des familles. Dont les parents, comme s'ils assistaient à une apparition mariale, bouches ouvertes, regardent leurs petits "génies" hurler en courant n'importe où et n'importe comment. C'est bruyant. Pénible. Détestable. Je ne m'attarde pas. Ces gens infestent les endroits publics avec un sans gêne haïssable. Moi qui désirait trouver une nouvelle "victime". Je la trouve dans la cathédrale gothique. Il y a deux jeunes femmes en uniformes qui guident chacune un groupe de touristes. J'écoute quelques bribes de l'argumentaire avant d'explorer les coins et recoins du vaste intérieur de l'édifice religieux.

Il y a un garçon assis sur un des derniers bancs de l'arrière. Les vitraux distribuent une agréable lumière diffuse et colorée. Mon petit sac à main, présentement  sac à dos, est un objet très pratique. En m'accroupissant entre deux colonnes, posant le sac sur le dallage, je fais semblant d'y chercher quelque chose. Ce qui attire presque immédiatement l'attention de mon nouveau voyeur. Je les choisi toujours avec soin. Je suis très psychologue, je peux compter sur mon sixième sens. Mon sac à dos masque parfaitement ce que cherche à voir le jeune garçon qui risque le torticolis. Il doit avoir mon âge. Je reste dans cette position en scrutant l'écran de mon téléphone. Je fais évidemment mine de ne me rendre compte de rien. La situation me procure les plus délicieux frissons. J'adore ne plus pouvoir contrôler mes tremblements. L'ankylose me guette.

Je sens la sueur couler dans mon dos, entre mes seins, sur le bout de mon nez. Il y a un groupe de visiteurs qui vient par là. C'est le moment où jamais. Je lève mon sac à main, mes cuisses restant largement écartées, juste une seconde, avant de me redresser. Derrière les verres fumés de mes lunettes de soleil, je louche pour voir les expressions sur le visage de ma "victime". Encore une grande réussite. Je sors rapidement pour respirer un grand bol d'air frais. Ce qui calme un peu mes délicieuses ardeurs exhibitionnistes. En route pour de nouvelles aventures. Dans un salon de thé. Il est très agréable d'y savourer une coupe glacée en croisant et décroisant effrontément mes jambes sous ma table. Sous le regard halluciné de ce sénior dont la femme me tourne dos. Le coquin fait d'ailleurs semblant d'écouter sa dame. Alors qu'il mâte à s'en déboiter les globes oculaires.

J'apprécie les possibilités qu'offrent les grandes librairies. Mais il y a également de belles opportunités dans les musées. Celui que je visite cet après-midi me permet quelques belles "prestations". Surtout devant ce gardien en uniforme que je vois transpirer en assistant à mon "show", fouillant une fois encore dans mon petit sac de cuir brun. Tout cela m'a ouvert un appétit d'ogresse. J'aime rouler doucement en me touchant. Ce que je fais sur la route du retour. J'arrive à la maison pour 19 h30. Morte de faim. Une salade de tomates, une omelette aux champignons, un yaourt en dessert. Je commence à sentir la fatigue. Mes péripéties facétieuses en sont les causes. Je suis devant l'ordinateur. La soirée à raconter mon aventure de l'après-midi sur mon Blog. Avec tous les détails impossibles à relater ici.

À bientôt

Après Harrison Ford, Tom Cruise


 

Ce mercredi après-midi est le plus humide depuis le début des vacances. Il a commencé à pleuvoir sans discontinuer à partir de 13 h. Dépitée, déçue de ne pouvoir partir à bicyclette, j'ai décidé de prendre la voiture pour aller en ville. D'abord dans l'idée de visiter un musée. Puis d'aller déguster une coupe glacée dans un salon de thé. Faire un tour à la bibliothèque. Éventuellement m'encanailler un peu à la FNAC. Mais en chemin me vient l'idée de m'offrir une séance de cinéma. C'est donc sur le dernier épisode d'Indiana Jones que je jette mon dévolu. Le cadran de la destinée. Le cinquième et dernier opus de la saga avec Harrison Ford. Formidable. J'ai passé deux heures de pur plaisir. Collée à mon siège. Souvent le souffle court. Le cinéma Américain reste une fois encore le meilleur. Les acteurs sont extraordinaires.

Ce jeudi risque fort d'être un remake. Je vois les gros nuages sinistres s'amonceler au-dessus de l'océan. Il y a un vent fort qui vient du large. À tel point que le troupeau de mouton, là-bas, dans le pré, reste contre l'abri en bois. Les bovidés sentent le danger. Donc, je fais une fois encore mon deuil d'une sortie vélo. Mes parents sont en mer. Ils ont du gros temps. Mais ils m'ont encore rassurée au petit déjeuner. En cas de tempête, ils rentrent au port de l'île. Tous les matins, après mon jogging et ma douche, je passe deux heures sur le programme universitaire de la rentrée. J'attaque le 18 septembre la première année de mon Master. Un nouveau challenge comme je les aime. Et avec cette météo maussade je suis même impatiente de retrouver les bancs de la faculté. Je suis déjà bien "affutée" pour le combat. Cet après-midi ce sera le film avec Tom Cruise "Mission Impossible Fallout".

À bientôt

J'arrive à louvoyer entre les orages et les averses



Une météo déplorable. J'arrive toutefois à placer quelques activités de plein air. Il est tout à fait impossible de se fier aux prévisions. En une heure le temps peut changer complètement. Hier après-midi, avec mes parents, nous avons fait une belle virée à bicyclettes. Malgré des nuages parfois menaçants, nous sommes passés entre les gouttes. Ce n'est qu'en revenant vers 19 h que l'orage a éclaté. Trop tard, nous étions déjà à l'abri. Après quatre heures d'une belle promenade. C'est assez difficile d'affronter des canicules de 20°. C'est assez difficile de vivre des sécheresses avec des chutes de pluies continuelles. On se moque de nous mais on passe quand même de belles journées. Et comme le dit papa : << Qu'ils aillent au diable, d'où ils viennent ! >>

Mes parents reprennent la mer dès lundi. Ils récupèrent leurs amis sur l'île pour une croisière de cinq jours. Je serai donc seule à gérer la maison et surtout ma vie, mon temps. Ce qui n'a pas de prix. Je m'ennuierais à mourir sur un bateau. Isolée de tout. Quelle horreur. Mais c'est la passion de papa et de maman. Les prévisions météorologiques prévoient le retour des beaux jours. Je ne me fie à aucune autres prévisions qu'aux miennes. Mais si c'est le cas, je vais m'offrir de belles expéditions à vélo. Peut-être à cheval. Mais c'est beaucoup plus contraignant avec la formule équestre. Ce matin, il y a eu la visite d'Enedis. Ils sont venus contrôler. Il y a eu des coupures de courant dans la matinée. Tout le bourg à 3 km privé de courant deux fois dix minutes. Sans doute les causes de l'orage de hier.

À bientôt

À nouveau seule jusqu'à vendredi



Mes parents sont repartis ce lundi matin. Je les ai emmené jusqu'au port. Nous avons mangé sur le bateau. Là, je viens de rentrer. Le soleil joue à cache cache avec les nuages mais rien d'inquiétant. Cet après-midi, expédition à bicyclette. Je vais parcourir les quelques dix kilomètres qui me séparent de l'aire de jeu du camping. J'adore m'offrir un circuit de mini golf. Je me lance des défis coquins. Vais-je avoir le courage de les réaliser ? J'en frissonne en préparant ce que j'emmène dans mon petit sac à dos. Mon I-phone14 est parfaitement chargé. Je vais encore me changer. Il fait doux et il y a peu de vent. J'apprécie de me sentir légère sur mon vélo. La piste cyclable longe l'océan. Il y a des stands de fruits. C'est très judicieux de proposer aux cyclistes des brugnons, des abricots, des pêches ou encore de beaux melons. Je m'arrête souvent pour en acheter.

J'ai trois jupettes de fin coton. Trois jupettes sports de fin lycra. C'est la rouge que je vais porter pour partir. Avec un T-shirt de lycra orange. Le temps de faire une longue tresse. Deux défis cet après-midi. Le premier sur le circuit du mini golf. Il faut s'accroupir fréquemment pour sortir la balle du trou. Excellent prétexte quand on aime être vue. Le second défi près des sanitaires du camping. Il y a souvent là d'amusantes opportunités d'être regardée. Je vais placer le téléphone de façon judicieuse afin de filmer mes petits challenges. Ils rejoindront ma collection. Ce sont de petits films qui ne durent guère plus de deux ou trois minutes. Cet automne je vais faire un montage de mes meilleures "performances". Peut-être qu'épisodiquement je proposerai ce film sur mon Blog. Nulle part ailleurs. De quoi frissonner davantage à l'idée que mes abonnés puissent me suivre dans mes pérégrinations.

À bientôt

Mes parents reviennent en début d'après-midi



Depuis onze heures ce vendredi matin, je suis dans la cuisine. Je prépare la surprise du repas de ce soir. Un gratin aux tomates farcies. J'ai concocté une farce "maison". Dans une Béchamel j'ai rajouté de l'émincé de saumon, des champignons et de petits morceaux de noix pour rajouter du croquant. Une tonne de gruyère de Comté. En accompagnement ce seront des chips que j'ai préparé à base de ces délicates petites pommes de terre Bintjes. Épluchées, coupées en fines lamelles. Poêlées à l'huile de pépins de raisin, (un délice). En dessert, ce sera des îles flottantes dans une crème à la pistache. J'y fais macérer de fines pépites de pralin. Je suis à me réjouir pour découvrir leurs expressions de ravissements. Surtout papa qui réagit comme un petit garçon devant les bons plats que je cuisine. Et nul doute que celui de ce soir va l'extasier.

Quand ils sont sur leur bateau, ils ne se privent pas de s'offrir des repas gastronomiques. Ils emmènent le nécessaire pour quatre ou cinq jours. Il y a une cuisine hyper équipée sur le navire. Tout comme la salle de bain, la chambre à coucher ou encore le salon sur le pont. Ils peuvent ouvrir les larges baies vitrées pour profiter des météos favorables. La semaine prochaine mes parents repartent en mer avec mon papi et ma mamie paternels. Ils vont longer les côtes jusqu'au large du Portugal. Compostelle et sa forteresse, sa cathédrale et ses remparts qu'on aperçoit depuis l'océan. Une fois encore je serai seule à gérer ma vie. Ce qui est formidable. Je me promets quelques frasques. Toujours désireuses de provoquer une gradation de mes émotions exhibitionnistes. Pour demain samedi, randonnée équestre à trois.

À bientôt

Mes grands parents paternels



Mon papi et ma mamie arrivent aujourd'hui dimanche pour midi. Avec maman nous venons de terminer la quiche aux poireaux pour le repas. Elle est au four pour une cuisson lente à 160°. Quand ça mijote longtemps c'est bien meilleur. Pour le dessert, ce sera une tarte aux pommes avec des rondelles de bananes, des cerneaux de noix et quelques amandes. J'ai un peu de répit. Je vais en profiter pour prendre une bonne douche. Le dimanche je ne m'entraîne pas. J'ai donc tout mon temps. Avec cette belle météo, nous prendrons notre repas dehors. Je vais d'ailleurs préparer la table. Nappe, couverts. Le dispositif anti insectes que mes parents emmènent sur leur bateau. C'est hyper efficace contre les nuisibles. Des ultras sons. Le meilleur des répulsifs. J'en profite pour écrire ces quelques lignes.

Hier après midi, nous nous sommes offerts une randonnée équestre. Un samedi enchanteur le long d'un parcourt qui ne l'était pas moins. Sur les hauteurs des falaises. Un début de promenade sous un ciel tourmenté qui au fil des heures est devenu de plus en plus bleu. Une température de 28°. Très supportable avec les vents du large. C'est demain matin lundi que mes parents et grands parent repartent en mer. Cinq jours de croisière. Jusqu'aux larges des côtes du Portugal qu'ils comptent rejoindre mardi en soirée. La journée de mercredi à visiter Compostelle qu'ils connaissent bien. Retour prévu pour vendredi en soirée. Les prévisions climatiques s'avèrent excellentes mais papa et maman ne sont absolument pas du genre à prendre de risques. Je vais retrouver ma douce solitude, mes frasques.

À bientôt

Le 02/07/2023 à 13:02, Black Dog a dit :

Jolio/Maitre Julien/Valona/et autres pseudos est un retraité qui a quitté son cocon familial il y a bien longtemps et dont un des hobbys est de poster des récits fictifs, le plus souvent érotiques, sur les forums.

A chacun ses passe-temps tant que ça ne fait de mal à personne et ne soyez pas trop dupes. 

c'et bien écrit , c'est le principal !

Une exaltante semaine de solitude qui m'attend




Ça y est, mes parents, accompagnés de mon papi et de ma mamie paternels sont partis ce matin. Je les ai emmené au port où les attendait leur bateau. Je suis rentrée vers 11 h45 après avoir fait des courses. Là, mon gratin de coquillettes est entrain de mijoter au four. Ma laitue et son assaisonnement sont préparés. J'en profite pour narrer ce nouvel épisode de mes actualités. Je les partage également sur mon Blog privé. Avec une multitudes de détails que je ne peux pas révéler ici. Les retours en messageries privées m'encouragent évidemment à continuer. C'est un tel plaisir. Je suis d'ailleurs entrain de créer un second Blog sur un site Anglais. Je maîtrise bien mieux ma langue d'origine. L'hébergeur de ce Blog propose de multiples et attractives fonctionnalités. Comme l'incrustation des vidéos personnelles que je publie sur Tik Tok. Sous un autre pseudo.

En évoquant l'Anglais. Mon plaisir de la journée est double. Sinon triple. Car cet après-midi je pars en "expéditions" aventureuses à bicyclette. Il fait tellement beau. Ce matin j'ai eu les résultats de l'équivalent Anglais de ma Licence de Sciences que j'ai également préparé par correspondance. Me voilà détentrice de mon BS, (Bachelor of Science). Je n'ai strictement aucune confiance en les universités Françaises. Elles ne valent pas grand chose et leurs réputations dans le monde anglo-saxon sont désastreuses. Je préfère m'entourer de toutes les précautions afin de ne pas me retrouver devant de mauvaises surprises en fin de cycle universitaire. Et comme je veux exercer en tant que professeur maître de conférence, aux États-Unis de préférence, il est préférable de suivre le même cursus mais avec le sérieux anglo-saxon. Ce qui a infiniment plus de valeurs.

À bientôt

Je prépare une bonne surprise gastronomique



Mes parents reviennent en fin d'après-midi. Avec mon papi et ma mamie paternels. Ils se sont offerts une belle croisière jusqu'au large du Portugal. Ils vont refaire le même itinéraire la semaine prochaine avec mes grands parents maternels. Pour fêter leur retour, je concocte un bon repas en soirée. Ce seront des moules grillées avec de petites pommes chips que je viens de préparer. Des tomates farcies à la mayonnaise thon, avocat et petits champignons noirs réhydratés. De fines tranches de pain grillé tartinées au Roquefort et au bleu d'Auvergne. Avec ces grosses chaleurs il est préférable de manger froid. Je prépare la grande table dehors sous les cyprès. J'irai les chercher au port de plaisance pour 18 h30. Nous gardons le contact, matin, midi et soir. Dès le SMS je prends la voiture et je file les récupérer.

Cet après-midi, randonnée à bicyclette le long des plages sous les pins le long de la piste cyclable. Retour à 17 h30 pour guetter le téléphone. Il y a des stands où j'achète des fruits frais et de saison sur le bord de la piste cyclable en haut des plages...

À bientôt

NOTE

N'omettez pas de suivre mes aventures coquines là où vous savez...

Bisou

À nouveau seule pour de nouvelles aventures



Je reviens du port de plaisance. J'y ai emmené mes parents et mes grands parents maternels. Ils repartent pour une croisière qui doit les emmener une nouvelle fois aux large des côtes du Portugal. Ils reviendront vendredi en fin d'après-midi. Je vais me dépêcher de préparer mon petit repas. Je suis impatiente de profiter de ce merveilleux soleil. Il y a bien quelques hauts nuages blancs d'altitude au-dessus de l'océan. Mais le ciel est d'un bleu d'azur. Une véritable invitation à l'aventure qui m'attend cet après-midi. Sur la piste cyclable je vais pousser jusqu'au stade nautique. Trente kilomètres dans un sens, trente kilomètres dans l'autre. Je n'y vais pas pour me baigner mais pour y assister au match de volley-ball féminin. J'aime bien regarder ce sport en étant confortablement installée tout au bord du grand bassin. Admirer mes consœurs sportives.

Au retour, je vais m'arrêter à un des nombreux stands au bord de la piste cyclable. On y trouve les plus délicieux des melons, des abricots, des nectarines, des brugnons ou encore des pêches. J'en fais une grande consommation. Il y a de beaux légumes également. Je ne serai pas de retour avant 20 h30. Une bonne douche avant de manger les reliquats du repas de midi. Je ferai le reste des coquillettes en salade avec des crevettes. Ça se mange facile et ça cale avant de passer la fin de la soirée devant l'ordinateur. Il se passe quelquefois de curieux phénomènes. Dans la demeure ou à l'extérieur. Je raconterai ces évènements étranges dans la rubrique consacrée au "paranormal". La température extérieure est de 28°. Je me dépêche de redescendre pour aller me sustenter et me nourrir. La machine à eau gazeuse fonctionne à plein rendement. Il faut que je change la cartouche.

À bientôt

il y a 12 minutes, Valona a dit :

Je me dépêche de redescendre pour aller me sustenter et me nourrir. 
 

pourquoi ajouter un synonyme du siècle dernier, au mot nourrir ? 

Bonjour à tous et bonne vacances pour cela qui si son et bonne vacance pour cela qui vont avoir la chance de partir moi avec ma maladie les vacance c'est l'hôpital

il y a 30 minutes, daniel44 a dit :

Bonjour à tous et bonne vacances pour cela qui si son et bonne vacance pour cela qui vont avoir la chance de partir moi avec ma maladie les vacance c'est l'hôpital

malheureusement ça arrive la maladie ne prévient pas bon courage pour la suite...

Il y a 4 heures, daniel44 a dit :

Bonjour à tous et bonne vacances pour cela qui si son et bonne vacance pour cela qui vont avoir la chance de partir moi avec ma maladie les vacance c'est l'hôpital

Cher @daniel44

Je vous souhaite un prompt rétablissement. Recevez toutes mes pensées affectueuses de réconforts et de courages.

Je vous embrasse

Il y a 20 heures, Valona a dit :

Cher @daniel44

Je vous souhaite un prompt rétablissement. Recevez toutes mes pensées affectueuses de réconforts et de courages.

Je vous embrasse

tu sais du courage il n'en faut mais on arrive a ce décourager quand on trouve pas de membre les réponses sont tous le même je travaille et je n'es pas le temps ou je suis malade on ce fout de notre gueule   

À cause des conditions en mer



Ce vendredi matin je suis contactée par mon papa une demi heure avant nos appels quotidiens. Les conditions en mer étant tellement dégradées, mes parents préfèrent revenir pour demain samedi. C'est vrai que les orages à répétitions de hier n'ont pas été de simples caprices météorologiques. Je suis restée à la maison à travailler sur le programme de ma rentrée. Une rentrée qui approche. Lundi 18 septembre. Je suis réellement "affutée" car j'ai consacré deux heures chaque matin de mes vacances à réviser, à me documenter et à m'imprégner de cette première année de préparation au Master qui m'attend. Papa et maman, accompagnés de mes grands parents maternels, ont navigué jusqu'aux côtes du Portugal. La ville de Compostelle en bord de l'océan. C'est donc judicieux de différer le retour de vingt quatre heures. La prudence s'impose.

J'ai passé ma semaine à parcourir la campagne sur ma bicyclette. De belles découvertes. Pas beaucoup d'excentricités. Pas beaucoup d'opportunités de m'amuser avec mes jeux préférés. Et puis je préfère rester discrète car j'ai consacré quelques grands moments à mes "exactions exhibitionnistes". Point trop s'en faut. Je préfère "exercer" avec parcimonie et ne surtout pas céder à toutes les tentations qui se présentent. Quand c'est répétitif et trop rapproché disparaissent les émotions premières et les sensations recherchées. Et chaque cas est différent. Avec papa et maman nous restons dans notre corps de ferme jusqu'au lundi 11 septembre au matin. Il me reste donc encore un peu plus de deux semaines pour créer et vivre des évènements méritants d'êtres partagés avec mon fidèle lectorat. Et je ne manquerai pas d'en décrire les instants cruciaux avec ce luxe de détails dont je devine mes lecteurs friands.

À bientôt

Une semaine au climat maussade



La semaine passée fut plutôt maussade. Passer ses vacances d'été au bord de l'océan c'est beau, c'est bien. Tant que la météo reste flatteuse. Mais là, il n'y a eu que deux jours ensoleillés, un jour sans pluie, et quatre journées de précipitations venteuses. Aussi, avec mes parents, nous sommes restés à la maison. Papa en a profité pour terminer l'agencement de l'atelier qu'il s'est aménagé au fond de la grange. Elle-même transformée en garage. Je passais mes matinées à réviser, à préparer ma rentrée universitaire, lundi 18 septembre. Avec cette météo désastreuse j'étais souvent frustrée de ne pas être déjà en cours. L'université et son ambiance commencent à me manquer sérieusement. Et puis je vais revoir Jonathan. Il a passé son été à Los Angeles, dans sa famille. On s'écrivait au moins deux fois par semaine. Des courriels avec des photos. On se revoit dimanche prochain, chez lui, dans sa chambre, pour nos "confrontations" ludiques habituelles.

Les après-midi, avec maman, nous avons fait un peu de shopping en ville. La visite du musée des étoffes reste un grand moment de découvertes. Maman pourrait être ma grande sœur avec son look sportswear. Aussi nous avons beaucoup rit à nous faire draguer. Certains messieurs très souriants, exerçant parfois leur séduction de façon tellement maladroite que nous en étions très souvent pliées de rires. J'avoue être quelquefois jalouse de l'attrait qu'exerce maman sur ces beaux messieurs élégants et aux tempes grisonnantes. Avec la fin des vacances ils semblent sortir de leurs tanières. Mais ou diable étaient-il tout l'été ? Ça m'aurait drôlement changée des charlots et des guignols sans classe. Demain, avec le retour des beaux jours, mes parents reprennent la mer jusqu'à vendredi. Encore une croisière en amoureux. Moi, je vais retrouver ma douce solitude, ma bicyclette et mes petites "expéditions". Première étape au programme de lundi après-midi : le mini golf du camping.

À bientôt