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crime effroyable


diffn

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diffn Membre 830 messages
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Belafonte Charmante petite ville très calme où la sérénité est un mets non épicé mais délicieux, agrémente leur quotidien. Un dangereux piment, dans les hardes d’un crime a décidé de s’y installer pour un certain moment. Il s’est fait inviter lui-même sans attendre l’accord des hôtes. Ces derniers sont allergiques aux épices et c’est pourquoi, ils ont pris fait et cause avec une étrange victime, venue de nulle part. Une jolie blonde ou plutôt une blonde qui était jolie, gisait au bord de la route principale de cette petite ville.

Sur cette maigre neige qui elle aussi n’attendait que quelques rayons de soleil supplémentaires de cette période printanière pour rendre pleinement l’âme, un citoyen de cette jolie petite ville errant dans sa voiture, avait vu ce corps inanimé propulsé au bord de la route. Il descendit de sa voiture, s’est approché un peu plus près, mais n’osa pas aller plus loin, il s’arrêta et décida d’appeler les secours en soutirant de sa pochette un portable.

Quelques petites minutes plus tard, plusieurs voitures se sont rangées devant le corps. Le responsable, commissaire Walter sortit en premier, accompagné de son second Tim pour se pencher ensuite sur la victime. Puis, comme un, moteur bien huilée, la machine policière s’est mise en branle et ses éléments avaient commencé à se mouvoir autour de la victime. La première équipe avec ses rubans de signalisation, délimitait un large périmètre autour de la victime et veillait à interdire l’accès du périmètre aux non-initiés. La déferlante des fouilleurs munis de leurs matériels, à genou, scrutait minutieusement le sol, semblant chercher des choses qu’ils ont perdues. Une autre déferlante, celle des photographes, imitant le grillon, leurs caméras sur les mains, collées à leurs yeux, suivaient ces pauvres fouilleurs qui s’avançaient difficilement alors qu’au-dessus de leurs crânes les grillons s’affolaient à leur bruler ainsi leur cervelle. Les recherches se faisaient sur chaque carré de ce périmètre délimitait auparavant. Ces photographes étaient partout, la victime elle aussi étaient entourée comme si elle était une grande star, les crépitements persistaient et s’affolaient encore plus.

 D’autres s’affairaient, à étudier des marques de pneus près de la victime. Ils avaient confectionné un moule pour le placer sur les traces du pneu, afin de le remplir de gypses et de l’extraire par la suite du sol obtenant ainsi, les empreintes conformes à de vrais pneus qui ont été envoyées au labo pour étudier la forme et les caractéristiques des pneus et aussi leurs impacts sur le sol.

Un jeune tout nouvel inspecteur s’affairait à questionner le flâneur qui avait repéré la victime, tout en notant soigneusement ses réponses sur un petit calepin. Le pauvre flâneur, paraissait intimider, entouré de toute cette armada, de tous ces pauvres examinateurs à genou se déplaçant difficilement, de ces carillonneurs qui crépitaient… il s’est senti un dangereux criminel, Escobar lui-même, d’autant plus que le jeune, nouveau inspecteur, n’avait pas mis des gants pour le questionner. Il lui a même demandé ce qu’il avait mangé avant de sortir de chez lui. Ce que j’ai mangé ? se demandait le bonhomme, cette victime a surement été empoisonnée. Il s’est dit que ces jours sont comptés et il s’est vu dans la pire des prisons américaine à Stateville, près de Chicago, où il devait faire attention à… son intimité. Il le congédia enfin mais en tout en lui demandant de rester à la disposition des services de la police de Belafonte. C’en est fait de moi se disait le pauvre flâneur, je dois rester à leur disposition, autant qu’ils m’incarcèrent, ainsi je serai, à leur disposition pour la vie.

Le jeune inspecteur mit les informations dans une pochette, puis il s’avança vers le responsable et son second qui étaient autour de la victime. Il resta debout, alors que les deux compères, comme recroquevillés, étaient assis sur leurs talons affairés, sans parler au début car subjugué par ce visage qui a, à jamais perdu sa juvénilité. Il doit avoir changé de forme se disait-il intérieurement, les yeux paraissaient gonflés et la bouche s’est déformée, la corde autour de son cou doit lui avoir fait perdre une grande partie de sa beauté.

-        Alors tu as pris des renseignements, lui demanda Walter, sans qu’il ne le regarde

-        Oui, mais rien de spécial

Puis il s’adressa à Tim, alors que le jeune inspecteur, toujours debout, était entrain de fixer cette fille. Il se disait qu’il pourrait voir dans cette position ce que ses compères ne verraient pas. Elle sommeillait grimaçante, visage livide comme vidée de son sang et tête penchée vers la droite, comme si elle refusait de voir son tortionnaire, fauchée par une mort implacable dans un sommeil sans réveil. Écartelée comme une accouchée, on aurait dit une poupée désarticulée, jetée par une petite fille rageuse.

à suivre

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lolo72 Membre 4 024 messages
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Ca fait mal aux yeux j'ai pas lu :aie:

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diffn Membre 830 messages
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Il y a 8 heures, lolo72 a dit :

Ca fait mal aux yeux j'ai pas lu :aie:

en réalité j'ai toujours pas retrouvé mes lunettes, et sans faire attention j'ai envoyé, je demande pardon à tes yeux

à l’instant, diffn a dit :

en réalité j'ai toujours pas retrouvé mes lunettes, et sans faire attention j'ai envoyé, je demande pardon à tes yeux

et pour réparer, j'envoie spécialement ce modèle spécialement pour toi 

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Membre, 124ans Posté(e)
diffn Membre 830 messages
Forumeur expérimenté‚ 124ans‚
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Il y a 20 heures, diffn a dit :

en réalité j'ai toujours pas retrouvé mes lunettes, et sans faire attention j'ai envoyé, je demande pardon à tes yeux

et pour réparer, j'envoie spécialement ce modèle spécialement pour toi 

Belafonte Charmante petite ville très calme où la sérénité est un mets non épicé mais délicieux, agrémente leur quotidien. Un dangereux piment, dans les hardes d’un crime a décidé de s’y installer pour un certain moment. Il s’est fait inviter lui-même sans attendre l’accord des hôtes. Ces derniers sont allergiques aux épices et c’est pourquoi, ils ont pris fait et cause avec une étrange victime, venue de nulle part. Une jolie blonde ou plutôt une blonde qui était jolie, gisait au bord de la route principale de cette petite ville.

Sur cette maigre neige qui elle aussi n’attendait que quelques rayons de soleil supplémentaires de cette période printanière pour rendre pleinement l’âme, un citoyen de cette jolie petite ville errant dans sa voiture, avait vu ce corps inanimé propulsé au bord de la route. Il descendit de sa voiture, s’est approché un peu plus près, mais n’osa pas aller plus loin, il s’arrêta et décida d’appeler les secours en soutirant de sa pochette un portable.

Quelques petites minutes plus tard, plusieurs voitures se sont rangées devant le corps. Le responsable, commissaire Walter sortit en premier, accompagné de son second Tim pour se pencher ensuite sur la victime. Puis, comme un, moteur bien huilée, la machine policière s’est mise en branle et ses éléments avaient commencé à se mouvoir autour de la victime. La première équipe avec ses rubans de signalisation, délimitait un large périmètre autour de la victime et veillait à interdire l’accès du périmètre aux non-initiés. La déferlante des fouilleurs munis de leurs matériels, à genou, scrutait minutieusement le sol, semblant chercher des choses qu’ils ont perdues. Une autre déferlante, celle des photographes, imitant le grillon, leurs caméras sur les mains, collées à leurs yeux, suivaient ces pauvres fouilleurs qui s’avançaient difficilement alors qu’au-dessus de leurs crânes les grillons s’affolaient à leur bruler ainsi leur cervelle. Les recherches se faisaient sur chaque carré de ce périmètre délimitait auparavant. Ces photographes étaient partout, la victime elle aussi étaient entourée comme si elle était une grande star, les crépitements persistaient et s’affolaient encore plus.

 D’autres s’affairaient, à étudier des marques de pneus près de la victime. Ils avaient confectionné un moule pour le placer sur les traces du pneu, afin de le remplir de gypses et de l’extraire par la suite du sol obtenant ainsi, les empreintes conformes à de vrais pneus qui ont été envoyées au labo pour étudier la forme et les caractéristiques des pneus et aussi leurs impacts sur le sol.

Un jeune tout nouvel inspecteur s’affairait à questionner le flâneur qui avait repéré la victime, tout en notant soigneusement ses réponses sur un petit calepin. Le pauvre flâneur, paraissait intimider, entouré de toute cette armada, de tous ces pauvres examinateurs à genou se déplaçant difficilement, de ces carillonneurs qui crépitaient… il s’est senti un dangereux criminel, Escobar lui-même, d’autant plus que le jeune, nouveau inspecteur, n’avait pas mis des gants pour le questionner. Il lui a même demandé ce qu’il avait mangé avant de sortir de chez lui. Ce que j’ai mangé ? se demandait le bonhomme, cette victime a surement été empoisonnée. Il s’est dit que ces jours sont comptés et il s’est vu dans la pire des prisons américaine à Stateville, près de Chicago, où il devait faire attention à… son intimité. Il le congédia enfin mais en tout en lui demandant de rester à la disposition des services de la police de Belafonte. C’en est fait de moi se disait le pauvre flâneur, je dois rester à leur disposition, autant qu’ils m’incarcèrent, ainsi je serai, à leur disposition pour la vie.

Le jeune inspecteur mit les informations dans une pochette, puis il s’avança vers le responsable et son second qui étaient autour de la victime. Il resta debout, alors que les deux compères, comme recroquevillés, étaient assis sur leurs talons affairés, sans parler au début car subjugué par ce visage qui a, à jamais perdu sa juvénilité. Il doit avoir changé de forme se disait-il intérieurement, les yeux paraissaient gonflés et la bouche s’est déformée, la corde autour de son cou doit lui avoir fait perdre une grande partie de sa beauté.

-              Alors tu as pris des renseignements, lui demanda Walter, sans qu’il ne le regarde

-              Oui, mais rien de spécial

Puis il s’adressa à Tim, alors que le jeune inspecteur, toujours debout, était entrain de fixer cette fille. Il se disait qu’il pourrait voir dans cette position ce que ses compères ne verraient pas. Elle sommeillait grimaçante, visage livide comme vidée de son sang et tête penchée vers la droite, comme si elle refusait de voir son tortionnaire, fauchée par une mort implacable dans un sommeil sans réveil. Écartelée comme une accouchée, on aurait dit une poupée désarticulée, jetée par une petite fille rageuse.

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Membre, 124ans Posté(e)
diffn Membre 830 messages
Forumeur expérimenté‚ 124ans‚
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Le 18/04/2023 à 07:34, diffn a dit :

l

Puis il s’adressa à Tim, alors que le jeune inspecteur, toujours debout, était entrain de fixer cette fille. Il se disait qu’il pourrait voir dans cette position ce que ses compères ne verraient pas. Elle sommeillait grimaçante, visage livide comme vidée de son sang et tête penchée vers la droite, comme si elle refusait de voir son tortionnaire, fauchée par une mort implacable dans un sommeil sans réveil. Écartelée comme une accouchée, on aurait dit une poupée désarticulée, jetée par une petite fille rageuse.

suite


-           Elle paraît très jeune et ne doit pas être de la région, disait Walter.

-           Une adolescente peut-être rajouta son second, Tim.

-           Elle doit avoir été jetée par-dessus le véhicule, ce qui démontre que c’est un camion munit d’un wagon, avait suggéré le jeune nouveau inspecteur, toujours debout près des deux autres policiers.

 Il est  maigre comme un clou, un gringalet qui aurait pu se cacher derrière un manche à balai. Les traits du visage ne sont point agréables, mais délicats comme ceux d’une dame. Quant à l’harmonie entre ses organes sensitifs, il faudrait s’en passer, non seulement la tête est pointue comme une portion de fromage de cette vache qui rit, mais le nez, tellement proéminent qu’il a réussi à dérober la beauté et la clarté de ses beaux yeux bleus. Et cette petite bouche qui, je pense, pour manger, ne peut se servir que de la petite cuillère à café, agrémente un peu son visage d’un sourire éternel, qui quelques fois paraissait moqueur, ce qui lui a valu des inimitiés. Il est roux aussi roux qu’une carotte, il est d’ailleurs connu sous le vocable de ce poisson appelé le rouget de roche, mais sans moustache. Son cou tout aussi long, nous fait penser à la famille des longs cous, comme les girafes ou les lamas ; il doit en être un de leurs descendants. Le perpétuel chewing-gum qu’il mâche constamment est je pense une des preuves flagrantes qui plaide pour ce constat et Darwin en est un témoin. Je pense que l’évolution de l’espèce a laissé des traces sur les humains, notre inspecteur court très vite, jusqu’à 30 km/h, non derrière les malfrats, mais plutôt pour prendre la poudre d’escampette. Il a été programmé pour ça, il ne peut aller au-delà de ses capacités. Pendant son stage, il est remarqué pour son intelligence, alors on lui a appris à fuir et non poursuivre. Mais quand il court, on ne peut s’empêcher de s’esclaffer, de peur de se mélanger les pinceaux et que ses pieds s’entrechoqueraient, il est obligé de les écarter. Et la vitesse est tellement rapide que nous avons l’impression que ces deux pieds courent presque ensemble, ce qu’il lui donne vraiment l’air d’une girafe qui mâche de l’herbe tout en souriant.

Walter et Tim se sont relevés, pour entendre, l’idée que ce  jeune homme avait dans sa tête.

  

-           Pourquoi jetée et par-dessus bord d’un wagon avait demandé Walter ?

Le jeune inspecteur ne voulait pas tout dévoilait, il avait peur de paraître prétentieux.

-           J’aurais peur de paraître ridicule, je préfère dans ce cas attendre les résultats de la médecine légale et aussi les résultats du labo pour connaitre l’impact du véhicule sur le sol.

Le jeune inspecteur, un peu gêné, devant ses supérieurs s’arrêta, mais Walter lui avait demandé de continuer, ses explications.   

-           continue Adam, c’est intéressant.

-           La distance entre le camion et le corps de la victime, son état sur le sol, la position de ses membres, de sa tête, de ses cheveux, et l’impact du corps sur la neige. Tout ceci montre qu’elle a été propulsée d'une une certaine hauteur. Il aurait ligoté, ses mains et son coup avec un seul bout de corde et ceci pour la violer en premier. Puis il l’avait tué par strangulation et enfin il l’avait jeté par-dessus bord, comme on jette un sachet de détritus, et je pense qu’il n’est pas à son coup d’essai et je pourrais dire qu’il s’agit d’un tueur en série.

-           Les pneus montrent qu’il s’agit d’un véhicule, qui s’est arrêté à une certaine distance du corps, et je parie qu’il s’agit d’un camion, les traces des pneus sont assez profondes.  Maintenant si on faisait appel à un spécialiste, un physicien par exemple, je pense qu’il pourrait calculer la force de projection de ce cadavre en prenant en considération la hauteur d’un wagon quelconque, la distance entre les traces du pneu et la fille, et son poids. Il pourrait aussi déterminer la force de ce tueur.

 

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Membre, 124ans Posté(e)
diffn Membre 830 messages
Forumeur expérimenté‚ 124ans‚
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Il y a 13 heures, diffn a dit :

 

-           Les pneus montrent qu’il s’agit d’un véhicule, qui s’est arrêté à une certaine distance du corps, et je parie qu’il s’agit d’un camion, les traces des pneus sont assez profondes.  Maintenant si on faisait appel à un spécialiste, un physicien par exemple, je pense qu’il pourrait calculer la force de projection de ce cadavre en prenant en considération la hauteur d’un wagon quelconque, la distance entre les traces du pneu et la fille, et son poids. Il pourrait aussi déterminer la force de ce tueur.

 

suite

-        Et vu l’impact des traces des pneus arrière, qui sont à première vue plus larges que les pneus de l’avant, ceci démontre qu'il s'agit d'un véhicule poids lourd et  démontre, aussi sa direction initiale nous pouvons dire que notre nouvelle perle Adam, a raison, a poursuivi Tim. Ensuite il n’a pas continué sur Belafonte, mais il a rebroussé chemin, Belafonte n’était pas son chemin initial, mais il a été celle de la victime. Car les traces s’arrêtent puis reprennent sur l’autre côté de la route dans le sens inverse, ce qui signifie qu'il a rebroussé chemin pour aller continuer ce qu'il avait à faire initialement. 

Tim était l’antithèse d’Adam, il dégage une impression de force et de robustesse. Sa tête collée sur ses larges épaules carrées, sa face blanche, toujours mal rasée, et ses yeux marrons qui semblent continuellement sur leur garde, prêts à en démordre avec tout le monde, n’affiche jamais un rire ou un sourire, on aurait dit qu’il a échappé à l’extinction de cette race des Néandertalien, prêt à mordre tous ceux qui s’approchent de lui.

 

-        Nous avons à faire à un meurtrier sans scrupule et surement connu des services de la police, un homme qui jette une jeune fille comme un paquet de déchet, est un monstre capable de tout.

Tim voulait dénouer, la corde autour du cou de la victime, et autour de ses poignets, mais Walter l’en avait empêché.

-         Non attend, il parait que certains nœuds nous informent sur la psychologie de son exécuteur.

 

  La corde avait été coupée en différent endroit, par des ciseaux et le nœud est devenu une pièce à conviction.  Les traces de la corde sur les poignets et le cou de la victime étaient évidents. Tim s’affairait à ouvrir la main de la fille quand des scribouillages apparaissaient sur sa paume. Le responsable intrigué avait demandé au jeune nouveau inspecteur de vérifier cette écriture.

-        Tiens tu es plus jeune tu vois mieux, avait lancé le responsable au jeune inspecteur.

Il a fallu quelques secondes pour qu’Adam, voit en ces écritures des chiffres.

-        ça doit-être des chiffres et je pense des numéros de téléphone, avait prédit Adam

La peau de sa main gauche avait été arrachée pour être envoyé au laboratoire, ces chiffres étaient sur le point de disparaitre, il fallait procéder à cette incision, car rien n’avait été trouvé sur le corps de la victime, aucune carte d'identité, rien. en plus elle était surement loin de sa région natale. Aucun élément qui pourrait les guider vers la découverte de son identité, n’est apparu. Faire vite était la règle et cette incision était peut-être salutaire. Le responsable leva le bras droit de la victime pour examiner sa main droite, mais il ne constatât, rien du tout, avant de la reposer, Tim avec célérité demanda à son patron de refaire tout doucement ce geste.

à suivre

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
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Il y a 8 heures, diffn a dit :

suite

-        Et vu l’impact des traces des pneus arrière, qui sont à première vue plus larges que les pneus de l’avant, ceci démontre qu'il s'agit d'un véhicule poids lourd et  démontre, aussi sa direction initiale nous pouvons dire que notre nouvelle perle Adam, a raison, a poursuivi Tim. Ensuite il n’a pas continué sur Belafonte, mais il a rebroussé chemin, Belafonte n’était pas son chemin initial, mais il a été celle de la victime. Car les traces s’arrêtent puis reprennent sur l’autre côté de la route dans le sens inverse, ce qui signifie qu'il a rebroussé chemin pour aller continuer ce qu'il avait à faire initialement. 

Tim était l’antithèse d’Adam, il dégage une impression de force et de robustesse. Sa tête collée sur ses larges épaules carrées, sa face blanche, toujours mal rasée, et ses yeux marrons qui semblent continuellement sur leur garde, prêts à en démordre avec tout le monde, n’affiche jamais un rire ou un sourire, on aurait dit qu’il a échappé à l’extinction de cette race des Néandertalien, prêt à mordre tous ceux qui s’approchent de lui.

 

-        Nous avons à faire à un meurtrier sans scrupule et surement connu des services de la police, un homme qui jette une jeune fille comme un paquet de déchet, est un monstre capable de tout.

Tim voulait dénouer, la corde autour du cou de la victime, et autour de ses poignets, mais Walter l’en avait empêché.

-         Non attend, il parait que certains nœuds nous informent sur la psychologie de son exécuteur.

 

  La corde avait été coupée en différent endroit, par des ciseaux et le nœud est devenu une pièce à conviction.  Les traces de la corde sur les poignets et le cou de la victime étaient évidents. Tim s’affairait à ouvrir la main de la fille quand des scribouillages apparaissaient sur sa paume. Le responsable intrigué avait demandé au jeune nouveau inspecteur de vérifier cette écriture.

-        Tiens tu es plus jeune tu vois mieux, avait lancé le responsable au jeune inspecteur.

Il a fallu quelques secondes pour qu’Adam, voit en ces écritures des chiffres.

-        ça doit-être des chiffres et je pense des numéros de téléphone, avait prédit Adam

La peau de sa main gauche avait été arrachée pour être envoyé au laboratoire, ces chiffres étaient sur le point de disparaitre, il fallait procéder à cette incision, car rien n’avait été trouvé sur le corps de la victime, aucune carte d'identité, rien. en plus elle était surement loin de sa région natale. Aucun élément qui pourrait les guider vers la découverte de son identité, n’est apparu. Faire vite était la règle et cette incision était peut-être salutaire. Le responsable leva le bras droit de la victime pour examiner sa main droite, mais il ne constatât, rien du tout, avant de la reposer, Tim avec célérité demanda à son patron de refaire tout doucement ce geste.

à suivre

Pour moi ça va ! Quand c'est écrit gros comme ça, j'ai pas besoin de plisser les yeux pour lire ! :)

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