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Le bien et le mal existent-ils ?


PopTheWizard

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PopTheWizard Membre 20 messages
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Il y a 12 heures, Manuel 235 a dit :

Le bien c'est un jugement que l'on porte sur un fait.

Un fait pour wikipedia : "Un fait est un événement advenu ou advenant dans l'histoire d'un individu ou d'un groupe. Il est caractérisé par son extériorité, par opposition à une idée."

"Il n'y a pas de faits, seulement des interprétations". Nietzsche

 

Notre imagination n'a pas beaucoup de limite on peut imaginer ou conceptualiser plein de choses, et tous ce que les autres pourrons en connaître c'est la description que l'on en fera.

 

Donc d'après notre interprétation subjective d'un fait on juge subjectivement (plein de choses peuvent influencer notre jugement on est pas des machines) si ce fait est bien ou mal, d'après notre interprétation subjective de la morale. Ce serait pas un peu subjectif comme concept ?

 

 

"Il n'y a pas de faits, seulement des interprétations". Nietzsche

Les politiciens poussent encore plus loin et diront que
"En politique, les apparences sont plus importantes que les faits."

C’est un autre exemple du fait qu’il faut éviter les amalgames. Les faits sont les faits et il ne faut pas les confondre avec leur interprétation. Faire phi des faits pour ne laisser place qu’à l’interprétation, c’est ouvrir toute grande la porte et laisser le champ libre au mensonge et à la désinformation.

Je crois juste qu’il est bon de se dire parfois : "Mais revenons-en aux faits".
Mais ceci n’enlève rien à la pertinence et à la justesse du questionnement au sujet de la subjectivité de interprétations. L’interprétation est un passage obligé dans l’exercice qui se résume à différentier le BIEN du MAL. Et c’est là que les choses tendent parfois à se compliquer.

C’est là que les mots "sincèrement et raisonnablement" de ma définition du BIEN et du MAL prennent toute leur importance. Il y a aussi des indices qui peuvent servir de boussoles très efficaces qui indiqueront la plupart du temps où se trouvent les deux pôles que sont le BIEN et le MAL comme résultante de nos actions.  Voici en prime mes 5 préférés.

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PopTheWizard Membre 20 messages
Forumeur balbutiant‚
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TOP Cinq des indices pour distinguer le BIEN et du MAL :

Il y a beaucoup plus que cinq éléments qui peuvent servir d’indice pour détecter un potentiel de BIEN ou de MAL. Dresser une liste exhaustive de tous ces indices et les discuter en détails serait long et fastidieux. Il serait alors risqué de perdre l’importance de ceux qui sont les plus fréquents et qui ne laissent pas ou peu de doute quant à la possibilité de faire pencher la balance du bon ou du mauvais côté. Pour cette raison, je choisi ici de me limiter aux cinq principaux d’on je me sert de mon mieux pour mesurer l’impact de mes actions.

Avant de procéder à l’énumération de ces indices, il est important de préciser que ce ne sont que des indices et non des preuves absolues. Comme discuté précédemment, l’évaluation en termes de BIEN ou de MAL implique de faire la balance de tous les impacts. Certains de ces impacts peuvent inclurent des indices du MAL, mais d’autres des indices du BIEN qui peuvent surclasser ceux du MAL lorsque l’on considère raisonnablement tous les impacts résultants d’une même action, et réciproquement. Néanmoins, il est utile de connaître et de pouvoir détecter la présence de ces indices ainsi que leur ampleur dans les conséquences de nos actions pour pouvoir faire la part des choses de façon éclairée. Je mentionne aussi que puisque l’on peut simplement définir le MAL comme le contraire du BIEN, il n’est pas surprenant de retrouver des indices du MAL qui soient essentiellement le contraire d’un indice du BIEN.

1)  L’inversion des rôles :
Je mentionne cet indice en premier, car c’est mon préféré. Il est la plupart du temps facile à évaluer et presque toujours d’une efficacité impressionnante pour départager le BIEN du MAL. Il consiste à s’imaginer ce que nous ressentirions si quelqu’un d’autre nous ferais à nous ce que nous nous apprêtons à faire à quelqu’un d’autre. Lorsqu’encore jeune, mes parents m’ont dit parfois, ‘’Aimerais-tu ça qu’on te fasse ce que tu viens de faire là?’’. Ouille, je savais alors que je m’étais mis dans le trouble et qu’une punition allais faire partie de mon proche avenir.

Le BIEN et le MAL s’appliquent de la même façon pour tous. Il y a aussi une expression qui dit, ‘’Ce qui est bon pour minou, est bon pour pitou.’’.

Vous risquez très peu de vous tromper si vous suivez la simple règle suivante :
Ne fait pas aux autres, ce que tu ne veux pas que l’on te face à toi.

2) Vérité vs mensonge :
J’ai déjà introduit plus haut ces notions comme des ingrédients fondamentaux respectifs du BIEN et du MAL. Leur présence dans vos actions et dans ce qui les motives sont des indices presqu’infaillibles pour évaluer si ce que vous vous apprêtez à faire est BIEN ou MAL.

Il faut faire cependant attention de bien départager entre la vérité et le mensonge. Pour être véritable un fait doit s’être produit dans la réalité ce qui la plupart du temps se vérifie et se prouve raisonnablement. L’erreur fréquente est de confondre vérité et information. Les choses que l’on entend ou que l’on lit à propos de quelque chose qui se serait produit par le passé sont des informations.  Mais toutes information n’est pas vérité, car il y aussi le mensonge et la désinformation.

Vérifier ses sources :
Lorsque l’on nous rapporte des faits qui se sont produits en notre absence, il est important de vérifier la qualité (véracité) de cette information avant d’agir soi-même sur la base de celle-ci.

Premièrement y a-t-il une ou des preuves. Une source crédible, sincère et rigoureuse partagera non seulement de l’information, mais aussi toute preuve raisonnable qu’il lui est possible de divulguer. On peut aussi tenter d’observer soi-même des faits qui corroborent (prouvent) la réalité de cette information. Cette tentative n’est pas toujours possible ou ne sera pas toujours concluante mais on doit essayer de son mieux.

En l’absence de preuve raisonnable, il faut aussi vérifier davantage la crédibilité de la source de l’information. Le présent et le futur étant souvent garants du passé, évaluez si des informations fournies dans le passé par cette même source se sont avérée être la vérité. Tout le monde et même les experts peuvent parfois se tromper. Cependant, le taux de réussite passé d’une source est un bon indice de sa crédibilité.

Méfiez-vous des opinions. Surtout de celles qui semblent correspondre aux vôtres à priori. Une opinion émise est seulement une information. Sans démarche rigoureuse faisant preuve des faits qui la supporte, elle échoue le test de la crédibilité.

Vous vous tromperez rarement si vous suivez la simple règle suivante :
En l’absence de preuves raisonnables, il est souvent préférable de s’abstenir d’agir autrement que pour continuer à chercher la vérité.

3)  Création, protection, organisation et évolution vs violence, agression et destruction:
Lorsque vous créez quelque chose, elle devient existante. La création est donc une forme indéniable de contribution à l’existence et donc en principe du BIEN. Bien-sûr, la nature de la chose créée, en termes de source potentielle de BIEN ou de MAL, fait partie de la résultante.

La violence engendre de la destruction. C’est plus qu’un indice, c’est un outil privilégié pour faire du MAL. La présence de violence autre que raisonnable et justifiée pour protéger une existence elle-même menacée par une véritable agression est presque toujours une source incontestable de MAL.

La protection vise à préserver une existence, à éviter sa détérioration ou sa perte, alors que l’agression est la première attaque violente qui vise à porter atteinte à l’intégrité d’une existence. Leurs présences respectives sont de forts indices de BIEN et de MAL. On néglige trop souvent l’importance de cette distinction dans l’analyse et la compréhension de faits en apparence complexes. Pourtant il suffit souvent de poser et de répondre à la question suivante. Qui a posé le premier geste violent envers l’autre?

L’organisation est l’arrangement et parfois la combinaison de choses qui mène à quelque chose de plus évolué que ces constituants séparés. C’est plus souvent qu’autrement une contribution à l’existence et donc un indice de BIEN généralement fiable. Encore une fois, le potentiel des choses que l’on organise et que l’on aide à évoluer, en termes de source elle-même de BIEN ou de MAL, fait partie de la résultante. Le crime organisé n’est pas un exemple de BIEN. Mais, le crime organisé fonctionne ‘’bien’’ parce qu’il est organisé.

De façon générale, Il y a un lien entre le niveau d’organisation et d’évolution d’une entité existante et le potentiel de BIEN ou de MAL qu’engendre les actions qui affectent cette dernière. Plus une existence se situe à un niveau d’organisation élevé, plus le potentiel de BIEN ou de MAL résultant d’une action à son égard est élevé.  La chaîne alimentaire est un exemple de ce principe. Des êtres vivants plus sophistiqués (des prédateurs) tuent des êtres vivants moins sophistiqués (leurs proies) pour se nourrir et donc préserver leur propre existence. Pas une bonne chose pour les proies, mais puisque le niveau d’organisation est généralement plus élevé chez le prédateur que chez la proie, la différence de potentiel entre les deux existences fait en sorte que la préservation de l’existence d’un prédateur l’emporte sur la perte de l’existence de la proie.

4)  Amour vs haine et colère:
Ah l’amour! Il faut faire attention avec cet indice-là, Il mérite une attention particulière. Prenons le temps de le définir.

Définition 1 de l’amour:
’Sentiment vif qui pousse à vouloir du bien, à aider en s'identifiant plus ou moins.’’

Par ‘’vouloir du bien’’’ et ce même en faisant possiblement phi de ces propres intérêts en ne s’identifiant peut-être même pas, on a un bon potentiel de source de BIEN. Attention cependant à ce que ce ‘’vouloir du bien’’ ne s’impose pas à l’autre contre son gré et ne devienne une forme d’harcèlement au bout du compte.

Définition 2 de l’amour :
’Fort sentiment d'affection et d'attachement envers un être vivant ou une chose, assez intense pour pousser ceux qui le ressentent à rechercher une proximité physique, intellectuelle ou même imaginaire avec l'objet de cet amour.’’

Cette deuxième définition est intéressante car elle élabore plus que la première sur les intérêts de celui qui est amoureux. Celui-ci recherche une proximité et autant que possible à passer du temps en présence de l’autre. Ceci peut aller jusqu’à partager sa vie avec celui-ci ou celle-ci. Rien de MAL en principe avec cela. Tant, et aussi longtemps que ces sentiments et intentions d’être ensemble sont réciproques. En l’absence de cette réciprocité, l’amoureux se tourne parfois vers la seule option qui lui permette d’obtenir ou de maintenir cette proximité avec l’être impliqué, la possession. Ce qui était ou semblait peut-être être un sentiment sincère d’amour au départ, peut alors se transformer en obsession possessive. L’autre lui appartient. Il ou elle n’a plus le droit de lui refuser son amour. Il ou elle est à lui et seulement à lui pour toujours. C’est là que les choses dérapent vers la jalousie, le mensonge, la manipulation, le manque de respect, la contrainte, la violence souvent verbale au début puis de plus en plus physique et ça peut aller jusqu’au meurtre.

Il est donc primordial, de distinguer l’amour de l’obsession possessive qui ont tous deux en commun un fort désir de proximité avec l’autre. Voici pour vous guider un texte qui définit l’amour par ces caractéristiques, mais aussi et surtout par ce qu’il n’est pas.

Définition 3 de l’amour :
''L’amour prend patience ; l’amour rend service ; l’amour ne jalouse pas ; il ne se vante pas, ne se gonfle pas d’orgueil ; il ne fait rien d’inconvenant ; il ne cherche pas son intérêt ; il ne s’emporte pas ; il n’entretient pas de rancune ; il ne se réjouit pas de ce qui est injuste, mais il trouve sa joie dans ce qui est vrai ; il supporte tout, il fait confiance en tout, il espère tout, il endure tout.’’'

Si vous êtes ou avez déjà été amoureux, vous savez que cette troisième définition est excellente. Si vous croyiez être amoureux, mais que vos actions qui en découle sont motivées par une forte jalousie ou de la rancune ou qu’elles sont inconvenantes pour l’autre ou qu’elle cherche votre intérêt plus que celui de l’autre, si vous vous emportez et surtout si vous utilisez quelque forme de violence que ce soit, alors sachez que vous n’êtes pas amoureux et que votre possessivité de l’autre qui peut devenir ou est déjà obsessive fait ou fera de vous une source de MAL. Je ne parle pas ici de l’expression d’une saine et sporadique jalousie qui ne vise rien de plus qu’à faire part à l’autre que vous tenez à lui ou elle. Il est aussi normal que le ton monte un peu entre deux personnes qui s’aime mais qui ne sont pas d’accord sur certains points à l’occasion. On peut alors s’excuser sincèrement et affectueusement des paroles qui dans le feu de la discussion ont parfois dépassées nos pensées. Mais le manque de respect, par des insultes et du dénigrement sur la personne, ainsi que tout autres formes de violence sont une ligne à ne jamais franchir. Si vous savez avoir franchie cette ligne, où s’il est clair que l’autre l’a franchie à votre détriment, Il faut arrêter cela tout de suite. La progression rapide et à un certain point irréversible qu’exerce le pôle du MAL est, comme je l’ai expliqué plus tôt, très accentuée dans le contexte de ce qui n’est plus ou n’a peut-être jamais été de l’amour. Il devient vite difficile et éventuellement presqu’impossible de renverser la situation qui s’installe. N’hésitez pas à aller chercher de l’aide, il n’y a pas de honte.

Le contraire de l’amour est la haine. La haine est souvent accompagnée de colère qui elle-même peut mener à la vengeance. Pas besoin de longues explications à ces sujets. Ceux-là ne sont pas difficiles à reconnaître et ils sont clairement du mauvais côté de la clôture située entre le BIEN et le MAL.

''La colère est toujours mauvaise conseillère.’’'

5)  Consentement vs contrainte:
J’ai choisi le consentement vs la contrainte comme derniers indices de mon top 5, car on les retrouve souvent dans l’actualité et dans les débats liés à la société ainsi qu’au système de justice. À la base c’est assez simple. Forcer (contraindre) quelqu’un à faire quelque chose contre son gré (sans consentement) est beaucoup plus souvent qu’autrement une source de MAL. Il y a cependant des nuances qu’il faut bien considérer avant de sauter trop vite aux conclusions.

  • Il ne faut pas perdre de vue l’impact qui est toujours le véritable déterminant. Il peut arriver qu’il soit justifié de contraindre quelqu’un pour le BIEN commun et même pour le propre BIEN de celui ou celle que l’on contraint.
     
  • Le mensonge au sujet d’une supposée contrainte peut se révéler un outil fort efficace pour faire du MAL à quelqu’un. L’isolement et la proximité entre les personnes impliquées au moment d’un évènement rendent souvent difficile la démonstration rigoureuse d’une preuve de contrainte.

Mais chacun connait la vérité à propos de ses propres actions. Il ne faut pas s’y méprendre. La contrainte s’apparente à la violence. Sauf en cas de protection justifiée, sa présence dans un projet d’action à venir est un gros drapeau rouge qui suggère que ce que vous apprêtez à faire est peut-être sinon probablement MAL. C’est même souvent plus MAL que vous ne le pensez. Au moindre doute, questionnez-vous fortement sur la nécessité de l’élément de contrainte dans votre plan et abstenez-vous si ce n'est pas le cas.

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Manuel 235 Membre 205 messages
Forumeur survitaminé‚ 42ans‚
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Il y a 9 heures, PopTheWizard a dit :

(...) Les faits sont les faits et il ne faut pas les confondre avec leur interprétation. Faire phi des faits pour ne laisser place qu’à l’interprétation, c’est ouvrir toute grande la porte et laisser le champ libre au mensonge et à la désinformation.

Je crois juste qu’il est bon de se dire parfois : "Mais revenons-en aux faits".
Mais ceci n’enlève rien à la pertinence et à la justesse du questionnement au sujet de la subjectivité de interprétations. L’interprétation est un passage obligé dans l’exercice qui se résume à différentier le BIEN du MAL. Et c’est là que les choses tendent parfois à se compliquer.

C’est là que les mots "sincèrement et raisonnablement" de ma définition du BIEN et du MAL prennent toute leur importance. Il y a aussi des indices qui peuvent servir de boussoles très efficaces qui indiqueront la plupart du temps où se trouvent les deux pôles que sont le BIEN et le MAL comme résultante de nos actions.  Voici en prime mes 5 préférés.

Pour nos consciences "Il n'y a pas de faits, seulement des interprétations".

Notre conscience ne peut connaître que l’interprétation subjective et non les faits directement.

"Faire phi des faits pour ne laisser place qu’à l’interprétation, c’est ouvrir toute grande la porte et laisser le champ libre au mensonge et à la désinformation."

Tu devrais lire un peu, des auteur sérieux, et développer ton imagination et tes capacité de synthèse, avant de venir étaléééééééééé ta confiture au goût amère.

"Ce que l'on conçoit bien, s'énonce clairement,
Et les mots pour le dire arrivent aisément." Nicolas Boileau-Despréaux

 

 

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PopTheWizard Membre 20 messages
Forumeur balbutiant‚
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Il y a 7 heures, Manuel 235 a dit :

Pour nos consciences "Il n'y a pas de faits, seulement des interprétations".

Notre conscience ne peut connaître que l’interprétation subjective et non les faits directement.

"Faire phi des faits pour ne laisser place qu’à l’interprétation, c’est ouvrir toute grande la porte et laisser le champ libre au mensonge et à la désinformation."

Tu devrais lire un peu, des auteur sérieux, et développer ton imagination et tes capacité de synthèse, avant de venir étaléééééééééé ta confiture au goût amère.

"Ce que l'on conçoit bien, s'énonce clairement,
Et les mots pour le dire arrivent aisément." Nicolas Boileau-Despréaux

 

 

Ne soyez surtout pas ''amère'' Manuel, tous les mots que je partage ici me sont venus, me viennent et me viendront très aisément. 

''La philosophie est vide si elle n'est pas fondée sur la science. La science découvre, la philosophie interprète.''
- Albert Einstein

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Membre, 42ans Posté(e)
Manuel 235 Membre 205 messages
Forumeur survitaminé‚ 42ans‚
Posté(e)
Le 03/04/2023 à 00:11, PopTheWizard a dit :

Ne soyez surtout pas ''amère'' Manuel, tous les mots que je partage ici me sont venus, me viennent et me viendront très aisément. 

''La philosophie est vide si elle n'est pas fondée sur la science. La science découvre, la philosophie interprète.''
- Albert Einstein

Et justement il s'est trompé sur une des interprétations les plus importantes de la physique quantique, Alain Aspect l'a prouvé avec l'expérience d'Aspect : "Elle apporte ainsi une réponse expérimentale au paradoxe EPR proposé une cinquantaine d'années plus tôt par Albert Einstein, Boris Podolsky et Nathan Rosen"

Que les mots te viennent aisément ne veut pas dire qu'ils soient pertinents, et je ne vois pas le rapport entre cette citation et ton aisance à écrire une "argumentation" sans fin.

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Membre, Posté(e)
PopTheWizard Membre 20 messages
Forumeur balbutiant‚
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Le BIEN et le MAL sont pas toujours faciles à départager. Mais je suggère de ne pas sous-estimer le fruit des réflexions et constats énoncés plus haut. J’ai volontairement minimisé l’utilisation d’exemples concrets. Je crois qu’il est mieux si le lecteur puise dans son propre vécu pour mesurer l’applicabilité de ce que j’ai exprimé ici par rapport à la réalité précise de ses propres expériences.

Je résume ici les grandes lignes de mes réflexions en ce que je me permets humblement mais sincèrement de partager comme étant :

Six (6) suggestions pour améliorer son existence :

1)      Ne pas nier l’existence du BIEN et du MAL.
Étant donné leurs impacts respectifs sur l’existence des personnes et des choses réelles, le BIEN et le MAL sont eux-mêmes bel et bien réels. Gardez leurs existences en tête et au mieux de vos connaissances et de vos capacités, choisissez de faire le BIEN plutôt que le MAL.
 

2)      Être un adepte de la vérité et de la réalité.
Ne mentez pas et ne soyez pas vous-même victime du mensonge et de la désinformation. Chercher toujours à connaître et transmettre la vérité et la réalité et alignez vos actions sur celles-ci plutôt que sur des illusions ou des phantasmes. Les pires mensonges sont ceux que l’on se raconte à soi-même.
 

3)      Ne faites pas aux autres, ce que vous ne voulez-pas que l’on vous face à vous.

Faites le test de l’inversion des rôles en imaginant votre propre réaction si s’était vous qui seriez plutôt touché par les actions que vous projetez de faire. Abstenez-vous ou ajustez vos projets d’actions en fonction du résultat de ce test et répétez-le aussi souvent que nécessaire avant de passer à l’action.

4)      Évitez au maximum le recours à la violence et ne soyez jamais l’agresseur.
Ne faites jamais l’usage d’une violence qui ne soit plus que justifiée et suffisante. Protégez-vous, vos proches et vos biens, mais limitez-vous à la force nécessaire et suffisante pour mettre fin à une menace d’égale ou de plus grande importance que celle engendrée par vos propres actions qui ne doivent avoir pour but que de protéger.

5)      Créez, organisez et faites évoluer.
La création, l’organisation et l’évolution sont des mécanismes qui produisent et favorisent l’existence. C’est par ces trois mécanismes que de la poussière d’étoile plutôt élémentaire fut produite au cœur d’étoiles et qu’elle s’est organisée pour produire notre planète où elle s’est organisée davantage pour donner de la matière organique, puis vivante qui n’a cessé d’évoluer pour donner l’espèce humaine. Nous devons tous notre existence à ces trois mécanismes. Il est intéressant de constater que nous avons nous-même la capacité d’exercer ces trois mécanismes. À notre humble échelle bien-sûr, mais les résultats peuvent parfois être d’un grand impact. Encore faut-t ’il s’assurer que le fruit de nos actions en ce sens ne soit plus utile à faire le BIEN que le MAL.

6)      Aimez.
Ma dernière suggestion, mais non la moindre. Aimez la vie, les gens et les choses autour de vous. Attention cependant, aimer n’est pas posséder non plus que d’être possédé. Pour être véritable, l’amour doit faire l’affaire des parties impliquées. Soyez généreusement présent lorsque cela peut compter pour l’autre, mais soyez aussi attentif et respectueux du fait que l’amour n’est pas toujours un chemin à deux sens ou que la circulation n’est pas toujours égale dans les deux directions.

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Wave1 Membre 528 messages
Forumeur alchimiste ‚ 44ans‚
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Membre, 44ans Posté(e)
Wave1 Membre 528 messages
Forumeur alchimiste ‚ 44ans‚
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Le bien et le mal sont dans les yeux de celui qui regarde.

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PopTheWizard Membre 20 messages
Forumeur balbutiant‚
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Le 08/04/2023 à 02:06, Wave1 a dit :

Le bien et le mal sont dans les yeux de celui qui regarde.

Bonne "observation".:)
Puis-je me permettre d'ajouter, qu'ils sont aussi dans la réalité de ceux qui en bénéficient ou qui le subissent.

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