Déterminisme dimensionnel

Bonjour,

Implicitement, le père fondateur du déterminisme dimensionnel, c’est Charles Darwin.

Grâce à lui, ce ne sont plus les choses qui créent les choses.

Ce sont des dimensions informelles qui créent les choses.

On peut même y envisager un langage virtuel :

On pourrait dire que le gorille a un argument de puissance, que l’oiseau a un argument de locomotion, et que l’homme a un argument de préhension.

Si Dieu existait, il ne s’ennuierait pas avec des marteaux et des clous.

Pour construire une chaise, il utiliserait trois ou quatre dimensions pour extraire la chaise du champ du crédible.

Ne pensez-vous pas, qu’à l’avenir, c’est l’utilisateur qui donnera des dimensions à Photoshop, et que c’est Photoshop qui réalisera la représentation ?

Lorsque l’artiste et le plastique rétroagissent, in fine, a posteriori, l’extrapolation provient du champ du crédible.

Ce sont les dimensions de l’utilisateur pseudo-divin qui focalisent un pseudo-finalisme.

Il est étrange que Youtube fustige le finalisme alors que la physique quantique en a validé le principe, même s’il s’agit là d’un déterminisme notionnel.

En effet, si Darwin reconnait un déterminisme dimensionnel, informel, et mécaniste,

la physique quantique reconnait plutôt un déterminisme notionnel, formel, et finaliste

l’un et l’autre se disputant l’antériorité.