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Ma rêverie compulsive

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Nouveau, 51ans Posté(e)
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Baby Forumeur‚ 51ans‚
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Histoire

Plus jeune, ma vie était normale, mes parents, mon frère et ma sœur m’aimaient beaucoup et moi aussi. Au cours de ma vie, mes parents me donnaient peu de liberté et me privaient de vie sociale avec d’autres personnes y compris les membres de ma famille (cousins, cousines, tante…) dans le but de me protéger. J’ai commencé a développé une timidité en moi et avoir un manque d’interaction sociale. C’est à partir de ce moment-là que ma sœur et moi (aux alentours de 8, 10 ans) avions commencer à s’imaginer une toute nouvelle vie. Dans cette vie-là, nous étions très proches avec notre famille, nous avions également des amies tout le contraire de la réalité. Pour nous, c’était un jeu, nous disions « Vient on joue à Basma1 », « Vient on joue à familje e mire² ».

1 Le jeu Kaya : A l’époque (8 ou 9 ans), nous rêvions de déménager dans une grande villa et changer d’école, nous voulions un tout nouveau départ, une toute nouvelle vie avec une vie sociale normale. Ce jeu (crée par ma sœur et moi) était une façon de fuir la réalité et avoir la vie que nous désirions, dans ce jeu nous étions dans une école et nous avions créé des personnages, des élèves. Kaya était un de nos personnages, une fille de 8 ans de notre école qui était comme nous dans la réalité c’est-à-dire elle regardait les autres enfants s’amuser pendant que nous (ma sœur et moi) nous avions beaucoup d’amies et nous étions heureux. Ce jeu / rêve éveillé montre que nous étions conscients de ce qui se passer dans notre vie sociale mais nous avions aucune solution pour s’en sortir.

² Le jeu familje e mire: Signifie bonne famille dans ma langue maternelle. Dans ce jeu, nous avions créé des personnages, une famille nombreuse avec des cousins, cousines et avec laquelle nous aimions parler et nous étions très proche.

Première apparition

Il y avait un moment de ma vie, j’avais peut-être 11 ans, je n’avais pas confiance en moi, notamment en raison des déceptions amicales. Malgré cela, j’étais dans l’ignorance, je ne savais rien de rien par rapport à ma vie sociale et ce que c’était d’avoir de vrais amis. Au collège, lorsque je rentrais à midi pour manger à la maison, je mettais souvent la musique à fond et je commençais à faire des mouvements en répétition sans même le savoir, et puis parfois je me surprenais en plein mouvements et les pensés complétement ailleurs. C’était peut-être la première fois que je vivais ce genre d’expérience et je ne prenais surement pas au sérieux. Je savais que ce n’était peut-être pas normal mais c’était une sensation agréable qui me plaisait.

Un cercle vicieux

A l’âge de 12 ans, c’est arrivé. Nous déménagions dans une maison , ce n’était peut-être pas la maison de mes rêves, mais nous étions quand même apaisés et heureux. Nous étions loin de notre quartier d’enfance et je pensais avoir réussi à obtenir, pour la première fois, ce que je voulais. Mes parents avaient une chambre pour eux, mon frère une chambre à lui seule et ma sœur et moi, nous devions partager la même chambre. Cela me convenait parfaitement tant que j’ai une nouvelle maison. Au cours du temps, je me suis rendu compte que quand j’écoutais de la musique, mes pensées était ailleurs, je rêvais beaucoup et de plus en plus. A un point ou je ne dormais plus, je faisais parfois des nuits blanches et je passais des heures et des heures à rêver. Mes rêves éveillés étaient une priorité.

A 18 ans, je me suis dit « ce n’est pas normal, ça fait plus de 11 ans que je rêvasse et je consacre ma vie à rêvasser et à fuir la réalité ». J’ai commencé à effectuer des recherches par rapport à ce phénomène et j’ai appris que c’était une maladie nommé rêverie compulsive³ et j’étais sûr à 100% que j’en était atteint. En approfondissant sur mes recherches j’ai découvert que « Des personnes ayant souffert de maltraitance ou ayant expérimenté d’autres types d’actes traumatique à un moment quelconque de leur vie peuvent être atteint de cette maladie ». J’ai passé toute ma vie à être maltraiter par mes soi-disant « amies » parce que j’étais différente et je ne correspondais surement pas à leurs attentes, c’est peut-être eux la cause de ce trouble.

³ Trouble du comportement associé à l’anxiété, le TOC, le TDAH qui se caractérise par des séances de rêveries éveillée intense. Attention cela n’a pas été encore reconnu comme une maladie par le Manuel de Diagnostic et de Statistiques des Troubles Mentaux.

Cependant, plusieurs évènements du passé peuvent provoquer ce trouble. Il est important d’identifier la source du problème pour pouvoir le résoudre. Pour ma part, j’ai subi plusieurs traumatismes (comme le manque d’interaction ou la maltraitance). Il faut mettre des limites à ce trouble, même si ce n’est pas toujours facile.

Parler à son entourage

Par ailleurs, ma sœur, ma grand-mère ou d’autres gens de ma famille m’ont également surpris plusieurs fois en pleine séance de rêverie éveillé où j’effectuais des mouvements répétés avec des expressions faciales, parfois ma sœur entendait des murmures venant de moi. Ce moment où on te voit rêvasser, je pense qu’il n’y a pas plus gênant et c’est une honte.

La rêverie compulsive était un secret jusqu’au jour j’avais lu un article qui expliquait très bien ce trouble. J’avais décidé donc d’envoyer le lien de l’article à ma sœur.

La réaction de ma sœur m’a plutôt surpris car elle savait que je passer ma journée à rêvasser et que je faisais constamment des mouvements répétés sur mon lit. Quand elle m’a dit ça, j’avais honte mais au fond de moi je savais qu’elle le savait.

Mais ce qui m’as le plus surpris c’est qu’elle subissait le même trouble mais elle ne savait pas que c’était une maladie. Elle, contrairement à moi, a réussi à s’en emparer. Bien évidemment je lui ai demandé : « Comment ? », elle m’a seulement répondu « il faut juste penser à arrêter ». Facile à dire, pour moi c’était impossible, de plus la rêverie compulsive est particulièrement agréable, échapper de la réalité était le seul moyen de me sentir bien. Donc j’ai continué à rêvasser.

Mon quotidien

Un jour de repos, je me lève les matins, habituellement à 11h, j’attends que ma sœur sorte de la chambre. Je mets de la musique dans mes oreilles avec mon téléphone, cette musique peut être de TikTok par exemple et je l’écoute et je peux passer tout un après-midi à rêvasser. Je suis assise sur mon lit et je bouge de l’avant en arrière toujours sur mon lit de manière répétés. Mon visage s’exprime sans même que je le sache et je me plonge dans un rêve intense en étant éveillé.

Un jour d’école, c’est souvent après l’école que je rêvasse, je rentre et je me mets sur le lit et je passe la fin de la journée à rêver.  

Je fuis la réalité dans ma chambre ou quand je suis seule dans une pièce assez grande ou/et adaptée pour répéter constamment un mouvement. Ce qui déclenche les rêves inadaptés, c’est la musique ou les applications où il y a de la musique comme TikTok, YouTube ou Instagram. Je peux passer des heures et des heures là-dessus.

Les rêveries compulsives m’handicapent au quotidien, je ne travaille plus, j’ai des mauvaises notes dans toutes les matières même les matières que j’aime, je ne fais plus mes devoirs, je me retrouve en échec scolaire. Je ne fais plus le ménage, j’aide plus ma mère à cuisiner, je passe plus du temps avec ma famille. En gros, ce sont mes rêves et moi tous les jours, ce qui a causé de l’apathie, de l’anxiété sociale et de la dépression chez moi.

Comme je l’ai dit la rêverie compulsive est devenu une priorité, cela est devenu un besoin primaire. Parfois je ne manger même pas le repas du soir ou parfois je mange très tard (vers minuit), car je passe toute ma journée à rêver.

Une personne atteinte de ce trouble ne dira jamais ses rêves éveillés car c’est une situation de gène. Pour ma part, je suis dans une salle de classe avec des joueurs de football qui nous rendent visite. Dans ce rêve j’impressionne souvent les footballeurs, je me vois carrément de leur point de vue pour admirer la fille que je rêve d’être. Je peux également recommencer un rêve plusieurs fois. Toutes les personnes rêveuses ont un point en commun : impressionner une ou des personne(s) dans leurs rêves.

Remèdes

Je ne pense pas qu’il a un remède contre ce trouble qui fonctionnent vraiment, mais parler à un médecin, un psychologue ou un membre de votre famille (une personne de confiance) peut vous libérer un peu. Je sais que ce n’est pas facile mais je vous souhaite bon courage.

Commencer par reconnaitre et éviter ce qui déclenche les rêveries. Ne passer pas votre temps dans l’endroit qui vous déclenche les séances de rêveries. Ne restez pas seule, Allez-vous promener. Faites tous le nécessaire pour que cela ne se reproduise plus. Identifier ce qui a pu causer ce trouble et prenez de nouvelles résolutions.

Restez occupé dans la journée, vous pouvez passer votre temps à lire (je sais ce n'est pas difficile car les personnes atteintes de ce trouble sont souvent atteintes d’un trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité), commencer à réviser ou travailler en évitant toute distractions, faites le ménages…

Pour finir, ce que je peux vous conseiller, écrivez votre histoire comme moi je le fais.

Merci et je m'excuse pour mon français.

  • Confus 1
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  • 8 mois après...
Nouveau, 51ans Posté(e)
Baby Forumeur‚ 51ans‚
Posté(e)
Le 07/01/2023 à 17:24, fraisier a dit :

Histoire

Plus jeune, ma vie était normale, mes parents, mon frère et ma sœur m’aimaient beaucoup et moi aussi. Au cours de ma vie, mes parents me donnaient peu de liberté et me privaient de vie sociale avec d’autres personnes y compris les membres de ma famille (cousins, cousines, tante…) dans le but de me protéger. J’ai commencé a développé une timidité en moi et avoir un manque d’interaction sociale. C’est à partir de ce moment-là que ma sœur et moi (aux alentours de 8, 10 ans) avions commencer à s’imaginer une toute nouvelle vie. Dans cette vie-là, nous étions très proches avec notre famille, nous avions également des amies tout le contraire de la réalité. Pour nous, c’était un jeu, nous disions « Vient on joue à Basma1 », « Vient on joue à familje e mire² ».

1 Le jeu Kaya : A l’époque (8 ou 9 ans), nous rêvions de déménager dans une grande villa et changer d’école, nous voulions un tout nouveau départ, une toute nouvelle vie avec une vie sociale normale. Ce jeu (crée par ma sœur et moi) était une façon de fuir la réalité et avoir la vie que nous désirions, dans ce jeu nous étions dans une école et nous avions créé des personnages, des élèves. Kaya était un de nos personnages, une fille de 8 ans de notre école qui était comme nous dans la réalité c’est-à-dire elle regardait les autres enfants s’amuser pendant que nous (ma sœur et moi) nous avions beaucoup d’amies et nous étions heureux. Ce jeu / rêve éveillé montre que nous étions conscients de ce qui se passer dans notre vie sociale mais nous avions aucune solution pour s’en sortir.

² Le jeu familje e mire: Signifie bonne famille dans ma langue maternelle. Dans ce jeu, nous avions créé des personnages, une famille nombreuse avec des cousins, cousines et avec laquelle nous aimions parler et nous étions très proche.

Première apparition

Il y avait un moment de ma vie, j’avais peut-être 11 ans, je n’avais pas confiance en moi, notamment en raison des déceptions amicales. Malgré cela, j’étais dans l’ignorance, je ne savais rien de rien par rapport à ma vie sociale et ce que c’était d’avoir de vrais amis. Au collège, lorsque je rentrais à midi pour manger à la maison, je mettais souvent la musique à fond et je commençais à faire des mouvements en répétition sans même le savoir, et puis parfois je me surprenais en plein mouvements et les pensés complétement ailleurs. C’était peut-être la première fois que je vivais ce genre d’expérience et je ne prenais surement pas au sérieux. Je savais que ce n’était peut-être pas normal mais c’était une sensation agréable qui me plaisait.

Un cercle vicieux

A l’âge de 12 ans, c’est arrivé. Nous déménagions dans une maison , ce n’était peut-être pas la maison de mes rêves, mais nous étions quand même apaisés et heureux. Nous étions loin de notre quartier d’enfance et je pensais avoir réussi à obtenir, pour la première fois, ce que je voulais. Mes parents avaient une chambre pour eux, mon frère une chambre à lui seule et ma sœur et moi, nous devions partager la même chambre. Cela me convenait parfaitement tant que j’ai une nouvelle maison. Au cours du temps, je me suis rendu compte que quand j’écoutais de la musique, mes pensées était ailleurs, je rêvais beaucoup et de plus en plus. A un point ou je ne dormais plus, je faisais parfois des nuits blanches et je passais des heures et des heures à rêver. Mes rêves éveillés étaient une priorité.

A 18 ans, je me suis dit « ce n’est pas normal, ça fait plus de 11 ans que je rêvasse et je consacre ma vie à rêvasser et à fuir la réalité ». J’ai commencé à effectuer des recherches par rapport à ce phénomène et j’ai appris que c’était une maladie nommé rêverie compulsive³ et j’étais sûr à 100% que j’en était atteint. En approfondissant sur mes recherches j’ai découvert que « Des personnes ayant souffert de maltraitance ou ayant expérimenté d’autres types d’actes traumatique à un moment quelconque de leur vie peuvent être atteint de cette maladie ». J’ai passé toute ma vie à être maltraiter par mes soi-disant « amies » parce que j’étais différente et je ne correspondais surement pas à leurs attentes, c’est peut-être eux la cause de ce trouble.

³ Trouble du comportement associé à l’anxiété, le TOC, le TDAH qui se caractérise par des séances de rêveries éveillée intense. Attention cela n’a pas été encore reconnu comme une maladie par le Manuel de Diagnostic et de Statistiques des Troubles Mentaux.

Cependant, plusieurs évènements du passé peuvent provoquer ce trouble. Il est important d’identifier la source du problème pour pouvoir le résoudre. Pour ma part, j’ai subi plusieurs traumatismes (comme le manque d’interaction ou la maltraitance). Il faut mettre des limites à ce trouble, même si ce n’est pas toujours facile.

Parler à son entourage

Par ailleurs, ma sœur, ma grand-mère ou d’autres gens de ma famille m’ont également surpris plusieurs fois en pleine séance de rêverie éveillé où j’effectuais des mouvements répétés avec des expressions faciales, parfois ma sœur entendait des murmures venant de moi. Ce moment où on te voit rêvasser, je pense qu’il n’y a pas plus gênant et c’est une honte.

La rêverie compulsive était un secret jusqu’au jour j’avais lu un article qui expliquait très bien ce trouble. J’avais décidé donc d’envoyer le lien de l’article à ma sœur.

La réaction de ma sœur m’a plutôt surpris car elle savait que je passer ma journée à rêvasser et que je faisais constamment des mouvements répétés sur mon lit. Quand elle m’a dit ça, j’avais honte mais au fond de moi je savais qu’elle le savait.

Mais ce qui m’as le plus surpris c’est qu’elle subissait le même trouble mais elle ne savait pas que c’était une maladie. Elle, contrairement à moi, a réussi à s’en emparer. Bien évidemment je lui ai demandé : « Comment ? », elle m’a seulement répondu « il faut juste penser à arrêter ». Facile à dire, pour moi c’était impossible, de plus la rêverie compulsive est particulièrement agréable, échapper de la réalité était le seul moyen de me sentir bien. Donc j’ai continué à rêvasser.

Mon quotidien

Un jour de repos, je me lève les matins, habituellement à 11h, j’attends que ma sœur sorte de la chambre. Je mets de la musique dans mes oreilles avec mon téléphone, cette musique peut être de TikTok par exemple et je l’écoute et je peux passer tout un après-midi à rêvasser. Je suis assise sur mon lit et je bouge de l’avant en arrière toujours sur mon lit de manière répétés. Mon visage s’exprime sans même que je le sache et je me plonge dans un rêve intense en étant éveillé.

Un jour d’école, c’est souvent après l’école que je rêvasse, je rentre et je me mets sur le lit et je passe la fin de la journée à rêver.  

Je fuis la réalité dans ma chambre ou quand je suis seule dans une pièce assez grande ou/et adaptée pour répéter constamment un mouvement. Ce qui déclenche les rêves inadaptés, c’est la musique ou les applications où il y a de la musique comme TikTok, YouTube ou Instagram. Je peux passer des heures et des heures là-dessus.

Les rêveries compulsives m’handicapent au quotidien, je ne travaille plus, j’ai des mauvaises notes dans toutes les matières même les matières que j’aime, je ne fais plus mes devoirs, je me retrouve en échec scolaire. Je ne fais plus le ménage, j’aide plus ma mère à cuisiner, je passe plus du temps avec ma famille. En gros, ce sont mes rêves et moi tous les jours, ce qui a causé de l’apathie, de l’anxiété sociale et de la dépression chez moi.

Comme je l’ai dit la rêverie compulsive est devenu une priorité, cela est devenu un besoin primaire. Parfois je ne manger même pas le repas du soir ou parfois je mange très tard (vers minuit), car je passe toute ma journée à rêver.

Une personne atteinte de ce trouble ne dira jamais ses rêves éveillés car c’est une situation de gène. Pour ma part, je suis dans une salle de classe avec des joueurs de football qui nous rendent visite. Dans ce rêve j’impressionne souvent les footballeurs, je me vois carrément de leur point de vue pour admirer la fille que je rêve d’être. Je peux également recommencer un rêve plusieurs fois. Toutes les personnes rêveuses ont un point en commun : impressionner une ou des personne(s) dans leurs rêves.

Remèdes

Je ne pense pas qu’il a un remède contre ce trouble qui fonctionnent vraiment, mais parler à un médecin, un psychologue ou un membre de votre famille (une personne de confiance) peut vous libérer un peu. Je sais que ce n’est pas facile mais je vous souhaite bon courage.

Commencer par reconnaitre et éviter ce qui déclenche les rêveries. Ne passer pas votre temps dans l’endroit qui vous déclenche les séances de rêveries. Ne restez pas seule, Allez-vous promener. Faites tous le nécessaire pour que cela ne se reproduise plus. Identifier ce qui a pu causer ce trouble et prenez de nouvelles résolutions.

Restez occupé dans la journée, vous pouvez passer votre temps à lire (je sais ce n'est pas difficile car les personnes atteintes de ce trouble sont souvent atteintes d’un trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité), commencer à réviser ou travailler en évitant toute distractions, faites le ménages…

Pour finir, ce que je peux vous conseiller, écrivez votre histoire comme moi je le fais.

Merci et je m'excuse pour mon français.

Merci pour votre témoignage.

Je viens de découvrir la nomination de ce trouble la semaine dernière dans un article du magazine Respire. J' avais fait des recherches mais c'est souvent comparé à rêvasser.

J'ai 49 ans et un passé de maltraitance dans mon enfance, avec mon ex mari et dans mon travail il y a quelques années. Une psychologue m'a dit que j'avais beaucoup de résilience et a diagnostiqué une hyperactivité neurologique. 

 

Pour ma part je me tourne vers la sophrologie, la créativité. 

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