Un pas

Il faut nuit et j'ai froid. Je regarde au loin ce village où festoient des gens heureux et libres. Je les voient rire et danser autour de grands feux. J'entends les gémissements des amants qui se découvrent amoureux.

Jadis c'était là qu était mon foyer, ils m'attendaient, ma place était parmi eux. Mais l'histoire ne s'est pas écrite ainsi. Les pages ont été souillées, déchirées, brûlées. Les cendres envolées. Je ne connaîtrais jamais cette certitude d'être là où je devais trouver la paix , tourbillonnant dans les bras protecteurs de mon seul amour.

J'entends leurs rires me déchirer. Je tourne la tête et la vois cette forêt de ronces, si sombre et si froide. Je les entends les cris d'agonie. Je la ressens la colère et la douleur. Pas de retour en arrière, il n'y a qu'un seul chemin. Ils m'ont guidés jusqu'ici. Ils m'appellent. Plus qu'un pas.

Il y a 1 heure, Yemaia a dit :

Il faut nuit et j'ai froid. Je regarde au loin ce village où festoient des gens heureux et libres. Je les voient rire et danser autour de grands feux. J'entends les gémissements des amants qui se découvrent amoureux.

Jadis c'était là qu était mon foyer, ils m'attendaient, ma place était parmi eux. Mais l'histoire ne s'est pas écrite ainsi. Les pages ont été souillées, déchirées, brûlées. Les cendres envolées. Je ne connaîtrais jamais cette certitude d'être là où je devais trouver la paix , tourbillonnant dans les bras protecteurs de mon seul amour.

J'entends leurs rires me déchirer. Je tourne la tête et la vois cette forêt de ronces, si sombre et si froide. Je les entends les cris d'agonie. Je la ressens la colère et la douleur. Pas de retour en arrière, il n'y a qu'un seul chemin. Ils m'ont guidés jusqu'ici. Ils m'appellent. Plus qu'un pas.

bonjour

très beau .on attend la suite ?

bonne journée

il y a 17 minutes, le merle a dit :

bonjour

très beau .on attend la suite ?

bonne journée

C'est très gentil.

Non. Il n'y a jamais de suite avec moi. Juste des bouts de moi.

il y a 7 minutes, Yemaia a dit :

C'est très gentil.

Non. Il n'y a jamais de suite avec moi. Juste des bouts de moi.

c'est pas grave , je suis aussi comme cela  parfois .

Il y a 2 heures, Yemaia a dit :

Il faut nuit et j'ai froid. Je regarde au loin ce village....

bonjour,

tant de tristesse et pourtant tant de révolte .

et pourtant la vie continue ....

bonne journée.

il y a 11 minutes, Zéno a dit :

 

J'imagine que c'est une traduction humoristique de : c'est de la merde et j'y comprends rien. 

Vous en avez parfaitement le droit. Il est probable que dans quelques heure je sois de votre avis.

il y a 1 minute, Yemaia a dit :

J'imagine que c'est une traduction humoristique de : c'est de la merde et j'y comprends rien. 

Vous en avez parfaitement le droit. Il est probable que dans quelques heure je sois de votre avis.

Non du tout , c’était une pointe d'humour pour te faire sourire  pas plus.

il y a 2 minutes, Zéno a dit :

Non du tout , c’était une pointe d'humour pour te faire sourire  pas plus.

C est gentil, merci. J aime beaucoup kamelott.

il y a 3 minutes, Yemaia a dit :

C est gentil, merci. J aime beaucoup kamelott.

Moi aussi , il est excellent le burgonde 

il y a 1 minute, Zéno a dit :

Moi aussi , il est excellent le burgonde 

Je veux les femmes, toutes les femmes. 

il y a 1 minute, Yemaia a dit :

Je veux les femmes, toutes les femmes. 

Et pouquoi pas !? ... Alors quelque chose de typique !  (Attila) 

J'avance doucement, les ronces s'agrippent à ma peau et la déchirent. Le sang perle doucement. Plus je m'enfonce dans cette obscurité, plus leurs visages s'estompent.

Ce n'est pas possible, pas ça, pas eux. Je dois sortir de là, mais je ne sais déjà plus où se trouve la sortie, les rejoindre...qui ? Je dois me souvenir, c'était important. J'avance s en savoir vers quoi.

Je sens leur souffle chaud autour de moi, ils sont plus nombreux qu avant. Comment est ce possible. Je les ai déjà combattu, ils ne peuvent pas être si nombreux.  Ses crocs s'enfoncent dans mon épaule, je tombe à genoux sous son poids, je devrais lutter mais je suis lasse et j ai froid et jai oublié pourquoi c'était important. J ai dû mal à respirer, il est si lourd, Leurs griffes m'ouvrent le ventre. Cette douleur, la fin m'avale, je sombre pendant qu ils me dévorent. Mais je sais que bien après leur festin, les plaies se refermeront et je me tiendrais debout encore. Il me faudra avancer. Un pas.