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La fin justifie-t-elle les moyens ?


Prosarko

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Membre, 53ans Posté(e)
guernica Membre 22 298 messages
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il y a 4 minutes, Yemaia a dit :

Le vol Fuerza Aérea Uruguaya 571, également appelé drame de la cordillère des Andes, était un vol assurant la liaison entre Montevideo en Uruguay et Santiago au Chili. Le 13 octobre 1972, l'appareil, un Fairchild FH-227 de la Force aérienne uruguayenne, s'écrase dans la cordillère des Andes dans le département argentin de Malargüe. Sur les 45 passagers et membres d'équipage, 17 meurent lors du crash ou dans les 24 heures après l'écrasement et 12 autres dans les deux mois suivants dont 8 dans une avalanche. Ayant appris grâce à une radio que les recherches avaient été abandonnées et isolés sans nourriture à 3 600 m d'altitude dans des conditions climatiques difficiles, les survivants se résolvent à manger les corps des passagers morts, préservés par le froid. Pour ainsi dire condamnés à se sauver par eux-mêmes, Fernando Parrado et Roberto Canessa, parviennent, au terme d'un périple de dix jours, à rejoindre une vallée et contacter un cavalier. Les 22 et 23 décembre, plus de deux mois après l'accident, les secours récupèrent finalement les 16 survivants

 

 

 

c'est un cas extrême, comme l'Holodomor, une famine extrême planifiée par l'URSS, qui a fait 5 millions de morts et a engendré des horreurs au niveau cannibalisme

un lien

https://www.geo.fr/histoire/grande-famine-en-ukraine-orchestree-par-staline-comment-la-presse-francaise-a-couvert-ou-non-lholodomor-205174

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il y a 2 minutes, guernica a dit :

c'est un cas extrême, comme l'Holodomor, une famine extrême planifiée par l'URSS, qui a fait 5 millions de morts et a engendré des horreurs au niveau cannibalisme

un lien

https://www.geo.fr/histoire/grande-famine-en-ukraine-orchestree-par-staline-comment-la-presse-francaise-a-couvert-ou-non-lholodomor-205174

On est dans le thème survie ou morale,. L'auteur dit on peut toujours éviter d'être hors moralité. Je dis non. La survie prime sur la morale pour certains. Et pour savoir de quoi on est capable il faut avoir eu faim, une faim obligée, subie pour avoir une idée du truc. 

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Les scientifiques, par exemple, c'est des savants fous, emmagasinant les données que leurs prédécesseurs leur ont légués, dans l'ignorance de la transmission, dans l'ignorance de l'évolution de la transmission, dans l'ignorance du vivant, dans l'ignorance de la vie, qui les animent, dans l'optimisation, ce sont des connaissances, au pire des béotiens, avec la prétention, leur meilleure amie, de tout connaître du monde, j'entends bien la teneur des propos tenus ici, en prend tout la mesure nécessaire, comme s'il en était de ma survie, assurément, cela dit, comment être en présence, dans un monde où règne en maîtresse de maison, l'absence de la présence, l'idée ne t'as t'elle jamais traversé, pourquoi l'énergie, ne s'obsurcit jamais, l'humanité peut s'assombrir, je dis l'humanité, parce que c'est par nature, oui, ils ont même oublié la nature qu'ils présentent au monde, ils parce que c'est des entités, sorties de nulle part, comme lors d'un film, posé entre un générique de début et de fin, pourtant, tout être vivant nait pur, sans en faire le reproche à qui voudrait l'entendre, sinon par quel moyen, l'humain pourrait réaliser la présence qu'il est, se réaliser, si ce n'est par l'obscurité, éclipsant la lumière, l'espace d'un instant, comme les nuages peuvent parfois cacher le soleil, c'est naturel, crois-tu que l'être humain pourrait toujours rayonner, est-ce que le soleil rayonne tout le temps, sur la planète, la nuit, tu en fait quoi, l'écosystème, tu en fais quoi, la phrase posée en intitulé, c'est bien de cela qu'il s'agit, vouloir à tout prix modifier l'écosystème, afin que le monde renvoi l'image que l'on voudrait percevoir, comme un oroboros, l'image d'un idéal, terrestre, car un idéal est toujours terrestre, et des idéaux, y'en a pleins, l'image rêvée doit donc apparaître comme dans un miroir, il y a les miroirs aux alouettes, il y a des miroirs aux hirondelles, paradoxe de la condition humaine, par lesquels l'on peut être amené à courir après des chimères, peut-être fuir les conséquences d'ideaux passés, dépassés, auquel cas, ne générant que frustrations, rage, colère, tristesse, là où se tapis insidieusement l'espoir, la dernière goutte du verre de l'alcoolique, car le manque est toujours physique, l'absence est toujours physique, quand bien même, tu joues les filles de l'air, le manque est omniprésent et omnipotent, c'est un vide abyssal qui t'anime, dépendant du monde que tu viens d'fuir, devenant tout d'un coup, merveilleux, merveilleux, mais tentaculaire, si jamais l'on y perçoit les plus grandes craintes, c'est à dire tout ce que l'on a fuit, tout ce que l'on ne voudra jamais être, alors l'on s'invecte, contre tout ce que l'on a renié pour ce monde d'idéaux, tout ce qui rappelle lâcheté, égoïsme, et tout l'toutim, et tout ce vers quoi l'on revient assurément, même si ce ne sont que des apparences, je m'adresse toujours à l'intelligence, cela n'est à priori, qu'une bouteille à la mer, vaste océan, que l'on peut appréhender de façon primitive, que l'on peut vouloir s'accaparer de façon primitive, comme si cela était possible, la perte d'un être né dans l'amour, c'est dévastateur, et effrayant pour celui qui s'en est allé, afin de ne plus jamais souffrir, un gouffre jamais possible à nourrir, toujours insatiable, toujours insatisfait, perfide, versatile ... La présence, ne transmet jamais rien pour l'humanité, l'humain se réalise, il ne transmet qu' une expérience humaine, des outils . 

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