La société

Qu’est-ce qui constitue une société ?

L’ironie de notre modèle de la société réside dans la différence entre l’intégration et l’appartenance. Pour commencer, sans le vouloir, lorsque tu viens au monde tu en es déjà intégré. C’est inévitable, tu n’en as pas conscience mais tu appartiens déjà à un groupe. Et ce groupe, t’accorde le droit de n’avoir aucune responsabilité envers eux du fait de ton manque d’expérience et de capacité. Pour revenir sur l’équipe de sport, prenons une équipe de basket (J’aime bien le basket) et bien… ça voudrait dire que tu peux intégrer l’équipe et disputer ton premier match sans avoir aucune connaissance du sport et on trouverait ça normal. Enfin, c’est normal.

Parlons de l’amour… Il est étudié de beaucoup de façon et est un concept qui est commun à tous les êtres humains. A l’instar de la peur, de l’envie, la jalousie, la fierté, la rancœur et bien d’autres sentiments… L’amour est la seule chose qui ressors de nos différences avec les animaux. Car l’amour n’est pas un sentiment. C’est un prétexte, un concept établi communément pour justifier les besoins sexuels et donc naturels de chacun. En effet, les pulsions sexuelles et cette volonté de se reproduire et une chose que l’homme a en commun avec l’animal. Les êtres humains, imbues d’eux-mêmes ne peuvent tolérer ses pulsions/instincts. Clairement, nous nous obligeons à manger à des heures définies, à dormir ou encore travailler aux mêmes heures. Bref, ce qu’on appelle « société » n’est que le concept fantasmatique de « vivre différemment, à l’opposé, de l’animal ». Au fond, lorsqu’on cherche à vivre à l’opposé de quelqu’un ou de quelque chose. Ce n’est pas qu’on le déteste ou le méprise, c’est qu’on l’envie. Peut-être qu’au fond l’Homme aimerait ne pas agir par instinct… Mais ce qui est sûr c’est que ça ne prouve aucunement que l’amour n’appartient pas au réel car il reste aussi proche du concept de haine que de fierté…

Vivre au crochet de la société, appartenant à la société ou encore à son opposé. Au fond celui qui se pense vivre au crochet de la société remercie chaque jour l’ensemble des personnes de lui donner un but, un objectif clair. En appartenant à la société chacun au loisir d’assouvir un plus grand nombre de désirs qu’il ne serait essentiel. Vivre à son opposé relève du complexe d’infériorité. Qui peut définir que vivre collectivement est une erreur. Nous nous sommes construits de manières à vivre communément et sommes voués par l’acte de perpétuation à rester proches. En clair, la pire maxime de l’humanité ne réside pas dans le fait de vivre collectivement pour assouvir plus de désirs. Cela réside dans le fait de pouvoir réfléchir et avoir des conclusions qui ne bouleversent pas notre vie sur le plan de la survie mais de l’intégrité commune. Bon nombre de personnes voient ici une certaine beauté, car oui le produit de la réflexion relève de bons nombres de choses merveilleuse, mais au fond cela n’apporte rien sur le plan commun mais bien personnel.

Prétendre faire des choix de vie à plusieurs ou seuls. Qu’importe. Personnes ne peut certifier que tu n’es pas conditionné dans tes décisions et si tu ne peux être sûr de cela comment te définir en tant qu’une unité sur le plan humain et au sein de notre société. Donc les choix ne sont pas le fruit d’une réflexion mais bien le concept de réflexion. La seule chose qui reste et qui définit un passage/une évolution : C’est le Temps. Ce concept qui explique les actes qui s’écoulent. Cette loi infinie de notre réalité qui s’écoule comme une grande cascade sans fin. Celui qui explique ces choix de vie par les décisions qu’il a prise, ce leurre. Les Actes ne sont que la justification d’une réflexion en lien avec le temps.

La société n’est donc que la vieille sitcom qui parle de la vie. Ce qui veux dire que la vie n’est qu’un long fleuve tranquille, apparemment.

De quelle société parle-t-on ? notre société occidentale ? pensez vous que les enfants aient la même place dans toutes les sociétés du monde et j'y inclue des tribus un peu partout dans le monde qui sont également des sociétés. Croyez vous que leur modèle, leurs codes soient identiques au notre ? croyez vous que toutes les sociétés du monde ont par exemple signé la charte des droits de l'enfant (puisque vous parliez de la place des enfants dans la société) pensez vous que les codes soient les mêmes lorsqu'une société organise des matchs de foot de plusieurs milliards et une tribu qui cherche à survivre contre la destruction de son environnement ? j'en doute.

Si on prend la définition sociale de "société" : Le terme société, en sciences sociales, désigne un ensemble de personnes qui partagent des normes, des comportements et une culture, et qui interagissent en coopération pour former des groupes sociaux ou une communauté.  (wiki)

On retrouve un modèle approchant chez de nombreux animaux (fourmis, abeilles, éléphants.....) . Ces regroupements ont des hiérarchies, des missions, des fonctionnements de groupes, certains animaux sont même monogames. L'Homme n'est pas si différent des animaux, la création des sociétés n'est à mon sens qu'un instinct de plus. 

Donc les choix ne sont pas le fruit d’une réflexion mais bien le concept de réflexion.  Jolie phrase mais je la comprends pas. En quoi le choix est un concept d'une capacité cognitive ? 

Celui qui explique ces choix de vie par les décisions qu’il a prise, ce leurre.

Quelle différence faites-vous entre choix de vie et décisions ? 

Les Actes ne sont que la justification d’une réflexion en lien avec le temps.

Définissez ce que vous appelez Actes ?