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Journalistes violentés, persécutés et tués dans le monde


Invité Lowy..

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
Posté(e)
Il y a 12 heures, DroitDeRéponse a dit :

Ou une menace de viol ?

L’assassinat ou le viol dépend ensuite beaucoup des circonstances , effet de groupe , violence qui ne sait plus s’arrêter etc ... 

 

Les gens comme toi me font dégueuler mon petit déjeuner. Vous êtes le problème dans ce pays, les gens pour qui l'inversion des valeurs est le pinacle de la vertu.

Donc dans le monde réel, celui auquel aspirent les humains présents dans ce pays on a un classement d'ordre de gravité des faits.

- Les paroles.

- Les dégradations et les vols qui appartiennent au domaine des actions et pas des mots.

- Les violences volontaires.

- Les mises à mort.

 

Et toi, tu nous fais l'habituel coup du PS et de SOS racisme, tu nous mets les paroles au rayon des mises à mort, les vols au rayon des paroles et grâce à toi le vol devient bénin tandis que tu harcèles les parleurs comme des assassins. Quand je vois ça je comprends ceux qui ont ouvert des camps de rééducation par le travail.

 

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Invité Lowy..
Invités, Posté(e)
Invité Lowy..
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Il y a 11 heures, Globure a dit :

«Troisième fois de la soirée par le même policier. Pris à la gorge la première fois, violemment projeté la seconde fois… C’est vraiment dur ce soir…» Alors qu’il couvrait l’évacuation du camp de migrants place de la République par les forces de l’ordre, le journaliste du média en ligne Brut Rémy Buisine a été violemment pris à partie par des policiers. Dans une vidéo filmée par Nicolas Mayart, journaliste du Média, on voit Buisine coincé par un policier contre un mur du cinéma Luminor Hôtel de ville, celui-ci lui écrasant la jambe avec son pied. «Ça a dérapé totalement, a-t-il relaté mardi matin sur Europe 1. Nous, en tant que journalistes, on a été entravés à de nombreuses reprises, on a reçu des coups, on a été bousculés.» Son employeur a indiqué mardi avoir pris contact avec la préfecture de police et le ministère de l’Intérieur pour «demander des explications». Le parquet a annoncé l’ouverture d’une enquête pour des «violences par personne dépositaire de l’autorité publique», confiée à l’IGPN.

"Multiplication des agressions de journalistes par la police – Les journalistes sont aussi victimes des violences policières. À l’occasion des manifestations des gilets jaunes, de nombreux journalistes sont agressés et parfois blessés par la police. Par exemple le samedi 8 décembre 2018, « deux photographes du Parisien ont été touchés par des tirs de flash-ball sur les Champs-Elysées, l’un à la nuque et l’autre au genou » rapporte le quotidien. Et de citer deux autres cas le même jour : « un troisième photographe, d’un autre titre de presse cette fois, avait été évacué plus tôt dans la matinée. Et un quatrième journaliste, de l’agence de presse A2PRL, a publié sur Twitter une photo d’une blessure due, elle aussi, à un tir de flash-ball. »

Lors de la même manifestation du 8 décembre, Le Journal du dimanche relate lui aussi des violences policières contre ses journalistes : l’un de ses photographes a ainsi, d’après le journal, été « frappé à deux reprises par un CRS lors d’une échauffourée entre forces de l’ordre et gilets jaunes ». Un journaliste d’Explicite rapporte quant à lui avoir été victime d’un tir de flashball dans le dos, tandis qu’un journaliste de RT témoigne avoir été « blessé au visage par un tir de police. » De son côté, l’AFP relate qu’au Puy-en-Velay, « un photographe de l’AFP a témoigné avoir été légèrement touché au bras par un tir tendu de grenade lacrymogène, alors qu’il s’avançait, absolument seul, vers un cordon des forces de l’ordre. »

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Un nombre record de journalistes ont été emprisonnés dans le monde en raison de leur travail en 2020, les pays autoritaires ayant arrêté de nombreux journalistes qui couvraient le COVID-19 ou l’instabilité politique. En pleine pandémie, les gouvernements ont retardé les procès, restreint les visites et ignoré le risque sanitaire accru en prison ; au moins deux journalistes sont morts après avoir contracté la maladie en détention.

Dans son enquête mondiale annuelle, le Comité pour la protection des journalistes a recensé au moins 274 journalistes emprisonnés à cause de leur travail au 1er décembre 2020, dépassant ainsi le record de 272 atteint en 2016. La Chine, qui a arrêté plusieurs journalistes suite à leur couverture de la pandémie, a été le pire geôlier au monde pour la deuxième année consécutive. Elle est suivie par la Turquie, qui continue de juger des journalistes en liberté conditionnelle et d’en arrêter de nouveaux ; par l’Égypte, qui n’a pas ménagé ses efforts pour maintenir en détention des journalistes n’ayant été reconnus coupables d’aucun crime ; et par l’Arabie saoudite. Parmi les pays dans lesquels le nombre de journalistes emprisonnés a augmenté de manière significative se trouvent la Biélorussie, où des manifestations de masse ont eu lieu suite à la réélection contestée du président de longue date, et l’Éthiopie, où les troubles politiques ont dégénéré en conflit armé.

https://cpj.org/fr/reports/2020/12/nombre-record-de-journalistes-emprisonnes-dans-le-monde/

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Pham Doan Trang a été arrêtée dans la soirée du 6 octobre 2020 à son domicile de Ho Chi Minh City. Dans un premier temps placée en détention au secret, elle est inculpée pour avoir « produit, conservé et diffusé des informations, des contenus, des objets hostiles à la République socialiste du Vietnam » (article 117 du Code pénal de 2015). Elle risque jusqu’à 20 ans de prison.

Journaliste de formation, Pham Doan Trang a dans un premier temps travaillé au sein de médias officiels vietnamiens en tentant de couvrir des sujets généralement visés par la censure. Puis, elle s’engage de plus en plus publiquement en faveur des droits humains et de l’environnement sur Internet, notamment sur Facebook, et lors de manifestations. Elle écrit plusieurs ouvrages sur la politique, la démocratie et les droits humains qui doivent être publiés en dehors des circuits traditionnels pour éviter la censure. Pham Doan Trang est également à l’origine de Luat Khoa Tap Chi, un site d’informations sur la politique et les droits humains au Vietnam, et la fondatrice de l’association de défense de l’environnement Green Tree. 

https://www.acatfrance.fr/actualite/la-journaliste-pham-doan-trang-risque-la-torture-et-20-ans-de-prison-

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