crise existentielle

il y a 12 minutes, Colibri* a dit :

Il le semble que la souffrance sera proportionnelle à l''écart entre la vie que l'on mène et ce a quoi on aspire au fond de nous.

Si l'aspiration en question n'est pas rapidement intelligible, qu'elle reste informulée, peut-être. Mais je pense qu'il existe des personnes capables de savoir assez vite ce qui ne convient pas dans leur vie, puis de commencer ensuite à y introduire le changement désiré sans pour autant que ce soit chaotique. Dans ce cas, il me semble que la souffrance devrait être soit réduite, soit inexistante.

il y a 38 minutes, hell-spawn a dit :

Et qu'est ce qui motive une remise en question, sinon la souffrance ?

Une crise sans souffrance: c'te blague !

Heu faut relativiser quand même, tu peux très bien te questionner quant a ta vie et l'orientation quelle prend sans que ce soit une souffrance, enfin je peux rien affirmer suis pas psy. 

Pas nécessairement crise mais les vécus et accidents ne sont pas les mêmes pour tous, la résilience, les traumas, les fêlures.

Nous ne sommes pas égaux, n'avons pas les mêmes socles de stabilité émotionnelle pour traverser les routes sinueuses.