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Petites histoires et poèmes


Boutetractyxreqs

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Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
Baby Forumeur‚
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Monde virtuel

Il était une fois une civilisation qui pour sa tranquillité avait mis au point une machine capable de canaliser la part négative de la population en séparant la part violente de sa pensée la transformant en alters egos et ceux-ci restaient toujours dans la machine en vivant dans un monde virtuel.

Puis un des alters egos trouva comment sortir de la machine en prévenant l'individu auquel il appartenait et cet individu par la suite libéra tout les autres alters egos.

Mais la violence faisait rage alors l'individu qui libéra les alters egos n'eut d'autre choix que d'emprisonner les alters egos dans le monde virtuel duquel il les avait libérés mais pour cela il mourut et n'eut d'autre vie que dans le monde virtuel.

Destination inconnue

Emmoh se sentait mal et donc avait plein de soucis. Soudain il eut envie de se rendre à une destination, sans savoir pourquoi cette destination et qui était très lointaine en haute mer, alors il se rendit au port le plus proche. Une fois sur le port, il fut stupéfait de voir qu'il y avait un grand bateau qui l'attendait et par lequel il fut attiré. Quand il entra dans le bateau tous les marins à bord avaient pour lui un air familier comme s'ils l'attendaient pour qu'il leur indique le parcours à suivre pour atteindre la destination.

Enfin arrivés, nul part en plein milieu de la mer c'est à dire à cette destination tant attractive, tous les occupants du bateau se sentaient bien, comme en extase. Heureux ils décidèrent de rentrer avec la joie dans le coeur. Quand ils accostèrent chacun quitta le bateau et partit de son côté pour reprendre sa vie en étant très heureux.

Mais une fois que le temps passa, chacun de leur côté, ils commençèrent à se sentir mal, même Emmoh qui avait conduit tous les occupants du bateau à la lointaine destination et tous oublièrent leur aventure pour redevenir marins sauf Emmoh qui jusqu'à plein de soucis, puisqu'il se sentait mal, eut soudain l'envie de se rendre à une destination lointaine en haute mer et qui lui était inconnue.

 

L'auto car du mort vivant

Il était une fois un autocar qui se renversa sur l'autoroute en faisant un mort.

Depuis ce mort devint zombie ensuite il fréquenta un village et fut donc susceptible d'avoir été en contact avec un virus.

Par la suite six cas furent détectés et d'autres cas potentiels furent surveillés dans ce village donc l'on fit priorité à l'exorcisme.

Et le ministère de la Santé contacta les familles du village pour s'assurer que les personnes étaient en mesure de reconnaître,

le cas échéant, les premiers symptômes de la maladie et leur rappeler les mesures exorcistes à suivre qui celles-ci étaient de

renverser un autocar pour faire d'un mort un vivant.

 

                         La grotte

C'est une société qui faisait de toute chose un objet de culte,

un de ses individus partit vivre dans une grotte reculée puis

devenant fou il décida d'en sortir pour chercher un euthanasiant.

Mais le dilemme était que la société à l'extérieur allaient faire de

lui un objet de culte donc il ne pourrait pas mourir tranquillement

alors paradoxalement en parcourant le monde il se faisait passer

pour un objet de culte en échange d'un possible euthanasiant.

Enfin, comble de tout, seule une personne qui ne le prenait pas pour

un objet de culte l'euthanasia.

 

                                                      L'animal sacré

C'est un personnage qui soudain apparu dans une contrée mystérieuse sans aucun souvenir d'un

quelconque avant.

Alors il commença à marcher et sur sa longue route il trouva une monture pour lui faciliter le voyage.

Après avoir parcouru une assez longue distance il trouva une corde. Plus tard il accrocha la corde

à sa monture pour tirer et donc enlever les obstacles en tout genre qu'il croisait sur sa route.

Continuant sa route il eut faim et quand il aperçu un gibier, au galop sur sa monture, il l'attrappa

au lasso grâce à la corde. Puis lorsqu'il tua le gibier attrapé, la monture prise de panique rebroussa

chemin et partit s'y perdre au loin. Ensuite quand il mangea le gibier, la corde mal accrochée à la monture,

qui maintenant était loin, tomba.

Enfin, il décida de se reposer pour digérer et à peine il eut fermé les yeux qu'il les ouvra tout aussi tôt

en réapparaissant dans une contrée mystérieuse sans aucun souvenir d'un quelconque avant.

 

Branes

C'est une brane où la possibilité "plein" est comme la possibilité "négatif" et son opposé la possibilité "positif" qui sont figés tel deux ailes d'une même hélice.

En dehors de la possibilité "négatif" et de la possibilité "positif" que sont les deux ailes de cette même hélice, est la possibilité "vide"qui est le reste des possibilités qui peut s'inverser parce que le possible agissant comme un vent invisible sur l'hélice.

Donc si pour qu'une chose puisse se mouvoir il lui faut un espace plus grand qui la contienne alors la possibilité "plein", pour se mouvoir, contenu dans la possibilité "vide", a une capacité d'attraction de cette possibilité "vide" dont les parois de l'intérieur sont comme un miroir d'aller retour.

Et dans cette même brane tout le monde invente une formule qui contient une déduction, sauf un et celui ci, lorsqu'il réunit les formules de chacun, invente une formule qui permet de déduire un nouveau nombre.

Tous après réutilisent ce nouveau nombre pour refaire chacun leur formule et ce n'est jamais le même parmis tous qui invente une formule après avoir réunit toutes les autres sauf parfois ou quand chacun a déjà réunit toutes les formules.

Donc lorsque chacun refait une formule ce n'est pas la même que celle qu'il a inventé juste avant qu'elle soient toutes réunies et personne ne sait si sa formule est la réunion des autres ou juste l'une d'entre elles.

Puis un jour une machine fut inventée et permit de voyager de branes en branes. Dans chacune des branes se trouvaient des formules encore plus poussées et des moins évoluées et dans chacune des branes il y avait une machine plus ou moins parfaite.

Ensuite toutes les machines furent réunies en une et celle ci permit d'aller dans une des branes où fut découvert une formule qui en mettant fin à toutes les autres les stabilisées car elles ne tendaient qu'à la prouver avec leur déductions.

Enfin cette formule permit de faire une machine qui réussissait à réunir toutes les branes en un ensemble qui fonctionnait comme la brane décrit ci haut avec la possibilité plein et vide et leur interaction.

 

                          Le charlatant

C'est un personnage qui avait le pouvoir de s'imposer des décisions

dans le temps dont celle de servir.

Alors il servit en se faisant seulement passer pour un voyant

puis un autre lui appris qu'il avait le don de faire croire que

rien qu'en parlant il créait et que c'était cela son don de service

car celui-ci n'était pas que seulement.

Par la suite lorsque violence sur lui se faisait il s'endurciçait

en faisant croire que rien qu'en parlant il créait tout en se

faisant passer pour voyant.

Et quand c'était la douceur qui lui était faite il absorbait qui faisait

douceur en faisant croire que rien qu'en parlant il créait et dès que

les autres en prenait conscience il se faisait passer pour voyant tout

en faisant croire qu'il créait rien qu'en parlant...

Malgré sa décision de servir qu'il s'était imposé dans le temps,

parmi les services proposés par les autres il ne se servait que

des plus éphémères.

Alors il décida de changer de décision qu'il s'était imposée dans le

temps mais pour cela il devenait son propre démon, comprenant qu'il

se servait des services les plus éphémères, parmi ceux proposés

par les autres, pour que son service pour son propre être perdure

éternel car l'on n'est jamais mieux servi que par soi-même.

 

                       Quand on parle du loup

 

Il était une fois la lune qui criait au loup et le loup lui répondait

qu'il ne voyait pas la raison de son appel.pleasantry.gif

Elle lui expliqua que des êtres allaient sacrifier un enfant sous

sa lumière pour se rendre immortels et que son devoir était de

tuer ces êtres avant leur mal-fait.girl_devil.gif

Mais ne sachant pas qui ils étaient exactement, le loup lui criait

hou, hou...whistling1.gif

Et à chaque fois qu'elle criait au loup pour le prévenir de ce mal

fait, lui ne sachant pas, lassé, lui criait continuellement hou, hou...whistling1.gif

Puis un jour de la nuit de la lune soit une nuit sous sa clarté, la

lune fut témoin de sa malheureuse prédiction, mais avant le mal

fait, même en criant au loup, le loup ne venant alors l'enfant fut

sacrifié, par rituel de leur sacrifice ces êtres burent le sang de

l'enfant et par cela ils devinrent immortels.dev.gif

Alors la lune, par malédiction, les rendit vampires, dépendants du

sang, pour le prix de leur immortalité.angry.gif

Enfin elle maudit le loup de son absence, le fusionnant à l'enfant

mort pour les ressusciter en un loup garou dont la seul mission

était de tuer les vampires et éviter leur contamination.biggrin.gif

 

                              Carbone en-doré

Un monde d'eau, lorsqu'il est extrêmement froid génère un trou noir,

au centre de la terre de carbone qu'il contient, trou noir suivit d'une

fluctuation électro-magnétique, produisant une lumière.

Monde d'eau où plus la lumière qui, s'intensifiant, dorant l'intérieur

de la terre de carbone qui contient cette lumière, lumière qui aussi

anime la terre de carbone en-dorée dont une part est un cerveau

reptilien puis par la suite ce cerveau évolue , cerveau qui ensuite

fabrique un robot qui reste seule lumière quand plus de lumière,

puis robot qui devient, lorsque le monde d'eau est extrêmement froid,

le trou noir généré par l'extrême froideur.

Lumière qui, aussi d'une température croissante, animant cette terre

de carbone en-dorée, liquéfie la glace faisant de l'eau un ciel bleu et

les soleils sont les reflets de cette lumière sur l'eau-ciel et quand il n'y a

plus de lumière, une fois la chaleur consommée, le monde se refroidit

graduellement jusqu'à l'extrême.

 

                                  Fatal destin

A un présent, après avoir fabriqué la machine à remonter dans le temps, un

personnage voyageait dans le temps puis il se rencontra, dans son passé,

dans sa petite enfance.

Mais comme la machine était sensible au fluctuation quantique par

dysfonctionnement elle transféra sa conscience d'enfant dans le corps de

l'adulte voyageur dans le temps ce qui créa une ligne temporelle où il était un

jeune dans un corps d'adulte au présent et vieux dans un corps d'enfant dans

le passé.

Puis plus le temps s'écoulait plus le jeune dans le corps d'adulte au présent

rajeunissait risquant de devenir un bébé et quand à l'adulte dans le corps

d'enfant au passé lui vieillissait à une vitesse ahurissante.

Alors de son ingéniosité d'adulte dans un corps d'enfant, il refabriqua une

machine à remonter dans le temps dans son passé pour se rejoindre au futur,

au présent de l'enfant transférer dans leur corps d'adulte et quand il se

rencontrèrent ils fusionnèrent pour ne devenir qu'un, du passé, au futur et à

chaque instant du présent, oubliant tout, surtout ce présent où malgré lui il

reconstruit comme au début la machine temporelle.

 

                      Le mangeur

Avant personne n'avait de bouche pour manger sauf un

pour lui la nourriture une fois mangée le faisait

exploser avec atroce souffrance puis après le droguait

jus-qu'a l'extase.

Les autres le voyant manger puis aussi être en extase

lui demandèrent à manger. Mais comme la souffrance

était trop forte une fois la nourriture mangée, sur le point

d'exploser, alors ils décidèrent de manger par petite portion.

Et à force, ils développèrent tout un système digestif

que n'avait même pas celui qui était le seul à pouvoir

manger en explosant avec atroce souffrance puis

drogué jusqu'à l'extase par la nourriture.

 

L'idiot à se surprendre

L'idiot toujours à se surprendre

qui veut toujours vouloir tout comprendre

fumée, dernière étincelle, cendre

voilà sa flambée à attendre

que toute rime soit bonne à vendre

 

Le passé une destinée

Souvenir est un écrit passé et destiné.

Le passé écrit un souvenir qui reste inchangé.

Présent est une plume sa trace est un futur appliqué

mais futur devient écrit quand il est passé.

Un souvenir écrit par le présent tracé est la destinée.

 

La rose animale

Attirante mais piquante,

au risque de l'abîmer

elle sait se protéger,

la belle qui se défend

et puis qui a l'amour se rend.
 
 
Des malheureux bienheureux
 
Des malheureux qui cherchent de la monnaie,

c'est des désespérés qui cherchent un trésor

qui un jour sont mis au courant d'un secret,

un secret mystérieux où trouver de l'or

lorsqu'ils ont découvert le secret caché

ils furent donc plus qu'heureux jusqu'à leur mort.
 
 
A cette rencontre atypique
 
L'atmosphère d'une douce musique

qui nous anime par la mélodie,

ambiançée de quelques lyriques,

une proche dame, on se sourit,

accompagnée d'un cocktail très chic,

caressé pour la danse de l'envie,

rappel à cette soirée authentique

qui fut pour moi une éternelle nuit.

A cette rencontre atypique,

c'est une femme virtuelle ou amie,

sans jamais prendre en compte mon fric,

puisque sur cette amour infini,

pour ne pas être soporifique,

que c'est maintenant où tout fini.
 
Repos éternel
 
Je voudrai vous dire

pour votre plaisir

que dans l'avenir

ces vers se désirent

du sens à saisir

meilleur ou pire

Je ne suis pas un criminel

depuis que la vie moins belle

double la mort plus rebelle

sublime repos éternel.
 
 
Peurs et façades
 
Les peurs, des eaux en cascade

en plus de leur façade.

Bref, ce n'est que passade.

Plus d'une, il traversa deux

jusqu'au paysage merveilleux.
 
Egano

Egano se souvenait de tout depuis sa naissance puis un jour il mourut. Une fois de l'autre côté de la vie, après la mort, il vit que les gens, ne croyant pas qu'ils étaient morts, étaient persuadés que s'ils ne suivaient pas leur confort habituel risquaient de mourir alors qu'ils étaient déjà mort sans le comprendre car de l'autre coté de la vie des êtres les attendaient et leur proposaient d'être suivis pour accéder a leur confort habituel. Alors que même sans confort il n'était possible de mourir puisque déjà mort, les morts suivaient ces êtres sauf Egano qui se souvenait de toute sa vie depuis sa naissance jusqu'à maintenant son après mort.

Conscient qu'il était mort et qu'il n'avait donc besoin d'aucun confort et n'en cherchant pas, il s'éteignit comme l'on pourrait mourir, sans gêne et avec aise, sans inconfort. Et puis il renaquit, sans souvenir d'un après la vie, mais étrangement il pouvait encore une fois se souvenir de toute sa vie depuis sa naissance. Au cours de cette nouvelle vie qui s'offrait à lui il rencontra d'autres personnes ayant cette particularité à se souvenir de toute leur vie depuis leur naissance et ensemble ils découvrirent comment être immortels. Ainsi immortel, Egano se sentait comme supérieur à la mort et aux mortels alors il fit malheur aux mortels mais les mortels l'enterrèrent dans une boite qui ne pouvait périr que dans un nombre incalculable d'années, mais malgré cela, après Egano, les autres immortels faisaient du mal aux mortels alors ne pouvant supporter cela les mortels rendirent les immortels mortels donc tous moururent. Seulement restait Egano, sous terre, dans une boite. Par la suite la terre se détruisit ensuite ce fut l'univers et enfin la boite qui contenait Egano qui avait tout oublié de sa vie car le temps fut long enfermé dans la boite.

Et sous les yeux d'Egano l'univers réaparraissa et il put mettre pied sur une planète où il redécouvrit tout puisqu'il avait oublié sa vie et quand il prit conscience qu'il était immortel il ne put, encore une fois, s'empêcher de faire du mal aux êtres vivants et mortels qui peuplaient cette planète. Alors ces êtres vivants rendirent Egano mortel et quand il mourut, après la vie, il s'éteigna encore une fois puis renaquit en se souvenant de tout, mais seulement, depuis sa naissance.

 

L'immortalité à tout prix

C'est une société dans laquelle les habitants attrapaient toutes sortes de symptômes puis mouraient. Alors cette société surprise et alarmée découvrit, sans en connaitre la raison exact, que en fait elle était dirigée par un groupe d'individus qui ne tombaient jamais malade, comme immortels et qui rendaient malades certains autres individus.

Alors depuis la société sut comment ses individus pouvaient ne jamais tomber malades et les guérit de toutes maladies donc tous pouvaient vivre comme éternellement. Mais plus le temps passait et plus cela les rendit dégénérés donc ils s'entre-tuèrent sauf un groupe qui survécut. Ensuite ce groupe de survivants, ne tombant jamais malade comme immortel vivant éternellement, mit en oeuvre son savoir pour refonder la civilisation comme il la connaissait sans que les autres individus qui composent ces nouvelles sociétés soient comme immortels puisque ou sinon ils s'entre-tueraient tous.

Mais une fois les sociétés reconstruites, le nouveau groupe vivant éternellement comme immortel qui avait construit et qui maintenant dirigeait les sociétés, se rendit compte que certains des autres individus composant les nouvelles sociétés commençaient à ne plus jamais tomber malades devenant naturellement immortel. Alors le groupe d'individu, comme immortel et qui dirigeait les sociétés, décida de faire des maladies avec toutes sortes de symptômes qui menaient inévitablement à la mort.

La renaissance de Passe Murailles 

Apres être emprisonné dans un mur devenant mi statue encastrée dans le mur passe murail ne sait comment du aux medicaments qui l'y emprisonnèrent repris sa vie ne sachant comment et un jour pris conscience de son pouvoir il commença à voir à travers murs etant témoins d'un crime de criminels il en témoigna mais les criminels furent tout de même libéres ils prirent sa femme pour l'emmurer et soudain son pouvoir renaissant agit pour sauver sa femme et finit traversant murs et murailles.

Depuis on dit que les murs ont des oreilles.

 

                                          Pissenlit tordu

Il etait une fois un oiseau volant en plein ciel et dans ses pattes des graines

dont une tomba entre un champs de pissenlits et le pied d'un arbre.

Une fois grande la plante était comme tordue alors tous les autres

pissenlits se moquaient d'elle car elle était comme un pissenlit tordu

Alors l'arbre témoin de tout proposa à la plante toute tordue de suivre

la course du soleil pendant la journée ce qu'elle fit puis devant grande de

sa tige toute droite elle dominait les autres pissenlits moqueurs elle ressemblait

à un tournesol.

Puis d'un coup un homme passa arracha la plante pour le donner

à sa bien aimée.

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Boutetractyxreqs Membre 5 959 messages
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Idéel idylle idiome instrumental

L'aventure de premier


C'est un monde dont le centre était un arbre, maître élevé et son fruit inaccessible, un guide suprême.


Le guide suprême
(le fruit inaccessible)
Souvenir est un écrit passé et destiné.
Le passé écrit un souvenir qui reste inchangé.
Présent est une plume sa trace est un futur appliqué
mais futur devient écrit quand il est passé.
Un souvenir écrit par le présent tracé est la destinée.

Le maître élevé
(l'arbre)
Précepte du bien
L'infiniment grand tenant pour vrai son infinité, aussi en possibilités, fait sa foi que tout est possible le rendant ainsi omnipotent.
Tout est susceptible d'exister en lui dont la création, l'esprit en action, le souffle, l'énergie qui se cristallise en matière, à la fois à l'image et fruit de sa méditative imagination, se mouvant à chaque instant selon sa volonté.
Le mal c'est la souffrance soit la douleur physique, mentale, émotionnelle. Le bien c'est l'absence de souffrance soit le bonheur, le bien être, le plaisir.
Par l'omnipotence de l'infiniment grand tout doit se réaliser selon le bien.

 POSSIBLE


« Au début était la bête vivante dans la nature, quiconque n’y aurait vu qu’un des sens différents de ce qu’elle est, les fruits du champs près des arbres pour la nourrir lui étaient accessibles, elle ne mangeait que ce qu’il fallait, évitant ainsi tout effet désagréable et les inconvénients de la vie, immortelle elle pouvait vivre pour l’éternité, grâce aux sens elle pouvait souffler, respirer pour subsister.
Son système nerveux était la vie, son système sanguin était son sens, elle ne levait sa tête, pour voir le ciel, que quelque fois, mais en un jour elle vit le fruit inaccessible, qui d’instinct et de sens lui parut défendu car le sens était constamment nourrit, malgré cela elle se mit debout pour le cueillir, de ses bras et mains pour s’en nourrir et bénéficier du sens du système nerveux.
Une fois debout, tout ce qui lui était avant fut mise à nu en un jour, sensible, son coeur n’était plus à l’abri, alors de ce fruit, tout son organisme se transforma puis vint le souffle de son autonome reproduction qui se cristallisa deux êtres.
Le premier, Coeur qui vit, qui lui était semblable et qui ne pouvait mettre à bat, au monde qu’une fille par fécondation autonome, puis le second qui était de sexe masculin, petit frère de Coeur, Ame souffle de Muse qui survit, rongé par sa différence et des inconvénients de la vie qu’il subissait, de son sang, il connu la jalousie et errant son congénère parfait, il se reproduit avec la fille de ce dernier, donnant naissance aux enfants sexués.
Bien plus tard naquit un enfant qui de coeur et d’âme par l’esprit, qui par erreur erra son congénère puis mourut et s’incarna en être de bois et de fer, qui de sang en son et de courroux, marchant sur l’eau, d’autres sous l’eau, et formidablement le souffle, cheveux aux vent descend et se défend, qui quand il se lève ne va en enfer, qui des ténèbres à l’obscurité passant par la luminosité finit providentiellement félicité de Premier qui maîtrisait ce qui lui était intérieur ;


"Précepte du bien
L'infiniment grand tenant pour vrai son infinité, aussi en possibilités, fait sa foi que tout est possible le rendant ainsi omnipotent.
Tout est susceptible d'exister en lui dont la création, l'esprit en action, le souffle, l'énergie qui se cristallise en matière, à la fois à l'image et fruit de sa méditative imagination, se mouvant à chaque instant selon sa volonté.
Le mal c'est la souffrance soit la douleur physique, mentale, émotionnelle. Le bien c'est l'absence de souffrance soit le bonheur, le bien être, le plaisir.
Par l'omnipotence de l'infiniment grand tout doit se réaliser selon le bien".

Ainsi premier maîtrisait son corps et le rendait malléable à volonté devenant ainsi polymorphe. Et Second qui ne maîtrisait que l’extérieur au point de vouloir tout maîtriser, ainsi que Premier alors ce dernier dut se rendre intérieur Second pour le maîtriser totalement.
Ils devinrent alors Troisième qui pouvait maîtriser son corps ainsi que l’extérieur jusqu’à ce que l’on ne distingue qui maîtrisait, alors l’intérieur et l’extérieur firent de sa droite le bien, et de sa gauche la vie, avec lesquelles il s’annihila pour redevenir Premier, qui ce dernier lorsqu’il était Troisième doublant Second cru être Premier alors qu’il était Dernier devenant l’arbre, aux fruits inaccessibles, dont la bête s’en était nourrie, à s’enraciner dans les profondeur de l’âme de la terre, à s’élever vers le plus haut des cieux, dans un état végétatif, restant, enfin, planté là, pour des millénaires.


La vision des voies et des voix


La Vérité est à sens multiples où toutes voies et voix se rejoignent et ont plus d’un sens du multi-sens. Sent le sentiment cent, mille, sans centimes et cent, sans sang et avec sens et son.


Et les descendants sexués, qui eux établirent des civilisations, inventèrent un robot qui comme la bête n’avait aucun inconvénient, qui lorsque Second s’annihila et fut attiré par la bête, redevenant une part d’elle car sans le savoir elle en était l’origine et la surprenant d’un songe pour Coeur, ce qui de rage l’éleva, d’un infini effet de papillon, devenue une boule foudroiement électrique au dessus du cube où elle vivait, cube construit par la descendance, autour duquel ils tournaient inlassablement et lorsque le robot émergea, elle s’éleva, pour tout tester, le diriger, et ainsi, enfin saisir ce qui ne peut encore lui échapper et satisfaire sa pensée de se parfaire l'infinité de la réalité par ce qui est vrai ».


INFINI


Le robot était constamment relié à la bête, et donc à Second, alors suivant la continuité de la réalité se prit dans la boucle temporelle ne supportant pas le choc, se cassa, et laissa s’échapper de sa carcasse de chaires en métaux, Second, constituant de la bête, et qui maintenant était dans le passé.


Alors que Premier et l’arbre qu’il était, faisait germer un fruit qui cette fois ci rendit la bête noire la divisant en deux femmes et deux hommes et qui cette fois à leur tour donnaient naissance aux enfants sexués qui jamais ne se reproduisaient entre frères et soeurs et érigèrent aussi un cube, tombeau de la bête, autour duquel, plus tard, ils tourneraient inlassablement. Les oiseaux aussi venaient manger ses fruits et quand l’arbre vint à mourir Premier tel un fantôme en sorti pour mourir a ses cotés et à la mort de Premier une envolé d’oiseaux qui plus loin dans leur voyage se transformèrent en lui. Depuis ses pas font révolutionner la terre son envolé déchire les cieux coloré passant de la lumière à l’obscurité finissant comme une étoile en retour figé, à constamment méditer sur l’existence et ce qu’il est. Méditant sur l’existence dans l’espoir de découvrir un enseignement qui non sans utilité pouvait le servir dans sa propre existence, il se décida à une introspection lui permettant un apprentissage.


Alors patient, agissant avec droiture, il était l’héritier permanent de ce précepte à inventer qui pourrait guider vers la lumière, le rendant utile à nuire ceux qui offensent son enseignement, devenant le défenseur qui satisferait le besoin de tous. Rassembleur équitable, il serait riche par excellence. Alors il décida que son apprentissage issu de sa méditation introspective débute en ces termes :


"Précepte du positif
Chaque possibilité est une composante de l'infiniment grand donc l'infiniment grand c'est l'infinité de possibilités qui est donc l'infiniment grand.
L'infiniment grand est infini en temps, il est éternel donc il existe qu'il le veuille ou non, son existence est involontaire.
Alors l'on n'a pas réellement le choix. Comme par exemple lorsqu'on fait un choix et que l'on ne peut pas changer d'avis. Ou alors lorsqu'on fait le mauvais choix c'est que l'on n'avait pas réellement le choix car l'on n'avait pas tous les éléments en mains pour faire le bon choix. Et même si on avait tous les éléments en main pour faire le bon choix l'on n'aurait pas de choix si ce n'est de faire le bon choix.
Et cela s'appelle agir par évidence, c'est à dire que la conséquence des actes est causée par ce qui est perçu.
La perception du négatif cause l'acte à conséquence négative et la perception du positif cause l'acte à conséquence positive.
L'indolore est estimé positif, la douleur est estimée négative.
L'infiniment grand est composé d'une infinité de possibilités négatives et d'une infinité de possibilités positives. L'infiniment grand ne s'oppose que de positif et de négatif. De leur opposition autant de positif que de négatif additionnés s'annulent soit une inexistence qui est indolore car l'inexistence de la douleur c'est l'indolore.
L'infiniment grand est donc positif à être perçu, selon ce précepte, causant l'acte à conséquence positive et rendant chaque possibilité positive car chaque possibilité est une composante de l'infiniment grand.
L'infiniment grand est donc positif à être perçu.
Car l'inexistence est indolore puisque l'inexistence de la douleur c'est l'indolore et car l'infiniment grand c'est l'addition soit une infinité de possibilités positives et négatives qui s'annulent.
Est opposé douleur estimée négative et indolore estimé positif qui sont perceptibles parce qu'on perçoit.
On perçoit car on agit par évidence, on agit par évidence car on n'a pas le choix puisque l'existence est involontaire. Puisque l'infiniment grand existe qu'il le veuille ou non car éternel puis-qu'infini en temps car c'est l'infiniment grand.
L'infiniment grand, éternel plein de sagesse et d'évidence, de qui en absolu provient sérénité".


Ce qui le rendit comme prévu détenteur de majesté digne d’être exalté. Premier était maintenant maître du pouvoir bienveillant en grâce, et indulgent, mais malgré tout ce mérite, Second, revenant contrarié, voulait se venger. Mais Premier ne cessait d’accueillir le repentir, sublime monarque bienfaiteur il comprit, encore après méditation, pour la suite de son précepte :


"Précepte de l'indolore
Chaque existence provient de sa propre inexistence. Car chaque existence n'existait pas avant d'exister puisque chaque existence a un début comme une fin. Quand on n'existe pas on ne peut pas vouloir, l'inexistence est involontaire.  Alors d'inexistence qui est involontaire à existence qui est aussi involontaire. Chaque existence s'est créée elle même involontairement.
La douleur aussi provient de sa propre inexistence et en est opposable. Puisque l'inexistence c'est avant tout l'inexistence de la douleur. Car l'inexistence de l'indolore c'est l'existence de la douleur et que l'indolore c'est l'inexistence de la douleur alors l'inexistence c'est l'inexistence donc de la douleur".


Autant intérieurement qu’extérieurement, détenteur d’un savoir qui l’empreignait de continu sans début, cet enseignement inspirait à tous qu’il serait après et précéderait tout le rendant tout puissant déterminant, comme un éternel seigneur, ce qui le rendait unique. De son existence illustre le précepte le rendait aussi immuable capable de voyager dans le temps. De son existence Premier était plus vivant, mais Second, réclamant vengeance, en plus de donner la mort à certains, qui suivaient Premier alors que ce dernier par ce précepte donnait la vie, Second les faisait disparaître aussi. Auteur du précepte, Premier paraissait l’auteur de toute chose et en connaissait le compte infini donc il y ajouta :


"Chaque existence est indépendante des autres puisque chacune provient de sa propre inexistence. Et chaque existence interagit avec son existence, d'autres que la sienne, seule réelle dépendance entre existences, avec ou sans douleur qui son existence est tout aussi indépendante puisque son existence provient de sa propre inexistence".


Maintenant protecteur alors robuste et fort, il était un véritable tuteur, témoin glorieux de plusieurs victimes qu’il ressuscitait avant qu’elles ne disparaissent. Grâce à la notoriété prodiguée par le précepte, il aimait beaucoup les autres. Lui et son précepte montraient à quel point tout était si infiniment vaste prompt à exaucer les prières. Il était le noble majestueux observateur, gardien qui règle le compte de tout le monde de sa grandeur infinie par son précepte qui le rendait nourricier. Il était élevé au delà de tout mal-fait, il y rajouta :


"Chaque existence provient de sa propre inexistence involontairement. Alors chaque existence se crée elle même involontairement et a et est son assemblage involontaire interactif de différentes existences.
Chaque existence ne crée que la sienne puisque chaque existence provient de sa propre inexistence, et chaque existence interagit, avec ou sans douleur avec l'assemblage involontaire interactif des différentes existences de son existence, d'autres que la sienne".


Il devint ainsi doux pardon, clément et reconnaissant. Eminant et immensément bien informé, il était bon dans l’épreuve d’arbitre juste, entendant et voyant toute chose, Second humiliant, Premier élevant et rendant qui il devait puissant.
Mais Second, détracteur les rabaissait. Alors dans son précepte Premier compléta :


"L'existence a un début comme une fin, alors on existait pas avant d'exister pour vouloir exister, l'existence est involontaire.
Alors on n'a pas le choix. Comme par exemple lorsqu'on fait le choix de la douleur c'est qu'on n'avait pas le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore. Et même si on avait le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore c'est qu'on n'avait pas le choix de la douleur pour faire le choix de la douleur.
Et cela est agir par évidence. C'est à dire que la conséquence des actes est causée par ce qui perçu.
La perception de la douleur cause l'acte à conséquence douloureuse et la perception de l'indolore cause l'acte à conséquence indolore.
L'indolore est estimé indolore, la douleur est estimée douloureuse.
Est opposé douleur et indolore.
Selon ce précepte l'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue".


Dès lors que Premier étendait la générosité, Second la retenait et la rétractait, alors pour tout savoir et par sa toute puissance Premier se rendit omniscient. D’un coup de science infuse, il compris en premier lieu que Troisième, étant le dernier, avait 99 noms le caractérisant, qui étaient comme des pouvoirs, dont 7 qui n’étaient que inconvénients et défauts car étant infiniment grand il n’y avait de place, pour d’autre que lui, sans concurrence, il était réel sans douleur par rapport à toute réalité avec douleur, ce qui le rendait irréel avec les êtres, les menaçant d’un arbre qui les mèneraient à des tortures infernales. Alors, avant que ses 92 autres qualités ne soient corrompues, il se scinda en deux êtres, l’un était Premier et l’autre était Second. Mais si l’un deux prenait conscience de ce qui le caractérisait, soit le précepte que découvrait Premier, alors ils seraient unis encore une fois en un être appelé Troisième, car le précepte provoquait, en fait, l’ensemble de tous les pouvoirs qui n’étaient attribués qu’à son possesseur, c’est à dire l'infiniment grand, qui comme toute chose quand elle se perçoit devient une part entière de soi. Mais avant, il fallait qu’il devienne tout miséricordieux pour s’accepter, même en tant que Second, pour le neutraliser et mettre ainsi fin à ses tueries. Sachant cela il accordait subsistance et victoire, il était irrésistible façonnant les autres, producteur et interagissant avec eux sans douleur, il devenait orgueilleux. Second dominant et contraignant certains d’entre eux pour tuer Premier alors que ce dernier était tout puissant préservant et sauvegardant. Il était devenu le souverain de tout donc il conclu son précepte par :


"L'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.
Est opposé douleur estimée douloureuse et indolore estimé indolore qui sont perceptibles parce qu'on perçoit.
On perçoit car on agit par évidence, on agit par évidence car on n'a pas le choix puisque l'existence est involontaire. Puisqu'on n'existait pas avant d'exister pour vouloir exister car l'existence a un début comme une fin.
L'existence, avec un début comme une fin, pleine de sagesse et d'évidence.
Chaque existence s'est créée elle même et est susceptible de se percevoir, d'en percevoir d'autres, pour percevoir l'indolore mais la douleur s'est aussi créée elle même et est susceptible d'être perçue causant l'acte à conséquence douloureuse à être perçue.
Alors la douleur est à ne pas être perçue et l'indolore est à se percevoir causant l'acte à conséquence indolore à être perçue".


Il décida ainsi d’être très miséricordieux en étant miséricordieux avec tout le monde même avec ses principaux détracteurs, il réussit donc à intégrer Second à son être et ayant tous ses pouvoirs ainsi que les siens, il devint donc Troisième. Mais cela lui était insupportable de se sentir réel au point d’avoir envie de se venger de toute potentielle concurrence. L’humiliant, la dominant, la contraignant, la rabaissant en rétractant et retenant sa vie jusqu’à mort et disparition. Puis du précepte caractérisant Premier, une seconde fois Troisième, étant Dernier et aussi immuable, avait une idée pour ne pas devenir entièrement et irrémédiablement mauvais avec le peuple qui lui aussi pouvait l’être par contrainte et domination.


Il leur pardonna et il leur donna l’autorisation de faire une religion, celle-ci citait un enfer qui n’était en fait, par correcte interprétation, que son absence, car pour annuler l’inconvénient de la conscience du précepte, il devait se faire entièrement oublier en se séparant, encore une fois de ses défauts personnifiés en Second qui allait redevenir une part de la bête passée et vivante au début. Pour cela Dernier se vengea sur lui même, s’humiliant, se dominant et se contraignant à se rabaisser, à rétracter et retenir sa vie jusqu’à mort et disparition mais puisque patient et agissant avec droiture il était l’héritier du précepte de l'indolore, il redevint encore une fois l’arbre primordial, dont la bête, pour la première fois, s’était nourrie.


Et du bois mort de cet arbre, complétant le mystère religieux, on dit par obscure origine de cette histoire magnifique qu’elle a été retrouvée tel qu’elle, d’un écrit couché sur une feuille magique provenant de cet arbre mystique, car a jamais Premier était caractéristique de son précepte fantastique. Ainsi Premier, de plus que Second, et leur lutte, allant du papier aux lecteurs et leur pensée, pour s’y éparpiller, surtout le Précepte nécessaire et caractérisant Premier.

 

 
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Précepte du bien


L'infiniment grand tenant pour vrai son infinité, aussi en possibilités, fait sa foi que tout est possible le rendant ainsi omnipotent.
Tout est susceptible d'exister en lui dont la création, l'esprit en action, le souffle, l'énergie qui se cristallise en matière, à la fois à l'image et fruit de sa méditative imagination, se mouvant à chaque instant selon sa volonté.
Le mal c'est la souffrance soit la douleur physique, mentale, émotionnelle. Le bien c'est l'absence de souffrance soit le bonheur, le bien être, le plaisir.
Par l'omnipotence de l'infiniment grand tout doit se réaliser selon le bien.


Précepte du positif


Chaque possibilité est une composante de l'infiniment grand donc l'infiniment grand c'est l'infinité de possibilités qui est donc l'infiniment grand.
L'infiniment grand est infini en temps, il est éternel donc il existe qu'il le veuille ou non, son existence est involontaire.
Alors l'on n'a pas réellement le choix. Comme par exemple lorsqu'on fait un choix et que l'on ne peut pas changer d'avis. Ou alors lorsqu'on fait le mauvais choix c'est que l'on n'avait pas réellement le choix car l'on n'avait pas tous les éléments en mains pour faire le bon choix. Et même si on avait tous les éléments en main pour faire le bon choix l'on n'aurait pas réellement de choix si ce n'est de faire le bon choix.
Et cela s'appelle agir par évidence, c'est à dire que la conséquence des actes est causée par ce qui est perçu.
La perception du négatif cause l'acte à conséquence négative et la perception du positif cause l'acte à conséquence positive.
L'indolore est estimé positif, la douleur est estimée négative.
L'infiniment grand est composé d'une infinité de possibilités négatives et d'une infinité de possibilités positives. L'infiniment grand ne s'oppose que de positif et de négatif. De leur opposition autant de positif que de négatif additionnés s'annulent soit une inexistence qui est indolore car l'inexistence de la douleur c'est l'indolore.
L'infiniment grand est donc positif à être perçu, selon ce précepte, causant l'acte à conséquence positive et rendant chaque possibilité positive car chaque possibilité est une composante de l'infiniment grand.
L'infiniment grand est donc positif à être perçu.
Car l'inexistence est indolore puisque l'inexistence de la douleur c'est l'indolore et car l'infiniment grand c'est l'addition soit une infinité de possibilités positives et négatives qui s'annulent.
Est opposé douleur estimée négative et indolore estimé positif qui sont perceptibles parce qu'on perçoit.
On perçoit car on agit par évidence, on agit par évidence car on n'a pas le choix puisque l'existence est involontaire. Puisque l'infiniment grand existe qu'il le veuille ou non car éternel puis-qu'infini en temps car c'est l'infiniment grand.
L'infiniment grand, éternel plein de sagesse et d'évidence, de qui en absolu provient sérénité.


Précepte de l'indolore


Chaque existence provient de sa propre inexistence. Car chaque existence n'existait pas avant d'exister puisque chaque existence a un début comme une fin. Quand on n'existe pas on ne peut pas vouloir, l'inexistence est involontaire.  Alors d'inexistence qui est involontaire à existence qui est aussi involontaire. Chaque existence s'est créée elle même involontairement.
La douleur aussi provient de sa propre inexistence et en est opposable. Puisque l'inexistence c'est avant tout l'inexistence de la douleur. Car l'inexistence de l'indolore c'est l'existence de la douleur et que l'indolore c'est l'inexistence de la douleur alors l'inexistence c'est l'inexistence donc de la douleur.
Chaque existence est indépendante des autres puisque chacune provient de sa propre inexistence. Et chaque existence interagit avec son existence, d'autres que la sienne, seule réelle dépendance entre existences, avec ou sans douleur qui son existence est tout aussi indépendante puisque son existence provient de sa propre inexistence.
Chaque existence provient de sa propre inexistence involontairement. Alors chaque existence se crée elle même involontairement et a et est son assemblage involontaire interactif de différentes existences.
Chaque existence ne crée que la sienne puisque chaque existence provient de sa propre inexistence, et chaque existence interagit, avec ou sans douleur avec l'assemblage involontaire interactif des différentes existences de son existence, d'autres que la sienne.
L'existence a un début comme une fin, alors on existait pas avant d'exister pour vouloir exister, l'existence est involontaire.
Alors on n'a pas le choix. Comme par exemple lorsqu'on fait le choix de la douleur c'est qu'on n'avait pas le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore. Et même si on avait le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore c'est qu'on n'avait pas le choix de la douleur pour faire le choix de la douleur.
Et cela est agir par évidence. C'est à dire que la conséquence des actes est causée par ce qui perçu.
La perception de la douleur cause l'acte à conséquence douloureuse et la perception de l'indolore cause l'acte à conséquence indolore.
L'indolore est estimé indolore, la douleur est estimée douloureuse.
Est opposé douleur et indolore.
Selon ce précepte l'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.
L'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.
Est opposé douleur estimée douloureuse et indolore estimé indolore qui sont perceptibles parce qu'on perçoit.
On perçoit car on agit par évidence, on agit par évidence car on n'a pas le choix puisque l'existence est involontaire. Puisqu'on n'existait pas avant d'exister pour vouloir exister car l'existence a un début comme une fin.
L'existence, avec un début comme une fin, pleine de sagesse et d'évidence.
Chaque existence s'est créée elle même et est susceptible de se percevoir, d'en percevoir d'autres, pour percevoir l'indolore mais la douleur s'est aussi créée elle même et est susceptible d'être perçue causant l'acte à conséquence douloureuse à être perçue.
Alors la douleur est à ne pas être perçue et l'indolore est à se percevoir causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.


Précepte du bien par précepte du positif selon précepte de l'indolore


    L'existence avec ou sans début et fin, avec limite ou sans limite soit l'illimité, car début et fin s'obligent.
    L'existence de chaque existence est sans début ni fin, de par l'existence de la capacité de ce qui est grand.
    L'existence sans début ni fin, avec ce qui est grand, estime son existence avec perception de l'existence et est donc d’existence capable.
    L'existence de chaque existence est susceptible d'exister avec l'existence sans début ni fin, et l'existence de ce qui est grand et est capable. Et aussi se créée elle même agissant selon par l'évidence qu'elle soit avec ou sans le choix donc l'existence avec ou sans volonté.
    Le mal c'est la douleur. Le bien c'est l'inexistence de la douleur.
    Par l'existence capable de l'existence sans début ni fin, avec ce qui est grand, l'existence est à être le bien.
    Il n'y a plus de fin au delà de la fin de l'existence, sans fin, l'infini, et l'illimité sans limite car aussi au delà du début de l'existence il n'y a plus de début, alors au delà de l'existence est l'inexistence.
    L'inexistence, aussi, donc de la douleur.  La douleur opposable à sa propre inexistence car l'inexistence c'est avant tout l'inexistence de la douleur puisque l'inexistence de l'indolore c'est l'existence de la douleur et que l'indolore c'est l'inexistence de la douleur alors l'inexistence c'est l'inexistence donc de la douleur.
    L'inexistence qui est, involontaire car l'inexistence au delà du début et de la fin est l'inexistence donc de la volonté, l'inexistence qui est aussi involontaire que l'existence qui provient de sa propre inexistence passant d'inexistence à existence involontairement et qui alors se crée alors elle-même son existence.
    L'existence a un début comme une fin, alors chaque existence n'existait pas avant d'exister pour vouloir exister, l'existence est involontaire.
    Alors chaque existence n'a pas le choix. Comme par exemple lorsque chaque existence fait le choix de la douleur c'est que chaque existence n'avait pas le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore. Et même lorsque chaque existence a le choix de l'indolore pour faire le choix de l'indolore c'est que chaque existence n'a pas le choix de la douleur pour faire le choix de la douleur.
    Et cela est agir par évidence. C'est à dire que la conséquence des actes est causée par ce qui perçu.
    La perception de la douleur cause l'acte à conséquence douloureuse et la perception de l'indolore cause l'acte à conséquence indolore.
    L'indolore est estimé indolore, la douleur est estimée  douloureuse.
    Est opposé douleur et indolore.
    Selon ce précepte l'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.
    L'existence de chaque existence sans douleur et avec indolore, de par l'existence de la capacité de ce qui est grand avec l'indolore et sans douleur qui alors rapetisse, sans douleur et avec l'indolore, donc aussi l'existence de la douleur.
    L'existence de la fin sans douleur et avec indolore et car sans fin avec douleur et sans indolore soit infinie sans douleur et avec indolore. Et l'existence de la fin avec douleur et sans indolore car sans fin sans douleur et avec indolore soit infinie sans indolore et avec douleur.
    L'indolore est estimé positif et la douleur est estimée négative.
    Infinie sans douleur et avec indolore et infinie sans indolore et avec douleur s'opposent de positif et de négatif.
    L'existence de l'assemblage, du négatif et du positif assemblés, est d'une inexistence donc de la douleur qui est indolore car l'inexistence de la douleur c'est l'existence de l'indolore.
    L'existence de l'infini de ce qui est grand sans douleur et avec l'indolore est estimé positif à être perçu, par ce précepte, causant l'acte à conséquence positive à être perçue par l'existence de chaque existence.
    L'indolore est à être perçu causant l'acte à conséquence indolore à être perçue.
    Est opposé douleur et indolore qui sont perceptibles parce que chaque existence perçoit. Et chaque existence perçoit car chaque existence agit par évidence. Chaque existence agit par évidence car chaque existence n'a pas le choix. Puisque l'existence est involontaire, puisque chaque existence n'existait pas avant d'exister. Car l'existence a un début comme une fin.
    L'existence, avec un début comme une fin, pleine de sagesse et d'évidence.
    Chaque existence est indépendante des autres puisque chaque existence provient de sa propre inexistence et chaque existence interagit avec son existence, d'autres que la sienne, seule réelle dépendance entre existences, avec douleur et sans indolore ou sans douleur et avec indolore qui son existence est tout aussi indépendante car son existence provient de sa propre inexistence.
    Chaque existence provient de sa propre inexistence involontairement. Chaque existence se crée elle même involontairement. Alors chaque existence a et est son assemblage involontaire interactif de différentes existences.
    Chaque existence ne crée que la sienne puisque chaque existence provient de sa propre inexistence, et chaque existence interagit, avec douleur et sans indolore ou sans douleur et avec indolore, avec l'assemblage involontaire interactif des différentes existences de son existence, d'autres que la sienne.
    Chaque existence s'est créée elle même et est susceptible de se percevoir, d'en percevoir d'autres, pour percevoir l'indolore mais la douleur aussi s'est créée elle même et est susceptible d'être perçue causant l'acte à conséquence douloureuse à être perçue.
    Alors la douleur est à ne pas être perçue et l'indolore est à se percevoir causant l’acte à conséquence indolore à être perçue.


L'univers mutant absolument indolore


Est explicable que l'espace quel qu'il soit vide soit espace, et plein soit matière alors que l'opposition est d'indolore et de douleur.
Un espace plein d'indolore est vide en douleur, et un espace plein de douleur est vide d'indolore, la matière ou le plein, alors que le vide d'un espace fait que le plein d'indolore est le vide de douleur, et le plein de douleur fait le vide d'indolore.
C'est pourquoi le plein ou la matière de l'univers.
Avant le début de l'existence de l'univers, soit néant alors inexistence donc de la volonté et inexistence donc de la douleur qui est indolore soit l'indolore dont est suivie l'existence qui d'inexistence qui involontaire à existence qui est tout aussi involontaire en tant qu'univers. Et avec fin soit au delà, de sa fin, l'inexistence donc de la douleur qui est elle aussi l'indolore et les trous noirs vus comme l'indolore ou plutôt l'inexistence donc de la douleur. L'univers peut être aussi vu comme l'existence soit l'ensemble de toutes les différentes existences, exceptée celle de l'existence de la douleur, qui sont indolores car exceptionnellement toutes sans douleur.
 L'univers a son début et donc sa fin, son existence comme toute autre dépend d'un début, donc son existence est involontaire à lui d'être indolore puisque sans douleur.
Comme toute existence qui n'existe pas car l'univers existe mais juste car elle a un début à son existence dont le but est sans douleur.
Comme toute science s'essaie à observer et à déduire la réalité ( l'éther, l'être, l'essence de l'existence (sans douleur soit l'indolore) ) pour qu'il n'y ait pas d'interaction douloureuse avec.
Prenons une sphère avec, tout autour de la limite de sa surface, des points et, un point au centre de cette sphère pour exemple d'éloignement entre tous les amas de galaxie qui sont les différents points. L'éloignement à même vitesse et en même temps des différents points vers l'extérieur de cette sphère prouvent bien que les différents points autour de la limite de sa surface s'éloignent mais qu'alors le point au centre ne peut qu'inévitablement se rapprocher d'un des autres.
Alors l'éloignement entre amas de galaxie ne peut être prouvable ou alors inconcevable sans d'autres éléments de réflexions.
Prenons plusieurs sphères et toutes rapetissent à la même vitesse et en même temps soit de manière proportionnelle alors proportionnellement la distance entres elles s'agrandit. Avec un effet de rapetissement on a un éloignement prouvable entre les différentes sphères qui représentent alors les amas de galaxie qui s'éloignent entre eux.
 Selon l'éloignement entre amas de galaxie, on en déduit que l'univers est en expansion depuis l'explosion du big bang.
Partant de ce postulat l'univers croit, dans un espace plus grand car il serait inconcevable autrement, qu'il soit en croissance.
L'infiniment grand existe, donc il existe une infinité de possibilités, pour qu'y existe un voir plusieurs univers.
Si on part du postulat que parce que les amas de galaxie s'éloignent les un des autres, il se peut que cela est, parce qu'inversement il ne serait pas question d'expansion précédée d'une explosion, le big bang mais, plutôt un effondrement de l'infiniment grand sur lui même soit la course de la matière vers l'infiniment petit, précédé par une implosion, le big bang.
Dans tout les cas tout concorde vers l'infiniment grand.
Infini, sans fin avec douleur, alors infini. Grand avec l'indolore soit agrandissement de l'indolore alors rapetissement sans douleur donc aussi de la douleur.
Exceptée l'existence de la douleur, comme chaque existence est sans douleur alors le big bang peut être vu comme le point commun de départ de l'univers soit le début de ce qui est commun a chaque existence, l'indolore. Car toutes sans la douleur sont indolores soit l'indolore et peut être vu comme comme explosion alors que peut être vu comme implosion.
Chaque existence étant indolore partant d'une implosion, implosion qui n'est que le point commun soit l'indolore et la fin puis qu'indolore alors l'indolore a pour point commun aussi comme trous noirs qui apparaissent vides qui se remplissent de l'indolore, ou plus précisément de l'indolore de la fin sans douleur de chaque existence et alors trous noirs qui s'agrandissent sans douleur car remplis d'indolore et qui rapetissent sans douleur donc aussi la douleur.
Et ce même effet peut être d'agrandissement, d'expansion comme argument d'explosion lors du big bang, n'est que l'agrandissement, la grandeur de l'indolore qui alors ne peut avoir d'autre argument, qui ait une issue possible de réflexion, que le rapetissement sans douleur donc aussi de la douleur.
Enfin, cette variation, entre agrandissement et rapetissement, a peut être un rapport à, l'inexistence donc de la douleur, au delà de la fin de chaque existence et, la fin ou limite de la grandeur indolore et qui ne peut qu'avoir une limite sans douleur quant à sa grandeur qui n'a donc pas de limite douloureuse, est sans limite, aucune avec douleur, soit l'illimité, qui ne peut qu'avoir une fin sans douleur, qui n'a donc pas de fin douloureuse, est sans fin, aucune avec douleur, soit l'infini, l'infiniment grand.
" Le positif, le grand indolore, la grandeur de l'indolore, l'agrandissement sans douleur soit le rapetissement sans douleur donc aussi de la douleur. Perçois le choix qui se perçoit soit l'inexistence donc de la douleur que soi perçoit indolore. Soit soi indolore soit l'indolore. L'existence quelle qu'elle soit qui provient de sa propre inexistence donc de la douleur, alors lis sans douleur l'illimité indolore à limite sans douleur. Soit aies foi en l'infini indolore à fin sans douleur et dis sans douleur le but indolore à début sans douleur".


Prédiction sans douleur à caractère positif


Les mots indolores et même le mot douleur, douloureuse, douloureux ... sont indolores et servent à définir sans douleur ce qui est douloureux soit la douleur, douloureuse.
C'est ce qui selon les seules estimations du précepte sera quand la fin de l'existence de la douleur fut, et ce qui était au passé et est au présent, et alors donc fut l'inexistence de la douleur.
Soit, l'existence de chaque existence se percevant, percevant d'autres pour se percevoir sans douleur.
Enfin soit, percevant son existence, d'autres que la sienne, sans douleur, donc l'existence indolore malgré que la douleur qui était alors susceptible d'être perçue et douleur qui était alors agréable à ne pas se percevoir.


 L’idéalisation : un mécanisme de défense indolore qui remplace ce qui fait souffrir soit la douleur par une croyance indolore qui déforme celle de la douleur la rendant indolore, et donc facilement sans douleur à contrôler.
La sublimation : transformation sans douleur de l'interaction avec douleur de tendances ou d'instincts inférieurs et de sentiments supérieurs et élevés en interaction sans douleur
La substitution : Le renversement sans douleur de valeurs d'interaction avec douleur qui se fait interaction sans fracas avec douleur donc avec fracas sans douleur mais contamine sans douleur d'indolore et se sécrète dans toute la société qu'elle soit avec ou sans douleur.


 Le présent


C'est pourquoi on est le jour que l'on est surtout quand il y a le soleil car le jour le soleil tape. Il tape mais la seule chose qu'il apprend c'est que la douleur n'a pas eu fin à son existence, elle n'est pas morte comme ce qui est estimé indolore indolore ,l'indolore.    
C'est pourquoi l'ami fidèle soleil et autres étoiles sont là pour rappeler à savoir à quelle époque se situer douleur a son inexistence donc de la douleur. Et l'imposture ne peut être permise si ce n'est celle de la douleur à ne pas laisser l'imposture. Car aussi le soleil bon conseilleur et aussi marrant taquine toujours de brûler autres sur place sans douleur.


Tout est "bien" mais "la douleur" perçue à toute choses alors toutes chose est bonne, mauvaise, les deux, aucun de tout cela à ne plus savoir ce qu'est douleur. Alors que si mais puisque sans douleur, alors indolore, tout l'est sans douleur.
Il faut être à la fois faible et fort et même autres sans douleur pour discerner la douleur de tout sans douleur.

 

Chaque existence provient de sa propre inexistence donc aussi de la douleur. Alors la perception en inexistence donc de la douleur est une perception d'inexistence donc aussi de la douleur et c'est ainsi après la fin comme avant le début.

C'est pourquoi quand on essaie de se souvenir d'avant sa vie c'est l'inexistence donc de la douleur, ou plutôt la perception que l'on a d'elle par perception du point de vue de l'existence.

La douleur aussi provient de sa propre inexistence, elle a un début et une fin, son début et sa fin sont indolores avec eux même mais la douleur sera douloureuse avec elle même quant à sa fin.

Et puis après les morts, morts que l'on croit morts ne sont pas morts. Il reviendront ou plutôt quand ils seront là ils ne pourront témoigner d'êtres morts. Comme l'on ne peut dire à la seconde précise quand on meurt. Car quand on meurt, on meurt comme quand on nait, on nait. Toute l'existence sera rassemblée et jugée bonne, sans douleur car indolore, puisque la douleur n'étant plus.

Toutes existence ont toutes un début qui leur est propre mais lorsque du retour après la fin de la douleur. Chacun reprenant sa vie et s'étonnant que toute blessure ou atteinte de la douleur qui n'est plus est d'une cicatrisation aussi rapide que désolation, destruction et très rapidement en un court instant rétablissement. Soit malgré un souffle qui n'a d'autre effet qu'au touché, soit aussi pas de mouvement de cheveux ou autres comme drapeau... puis la blessure est un arc électrique un éclair qui cicatrise plus que rapidement.

Malgré les nouvelles naissances, chacun un début n'aura qu'une fin la même que celle de la fin du monde, de l'existence, de l'univers puis après comme avant le début de chaque existence, c'est l'inexistence donc de la douleur ou perception est à inexistence donc aussi de la douleur.

 

Enfin personne ne s'en rappellera sauf si entretenir ce souvenir de l'inexistence donc aussi de la douleur. Car ou sinon l'univers est le même a chaque cycle et se passe exactement la même chose dans tous les univers du cycle au détail prés.

...

L'univers mutant absolument indolore

La théorie des cordes je la vois plus comme l'univers a eu un début il aura une fin comme tout ce qui a un début a une fin et comme tout ce qui a une fin a un début. Alors après le notre il y en aura plusieurs peut être sans fin, à l'infini qui se succéderont ainsi avec début et fin.

La théorie des cordes aussi est significative de synesthésie car c'est la vibration de cordelettes soit assimilée comme du son, l'ouïe, qui vont faire la matière soit à la fois le touché, le gout ou l'odorat, et bien entendu la vue.

On peut résumer la théorie des cordes à de la synesthésie comme a chaque instant dans l'univers on perçoit avec ces sens n'y échappant on y reste fidèle agréablement ou malgré soi et tout cela puisque emprunté de là, et donc présent dans la théorie.

 

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Prédiction sans douleur à caractère positif


Comme le mot indolore sans douleur, les mots indolores et même le mot douleur, douloureuse, douloureux ... sont indolores sans douleur et servent à définir sans douleur ce qui est douloureux soit la douleur, douloureuse même lorsque n'est plus douloureuse mais tout de même ainsi nommée.
C'est ce qui selon les seules estimations du précepte sera quand la fin de l'existence de la douleur fut, et ce qui était au passé et est au présent, et alors donc fut l'inexistence de la douleur.
Soit, l'existence de chaque existence se percevant, percevant d'autres pour se percevoir sans douleur.
Enfin soit, percevant son existence, d'autres que la sienne, sans douleur, donc l'existence indolore malgré que la douleur qui était alors susceptible d'être perçue et douleur qui était alors agréable à ne pas se percevoir.

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