Aller au contenu

Faisons ensemble un film avec rien que des clichés


sovenka

Messages recommandés

Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 48 115 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

Gros plan sur la télé qui se met à dysfonctionner écran noirs et fils blancs lumineux sur l'écran. Puis des visages de personnes fantômatiques en souffrance apparaissent en noir et blanc comme emprisonnées dans l'écran: ce sont les visages des personnes photographiées tuées par le schizo de la photo.

Une des jeunes femmes brunes, les cheveux devant les yeux, sort  en rampant de l'écran et va tapoter , sur l'épaule de la jeune maîtresse de maison ,de dos , dans la cuisine. Celle-ci, surprise, sursaute s'empare du gros couteau de cuisine. Mais le fantôme reflue vers la télé et est absorbé par l'écran. Lorsqu'elle arrive, ainsi armée, dans le salon, elle assiste à une émission peu commune:

 les fantômes frappent l'écran et crient d'une voix d'outre tombe:

"vengeance, vengeance!!!!"

La jeune femme pousse un cri aigu et prolongé qui résonne dans tout le quartier!

 Cela attire la vieille curieuse et le voisin informaticien qui viennent à la rescousse de la jeune femme.

Par précaution, le jeune homme appelle la police parce qu'il pense qu'une jeune femme brune a violé le domicile de sa voisine.

C'est alors que débarquent le policier en imperméable fumant une vieille pipe ancienne flanqué de son profiler un peu médium et voyant.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, Oiseau de nuit, pays Union européenne, 42ans Posté(e)
sovenka Membre 8 377 messages
42ans‚ Oiseau de nuit, pays Union européenne,
Posté(e)

Quand le mari rentre du travail des voitures de police sont devant chez lui, tout le voisinage observe depuis son pas de porte. Affolé il court vers sa maison, bouscule les services de secours et les journalistes en criant: "laissez-moi passer je vis ici, ma femme est ici !"

Celle-ci est comme tétanisée, une couverture sur le dos. L'Asiatique est assis à côté d'elle pour la consoler.

Le shérif machant du chewing gum est adossé contre son véhicule avec son adjoint qui s'empiffre de donuts. Tous deux observent la scène. "tu vois -murmure le chef à son adjoint- je t'avais bien dit qu'il se passerait encore des trucs pas normal dans cette baraque. On ferait mieux de la raser"

La femme encore sous le choc est emmenée à l'hôpital. Son mari est seul à la maison avec l'Asiatique qui reste avec lui pour lui raconter tout ce qu'il a trouvé aux archives. Le mari est cependant trop cartésien pour croire tout ça.

Pendant ce temps la belle-mère est sur la route. Une dame blanche se plante en travers et lui fait faire un accident.

Le lendemain avant d'aller voir sa femme à l'hôpital, le mari trouve dans la boîte à lettres une carte de visite d'un curé spécialisé dans les exorcismes.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Oiseau de nuit, pays Union européenne, 42ans Posté(e)
sovenka Membre 8 377 messages
42ans‚ Oiseau de nuit, pays Union européenne,
Posté(e)

Bon l'exorcisme a lieu, c'est mouvementé, les esprits du lieu étant très irrités par la présence du prêtre: dans la cuisine les portes des placards s'ouvrent toutes seules, un tiroir également, il n'y a que des couteaux dedans qui s'élancent tous comme un seul la pointe en avant contre les nouveaux résidents de la maison, au salon les chaises font des glissades, dans le living room le sofa danse sur ses pieds, les objets déco filent comme des fusées à travers la pièce, des vases s'éclatent contre les murs, les lits font des bonds dans les chambres... et pendant ce temps le curé hurle des extraits d'évangile. Il est obligé de hurler pour se faire entendre parce qu'il y a beaucoup de boucan. Il lève son crucifix d'une main et d'une autre asperge tout d'eau bénite. Cela dure jusqu'à l'aube et puis tout se calme brusquement, il n'y a plus qu'à ranger tout ce désordre, c'est fini: les fantômes sont partis.

Le génie asiatique s'est cependant pris de passion pour l'histoire du criminel qui a disparu dans la nature et se lance à sa poursuite avec une bande d'étudiants de ses amis. Leur périple les amène en Europe. Arrivée à Londres: les Britanniques portent des chapeau melon et ne sortent jamais sans leur parapluie. Passage en France au son de l'accordéon, les Français portent des bérets et marchent une baguette sous le bras quand ils ne sont pas assis sur des terrasse devant un verre de vin rouge.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 48 115 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

L'informaticien  aperçoit le meurtrier, celui ci se sent repéré, s'engage alors une course dans la rue, des passants sont bousculés, des étals sont renversés.

Les deux coureurs, traversent la rue sans regarder, l'un d'eux se fait frapper par une voiture mais se relève puis continue de courir.

Les poursuivants arrivent en vue d'une gare, le premier parvient à prendre le train dans le quatrième  dernier wagon avant la fin du train mais le second s'accroche au wagon de queue et pour rejoindre le meurtrier, l'informaticien passe par le toit des wagons!!

Il parvient à s'introduire dans le wagon occupé par le meurtrier en passant par la fenêtre. Le meurtrier décampe.

La poursuite continue au travers des wagons et c'est au milieu du wagon restaurant que la bataille à coups de poings s'engage….

 

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Oiseau de nuit, pays Union européenne, 42ans Posté(e)
sovenka Membre 8 377 messages
42ans‚ Oiseau de nuit, pays Union européenne,
Posté(e)

Mais le meurtrier a quantité de complices qui sortent brusquement de nulle part. Notre héros est obligé de remonter sur le toit du train pour leur échapper. Il parvient à se débarrasser d'eux en se couchant à temps sur le toit du train qui rentre dans un tunnel. Les autres ne l'avaient pas vu venir et c'en est fini d'eux. Entre temps le meurtrier a bloqué le train et en a profité pour s'évader dans la nature. L'informaticien et ses copains étudiants quittent le train et marchent à travers bois, par monts et par vaux jusqu'à un petit village où les gens sont très méfiants. Ils déposent leurs bagages dans une auberge où on les regarde de travers, bref ils ne s'y sentent pas la bienvenue mais ont-ils le choix ?

L'informaticien montre la photo du meurtrier à l'aubergiste qui blémit. D'un air énigmatique il lui recommande de s'adresser aux Bohémiens: eux savent.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×