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Conscience dimensionnée et extrapolation quantique


Fraction

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 815 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)

Bonjour,

Je vous propose deux billets de mon blog pour les soumettre à votre jugement scientifique.

J’y utilise un langage pluridisciplinaire, et j’utilise souvent les mots pour leur valeur analogique.

Si vous pensez que ce n’est pas de la science, je saurais peut-être vous convaincre du contraire.

Et si la maîtresse elle a dit que j’étais même pas un vrai scientifique, j’accepte mon identité de spéculateur profane.

 

Mon premier billet tente de définir la conscience en tant que monade autonome.

Comme si la "conscience" et la "notion du bien propre" ne faisait qu’un.

Comme si la conscience était gratuitement récursive, gratuitement en ignition, gratuitement néguentropique, de par son dimensionnement essentiel :

 

Mon deuxième billet est une extrapolation quantique, à chacun de juger son niveau de surréalisme.

C’est un peu comme si je vous disais que l’esthétique morale est intriquée à l’esthétique physique, par voie de reconnaissance.

C’est un phénomène quantique macroscopique qui s’extrapole en un genre de « matrice cognitive naturelle » :

 

Vous noterez l’improuvabilité de mes propos, et l’improuvabilité de leur contraire, et pourtant ça n'est pas de la métaphysique.

Je le justifie :

C’est parce que la preuve n’est que la dimension objective de l’évidence, les deux autres étant la démonstration et l’intuition.

 

Je suis acteur et témoin d’une expérience environnementale a priori mystique, mais intransmissible par sa marge interprétative, et intransmissible par son improuvabilité.

Mais j’ai compris que ça ne pouvait pas être autrement.

Il me fallait, pour l’interpréter, une grille de lecture de physique quantique macro.

Cordialement, Fraction

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