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Mon expérience avec une étrangère


Doherty92

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 764 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
Posté(e)
Il y a 20 heures, Promethee_Hades a dit :

C'est tout a fait vrai ce que tu dis, mais pour le transport d'armes et de munitions dans la jungle tropicale sont vraiment pas au point. 

A mon tour de te taquiner, et histoire vraie 

Je suis avec ma  copine de l'époque, chez sa meilleure amie, nous devons aller à un concert, groupe de rock hyper connu des années 70 , celle ci doit s'habiller pour le concert. Tu parles elles savaient pas quoi se mettre on me demande mon avis toute les 5'  à chaque fois c'était magnifique, sexy en diable, mais comme je suis un homme je n'y comprends rien, puis ce fut le tour de ma copine qui elle se trouvait devenue, moche, et je te dis pas en dernier le maquillage. Nous sommes arrivé en retard au concert évidemment. Mais c'était pour me faire honneur,  j'aurai préféré arrivé à l'heure.

Les dames et leur fringues voir leur godasse et le tralalère pfffffffffffff ça passe un temps fou. Je m'emmerde pas à ce point. même quand je mettait le smoking 

Mon ex et notre fille ça rentre dans une boutique, pour acheter, ça reste tout l'après midi, ça essaye tout, ça n’achète rien et le lendemain belote, et le surlendemain rebelote. 

Je voulais m'acheter un truc à mettre sur le dos ça m'accompagne par ce que je suis un homme, et je n'y comprends rien de rien, merci pour ma personne, mais bon les dames hein, on m'a fait tout essayer, mais rien ne me va parait il. Le lendemain je file à l'anglaise, je rentre dans une boutique trois minutes au pire j'en sort, je rentre oh comme ça te vas bien. 

Bonjour Prométhée_Hadès, check,

Non mais cela c'est la faute des hommes évidemment, ils sont complètement pas objectifs, alors il faut changer de tenue encore et encore jusqu'à trouver la bonne... J'évite de demander son avis à un homme, en matière de prêt à porter/coiffure/maquillage (cela me fait gagner du temps) et d'ailleurs je refuse même de faire les boutiques avec un homme. Quand j'en croise avec leur dulcinée, en difficulté, quand celle-ci demande "Est-ce qu'il me va bien ce jean ? Il ne me fait pas trop des grosses fesses ?" et qu'objectivement cela lui fait un pétard d'enfer dans le sens négatif du terme, j'ai pitié et aussi l'envie de leur filer un petit biscuit pour chien, vous savez, comment cela s'appelle déjà ? Ah oui un "biscrock". Patrick, mon chien, en raffole. Certains répondent par automatisme, et puis parfois un ange passe et l'on devine que l'homme cherche ses mots. 

Et la preuve, en matière de non objectivité chez les hommes, on se réveille le matin avec un fabuleux épi, avec les yeux qui se croisent, la marque de l'oreiller sur la joue et c'est pile à ce moment-là qu'ils trouvent l'idée excellente de nous faire un compliment de dingue, les petits fumiers. Certains vont même pousser le vice jusqu'à aller nous faire un poème, alors que nos neurones ne sont même pas encore bien connectés... et en plus, au préalable, ils nous auront regarder baver dormir. Les hommes, c'est vraiment une drôle de race, sa race maudite.

C'est bien une réflexion d'homme ça, et certains peuvent aussi demander le truc le plus improbable du monde : "Tu as combien de paires de chaussures ? Tu n'en as pas déjà assez comme cela ?". Non mais dans quel monde Vuitton ? La réponse est pourtant évidente : jamais assez. 

Au sujet du smoking, c'est très classe, évidemment, mais tous les hommes ne le portent pas avec panache... et les costumes ça va 5 minutes mais pas H24, le trop classique cela peut faire vite vendeur de photocopieurs. Oui maintenant que vous m'avez lancée sur les fringues, vous êtes cuit, m'y intéressant autant chez les hommes que les femmes. Ma marraine tient une boutique en prêt à porter pour hommes d'ailleurs, il m'arrive de donner mon avis pour un "facing" ou une vitrine à thème. J'aime beaucoup les mélange des matières, des carreaux, avec des rayures, et même des pois, du tweed, très à l'anglaise. Le chic décontracté ou le décontracté tout court, mais pas trop quand même, l'effortless (on y revient) aussi, tout est savamment étudié. L'idée est de se donner un air décontracté, l'air désinvolte.

Certains hommes aiment collectionner les montres et/ou les bracelets, se créer des baskets sur mesure ou acquièrent des modèles en version limitée, et en discutent entre eux, j'aime écouter ce genre de débats de passionnés. Les fringues, les chaussures ne seraient plus une préoccupation si féminine. Personnellement, cela me renseigne aussi sur le raffinement d'un homme, j'aime beaucoup. Et non les femmes ne passent pas toutes trois heures dans le même magasin, et certaines n'essaient même pas ce qu'elles achètent, elles savent ce qui leur vont, ou ce qui ira à "chéri chéri". Quoi qu'offrir une fringue à un homme, à quelqu'un, est toujours un peu délicat, sans compter que ce quelqu'un va se sentir obliger de la porter. Le mieux est définitivement, à mon sens, de faire les boutiques juste pour soi, et vous avez vu même, que c'est ce qui fonctionne encore le mieux. 

Il y a 19 heures, Promethee_Hades a dit :

Après je dirai avec une étrangère, bien pour moi j'ai eu aucun problème

Ma femme fut une  brésilienne du Minas Gerais

Ensuite je faisais un tabac chez les allemandes, aucun problème avec, enfin si, celui de la langue, par ce que je parlerai allemand, je serai resté dans ce pays là

Les Italiennes, sont géniales, les espagnoles tout autant, ce que j'aime elles ont du caractère

Les Hollandaises, au lit ça va, mais après je les ai trouvé un peu lourdes, la comprenure c'est pas vraiment leur fort, c'est très gentil, c'est assez gnangnan faut aimer, ça m'agace. 

Enfin c'est pour les femmes que j'ai connue, elles sont pas toute comme ça aussi. 

A si j'ai oubliè une grec, alors elle c'était un phénomène du sexe elle avait toujours envie, une comanche ( américaine, mais amérindienne ) alors elle que du bonheur mais très mystique aussi.  Une Russe enfin française d'origine russe, bon  elle c'etait la fête en permanence, un moment les beuverie entre amis ça va, en plus elle aimai les coup parfois, bien si on lui reflilai pas sa tempe par semaine on était pas un homme pour elle, j'aimais pas du tout. Après quelque autres, mais qui tuyautaient pas mal aussi, c'est en rien significatif, A oui j'ai   oubliè la libanaise, donc une arabe, Géniale, mais bon la tradition aussi, comme les apparences sont importante, puis la famille par ce qu'il faut être accepter par toute la famille, c'est lourd, vraiment lourd, sans compter le compte chèque. Cette fille là avait une culture phénoménale, belle, très intelligente. Quand à mon anglaise, mon meilleur souvenir.  Et pour celle que j'ai pu oublier ne m'en voulez pas à mon grand age, il est normal de devenir gaga

Certes, mais vous ne pouvez pas avoir une discussion passionnée sur un sujet (littérature, politique, philosophie), la barrière de la langue sera là. J'ai reçu des russes à ma table au printemps dernier, en France depuis plus de 10 ans, le français est pourtant très limité : sujet verbe complément (en même temps, le français serait la langue la plus difficile à apprendre). Il est vrai que des hommes ne recherchent pas la conversation, ensuite...

L'un de mes oncles a eu pour concubine pendant un temps, une brésilienne également, avec des prénoms et des noms de famille par milliers (c'est marrant cela d'ailleurs, elle me les as tous débité d'un trait et presque sans respirer). Pour communiquer, ils mêlaient constamment le français et l'espagnol (cela se rapproche du portugais, bien que personnellement à l'oreille je trouve le portugais moins joli) et les conversations étaient aussi très basiques... puis elle est retournée dans son pays.

Je rebondis sur votre histoire grecque, c'est dingue d'assimiler la virilité à la violence, cela fait froid dans le dos même, quand une femme réclame "sa trempe", comme vous l'écrivez. Un homme qui use de violence sur une femme est complètement l'antithèse de la virilité, à mon sens. Il est rassurant que vous n'aimiez pas, il est rassurant que des hommes n'aiment pas cela.

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Membre, Chien Fou forumeur, 90ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
90ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)
Il y a 1 heure, Léna-Postrof a dit :

Bonjour Prométhée_Hadès, check,

Non mais cela c'est la faute des hommes évidemment, ils sont complètement pas objectifs, alors il faut changer de tenue encore et encore jusqu'à trouver la bonne... J'évite de demander son avis à un homme, en matière de prêt à porter/coiffure/maquillage (cela me fait gagner du temps) et d'ailleurs je refuse même de faire les boutiques avec un homme. Quand j'en croise avec leur dulcinée, en difficulté, quand celle-ci demande "Est-ce qu'il me va bien ce jean ? Il ne me fait pas trop des grosses fesses ?" et qu'objectivement cela lui fait un pétard d'enfer dans le sens négatif du terme, j'ai pitié et aussi l'envie de leur filer un petit biscuit pour chien, vous savez, comment cela s'appelle déjà ? Ah oui un "biscrock". Patrick, mon chien, en raffole. Certains répondent par automatisme, et puis parfois un ange passe et l'on devine que l'homme cherche ses mots. 

Et la preuve, en matière de non objectivité chez les hommes, on se réveille le matin avec un fabuleux épi, avec les yeux qui se croisent, la marque de l'oreiller sur la joue et c'est pile à ce moment-là qu'ils trouvent l'idée excellente de nous faire un compliment de dingue, les petits fumiers. Certains vont même pousser le vice jusqu'à aller nous faire un poème, alors que nos neurones ne sont même pas encore bien connectés... et en plus, au préalable, ils nous auront regarder baver dormir. Les hommes, c'est vraiment une drôle de race, sa race maudite.

C'est bien une réflexion d'homme ça, et certains peuvent aussi demander le truc le plus improbable du monde : "Tu as combien de paires de chaussures ? Tu n'en as pas déjà assez comme cela ?". Non mais dans quel monde Vuitton ? La réponse est pourtant évidente : jamais assez. 

Au sujet du smoking, c'est très classe, évidemment, mais tous les hommes ne le portent pas avec panache... et les costumes ça va 5 minutes mais pas H24, le trop classique cela peut faire vite vendeur de photocopieurs. Oui maintenant que vous m'avez lancée sur les fringues, vous êtes cuit, m'y intéressant autant chez les hommes que les femmes. Ma marraine tient une boutique en prêt à porter pour hommes d'ailleurs, il m'arrive de donner mon avis pour un "facing" ou une vitrine à thème. J'aime beaucoup les mélange des matières, des carreaux, avec des rayures, et même des pois, du tweed, très à l'anglaise. Le chic décontracté ou le décontracté tout court, mais pas trop quand même, l'effortless (on y revient) aussi, tout est savamment étudié. L'idée est de se donner un air décontracté, l'air désinvolte.

Certains hommes aiment collectionner les montres et/ou les bracelets, se créer des baskets sur mesure ou acquièrent des modèles en version limitée, et en discutent entre eux, j'aime écouter ce genre de débats de passionnés. Les fringues, les chaussures ne seraient plus une préoccupation si féminine. Personnellement, cela me renseigne aussi sur le raffinement d'un homme, j'aime beaucoup. Et non les femmes ne passent pas toutes trois heures dans le même magasin, et certaines n'essaient même pas ce qu'elles achètent, elles savent ce qui leur vont, ou ce qui ira à "chéri chéri". Quoi qu'offrir une fringue à un homme, à quelqu'un, est toujours un peu délicat, sans compter que ce quelqu'un va se sentir obliger de la porter. Le mieux est définitivement, à mon sens, de faire les boutiques juste pour soi, et vous avez vu même, que c'est ce qui fonctionne encore le mieux. 

Certes, mais vous ne pouvez pas avoir une discussion passionnée sur un sujet (littérature, politique, philosophie), la barrière de la langue sera là. J'ai reçu des russes à ma table au printemps dernier, en France depuis plus de 10 ans, le français est pourtant très limité : sujet verbe complément (en même temps, le français serait la langue la plus difficile à apprendre). Il est vrai que des hommes ne recherchent pas la conversation, ensuite...

L'un de mes oncles a eu pour concubine pendant un temps, une brésilienne également, avec des prénoms et des noms de famille par milliers (c'est marrant cela d'ailleurs, elle me les as tous débité d'un trait et presque sans respirer). Pour communiquer, ils mêlaient constamment le français et l'espagnol (cela se rapproche du portugais, bien que personnellement à l'oreille je trouve le portugais moins joli) et les conversations étaient aussi très basiques... puis elle est retournée dans son pays.

Je rebondis sur votre histoire grecque, c'est dingue d'assimiler la virilité à la violence, cela fait froid dans le dos même, quand une femme réclame "sa trempe", comme vous l'écrivez. Un homme qui use de violence sur une femme est complètement l'antithèse de la virilité, à mon sens. Il est rassurant que vous n'aimiez pas, il est rassurant que des hommes n'aiment pas cela.

Bonjour Léna-Postrof, souffre du baise mains.

Toujours un réel plaisir à vous lire, mais je vais préciser. La grecque, elle c'était, les joies du sexe, c'est bien agréable, mais constamment ça sature. Le soir avant de s'endormir complètement repus dans les bras l'un de l'autre, la divine prêtresse d'Aphrodite, avait un besoin impérieux de sacrifier à la Déesse, j'étais toujours pour, fallait pour elle être un vrai guerrier, hors de question de faire la moindre impasse, fallait être flamboyant, c'est vrai c'était un lion. Au réveil, bien c'était la même chose pour ce mettre en train comme de bonne humeurs pour la journée. Comme ça la journée de travail était optimum, il y avait la forme. Le soir nous nous retrouvions, après le travail, bien les retrouvailles ça se fête c'est évident, donc aucun soucis nous honorons la Déesse de l'Amour comme il se doit. Bien après quand elle faisait a manger et moi le ménage, après la table là nous discutions un peu de tout, elle avait de la discussion c'était très sympathique,  après on faisait des petites choses, la télé, ou lire, puis nous allions nous coucher, donc on recommençait le cycle. Là ou ça commençait à me gêner, vraiment c'est qu'il n'y avait que ça, les sortie, cinéma, théâtre, concert, restaurant, je ne m'en souvient pas avec elle. Par ce que pour elle nous avions d'autres chose de plus passionnant à faire honorer la Déesse Aphrodite, la fin de semaine, super, une magnifique journée, soleil radieux, une petite ballade au parc ne serais ce que le parc Monceau, ou celui des buttes Chaumon, je lui demande pas la forêt de Versailles. Bien non à la maison c'est nettement plus sympathique pour profiter l'un de l'autre pleinement, puis aller au restaurant le soir, pourquoi donc elle est bien mieux dans mes bras. Tout ça est des plus sympathique, c'est même valorisant, mais c'est des plus limité aussi, ça fait franchement prison, prisons de délices peut être, mais univers clos sur les plaisir d'Aphrodites, j'ai pas supporté, je suis claustrophobe. 

Pour les coups c'était la Russe, une fille de toute beauté, grande 1m85, 75 kg de muscle, blonde, yeux bleu acier, toujours hyper bien sapée, de toute façon on lui aurait mis un sac à patate sur les fesses tout lui allait, et les mecs se retournaient tous sur son  passage, la bave aux lèvres.  Son trip, les tables tournantes, le mystère, l'occultisme. Avec elle c'était simple les soirée avec toujours plein de monde, les alcool fort, même très fort ça coulait à flot, c'était la fête, demain c'était la fin du monde alors fallait en profiter avant. Les sorties étaient permanente, si on recevait pas on allait chez qui nous reçoit, d'ailleurs nous étions toujours invité de partout. J'était regardé un peu bizarrement l'alcool c'est pas mon truc, moi c'est l'herbe ou la beuh, je garde toute ma tête même quand je suis stone. Mais une fois dans l'intimité l'un et l'autre ça allait, fort bien jusqu'au moment trois jours plus tard, ou elle m'a sorti le fouet, et fallait que je la fouette, le dos tout le corps, les seins. Fallait pas y aller de mains morte en plus je déteste ça, je l'ai fait pour lui faire plaisir, à ça elle y a pris du plaisir, mais en même temps je suis trop doux, je frappais pas comme un vrai homme. Moi qui ai une sainte horreur de la violence physique en amour avec elle j'étais servi, en plus fallait l'insulter pendant les volées. Je veux bien admettre les compensations, mais il y a des limites que je n'ai pas pu supporter et qui m'ont fait fuir. Et pourtant par ailleurs qu'est ce que j'étais bien avec elle, mais bon  c'est la vie. Pour moi j'adore les caresses savantes, longue, faire fantasmer par toute sortes d'évocations, les baisers, les mots d'amour, je suis un doux,certes j'ai des étreintes viriles mais douces, c'est vrai aussi que je pouvais avoir des positions acrobatique même très athlétique que pour moi le sport en chambre pouvait être de haut niveau. Mais on peut pas demander à la foudre d'être un paresseu. 

Pour ce qui concerne les fringues, que de souvenirs vous m'avez rappelé, ou pauvre de nous, ou peuchère,. J'avais une copine qui avait des millier d'escarpins chez elle, elle achetait ça, même pas pour les mettre, par ce qu'elle les trouvait beaux. Votre narration m'a plongé quelque instant dans ce passé. 

Pour le réveil aussi, j'ai follement aimé, ce que j'ai vécu avec des françaises  tout à fait ça, et jamais avec des allemandes qui elles bien au contraire ravies, qui me prenaient dans les bras en me disant merci mon amour , qui fondaient en apprenant  que je m'étais émerveillé à les voir dormir, et qui appréciaient les odes que je leur adressai.

Évidemment le smoking, c'est pas H24 , c'est chez moi le moins longtemps possible, parait que je le porte très bien, mais je me sens dedans déguiser, pour le costumes trois pièces cravates et tout le tremblement parait que je fais grand monsieur, ouai mais je déteste tout autant, enfin je porte ça, quand je suis contraint à respecter certain milieux que je devais côtoyer, civilité s'imposant. Non mon truc à moi, c'est le bon vieux treillis, avec rangers, je peux aller partout avec, c'est solide, ça craint rien, on peut faire de tout, on peut mettre pas mal de choses dans les poches. Pour ça j'ai des point commun avec l'Empereur Caligula, à qui on attribua ce nom, pour le port de la calicule la sandale du légionnaire romain, après j'aime aussi la tenue du bon clochard, par ce que personne ne vous voie, et on entends tout et voie tout, la meilleur tenue pour être invisible. C'est un ami commissaire principal des renseignements généraux, qui m'a donné ce goût la, souvent il était accoutré ainsi. Quand j'étais encore jeune jusqu'à 40 ans, je m'habillais aussi souvent en sport très chic, ( grand couturier c'est vrai ) , honte à moi. Mais aussi en baba cool, dans les années septante.

A part certaine tenue évidemment qui ne peuvent être que prêt à porter, comme le treillis, j'ai jamais trop aimé aller dans de telles boutique, c'est le semi pret à porter, ou tout est fini sur mesure, ça sied mieux et bien plus agréable à porter, certes en clodo, mais de grande classe, faut pas se moquer de la tête des gens quand même. 

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 764 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
Posté(e)
Il y a 22 heures, Promethee_Hades a dit :

Bonjour Léna-Postrof, souffre du baise mains.

Toujours un réel plaisir à vous lire, mais je vais préciser. La grecque, elle c'était, les joies du sexe, c'est bien agréable, mais constamment ça sature. Le soir avant de s'endormir complètement repus dans les bras l'un de l'autre, la divine prêtresse d'Aphrodite, avait un besoin impérieux de sacrifier à la Déesse, j'étais toujours pour, fallait pour elle être un vrai guerrier, hors de question de faire la moindre impasse, fallait être flamboyant, c'est vrai c'était un lion. Au réveil, bien c'était la même chose pour ce mettre en train comme de bonne humeurs pour la journée. Comme ça la journée de travail était optimum, il y avait la forme. Le soir nous nous retrouvions, après le travail, bien les retrouvailles ça se fête c'est évident, donc aucun soucis nous honorons la Déesse de l'Amour comme il se doit. Bien après quand elle faisait a manger et moi le ménage, après la table là nous discutions un peu de tout, elle avait de la discussion c'était très sympathique,  après on faisait des petites choses, la télé, ou lire, puis nous allions nous coucher, donc on recommençait le cycle. Là ou ça commençait à me gêner, vraiment c'est qu'il n'y avait que ça, les sortie, cinéma, théâtre, concert, restaurant, je ne m'en souvient pas avec elle. Par ce que pour elle nous avions d'autres chose de plus passionnant à faire honorer la Déesse Aphrodite, la fin de semaine, super, une magnifique journée, soleil radieux, une petite ballade au parc ne serais ce que le parc Monceau, ou celui des buttes Chaumon, je lui demande pas la forêt de Versailles. Bien non à la maison c'est nettement plus sympathique pour profiter l'un de l'autre pleinement, puis aller au restaurant le soir, pourquoi donc elle est bien mieux dans mes bras. Tout ça est des plus sympathique, c'est même valorisant, mais c'est des plus limité aussi, ça fait franchement prison, prisons de délices peut être, mais univers clos sur les plaisir d'Aphrodites, j'ai pas supporté, je suis claustrophobe. 

Pour les coups c'était la Russe, une fille de toute beauté, grande 1m85, 75 kg de muscle, blonde, yeux bleu acier, toujours hyper bien sapée, de toute façon on lui aurait mis un sac à patate sur les fesses tout lui allait, et les mecs se retournaient tous sur son  passage, la bave aux lèvres.  Son trip, les tables tournantes, le mystère, l'occultisme. Avec elle c'était simple les soirée avec toujours plein de monde, les alcool fort, même très fort ça coulait à flot, c'était la fête, demain c'était la fin du monde alors fallait en profiter avant. Les sorties étaient permanente, si on recevait pas on allait chez qui nous reçoit, d'ailleurs nous étions toujours invité de partout. J'était regardé un peu bizarrement l'alcool c'est pas mon truc, moi c'est l'herbe ou la beuh, je garde toute ma tête même quand je suis stone. Mais une fois dans l'intimité l'un et l'autre ça allait, fort bien jusqu'au moment trois jours plus tard, ou elle m'a sorti le fouet, et fallait que je la fouette, le dos tout le corps, les seins. Fallait pas y aller de mains morte en plus je déteste ça, je l'ai fait pour lui faire plaisir, à ça elle y a pris du plaisir, mais en même temps je suis trop doux, je frappais pas comme un vrai homme. Moi qui ai une sainte horreur de la violence physique en amour avec elle j'étais servi, en plus fallait l'insulter pendant les volées. Je veux bien admettre les compensations, mais il y a des limites que je n'ai pas pu supporter et qui m'ont fait fuir. Et pourtant par ailleurs qu'est ce que j'étais bien avec elle, mais bon  c'est la vie. Pour moi j'adore les caresses savantes, longue, faire fantasmer par toute sortes d'évocations, les baisers, les mots d'amour, je suis un doux,certes j'ai des étreintes viriles mais douces, c'est vrai aussi que je pouvais avoir des positions acrobatique même très athlétique que pour moi le sport en chambre pouvait être de haut niveau. Mais on peut pas demander à la foudre d'être un paresseu. 

Pour ce qui concerne les fringues, que de souvenirs vous m'avez rappelé, ou pauvre de nous, ou peuchère,. J'avais une copine qui avait des millier d'escarpins chez elle, elle achetait ça, même pas pour les mettre, par ce qu'elle les trouvait beaux. Votre narration m'a plongé quelque instant dans ce passé. 

Pour le réveil aussi, j'ai follement aimé, ce que j'ai vécu avec des françaises  tout à fait ça, et jamais avec des allemandes qui elles bien au contraire ravies, qui me prenaient dans les bras en me disant merci mon amour , qui fondaient en apprenant  que je m'étais émerveillé à les voir dormir, et qui appréciaient les odes que je leur adressai.

Évidemment le smoking, c'est pas H24 , c'est chez moi le moins longtemps possible, parait que je le porte très bien, mais je me sens dedans déguiser, pour le costumes trois pièces cravates et tout le tremblement parait que je fais grand monsieur, ouai mais je déteste tout autant, enfin je porte ça, quand je suis contraint à respecter certain milieux que je devais côtoyer, civilité s'imposant. Non mon truc à moi, c'est le bon vieux treillis, avec rangers, je peux aller partout avec, c'est solide, ça craint rien, on peut faire de tout, on peut mettre pas mal de choses dans les poches. Pour ça j'ai des point commun avec l'Empereur Caligula, à qui on attribua ce nom, pour le port de la calicule la sandale du légionnaire romain, après j'aime aussi la tenue du bon clochard, par ce que personne ne vous voie, et on entends tout et voie tout, la meilleur tenue pour être invisible. C'est un ami commissaire principal des renseignements généraux, qui m'a donné ce goût la, souvent il était accoutré ainsi. Quand j'étais encore jeune jusqu'à 40 ans, je m'habillais aussi souvent en sport très chic, ( grand couturier c'est vrai ) , honte à moi. Mais aussi en baba cool, dans les années septante.

A part certaine tenue évidemment qui ne peuvent être que prêt à porter, comme le treillis, j'ai jamais trop aimé aller dans de telles boutique, c'est le semi pret à porter, ou tout est fini sur mesure, ça sied mieux et bien plus agréable à porter, certes en clodo, mais de grande classe, faut pas se moquer de la tête des gens quand même. 

Bonjour Prométhée_Hadès,

Veuillez m'excuser, je me suis prise les escarpins dans votre tour d'Europe des femmes.

Vous, vous me faites penser à un ancien chef d'atelier d'un célèbre musée, un artiste, puits de savoir, avec qui l'on pouvait discuter de tout et de rien, jusqu'à pas d'heure -parce qu'il s'intéressait à toutes choses- avec un thé de Chine. La russe donc... c'est une façon dégradée de voir l'amour, à mon sens. Il y a quelque chose à résoudre sur le plan personnel. J'espère que cette dame aura trouvé, un jour, l'apaisement. Vous ne fumez maintenant, tout de même ? 

Et alors la grecque... avoir une vie sexuelle épanouie est important pour le couple mais il ne faut pas que cela (je vous rejoins) et conserver une part d'imprévu, de folie aussi. Une ouverture sur le monde est importante, apprendre, et afin d'avoir au moins un peu de conversation. Pas forcément avoir les mêmes passions mais pouvoir en parler, sans trop que cela vire au dîner de cons, of course. C'est une question d'équilibre, et chaque couple tend à trouver le sien ou finit par ne plus être couple. Les lions, ah je connais fort bien et retrouve toujours un besoin de briller, de trouver à qui répondre, ils sont challengers, ambitieux et il paraît que je ne manque pas de répondant, que j'ai été carriériste. Il y a toujours cette sensation qui revient, une forme de reconnaissance, c'est être en quelque sorte l'égal(e) de l'autre. Des positions acrobatiques ? D'où l'utilité du yoga, peut-être.  

Eh oui, pauvres de vous *sourire* Je ne comprends toujours pas cette manie des femmes de traîner leur homme dans les magasins. La plupart a horreur de cela. Ils s'ennuient, jouent à Candy Crush, quand ils ne sont pas complètement gênés de se trouver au milieu de toutes ces poules. Le pire reste encore de les voir faire le pied de grue, rouge pivoine, dans un magasin de lingerie pendant que madame essaie (et puis pour la surprise, on repassera). Je préfère faire les magasins avec ma mère (et c'est sans doute la femme qui me fait le plus rire au monde. Florence Foresti, va te rhabiller), ma soeur et ce qui est intéressant, c'est que nous flashons toujours toutes 3 sur les mêmes vêtements, et finissons traditionnellement, par nous mettre d'accord au salon de thé. Sinon avec des amies, qui se plaignent de leur jules, le shopping devient alors un exutoire et parfois même une manière de les faire payer au sens premier, comme au figuré. 

Je porte tout ce que j'achète, il y a toujours une occasion de porter une paire de chaussures, et même plusieurs, dans une journée. Si toutes les françaises, les allemandes, les italiennes et etc...réagissent de façon similaire ? J'aurais tendance à penser que non, en général, et dans ce cas précis, je suis une des seules, dans l'entourage à trouver agaçants les hommes qui flattent et font de la poésie au réveil et flippants, les hommes qui observent pendant le sommeil (les autres trouvent cela si romantique). D'ailleurs ça me perturbe dans le sommeil et je me réveille toujours le coeur battant. Le temps de retrouver mes esprits et ensuite j'invective ^^ 

Treillis/rangers ah oui ? Je vous voyais décontracté, pas aussi "baroudeur" ceci dit. Vous bricolez ? Vous savez que c'est un style, le style clodo, vous ne passeriez plus aussi inaperçu maintenant, les plus jeunes se sont appropriés les codes de la rue. Cela s'appelle le style homeless ou l'effet scumbro (scum pour saleté et bro pour brother, frère), il n'y a presque aucune différence pour moi avec les hipster (vêtements étriqués et feu de plancher, barbe trop longue). Ça me désespère. Pour autant, les métrosexuels, ce n'est pas ma came non plus. Houlala tous ces termes anglais ! Souvent ces styles nous viennent des States, alors que nous avons chez nous le chic à la française, si ce n'est pas malheureux ! 

Toutes les femmes ne se ressemblent pas non, tous les individus ne se ressemblent pas trait pour trait, même quand ils partagent une nationalité... par contre, les individus qui subissent la pauvreté seront capables d'endurer beaucoup afin d'en sortir. Certains en profitent, dans un sens et dans l'autre, et cela ne ressemble même pas à un échange de bons procédés. Si vous ne l'avez pas vu, et que vous avez un peu de temps, cette émission est intéressante et résume assez bien la condition d'hommes trop seuls et de femmes trop pauvres. On se sent vite mal à l'aise, la sensation est grandissante au fil de l'épisode.  

 

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Membre, Chien Fou forumeur, 90ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
90ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)
il y a 9 minutes, Léna-Postrof a dit :

 Houlala tous ces termes anglais ! Souvent ces styles nous viennent des States, alors que nous avons chez nous le chic à la française, si ce n'est pas malheureux ! 

Toutes les femmes ne se ressemblent pas non, tous les individus ne se ressemblent pas trait pour trait, même quand ils partagent une nationalité... par contre, les individus qui subissent la pauvreté seront capables d'endurer beaucoup afin d'en sortir. Certains en profitent, dans un sens et dans l'autre, et cela ne ressemble même pas à un échange de bons procédés. Si vous ne l'avez pas vu, et que vous avez un peu de temps, cette émission est intéressante et résume assez bien la condition d'hommes trop seuls et de femmes trop pauvres. On se sent vite mal à l'aise, la sensation est grandissante au fil de l'épisode.  

 

Oh que oui , c'est désespérant cette manie de mettre de l'anglais partout, nous avons nos expressions bien chez nous, de la France profonde qui sont si charmantes. Puis bon je suis suffisamment désespérer pour ça, ça touche un autre sujet, le monde professionnel, j'arrive pas encore à en parler, car là, c'est franchement trop. Le coq ne vous dit rien, alors voilà, mais j'arrive pas encore a avaler. https://fr.wikipedia.org/wiki/Coq_(logiciel) toute les explication de ce super outil sont dans la langue de la perfide Albion, une honte. 

Heureusement que demain tout sera en chinois, au moins il y aura de la culture avec eux. 

Je vous remercie pour cette vidéo que je ne connais pas, je vais la regarder instamment. 

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Le 14/11/2018 à 09:26, Doherty92 a dit :

Oui tu n'as pas tord. Chaque jour est différent et pour le coup, hier je me suis rendu compte que sa froideur commençait à me m'énerver hier. Quand je lui parle de projet elle se braque, du coup je pense avoir ma réponse. Je vais prendre un peu de distance voir si cela est confirmé. En fait française ou étrangère je pense que j'attire toujours ce profil de femme qui est mal dans sa peau. Pourtant je pense être stable, équilibré, peut-être rêveur en amour mais y croire n'est pas méchant je pense.

Lol, tu es sanglant toi. Tu es en couple ? Pourquoi ne pas faire de sentiment, se sentir aimer et aimer c'est formidable non ? Pourquoi cette société ne croit plus en rien ? 

 

Merci les amis pour vos réponses. Je crois que je vais réfléchir à 2 fois, et mon appel avec elle m'a confirmé les choses.

Les femmes sont de façon général plus froides et distantes, 50 ans de féminisme sont passés par là...

Le romantisme à la poubelle, la galanterie depuis belle lurette lynchée au pilori, le couple  et la famille déconstruis car une forme gratuite de la prostitution.. et bien entendu quand un homme s'intéresse à une femme étrangère il a droit au cocktail " racisme-misogynie-machisme", mélange explosif pour défendre la " (sainte) femme française...

Ne te laisse pas polluer par les aigries, laisse tes sentiments s'exprimer et cherche à vivre ton rêve sentimental, il n'y a que ça de vrai...étrangère ou française il reste des femmes sincères et prêtes à s'engager sincèrement dans une belle relation amoureuse...

courage!

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