Et si nous parlions de la reforme des retriates

Le problème, c'est qu'on ne peut pas à la fois faire dans le Luxe inutile (exemple à Brest d'un tramway pas vraiment nécessaire à 500 millions d'euros et d'un téléphérique ridicule), et en même temps assurer un minimum décent aux citoyens.

Certains vont me dire que le tramway, c'est de l'argent emprunté. C'est vrai. Mais il y a quand même les intérêts à payer.

Je suis horrifié quand je constate que personne ne pense aux sénateurs, dont une grande majorité a dépassé les 60 ans. Ils travaillent durement et longtemps !    Il est normal qu'ils soient largement payés, ces non-indispensables ! On va quand même pas verser 1500 € par mois aux femmes de ménages et aux agriculteurs !

il y a une heure, Morfou a dit :

Je sais, j'en touche une!

t'as bien de la chance, si j'ai droit a une pension misérable a 65 ans ce sera un miracle

Il y a 5 heures, pluc89 a dit :

A la création du régime général de retraite, il était déjà question de fusionner tous les régimes déjà existant. Devant l'hostilité des syndicats des fonctionnaires et des salariés des entreprises publiques, directement concernés, les politiciens ont reculé. Déjà des voix s'élevaient pour annoncer que ce système ne serait plus finançable à terme. L'échéance alors annoncé était 2050.

En 1953, le ministre Jean-Marie Louvel a voulu faire voter une réforme permettant de corriger les erreurs du système mis en place et de fusionner les différents régimes existants. Devant l'hostilité des syndicats des fonctionnaires et des salariés des entreprises publiques, directement concernés, les politiciens ont reculé.

Charles de Gaulle demandera un rapport sur ce sujet. Son Premier Ministre, Georges Pompidou, rappelle lors d'un entretien télévisé qu'il faudra bien s'occuper du régime général des retraites qui ne sera plus finançable en 2050 (Voir archives de INA). Devant l'hostilité des syndicats des fonctionnaires et des salariés des entreprises publiques, directement concernés, les politiciens ont reculé.

Quelques decénnies plus tard, Michel Rocard,Premier Ministre de François Mitterrand, fera faire un Livre Blanc sur ce même sujet, avec les mêmes conclusions alarmistes. Devant l'hostilité des syndicats des fonctionnaires et des salariés des entreprises publiques, directement concernés, les politiciens ont reculé.

L'échéance intervient alors plus tôt que prévu. Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy, François Hollande et leur gouvernement successifs sont confrontés à cette échéance. Ils prennent quelques mesures qui en retardent l’arrivée, mais le problème reste entier.

Que doivent faire notre Président actuel et son gouvernement ? Doivent-ils enfin régler le problème, fusionner les régimes, mettre en place un régime respectant le principe "Liberté, Égalité, Fraternité" ou comme ses prédécesseurs, devant l'hostilité des syndicats de fonctionnaires et des salariés des entreprises publiques, directement concernés, doivent-ils reculer ?

De la poésie et de l'instruit,

Ce n'est de la mise en plie.

Et l'auteur de ce texte,

et sans contexte,

De l'érudit je vous le dis,

Mais le maudit,

Reste le petit,

de nos hommes politiques.

qui restent sans l'idée,

car la peur

C'est comme l'horreur,

de l'idée

de penser vrai.

Il y a 3 heures, LAKLAS a dit :

Le problème aujourd'hui c'est l'égoïsme des gens. Chacun n'agit que pour SA gueule en se moquant ouvertement de la morale ou de la justice et c'est tout le problème de la société d'aujourd'hui !!

pour ce qui est de la retraite l'Histoire montre que c'était déjà le cas en 1945, et que devant ce problème rous les politicards ont reculé !

il y a 1 minute, pluc89 a dit :

pour ce qui est de la retraite l'Histoire montre que c'était déjà le cas en 1945, et que devant ce problème rous les politicards ont reculé !

aujourd'hui

l’espoir, ce n'est pas de la poire,

de la retraite, c'est comme la guerre

ce n'est l'affaire, pas du téméraire,

seul du grabataire.