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Roberto Saviano : « Le nouveau gouvernement italien a déjà causé trop de mal »


Invité fx.

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chanou 34 Membre 25 890 messages
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il y a 2 minutes, fx. a dit :

Ce que tu veux déduire(dont je me fous éperdument) et la réalité sont des choses assez éloignées que ton idéologie masque mal.

Ah bah voilà, on a réussi à trouver un point d'accord :D ;  je me fiche tout autant de ce que vous croyez avoir compris de mon "idéologie".

il n'empêche que les faits sont là ; les ministres 5 étoiles gouvernent avec ceux de la ligue.

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à l’instant, chanou 34 a dit :

Ah bah voilà, on a réussi à trouver un point d'accord :D ;  je me fiche tout autant de ce que vous croyez avoir compris de mon "idéologie".

Voilà tu peux donc aller troller ailleurs.

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Membre, 153ans Posté(e)
chanou 34 Membre 25 890 messages
Maitre des forums‚ 153ans‚
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il y a 1 minute, fx. a dit :

Voilà tu peux donc aller troller ailleurs.

Comment comment, poser la question de la cohérence du gouvernement  italien c’est troller?

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à l’instant, chanou 34 a dit :

Comment comment, poser la question de la cohérence du gouvernement  italien c’est troller?

Oui quand on ne fait que ça sur tous ses messages :)

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Membre, 153ans Posté(e)
chanou 34 Membre 25 890 messages
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à l’instant, fx. a dit :

Oui quand on ne fait que ça sur tous ses messages :)

je veux bien ne plus la reposer, mais elle est centrale. Et c’est bien la première question que Saviano devrait poser.

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il y a 3 minutes, chanou 34 a dit :

je veux bien ne plus la reposer, mais elle est centrale. Et c’est bien la première question que Saviano devrait poser.

Tu n'as plus qu'à créer ton sujet, où tu pourras te dédouaner des responsabilités de ton idéologie, chose que lui ne fait pas dans cet article que tu n'as pas lu.

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PASCOU Membre 92 138 messages
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il y a 27 minutes, chanou 34 a dit :

nan nan nan...moi c’est l'alliance 5 étoiles et ligue que je trouve bizarre...et je me pose des questions sur l'éthique et la cohérence des ministres de ce gouvernement.

Ils ont juste des points de convergence.

Macron a fait pareil.

 

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Membre, 153ans Posté(e)
chanou 34 Membre 25 890 messages
Maitre des forums‚ 153ans‚
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il y a 5 minutes, fx. a dit :

Tu n'as plus qu'à créer ton sujet, où tu pourras te dédouaner des responsabilités de ton idéologie,

Ca fait deux fois que vous parlez de mon "idéologie" ; vous ne savez pas répondre sans faire des mises en cause personnelles de vos interlocuteurs?

Citation

chose que lui ne fait pas dans cet article que tu n'as pas lu.

raté.

Bonne soirée.

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Posté(e)
il y a 2 minutes, chanou 34 a dit :

Ca fait deux fois que vous parlez de mon "idéologie" ; vous ne savez pas répondre sans faire des mises en cause personnelles de vos interlocuteurs?

Pourquoi je répondrais à des questions biaisées et partisanes ?

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Membre, 153ans Posté(e)
chanou 34 Membre 25 890 messages
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il y a 2 minutes, PASCOU a dit :

Ils ont juste des points de convergence.

Pascou...à ce niveau ce ne sont pas les points de convergence qui comptent, mais bien les différences.

Citation

Macron a fait pareil.

Ce n'est pas ce qu'il a fait de mieux.

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PASCOU Membre 92 138 messages
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il y a 53 minutes, fx. a dit :

La tentation extrémiste des droites européennes

En recul, la droite européenne cherche soit à s’allier avec les partis d’extrême droite, soit à s’inspirer de leurs positions.

 

L’arrivée de l’extrême droite au pouvoir en Italie, au sein d’une coalition antisystème avec le Mouvement 5 étoiles, est un événement majeur pour la droite européenne. Pour la première fois, la Ligue de Matteo Salvini a pris nettement le dessus sur une formation conservatrice longtemps dominante, Forza Italia de Silvio Berlusconi, pour mieux s’affranchir du pacte qui les liait.

L’inversion du rapport de forces au sein des droites italiennes constitue-t-elle un précédent susceptible de se répéter dans d’autres pays confrontés à la montée des forces souverainistes d’extrême droite ? La question tétanise les partis libéraux, tout comme les conservateurs européens, réunis à Munich mercredi 6 et jeudi 7 juin. Les craintes de ces derniers sont d’autant plus vives qu’ils sont, comme les sociaux-démocrates mais dans une moindre mesure, en recul dans l’ensemble du continent. Pour revenir au gouvernement ou éviter de sombrer dans l’opposition, la droite européenne est tentée soit de s’allier avec l’extrême droite, soit de s’inspirer de ses positions.

Lire notre enquête :   L’illibéralisme, là où s’abîme la démocratie

Les conservateurs viennent de perdre le pouvoir en Espagne et ne participent plus qu’à une douzaine de gouvernements au sein de l’Union européenne, après avoir longtemps été en position hégémonique. Ils sont le plus souvent en coalition, soit avec la gauche (Allemagne), soit avec les Verts (Estonie), soit avec les libéraux (Pays-Bas), soit enfin avec l’extrême droite (Autriche et Bulgarie). A Sofia, Boïko Borissov est ainsi revenu au pouvoir en mars 2017 grâce à son alliance avec des dirigeants du Front patriotique, une coalition nationaliste et xénophobe.

Le cas autrichien constitue un tournant. Alors que Vienne avait été presque mis au ban de l’Union européenne en 2000 après l’entrée du FPÖ de Jörg Haider (extrême droite, allié au Front national) dans un gouvernement dirigé par les conservateurs, il n’en a rien été début 2018. Le jeune chancelier Sebastian Kurz, dont le pays prendra la présidence tournante de l’UE le 1er juillet, domine l’espace médiatique. Quant à l’extrême droite autrichienne, elle ne s’est nullement effondrée dans les sondages, comme cela avait été le cas en 2000. En légère baisse, elle se maintient à un niveau important, preuve que la stratégie de son leader, Heinz-Christian Strache, qui n’a pas lissé son expression, semble porter ses fruits.

A ce jour, c’est la figure du premier ministre hongrois, Viktor Orban, qui symbolise le mieux les liaisons incestueuses entre la droite de gouvernement et celle qui se revendique « illibérale ». En Hongrie, Viktor Orban a réussi à appliquer une politique digne de l’extrême droite sur l’immigration et à imposer une rhétorique complotiste – contre le financier et philanthrope juif américain d’origine hongroise George Soros –, tout en restant un membre clé du Parti populaire européen, la plate-forme qui fédère les conservateurs en Europe.

Alliance ponctuelle danoise

Ailleurs, une partie des idées d’extrême droite est reprise par des élus censés être plus modérés, comme l’a fait en vain Silvio Berlusconi en Italie. Ainsi, le gouvernement de droite danois, minoritaire au Parlement, compte-t-il au coup par coup sur le soutien du Parti du peuple danois (populiste). Cette alliance ponctuelle a contribué à nettement durcir la politique migratoire du royaume.

Aux Pays-Bas, un glissement à droite s’est également opéré en une vingtaine d’années. Le libéral Mark Rutte – surnommé « le caméléon » pour sa capacité à s’adapter à son environnement – a endigué en 2017 le phénomène populiste et extrémiste en tenant un discours très dur sur l’immigration, sujet fétiche de Geert Wilders et de son Parti pour la liberté. En reprenant des thèmes sécuritaires ou en adoptant une position ferme à l’égard de la Turquie, M. Rutte a, avec ses alliés chrétiens-démocrates, coupé l’herbe sous le pied du leader populiste, qui ne peut plus que dénoncer le « hold-up » dont il serait victime.

Laurent Wauquiez, à la tête du parti Les Républicains depuis décembre 2017, adopte une posture similaire, contestée en interne par ses détracteurs. Il ne cesse de promettre depuis des mois l’émergence d’une droite « vraiment de droite », qui partirait à la reconquête des électeurs du Front national – sans prôner pour autant une alliance avec le parti d’extrême droite. « Ce sont bien souvent des électeurs de droite que nous avons écœurés et qui se sont tournés vers le FN : ils trouvaient que la parole de la droite était chevrotante », s’est justifié le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes dans un entretien au Figaro, le 25 avril.

En Allemagne, contenir la poussée de l’AfD

Immigration, terrorisme, sécurité, ruralité… Dans de nombreux domaines, l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy n’hésite pas à adopter les mêmes postures ou les mêmes termes que le parti lepéniste. Face à une Marine Le Pen affaiblie par son débat raté contre Emmanuel Macron durant l’entre-deux tours de l’élection présidentielle, M. Wauquiez n’hésite d’ailleurs pas à user du parallèle avec l’Allemagne, où les populistes de l’AfD ont grimpé en flèche ces dernières années, pour critiquer en creux la politique d’Angela Merkel : « En Allemagne, il fut une époque où la devise était : “Rien à droite de la CDU.” Quand la droite allemande occupait tout son espace, il n’y avait pas d’extrême droite. »

En Allemagne, les conservateurs (CDU-CSU) ont décidé de contenir la poussée de l’AfD, sans chercher à s’y associer. Angela Merkel l’a souvent répété : la question d’une participation de l’AfD à une coalition dirigée par la CDU n’est même pas envisageable. Il n’empêche : la présence, pour la première fois depuis soixante ans, de députés d’extrême droite au Bundestag (92 sur 730) a poussé les conservateurs à durcir leurs positions au cours des derniers mois. La nomination au ministère de l’intérieur de Horst Seehofer, président de la CSU bavaroise et contempteur de la politique d’accueil de Mme Merkel à l’égard des réfugiés, est le symbole de cette inflexion.

Lire aussi :   Angela Merkel lance la campagne en vue des élections européennes

Cette stratégie sera-t-elle payante ? Une première réponse sera donnée le 14 octobre, jour des élections régionales en Bavière. Menacés par l’AfD, qui a obtenu dans cet Etat-région son meilleur résultat (12,4 %) de toute l’ex-Allemagne de l’Ouest aux législatives de 2017, les conservateurs bavarois multiplient les initiatives à l’adresse de la frange la plus droitière de l’électorat : obligation des crucifix dans les bâtiments publics, élargissement des prérogatives de la police en matière de surveillance des citoyens, affrètement d’avions par la Bavière pour procéder à des expulsions d’étrangers en situation irrégulière sans attendre l’intervention de l’Etat fédéral… Si la CSU venait à céder encore du terrain à l’AfD sur ses terres, l’onde de choc dépasserait les frontières de l’Allemagne et nourrirait un peu plus la tentation extrême de la droite.

https://abonnes.lemonde.fr/europe/article/2018/06/08/la-tentation-extremiste-des-droites-europeennes_5311611_3214.html

Ce sont juste les causes d'une politique qui déçoit. 

il y a 4 minutes, chanou 34 a dit :

Pascou...à ce niveau ce ne sont pas les points de convergence qui comptent, mais bien les différences.

Ce n'est pas ce qu'il a fait de mieux.

Mais Chanou le front republicain était du même acabit, non?

Puis je me demande ce que donnera en2022 l'alliance droite gauche de Macron?

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il y a 1 minute, PASCOU a dit :

Ce sont juste les causes d'une politique qui déçoit. 

Laurent Collomb et Marine Wauquiez

Aujourd’hui, l’extrême droite peut constater combien sa rhétorique de l’invasion a gangrené les esprits comme un poison lent.

 

En 1998, la France célèbre Zidane et le Front national constate la limite de son discours dans une société française de plus en plus métissée. La figure de l’Algérien devient un héros positif, même pour une partie de ses électrices et électeurs. Quatre ans plus tard, malgré le matraquage du lien « délinquance-violences-immigration », 82 % des Français disent non à l’extrême droite au deuxième tour de la présidentielle. On dit alors que la République a gagné. Si les gouvernants montrent par la suite qu’ils n’ont pas saisi grand-chose de l’Histoire qui se joue alors, Marine Le Pen, quand elle prend les rênes du Front national, le comprend très vite. Elle s’attèle à faire grandir son mouvement en avalant – dans une dialectique permanente – des concepts républicains contraires à son ADN. L’entreprise gramsciste de diffusion profonde de ses idées commence donc par une entreprise de triangulation. « À bas la Ripoublique », certes, mais désormais, aussi… vive la République ! À toutes les sauces et sur tous les tons.

La pêche aux chevènementistes prend notamment Florian Philippot dans ses filets, prouvant alors cette conversion à la République. Mais aussi des concepts, comme celle de « l’insécurité culturelle » des Français. Dans cette opération, la transformation de la laïcité en un instrument de mise au pas des immigrés musulmans est d’ailleurs la tentative la plus aboutie, tant il est vrai que la crispation identitaire se noue d’abord contre les signes visibles ou supposés de l’islam. La mue de l’extrême droite accouche ainsi d’une xénophobie toute républicaine qui se satisfait de l’existence du bon Arabe qui chante « La Marseillaise » et marque des buts (ou du bon Noir quand il est capable d’escalader un immeuble pour sauver un enfant) mais qui n’oublie pas de dire néanmoins qu’« ils » ne sont pas comme nous.

Le but est affiché : la normalisation, l’assimilation jusqu’au renoncement de soi. L’effacement. Aujourd’hui, l’extrême droite peut constater combien sa rhétorique de l’invasion a gangrené les esprits comme un poison lent. Ainsi la peur du « grand remplacement » est-elle reprise tranquillement et aussi bien par Laurent Wauquiez qui veut que « la France reste la France » que par le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, qui nous parle de « véritable submersion ». Au fond, ce sont désormais les mêmes.

 

https://www.politis.fr/articles/2018/06/laurent-collomb-et-marine-wauquiez-39015/

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chanou 34 Membre 25 890 messages
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il y a 14 minutes, PASCOU a dit :

 

Mais Chanou le front republicain était du même acabit, non?

Non et je me demande ce que donnera en2022 l'alliance droite gauche de Macron?

Pascou allons... 5étoiles et la Ligue sont aux deux bouts de l'échiquier politique...

https://www.lemonde.fr/europe/article/2018/06/15/en-italie-luigi-di-maio-face-a-la-tornade-matteo-salvini_5315486_3214.html

 

Comment Di Maio n'a-t-il pas honte d'avoir un ministre de l'intérieur comme Salvini, étant ce qu'il est? Comment peut-il rester dans ce gouvernement?? Ca ne tiendra pas. Ou si ça tient ce sera au prix du renoncement des valeurs fondamentales de l'un ou de l'autre, et ça signifiera que ...finalement..ces valeurs n'étaient pas si fondamentales que ça.

 

Bonne soirée. :)

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PASCOU Membre 92 138 messages
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il y a 1 minute, fx. a dit :

Laurent Collomb et Marine Wauquiez

Aujourd’hui, l’extrême droite peut constater combien sa rhétorique de l’invasion a gangrené les esprits comme un poison lent.

 

En 1998, la France célèbre Zidane et le Front national constate la limite de son discours dans une société française de plus en plus métissée. La figure de l’Algérien devient un héros positif, même pour une partie de ses électrices et électeurs. Quatre ans plus tard, malgré le matraquage du lien « délinquance-violences-immigration », 82 % des Français disent non à l’extrême droite au deuxième tour de la présidentielle. On dit alors que la République a gagné. Si les gouvernants montrent par la suite qu’ils n’ont pas saisi grand-chose de l’Histoire qui se joue alors, Marine Le Pen, quand elle prend les rênes du Front national, le comprend très vite. Elle s’attèle à faire grandir son mouvement en avalant – dans une dialectique permanente – des concepts républicains contraires à son ADN. L’entreprise gramsciste de diffusion profonde de ses idées commence donc par une entreprise de triangulation. « À bas la Ripoublique », certes, mais désormais, aussi… vive la République ! À toutes les sauces et sur tous les tons.

La pêche aux chevènementistes prend notamment Florian Philippot dans ses filets, prouvant alors cette conversion à la République. Mais aussi des concepts, comme celle de « l’insécurité culturelle » des Français. Dans cette opération, la transformation de la laïcité en un instrument de mise au pas des immigrés musulmans est d’ailleurs la tentative la plus aboutie, tant il est vrai que la crispation identitaire se noue d’abord contre les signes visibles ou supposés de l’islam. La mue de l’extrême droite accouche ainsi d’une xénophobie toute républicaine qui se satisfait de l’existence du bon Arabe qui chante « La Marseillaise » et marque des buts (ou du bon Noir quand il est capable d’escalader un immeuble pour sauver un enfant) mais qui n’oublie pas de dire néanmoins qu’« ils » ne sont pas comme nous.

Le but est affiché : la normalisation, l’assimilation jusqu’au renoncement de soi. L’effacement. Aujourd’hui, l’extrême droite peut constater combien sa rhétorique de l’invasion a gangrené les esprits comme un poison lent. Ainsi la peur du « grand remplacement » est-elle reprise tranqument et aussi bien par Laurent Wauquiez qui veut que « la France reste la France » que par le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, qui nous parle de « véritable submersion ». Au fond, ce sont désormais les mêmes.

 

https://www.politis.fr/articles/2018/06/laurent-collomb-et-marine-wauquiez-39015/

Je pense juste que la situation de précarité et l'instabilité que subissent de plus en plus de français sont la première cause .

Wauquiez cherche juste à récupérer l'électorat du FN comme melenchon d'ailleurs, chacun sa methode.

 

il y a 2 minutes, chanou 34 a dit :

Pascou allons... 5étoiles et la Ligue sont aux deux bouts de l'échiquier politique...

https://www.lemonde.fr/europe/article/2018/06/15/en-italie-luigi-di-maio-face-a-la-tornade-matteo-salvini_5315486_3214.html

 

Comment Di Maio n'a-t-il pas honte d'avoir un ministre de l'intérieur comme Salvino, étant ce qu'il est? Comment peut-il rester dans ce gouvernement?? Ca ne tiendra pas. Ou si ça tient ce sera au prix du renoncement de ses valeurs fondamentales, de l'un ou de l'autre.

Mais la droite et le ps aussi et au fur et à mesure de leur porosité et du même discours europeiste et mondialiste les votes ont dérivés aux extrêmes. 

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Le M5S est-il de droite ou de gauche ?

À cette question du correspondant de Libération à Rome, Carlo Freccero, professeur de sociologie de la communication et du langage des médias à l’université de Gênes et membre du conseil d’administration de la Rai (la télévision publique italienne) sur proposition du Mouvement Cinq Étoiles, a répondu: «Être de gauche en Italie a pris au cours des dernières années une signification sinistre car le centre gauche a totalement embrassé le néolibéralisme en l’identifiant au progrès. Il a été assimilé au pouvoir, à l’establishment, à l’Europe, aux banques, à la globalisation. Le M5S n’a jamais pensé prendre la place de la gauche. Il a simplement interprété le nouveau mode de pensée dicté par les réseaux sociaux, sur lesquels les grandes visions et narrations ne comptent plus, mais où l’on travaille sur des remèdes urgents et concrets. Ils ne sont ni de droite ni de gauche. Ils ont une position économique plus keynésienne que libérale mais sur certains thèmes comme l’immigration, ils penchent à droite. Le M5S est syncrétique.»

Un électorat venu du centre

Pour Jérémy Dousson, interrogé lors d’un Mediapart Live, il s’agit d’une question de point de vue: «En général, les gens situent le M5S par rapport à eux. Et donc typiquement les lecteurs de Mediapart, ou même les journalistes à Mediapart ou autre vont avoir tendance plutôt à le placer à droite et c’est clair que par rapport à Potere al Popolo, par rapport à Libres et égaux, le Mouvement 5 étoiles est plus à droite. Maintenant moi je me suis positionné dans mon livre du point de vue de l’électorat. Et très clairement, c’est flagrant, c’est un électorat centriste en fait. Très dispersé, c’est-à-dire que les chercheurs en sciences politiques appellent ça un parti attrape-tout («catch all party») mais qui est dispersé autour du centre, ça va loin à gauche, loin à droite, mais quand même centriste.»

Effectivement, selon une enquête menée par l’institut de sondage Ixé au lendemain des élections générales, le M5S capte essentiellement des voix du centre, et tout particulièrement de la coalition centriste Avec Monti pour l’Italie.

http://www.liberation.fr/checknews/2018/06/05/comment-positionner-politiquement-le-mouvement-5-etoiles_1656522

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à l’instant, fx. a dit :

Le M5S est-il de droite ou de gauche ?

À cette question du correspondant de Libération à Rome, Carlo Freccero, professeur de sociologie de la communication et du langage des médias à l’université de Gênes et membre du conseil d’administration de la Rai (la télévision publique italienne) sur proposition du Mouvement Cinq Étoiles, a répondu: «Être de gauche en Italie a pris au cours des dernières années une signification sinistre car le centre gauche a totalement embrassé le néolibéralisme en l’identifiant au progrès. Il a été assimilé au pouvoir, à l’establishment, à l’Europe, aux banques, à la globalisation. Le M5S n’a jamais pensé prendre la place de la gauche. Il a simplement interprété le nouveau mode de pensée dicté par les réseaux sociaux, sur lesquels les grandes visions et narrations ne comptent plus, mais où l’on travaille sur des remèdes urgents et concrets. Ils ne sont ni de droite ni de gauche. Ils ont une position économique plus keynésienne que libérale mais sur certains thèmes comme l’immigration, ils penchent à droite. Le M5S est syncrétique.»

Un électorat venu du centre

Pour Jérémy Dousson, interrogé lors d’un Mediapart Live, il s’agit d’une question de point de vue: «En général, les gens situent le M5S par rapport à eux. Et donc typiquement les lecteurs de Mediapart, ou même les journalistes à Mediapart ou autre vont avoir tendance plutôt à le placer à droite et c’est clair que par rapport à Potere al Popolo, par rapport à Libres et égaux, le Mouvement 5 étoiles est plus à droite. Maintenant moi je me suis positionné dans mon livre du point de vue de l’électorat. Et très clairement, c’est flagrant, c’est un électorat centriste en fait. Très dispersé, c’est-à-dire que les chercheurs en sciences politiques appellent ça un parti attrape-tout («catch all party») mais qui est dispersé autour du centre, ça va loin à gauche, loin à droite, mais quand même centriste.»

Effectivement, selon une enquête menée par l’institut de sondage Ixé au lendemain des élections générales, le M5S capte essentiellement des voix du centre, et tout particulièrement de la coalition centriste Avec Monti pour l’Italie.

http://www.liberation.fr/checknews/2018/06/05/comment-positionner-politiquement-le-mouvement-5-etoiles_1656522

Oui et puis on nous parle toujours de plafond de verre etc..

 

Et bien il finit partout par crever.

Cantonner les gens sous des appelations xenophobes racistes etc..

Ne fonctionne plus je pense.

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PASCOU Membre 92 138 messages
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Je pense même  que après Macron les électeurs  voteront sans scrupule pour le RN ou pour  la FI rien que pour le virer et passeront facilement dun bord à  l'autre.

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il y a 6 minutes, PASCOU a dit :

Cantonner les gens sous des appelations xenophobes racistes etc..

Ne fonctionne plus je pense.

C'est vrai que faire des recensements ethniques comme pour les roms, ce ne sont pas des pratiques racistes.

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PASCOU Membre 92 138 messages
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à l’instant, fx. a dit :

C'est vrai que faire des recensements ethniques comme pour les roms, ce ne sont pas des pratiques racistes.

Quel rapport avec ce que je dis?

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à l’instant, PASCOU a dit :

Quel rapport avec ce que je dis?

La preuve que tu dis des conneries .

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