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En Essonne, les policiers des BAC doivent se regrouper

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En fait, c'est le jeu de la chaise musicale....

Rennes. Les CRS remplacent les surveillants en arrêt maladie

Si les actions de blocages des gardiens de prison marquaient une pause dans l'Hexagone au cours du week-end, le mouvement de protestation s'est poursuivi d'une autre façon à la maison d'arrêt de Vezin-le-Coquet, près de Rennes. En effet, une partie du personnel n'a pas repris le service après avoir déposé des arrêts maladies. Au total, la moitié des surveillants, soit 16 personnes samedi et 25 dimanche, se sont ainsi fait porter pâle. À la demande de l'administration pénitentiaire et de la préfecture, ce sont les forces de l'ordre qui ont dû assurer l'intérim. Une demi-compagnie de CRS, actuellement basée à Nantes, est ainsi venue renforcer le personnel non gréviste afin de permettre notamment le bon déroulement des parloirs lors de la centaine de visites prévue entre les détenus et leurs familles.

http://www.letelegramme.fr/ille-et-vilaine/rennes/rennes-les-crs-remplacent-les-surveillants-en-arret-maladie-28-01-2018-11830412.php

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Les services de la sûreté départementale du Pas-de-Calais enquêtaient depuis plus d’un an. Ce lundi, après des mois et des mois de travail pour démanteler un trafic de drogue, l’équipe de la sûreté départementale a interpellé cinq individus sévissant sur le secteur de la place de France et de la rue de l’Amiral-Bruix à Boulogne. Ce trafic d’héroïne, de canabis et de cocaïne était dirigé par un mineur de 14 ans, surnommé «  Tahïti Bob  ».

http://lavdn.lavoixdunord.fr/387666/article/2018-05-31/un-ado-de-14-ans-la-tete-d-un-trafic-de-drogue-boulogne

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/boulogne-sur-mer-un-ado-de-15-ans-a-la-tete-d-un-trafic-de-drogue-1527778161

:facepalm:

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Policiers brûlés à Viry-Châtillon: le parquet demande un procès aux assises pour 13 suspects

Évry - Le parquet d'Evry a requis un renvoi aux assises pour 13 des 17 mis en examen dans l'affaire de l'attaque aux cocktails Molotov de policiers à Viry-Châtillon (Essonne) en octobre 2016, a-t-il indiqué vendredi.

Pour ces 13 suspects, dont trois sont mineurs, le parquet demande une mise en accusation pour tentative d'homicide sur personne dépositaire de l'autorité publique. Un non-lieu a été requis pour les quatre autres mis en examen.  

Le 8 octobre 2016, deux véhicules de police stationnés en lisière de la Grande Borne, une cité difficile à cheval sur les communes de Grigny et Viry-Châtillon, avaient été pris d'assaut par un groupe de personnes encagoulées munies de 13 cocktails Molotov. Les deux véhicules s'étaient embrasés, deux policiers avaient été grièvement brulés et deux autres légèrement blessés. 

L'agression avait eu un immense retentissement et déclenché une fronde inédite et spontanée de policiers "en colère", qui, bravant leur devoir de réserve, avaient défilé durant plusieurs semaines à Paris et dans plusieurs villes de France pour exprimer leur "malaise" face à la "haine anti-flics", et dénoncer le manque de moyens. 

Les 17 mis en examen dans cette affaire étaient âgés de 16 à 21 ans lors de l'attaque. La plupart appartiennent à une même bande, connue dans le quartier de la Grande Borne. Douze d'entre eux ont été placés en détention provisoire et cinq ont obtenu une remise en liberté avec contrôle judiciaire. 

https://www.lexpress.fr/actualites/1/societe/policiers-brules-a-viry-chatillon-le-parquet-demande-un-proces-aux-assises-pour-13-suspects_2013525.html

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On ne parle jamais d'eux....

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Les PSPG au cœur de la chaîne de contre-terrorisme

Les PSPG au cœur de la chaîne de contre-terrorisme  © MI/Sirpa G/F. Balsamo

Les vingt pelotons spécialisés de protection de la gendarmerie (PSPG) ont été créés et entraînés pour faire face à une menace terroriste contre les centres nucléaires de production d'électricité. En marge de cette mission principale et prioritaire, ces unités d'intervention apportent leur concours lors de missions de police judiciaire et administrative.


Les pelotons spécialisés de protection de la gendarmerie (PSPG) ont été expérimentés en 2008. L'année suivante, une convention entre l'exploitant des centres nucléaires de production d'électricité (CNPE), EDF et la gendarmerie a été signée, avalisant ce dispositif. Ces unités, aujourd'hui au nombre de vingt, sont un maillon clé du dispositif de protection des centrales françaises. Le plan en mesure de faire face gouvernemental NRBC de 2010 les conforte d'ailleurs au rang d'unités de contre-terrorisme.

Installés àproximité immédiate des centrales nucléaires, leurs militaires ont pour mission principale de les protéger. Ils doivent être en mesure de faire face à un commando lourdement armé et déterminé à mettre le site en péril. Outre la prévention des actes terroristes et des tentatives de sabotage, ils luttent contre les actes malveillants, comme les intrusions ou les vols de matière nucléaire. La sécurité passive sur le CNPE et ses alentours est de la responsabilité d'EDF. En cas d'intrusion ou de suspicion, les personnels de la protection de site alertent les militaires du PSPG présents en permanence et en mesure d'intervenir dans les meilleurs délais. Quand ils ne sont pas en intervention, les gendarmes entretiennent leur condition physique, perfectionnent leurs connaissances techniques, renseignent le dossier d'objectif de la centrale et renforcent leurs liens avec les différents personnels. La recherche de renseignement active est également un élément primordial afin de "prévenir et anticiper". Outre les canaux officiels, les gendarmes ont tissé un véritable réseau d'alerte.

« Dès leur arrivée, les gendarmes ont mis en évidence les fragilités dans la protection du site. À chaque problème, ils apportaient des propositions de solutions. Nous sommes dès lors entrés dans une logique intégrant cette dimension sécuritaire, qui n'avait pas été prise en compte lors de la construction de la centrale, note par exemple Thierry Schall, directeur du CNPE de Chinon. Le fait que les gendarmes assurent une présence permanente sur le site, qu'ils s'y entraînent, qu'ils rencontrent les équipes, qu'ils connaissent les installations parfois mieux que nous a contribué à une meilleure compréhension des enjeux de sécurité. Avec les PSPG, nous avons trouvé une réponse robuste. »

Le GIGN forme les gendarmes du PSPG aux pratiques d'intervention en milieu à risques. Une instruction régulière leur est donnée au niveau technique, mais également en matière de commandement et de gestion de crise face à une attaque terroriste ou potentiellement terroriste. « Cette architecture permet de tendre vers une homogénéité des procédures en cas d'engagement conjoint et de garantir l'interopérabilité des unités », précise le colonel Benoît F., du GIGN. Les militaires du PSPG peuvent en effet être amenés à préparer l'intervention du GIGN selon les modalités du groupe, voire même à agir de façon concourante avec lui. Le GIGN exerce par ailleurs un contrôle opérationnel sur les PSPG. « Lors de chaque engagement duPSPG en mission de police judiciaire ou administrative, l'officier du PSPG appelle l'officier de seconde alerte du GIGN pour une évaluation de la situation et la validation du dispositif opérationnel. En cas de déclenchement d'un code orange, a fortiori rouge sur le CNPE, c'est-à-dire suspicion ou intrusion, le commandant du PSPG appelle l'officier de première alerte pour l'informer de la menace et des premières mesures prises », poursuit l'officier du GIGN. Si la mission est de son niveau, le PSPG s'engagera en propre. « En cas de crise majeure, c'est l'ensemble de la chaîne de contre-terrorisme nucléaire, du PSPG au GIGN, en intégrant les PI2G, qui est en capacité d'agir sous le contrôle opérationnel du GIGN. Ils disposent d'outils communs et de procédures homogènes régulièrement testées et validées à l'occasion d'exercices ou d'entraînements. »

Aux interventions sur les CNPE se greffent des missions de maintien en condition opérationnelle contractuali sées avec l'opérateur. « Les PSPG ont été créés, formés et entraînés pour faire face à une menace terroriste. Ils sont exclusivement dédiés à la sécurité de la centrale. Toutefois, une mise en situation réelle régulière est nécessaire pour garantir une efficacité optimale. Ces unités de contre-terrorisme doivent donc pouvoir travailler sur un spectre de missions en lien avec leur mission prioritaire, explique la capitaine Delphine V., de la Section défense sécurité intérieure du Bureau défense et sécurité nationale. Ces missions doivent satisfaire à trois prin cipes de base. Il faut maintenir en permanence un certain nombre de personnels sur le site. La mission annexe doit être réversible, de sorte que les militaires du PSPG soient en mesure de rapidement revenir sur la centrale. Enfin, leur rayon d'action est défini avec l'opérateur en termes de contrainte horaire. »


 

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/avoine-un-gendarme-de-36-ans-se-suicide-avec-son-arme-de-service-1527866724

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Un gendarme du peloton spécialisé de protection de la Gendarmerie (PSPG) d’Avoine en Indre-et-Loire, le peloton chargé de la surveillance de la centrale nucléaire, a mis fin à ses jours avec son arme de service le 26 mai dernier, lors d'une journée de repos. Le militaire était âgé de 36 ans, et père de deux jeunes enfants, selon l’association professionnelle Gendarmes et citoyens qui a révélé l’information. La brigade de recherches de Chinon est chargée de l’enquête qui est automatiquement déclenchée après ce genre de drame. 

 

Selon l'Essor de la Gendarmerie qui révèle l'information, le 20 mai, un gendarme du PSPG de Valduc (Côte d’Or) avait mis fin à ses jours avec son arme de service à son domicile de la caserne Deflandre à Dijon. Quatre jours avant, un gendarme du peloton motorisé de Cerans-Foulletourte (Sarthe) mettait fin à ses jours à son domicile.

 

Modifié par Tala*
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la multiplication de ce types d 'unités /formations n' augure rien de bon....

Modifié par Anne Atôle
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Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République française.

Je m'adresse aujourd'hui à vous par le biais d'une lettre ouverte, car il me semble important de porter à votre connaissance ainsi qu'à la connaissance du plus grand nombre une incohérence majeure et sans conteste une injustice flagrante de la part de votre gouvernement.

Il y a quelques jours déjà nous avons tous pu voir cette vidéo amateur, massivement relayée sur les réseaux sociaux ou cet homme, Mamadou Gassama, à gravi plusieurs étages par la façade dans le but de porter secours à un enfant en danger suspendu au balcon.
Sans mettre en doute la véracité de cette scène vous avez immédiatement décidé de remettre la légion d'honneur ainsi que la naturalisation française à cet homme «inconnu» et à priori sur le territoire français de manière illégale.
Cela ne me poserai pas de problème si seulement vous mettiez autant de cœur et faire les choses dans le bon ordre.

Car voyez vous Monsieur le Président, je suis géorgien, marié à une française pendant 10 ans, ayant un enfant français et entré dans la légion étrangère depuis 12 ans maintenant pour servir la France avec force et honneur.
J'ai appris à parler le français en 4 mois et ai gravi les échelon de la légion dans le respect des valeurs et des traditions de ce beau pays qu'est la France.

Je suis aujourd'hui sergent et bientôt sergent-chef et en 12 ans de service j'ai effectué des missions allant de 4 mois à 2 ans dans des endroits tels que l'Afghanistan, Djibouti, Mayotte ou encore la Guyane qui pour la plupart d'entre elles étaient extrêmement dangereuse car situées au cœur de conflits armés ou j'ai risqué ma vie chaque jour pour la France.

Ce qui me dérange aujourd’hui Monsieur le président c'est qu'il y a quelques mois j'ai déposé une requête auprès de la préfecture de Marseille pour une demande de naturalisation car bien que travaillant, payant des impôts et cotisant en France depuis 12 ans de la plus risquée des manières qu'il soit, je reste apatride et désire être reconnu par le pays dans lequel j'ai construit ma vie, ma famille, pour lequel je me bats et dans lequel je souhaite finir mes jours en participant comme tout un chacun aux obligations de la république.

Le tribunal de Marseille à statué et a décidé que je n’était pas digne d'être français après 12 ans de légion et a tout bonnement refusé ma requête.

Comprenez, Monsieur le président que je me sente offensé dans ma chair et dans mon âme quand après 12 ans de vie entièrement dédiée à la France je vois aux informations votre discours concernant Mamadou Gassama le congratulant de la plus chaleureuse des façons et lui offrant la nationalité française pour un geste que j'ai effectué au centuple dans le respect des lois et bien souvent au détriment de ma vie personnelle et de ma famille.

Car je vous informe monsieur le président, si vous n'étiez pas au courant, qu'il est bien plus difficile de voir ses compagnons exploser sous les mines Afghanes que de gravir 5 étages à mains nues...ce que j'aurai fait dès mon arrivée sur le territoire français si j'avais su que la naturalisation en France était à ce point bradée.

Aujourd'hui j'ai déposé un recours au ministère de l'intérieur et ai formulé une demande d'apatride à l'ofpra. Car oui je suis apatride !

J'espère que vous serez sensible à mon message car je ne comprend plus comment fonctionne ce pays que j'aime et ne sais plus vraiment pourquoi je me bats.

Je vous prie Monsieur le Président de la République française de bien vouloir recevoir l'expression de mes sentiments les meilleurs.

https://www.change.org/p/pour-la-naturalisation-d-un-légionnaire-servant-depuis-12-ans-pour-la-france

 

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faits divers....

 

http://www.leparisien.fr/faits-divers/l-accident-qui-revolte-les-policiers-04-05-2002-2003038716.php

 

04 mai 2002, 0h00

 

etc... etc....

tandis que...

 

https://www.nouvelobs.com/societe/20150312.OBS4418/un-nouveau-blog-de-fichage-des-policiers-revolte-les-syndicats.html

http://www.leparisien.fr/faits-divers/une-note-rappelle-aux-policiers-qu-ils-n-ont-pas-le-droit-d-interdire-qu-on-les-filme-05-02-2018-7542711.php

.../..."La consigne a également été rappelée dans un mémo du 25 avril 2017 destiné aux policiers et qui se conclut ainsi : « Je dois accepter de travailler en étant filmé sur la voie publique. M’y opposer revient à m’exposer pénalement et/ou disciplinairement »..../...

.../..."La note de la DSPAP rappelle que les policiers sont en revanche autoriser à porter plainte si la publication de ces images est diffamatoire ou injurieuse.".../...

 

MERCI!!!!!!

.../...« Plutôt qu’un rappel, nous aurions préféré un dépoussiérage de cette circulaire qui date du 23 décembre 2008, alors que le contexte était complètement différent : pas de menace terroriste, pas de collègues assassinés chez eux pour leur qualité de policier, pas d’appel au meurtre de policier avec leur photo sur les réseaux sociaux, etc. », explique de son côté le syndicat Vigi dans un communiqué. Il propose notamment que les policiers soient autorisés « à porter une cagoule […] pour éviter que leur identification ne les mette en danger eux ou leur famille »..../...

http://www.vigimi.fr/f/actualites-fr/entry/priorite-du-nouveau-directeur-de-la-securite-de-proximite-de-l-agglomeration-parisienne-rappeler-que-les-policiers-n-ont-pas-de-droit-a-l-image

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:hello:

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:hi:

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Livry-Gargan-Bondy : après la rixe, ils font le siège de l’hôpital

Une quarantaine d’individus se sont affrontés et ont voulu poursuivre l’affrontement devant l’hôpital de Bondy.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, une rixe a éclaté à Livry-Gargan. Des témoins ont dénombré pas moins d’une quarantaine de personnes, rue de l’Eglise, vers 1 h 15. Bilan des affrontements : deux individus ont été légèrement blessés, un au côté gauche, un à la jambe droite.

La première victime est âgée de 18 ans, elle a été piquée à la cuisse droite et sa blessure est sans gravité. Au lieu d’en rester là, les protagonistes se sont ensuite dirigés vers l’hôpital Jean-Verdier à Bondy. Une vingtaine de personnes se sont postées devant les urgences.

A l’intérieur se trouvait un homme blessé par une arme blanche ainsi qu’un deuxième individu présentant des hématomes et des plaies au visage. Difficile de dire si elles étaient liées à l’affrontement. L’homme blessé au visage a été placé en garde à vue.

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/livry-gargan-bondy-apres-la-rixe-ils-font-le-siege-de-l-hopital-01-06-2018-7748457.php

 

 

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Radicalisation : un fichier inquiète des psychiatres

Une base de données conservera trois ans les noms des malades internés d’office

Le sujet agite une partie des professionnels de la psychiatrie depuis quelques jours. Le 23 mai, un décret paru au Journal officiel a validé l’extension du fichier des personnes ayant subi des soins psychiatriques sans consentement (Hopsy) dans un but de prévention de la radicalisation. En clair, l’élargissement de la durée de l’enregistrement dans ce fichier de toutes les personnes qui auraient été internées à la suite d’un épisode de fragilité mentale.

Alors que la préservation du secret médical est depuis longtemps un sujet sensible chez beaucoup de praticiens, ce décret est l’aboutissement d’une des 60 mesures annoncées dans le dernier plan national de prévention de la radicalisation, dévoilé en février : la mesure 39 en particulier. Dans un langage très technique, celle-ci prévoyait d’« actualiser les dispositions existantes relatives à l’accès et à la conservation des données sensibles » contenues dans le fichier Hopsy.

Le dernier décret ne crée pas de nouveau fichier, mais il allonge de un à trois ans la durée de conservation des données de toute personne ayant pu être concernée par un internement psychiatrique. Il centralise par ailleurs des données auparavant éparpillées dans les départements. Le fichier Hopsy pourra désormais être interrogé nationalement. Une évolution qui marque la prise en compte de la dimension psychiatrique observée dans plusieurs passages à l’acte terroriste ces dernières années, comme lors de l’attentat de Nice, en juillet 2016.

« Stigmatisation »

« Ce qui nous inquiète c’est la stigmatisation qu’opère cette conservation des données de toutes les personnes ayant pu subir un simple moment dépressif dans leur vie. Le décret ne prévoit aucune possibilité de s’opposer à son enregistrement », alerte Michel David, psychiatre, président de l’Association des secteurs de psychiatrie en milieu pénitentiaire (ASPMP) et membre du bureau du principal syndicat des psychiatres ayant une activité...

https://www.lemonde.fr/societe/article/2018/06/02/radicalisation-un-fichier-inquiete-des-psychiatres_5308637_3224.html

 

(Je n'ai malheureusement pas pu trouver la fin de l'article :()

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IL MENACE LES GENDARMES ET LEURS FAMILLES : IL EST CONDAMNÉ A 18 MOIS DE PRISON

En fin de semaine dernière, les gendarmes du peloton motorisé d’Aix contrôlent un automobiliste trentenaire résidant de Bort-Les-Orgues. Il s'avère que ce conducteur est positif aux produits stupéfiants. Une procédure est initiée : le véhicule est immobilisé et l’intéressé fait l'objet d'une rétention de son permis de conduire.
Continuant son service, la patrouille procède à un nouveau contrôle de véhicule et de sa conductrice. Soumise aux dépistages, cette dernière se révèle également positive aux produits stupéfiants et subit les mêmes mesures coercitives que le précédent contrevenant.
Arrivant sur les lieux, le premier mis en cause s'emporte en indiquant que la jeune femme contrôlée n’est autre que son amie venant le récupérer suite à la mesure dont il venait de faire l'objet.
De retour chez lui, ce jeune homme rédige sur sa page facebook un message dans lequel il menace les gendarmes d’Aix et leurs familles de mort et autres atrocités criminelles.
Interpellé le 30 mai, une perquisition au domicile du mis en cause permet la découverte d'une arme et de munitions.
Placé en garde à vue, il reconnaît les faits qui lui sont reprochés.
A l'issue de sa garde à vue, il est déféré avec comparution immédiate le 31 mai devant le TGI de Tulle.
Reconnu coupable de :
- MENACE DE MORT OU D'ATTEINTE AUX BIENS DANGEREUSE POUR LES PERSONNES A L'ENCONTRE D'UN DÉPOSITAIRE DE L’AUTORITÉ PUBLIQUE
- MENACE DE MORT OU D'ATTEINTE AUX BIENS DANGEREUSE POUR LES PERSONNES A L'ENCONTRE DE L'ENTOURAGE D'UN DÉPOSITAIRE DE L’AUTORITÉ PUBLIQUE - PERSONNE VIVANT A SON DOMICILE, CONJOINT, ASCENDANT OU DESCENDANT
- DÉTENTION D'ARME DE CATÉGORIE C NON DÉCLARÉE
- RÉCIDIVE DE CONDUITE D'UN VÉHICULE EN AYANT FAIT USAGE DE SUBSTANCES OU PLANTES CLASSÉES COMME STUPÉFIANTS
Il est condamné à 18 mois de prison dont 10 avec sursis mise à l’épreuve (Pas de mandat de dépôt) dont peines complémentaires :
-Annulation du permis de conduire et interdiction de le repasser avant 1 mois ;
-Interdiction de détenir une arme pendant 5 ans ;
-Obligation de soins.

 

IL MENACE LES GENDARMES ET LEURS FAMILLES : IL EST CONDAMNÉ A 18 MOIS DE PRISON En fin de semaine dernière, les...

Posted by Gendarmerie de la Corrèze on Thursday, May 31, 2018

 

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Londres prévoit un maintien du niveau de la menace terroriste

"En résumé, nous nous attendons à ce que la menace du terrorisme islamiste demeure à son niveau actuel élevé pour au moins les deux prochaines années voire qu'elle puisse encore s'accroître", a dit le ministère de l'Intérieur dans un communiqué."

"La menace terroriste évolue constamment. Au niveau mondial, les groupes et réseaux terroristes de toutes idéologies continuent de se développer de manière organique, ils exploitent les réseaux sociaux, la technologie et la science pour soutenir leurs objectifs et leurs ambitions", poursuit le ministère."

https://www.challenges.fr/monde/londres-prevoit-un-maintien-du-niveau-de-la-menace-terroriste_591496

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Un peu HS, mais bon, je m'autorise :ange2:

Devenu millionnaire, l’enfant des Tarterêts brigue la présidence du Congo

Francis Mvemba, 35 ans, a grandi aux Tarterêts à Corbeil-Essonnes. Sa fortune faite grâce à l’extraction de diamants, il se présente aux élections présidentielles en République Démocratique du Congo.

Il est allé au-delà de ses rêves d’enfant. Au lycée, lorsqu’il dormait encore dans la cité des Tarterêts à Corbeil-Essonnes, Francis Mvemba gardait sous son matelas une photo d’une Audi TT. « J’ai économisé et j’ai pu me l’acheter dès mes 23 ans », sourit celui qui a désormais et dans son garage une Lamborghini, une Ferrari, une Bentley, mais ne jure que par ses tractopelles et les excavatrices qui lui permettent d’extraire des diamants.

Aujourd’hui multimillionnaire, Francis Mvemba vit entre Monaco et le continent africain. Avec l’association caritative qu’il a fondée, il a sorti plusieurs centaines de personnes de la rue. Mais il veut désormais aller plus loin et se présente aux élections présidentielles de la République Démocratique du Congo, qui auront lieu en décembre 2018. Récit d’un parcours hors du commun.

Sa carrière de footballeur brisée

A 35 ans, Francis Mvemba a déjà eu mille vies. Footballeur de talent, sa carrière est stoppée en 2005 par une blessure au ménisque. En parallèle, l’enfant des Tarterêts monte une entreprise de transport. « J’ai commencé en portant des cartons et en effectuant des livraisons dans ma société, j’enchaînais ensuite avec mes entraînements de foot, ça faisait de sacrées journées », se rappelle cet athlète d’1,92m.

Mais en 2008, il est contraint de mettre la clef sous la porte. « Je me suis dit que j’allais en profiter pour tenter l’aventure africaine », poursuit-il. Il part en République Démocratique du Congo, son pays d’origine, et se décide à travailler dans l’extraction et la vente de diamants et d’or.

En Afrique, il s’associe avec un businessman suisse

Un billet en classe éco, des petits hôtels sans climatisation. Il commence à travailler, un peu. Puis rencontre en 2010 un acheteur en Suisse qui lui confie avoir un problème avec un négociant africain. « Il avait donné 400 000 $ à quelqu’un qui devait lui ramener de l’or et des diamants, mais il le menait en bateau, souligne-t-il. A force, je connaissais un peu tout le monde et j’ai pu mettre cet homme face à ses contradictions et récupérer 192 000 $. Le reste, il l’avait déjà dilapidé. »

Dans la foulée, ce businessman de Genève décide de s’associer avec Francis Mvemba pour monter une entreprise baptisée Eufrasia, qui vend les pierres brutes en Europe à des joailliers qui se chargent de les tailler. Leur première destination est le Burundi. Puis le Burkina-Faso. « Tout s’est fait dans les règles, avec les licences, les certificats », assure le millionnaire, documents à l’appui.

Les associés passent la vitesse supérieure et deviennent eux-mêmes producteurs au Cameroun et au Congo. « On a acheté 4 appareils pour draguer le fond de la mer, ça nous a coûté 750 000 € et on a trente personnes qui sont sur chaque machine », détaille Francis Mvemba. Des bulldozers raclent, eux la terre ferme.

« Avant que ça marche comme ça, j’ai bossé dans les mines »

« Mais avant que ça marche comme ça, j’ai bossé dans les mines, j’ai creusé moi-même sous le sol avec une pioche, dans des endroits où on ne respire pas, plein de poussière, relate celui qui porte aujourd’hui des bijoux aux doigts et aux poignets. J’ai attrapé le paludisme, je me lavais avec une bouteille d’eau. Et je ne mangeais que des bananes plantain pour ne pas être malade. »

Sa fortune faite, il décide de se « tourner vers le caritatif ». « Pour rendre un peu de tout ce que j’ai eu », explique-t-il. Au départ, ce sont ses voisins dans le village où il vit qui le sollicitent. Puis les enfants qui dorment dans la rue. « J’ai commencé par acheter un fauteuil roulant pour l’un, payer la scolarité d’un autre, ces gens dormaient devant chez moi et du coup le problème des autres est devenu mon problème », lâche Francis Mvemba.

« L’avenir c’est l’Afrique »

Sa Fondation Eufrasia voit le jour en 2014, financée par 150 000 € de ses fonds propres afin de sortir les femmes et les enfants de la rue. A l’instar des Restos du Cœur, il décide lui aussi d’écrire une chanson pour cette fondation, qui devient en 2015 un immense succès à la radio. « Mais j’ai refusé de la commercialiser, pour que l’on ne puisse pas m’accuser d’essayer de me faire de l’argent sur la charité », martèle-t-il.

S’engager maintenant en politique relève à ses yeux d’une suite logique. « L’avenir c’est l’Afrique et je veux servir mon peuple, lance le candidat. Je vais axer mon programme sur la sécurité, mettre les gens au travail en lançant une campagne de rénovation des infrastructures, des routes. Je veux électrifier toute la RDC. »

http://www.leparisien.fr/essonne-91/devenu-millionnaire-l-enfant-des-tarterets-brigue-la-presidence-du-congo-03-06-2018-7750950.php

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