Les Maquisards

bonjour

 

 

 

non , tu n'ira pas ! tu est trop jeune , laisse les autres faire ce qu'ils veulent , ils risque leurs vie et n'ont aucune chance de réussir .

- mais j'ai 15 ans , je suis déja assez grand pour me battre pour mon pays , si tout le monde ne fait rien , ils resteront là et nous serons leurs esclaves à jamais .

- écoute moi , je suis t'à Mère et je n'ai pas passée ses nombreuses années à t'élever pour porter t'on deuil à l'âge que tu à , tu est m'on bébé encore , j'ai pleurée quand tu était malade et que le médecin ne pouvait venir car il y avait trop de neige , t'on père est mort déja pour refouler ces ennemis hèriditaires , nous avons déja donnés beaucoup pour notre pays .

- mais Maman ? je veux venger Papa et te défendre contre ces barbares et ...

- non ,n'insiste pas et monte dans t'à chambre .

Paul frappe du point sur la table et malgré sa rage et sa déception , il monte dans sa chambre et se jette sur s'on lit puis , tente de se calmer .

nous somme en 1944 , quelque part en France . le débarquement de Normandie à eu lieu et une division SS Allemande en repos dans le sud de la France , à reçue l'ordre de rejoindre la Normandie pour renforcer le front contre le débarquement alliés .

les Maquisards d'une région très boisée ont été informés du passage des troupes Allemandes dans leurs région . c'est ainsi que tout les groupes de résistants sont en alerte pour monter une embuscade et retarder le renfort SS de gagner la Normandie . Paul à été , malgré son jeune âge , contacté par un résistant pour participer à cet embuscade car , il sait tirer au fusil de chasse et n'à pas froid aux yeux .

il est 23 heure , la nuit est tombé . Paul s'est assoupi quand un caillou frappe un carreau de sa fenêtre .il se lève précipitamment et l'ouvre .

- alors , t'est prêt ?

Paul enjambe et saute sur le sol .

- ouai ... je te suis 

Paul hésite une seconde , c'est peut-être la dernière fois qu'il voie cette maison , celle ou il est né ou  sa mère, qu'il aime plus que tout au monde , dort sans se douter que son unique enfant par à la guerre , cette guerre cruelle qui à déja fait tant de victimes . son coeur bat la chamade , il à peur et en même temps il est fière de cette aventure , il à la force et le courage de cette jeunesse qui vie la vie à pleine dents sans ce soucier des dangers à l'affût des téméraires qui ne reculent devant rien .

après une heure de marche à travers bois , le Maquisard et Paul parviennent près d'un clairière . l'homme imite le cri du hiboux , quelques secondes et un cri semblable lui répond .

- ça va , ont peut y aller .

une vingtaines d'hommes de tout âges sont là , dans la lumière blafarde de quelques lanternes .

- Salut les gars , je vous amène du renfort .

les hommes regardent ce jeune garçon  un peut timide .

- et bien , les boches n'ont qu'à bien se tenir mais , il semble un peut jeune et si on lui pressait le nez , il en sortirait du lait .

éclatement de rire général .

une voie autoritaire et viril intervient .

- allons les gars , un peut de respect pour ce garçon qui à du courage , à son âge , il montre l'exemple à de plus vieux qui n'osent pas  prendre les armes pour se battre ;

personne ne rit plus , c'est vrai , ce jeune garçon est un exemple et , ils voulaient seulement plaisanter mais , ils l'admire tous .

 

les rôles et les emplacements ont étés distribués  et , après 30 minutes de marche à travers la forêt , le groupe atteint la route ou la colonne SS doit passer .

chacun à gagné sa place de combat . l'armement des Maquisards est hétéroclite , quelques mitraillettes , un fusils mitrailleur , des fusils de chasse et des grenades .

Paul à reçu sa mission , il doit se cacher à DEUX cent mètres en avant de l'embuscade sur une petite butte de terre derrière des buissons et venir prévenir en courant de l'arrivées de la colonne SS .

il est 6 heure du matin , Paul grelotte , il fais très frais . la brume s'est dissipée . il à pour toute arme une grenade mais pas pour combattre mais pour ce faire sauter car , s'il est pris vivant par les SS il sera torturé à mort .

soudain , Paul sursaute .. un bruit de chenilles et ... une auto- mitrailleuse surgie du virage à cents mètres . le garçon à le coeur qui bat la chamade , il se lève et , s'en être vu , il cour vers le groupe en embuscade .

- ils arrivent ...

après l'auto mitrailleuse un char d'assaut puis des camions bâchés charger de soldats Allemands et d'autres chars d'assaut et d'autos mitrailleuses et de camions de soldats .

les Maquisards ont le doit sur la gâchette prêt à tirer .

sur la première auto mitrailleuse , un officier se tient debout et scrute à la jumelle l'orée des bois .

soudain , le chef MAquisard hurle 

- FEU 

les balles partent de partout et l'officiers s'écroule 

le premiers camion est criblé de balles et les tirs font un carnage mais , les SS se reprennent et ripostent à coup de mitrailleuses lourdes .

au bout de 35 minutes de combat les Maquisards décrochent avec de très lourdes pertes .

Paul est blessé à l'épaule , il à la rage au ventre , il se lève et , avec ses dernières forces , et se dirige vers un camions et jette sa grenade qui tue plusieurs soldats SS .

une mitrailleuse le crible de balle et il meure avant d'avoir touché le sol .

ce matin de janvier , il fait très froid . de la belle neige blanche recouvre la campagne encore endormie . nous somme en 1963 , une petite vieille aidée d'une canne , se traîne péniblement vers l'église du village ; elle s'arrête devant le petit monument aux morts . et y dépose un bouquet de fleurs  , s'agenouille et prie ;

parmi tant d'autres , un noms est gravé sur la stèle : PAUL DUBOIS 15 ans mort pour la FRANCE .

 

cette histoire est une fiction .

bonne soirée

 

 

 

 

 

 

J'ai eu un instituteur qui avait 16 ans le 6 juin 1944. Dans la nuit du 5 au 6, il coupait des poteaux électriques et téléphoniques avec les Hommes; dans le Sud-Finistère.

Une fiction mais la réalité quand même, le merle , combien se sont fait tué avec une histoire comme tu la raconte?

des centaines ,je présume  morts pour la patrie

Le 19/08/2017 à 15:37, pila a dit :

J'ai eu un instituteur qui avait 16 ans le 6 juin 1944. Dans la nuit du 5 au 6, il coupait des poteaux électriques et téléphoniques avec les Hommes; dans le Sud-Finistère.

bonjour 

oui , beaucoup de jeunes courageux ont participé aux combats de la libération .

bonne journée

Le 19/08/2017 à 16:23, PINOCCHIO a dit :

Une fiction mais la réalité quand même, le merle , combien se sont fait tué avec une histoire comme tu la raconte?

des centaines ,je présume  morts pour la patrie

bonjour

c'est vrai beaucoup son resté anonyme , cette petite histoire salut leurs courage  pour avoir sacrifié leurs vie pour leurs pays .

bonne journée