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Comment débattre avec l’Autre ……


Invité Orbes claire

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Invité Orbes claire
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Invité Orbes claire
Invité Orbes claire Invités 0 message
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Merci Déjà,

en fait il y a eu comme un raccourcit dans la retranscription ! ... effectivement je voulais dire comme tu le soulignes que la communication non verbale est beaucoup plus importante que la com verbale (j'allais même dire 95% non verbal et 5% verbal!), d'où la difficulté de mettre par écrit tout ce quo'n veut exprimer .... merci à toi d'avoir permis de rectifier :) :plus: ... le message devient du coup plus cohérent

Merci Démonax pour ta réponse ... c'est vrai que ça peut changer, mais il me semble tout de même que cela va dans le sens de ce rapport non ?

bonne nuit à tous les deux :):)

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
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Merci Démonax pour ta réponse ... c'est vrai que ça peut changer, mais il me semble tout de même que cela va dans le sens de ce rapport non ?
C'est à la fois vrai et faux. Et je ne parle pas de la "crédibilité" de ces études.

Je m'explique:

C'est comme l'analyse comportemental !

Quand tu sais pourquoi (avec une marge d'erreur de 30%) quelqu'un met sa main dans sa poche (dans des conditions "normal"), tu y réfléchis à deux fois avant de le faire toi-même :smile2: :smile2: :smile2:

C'est un geste anodin, mais quand tu en prends conscience, tu y fait plus attention, c'est la même chose pour les conversation IRL et ces "fameux pourcentage" :D

Et puis cela dépend aussi des gens ... (exemple) je doute pas 1 seconde que les scientifique de la Nasa, dans un débat, n'ont pas ces "7%" des messages verbaux :p

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 992 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

... effectivement je voulais dire comme tu le soulignes que la communication non verbale est beaucoup plus importante que la com verbale (j'allais même dire 95% non verbal et 5% verbal!), d'où la difficulté de mettre par écrit tout ce quo'n veut exprimer ....

Oui je me doutais un peu de l'erreur d'expression, c'est pourquoi je me suis seulement contenté de signaler la coquille.

Bien sûr par écrit, nous sommes dans des conditions quelque peu différentes de la présence physique, mais nous allons par un processus de discrimination, prêter attention aussi à de petits détails, qui nous permettrons, comme Irl, de retenir ce qui nous impacte le plus en tant qu'humain, en tant qu'êtres émotifs, c'est pour cela que nombre de conversations dérivent pour en venir à des considérations passionnelles, image de soi, fierté, ego, pouvoir, dignité, morale, croyances, etc...

Ainsi, les émoticônes ont un rôle palliatif dans une certaine mesure, tout comme le style emprunté, tous les petits rajouts graphiques, symboliques/iconographiques, les ponctuations, les interjections, etc, tout ceci participe à notre décodage des intentions de notre interlocuteur, consciemment ou pas ( aussi bien la production que le décryptage ).

Pour en revenir succinctement à ce que Quasi-modo a dit, et puisque je le connais un peu, je peux dire qu'il part implicitement du principe que la personne cherche la vérité, justifiant par la même sa démonstration, or il s'avère que l'interlocuteur, moi compris, cherchons avant tout à mettre en avant ce que l'on dit, mais aussi de relever les failles ou incohérences chez l'autre, pensant par là-même renforcer notre propre vision, mais il y a aussi ceux, qui ne vont faire que démolir l'argumentation d'autrui, quel que soit le procédé ou l'élément de la phrase qui est visé, son sens, ce que ça signifie, ce qu'elle en comprend ou feint de le faire, ce que ça implique, l'écart à la morale, etc..., c'est-à-dire, l'introduction dans le discours d'éléments émotionnels, irrationnels, sophistiques ou de croyances/préjugés, ou encore ce qui est convenu, commun, habituel, académique, etc... parce que ça ne colle pas à leurs propres visions ou que ça les révulse. Nous n'avons donc pas tous les moyens à notre disposition pour déjouer tous les pièges qui pourraient être tendu, si l'intention de notre interlocuteur n'est pas pleinement tournée vers la recherche de la vérité, il trouvera bien souvent un échappatoire pour éviter de se faire épingler ou de le reconnaitre, voire de fuir ou d'abandonner la partie avant la fin, dont il pressent l'issue. On ne peut donc échanger profondément, qu'avec des personnes qui s'engagent avec sincérité, ensuite ce n'est qu'une question de procédés/méthodes, comme nous l'a montré Quasi-modo, car il n'y a que peu de remède/parade face à la mauvaise-foi, si ce n'est aucun, en revanche c'est une contrainte que nous devons nous imposer à nous-même que de suivre le fil d'Ariane de la vérité, même si d'autres lumières attirantes nous séduisent grandement, tel le papillon nocturne subjugué par la lumière artificielle de nos lampes, nous devons résister à nos propres " pulsions "/artifices ( d'ego, de fierté... déjà citées ).

Bonne journée,

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 992 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Ces pourcentages, représente/pèse "l'impacte" présumer d'après Mehrabian, durant un dialogue IRL, sur la différence entre les messages verbaux et non-verbaux.

Cela ne veut pas dire, que c'est obligatoirement applicable encore de nos jours, dans le dialogue IRL.

Cela ne veut pas dire, que c'est obligatoirement applicable de nos jours, dans le dialogue virtuel.

Cela ne veut pas dire, que c'est obligatoirement applicable à tous les dialogues, entre chaque personne.

Je tenais à rajouter ces petites informations :happy:

Il me semble même que ces chiffres soient à relier, non à une conversation lambda, mais plutôt lorsqu'une personne s'exprime en public, donc tes remarques sont tout à fait recevables, ce que tu devais déjà savoir, ne serait-ce que par l'usage de la statistique, il y a toujours un écart-type à considérer, alors qu'on nous fournit que des moyennes ! :bo:

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)

Erratum:

Selon l’étude de Mehrabian :

  • Le sens des mots ne pèse que 7 %.
  • La manière de prononcer ces mots (voix, débit, rythme, intonations…) représente 38%.
  • Le langage corporel et vestimentaire pèse 55%.

(soit 7% de la communication verbale contre 93% de la communication non verbale)

Chiffres-%C3%A9tude-Mehrabian_conseil-en-image-300x125.jpg

Ce qui m'intrigue c'est la façon dont ils ont pu établir de tels pourcentages. Comment quantifier l'impact d'une information (voix, rythme, etc...) dans une discussion réelle?

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Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

Ce qui m'intrigue c'est la façon dont ils ont pu établir de tels pourcentages. Comment quantifier l'impact d'une information (voix, rythme, etc...) dans une discussion réelle?

Intrigué ? T'as de ces mots...

Du pipo complet oui !

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 992 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Ce qui m'intrigue c'est la façon dont ils ont pu établir de tels pourcentages. Comment quantifier l'impact d'une information (voix, rythme, etc...) dans une discussion réelle?

Tout simplement en questionnant les auditeurs sur la prestation de l'orateur, quelques heures, quelques jours plus tard, de ce qu'ils se rappellent, de ce qu'ils ont retenu, de ce qui les a marqué, ou ce qu'ils ont remarqué, ensuite dans un tableau, ils recherchent les occurrences, leurs fréquences !

Et boom, le contenant est plus impactant que le contenu selon la psychologie humaine, en moyenne bien évidemment.

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