Hussein B Obama à Cuba pour une visite historique

sale besogne qui, lorsqu'on est en guerre comme nous le sommes, permettrait d"éviter les attentats comme actuellement

pas de droits de l'homme pour les assassins et leurs complices

Le livre On a torturé en Algérie, qui s'appelait alors Confessions d'un professionnel de la torture, a paru en 1980 dans une indifférence quasi totale. Il a parfois suscité l'incompréhension; des lecteurs trop rapides croyant qu'il s'agissait du témoignage personnel de Jean-Pierre Vittori, alors journaliste communiste et rédacteur en chef de Patriote-résistant, le mensuel des anciens déportés...

En 1977, Jean-Pierre Vittori avait publié un premier ouvrage sur le sujet: Nous, les appelés d'Algérie (Stock). «J'ai alors reçu la lettre d'un type du sud de la France, qui me disait qu'il avait passé cinq ans dans les DOP, explique-t-il. J'étais partagé entre le rejet de celui que je considérais comme un salaud et l'envie de savoir à quoi ressemble un tortionnaire.» L'homme lui envoie un mémoire d'une dizaine de pages, que Libération a pu consulter. C'est sans doute l'un des documents les plus complets sur les DOP. Vittori descend le voir dans le Midi: «C'était un type banal, petit, les épaules étroites, plutôt timide.» Il l'interroge des heures durant, rapporte dix cassettes, «s'imprègne du personnage» et rédige le livre à la première personne. Avant de le publier, il lui lit le texte. Ils le corrigent ensemble.

Le récit est terrible. Il emmène le lecteur dans «l'ambiance de la salle d'interrogatoire» et lui fait respirer «l'air épaissi par la fumée des cigarettes, l'odeur caractéristique des corps suppliciés en sudation, mêlée à celle des déjections». L'homme, qui a passé cinq ans dans ce milieu, s'est engagé dans l'armée de terre à 28 ans, en 1953. Il est marié, père d'une petite fille, «une sensibilité plutôt de gauche». Pour lui, l'armée, c'est d'abord un emploi ­ le magasin où il travaillait comme vendeur vient de faire faillite. L'homme est tout sauf un baroudeur, il va devenir tortionnaire.

Tous les droits. Créés fin 1956, les DOP sont définitivement implantés à l'automne 1957. Dépendant du Centre de coordination interarmées (CCI), ce sont de petites unités, d'environ 25 hommes, dont la mission est de démanteler l'appareil du FLN, le Front de libération nationale algérien. Leur organisation est d'ailleurs calquée sur celle du FLN, plutôt que sur le quadrillage territorial de l'armée française. Les DOP, qui ne dépendent que de leur propre hiérarchie, ont presque tous les droits. Les ordres précisent, par exemple, qu'ils peuvent «circuler en civil», «transporter de l'armement sans être contrôlés» ou «transporter toute personne civile ou militaire dont ils n'auront pas à dévoiler l'identité».

Lors des opérations sur le terrain, une «antenne» du DOP accompagne les militaires, pour interroger les prisonniers tout de suite après leur capture. «Les rapports entre les DOP et les forces régulières étaient souvent tendus, voire hostiles», raconte un ancien. Tellement tendus que les militaires servant dans les DOP ne sont jamais reversés dans l'armée régulière.

De nombreux appelés y seront affectés, représentant généralement plus de la moitié des effectifs. Si beaucoup d'entre eux n'ont pas directement participé aux interrogatoires, aucun ne pouvait ignorer ce qu'il s'y passait. Même si l'on ne dispose pas de chiffres précis, les historiens militaires estiment que, au total, quelques milliers d'hommes sont passés dans les DOP, pudiquement rebaptisés «bataillons d'infanterie» (BI) à l'automne 1969. Ainsi, le 61e BI était chargé de la 5e wilaya du FLN (région d'Oran).

Emploi réservé. Au terme de dix ans de service, le sous-officier obtient un emploi réservé dans l'administration. «C'est un homme de main qui porte sa croix, affirme Vittori. De retour en France, il s'est mis à aider les Algériens. Et, surtout, il aurait aimé être jugé, afin de pouvoir s'expliquer. Or il était amnistié», en vertu des accords d'Evian de 1962. L'auteur a perdu tout contact avec l'ancien du DOP après la parution du livre.

Vingt ans après, Jean-Pierre Vittori se retrouve plongé à nouveau dans cette histoire. Il a lui-même été appelé en Algérie durant quelques mois, en 1962. «Aujourd'hui, on ne pourra pas faire l'économie d'une prise de position officielle», juge-t-il. Mais ce qui l'intéresse n'est pas là. Plutôt que de juger ­ «c'est si confortable» ­, il s'est mis dans la peau du tortionnaire, pour comprendre. «On relègue le salaud le plus bas possible et on évite que les odeurs remontent», dit-il. On a torturé en Algérie est heureusement un livre nauséabond.

(1) Jean-Pierre Vittori, On a torturé en Algérie, éd Ramsay.

http://www.liberation.fr/france/2000/12/02/guerre-d-algerie-aveu-d-un-tortionnaire_346296

Oui mais, DOP à quel endroit ?

Les DOP, pudiquement rebaptisés «bataillons d'infanterie» (BI) sur le tard :) alors que je faisais partie de l'infanterie, quelle blague...

Ne me faites pas peur. Un Fonctionnaire spécialiste de la torture pendant la guerre d'Algérie : SALE BESOGNE QUI A SERVI A RIEN !

Justement je suis entrain de lire un livre sur la bataille d'Alger et suis rendu avec le Cne Léger de la DOP lors de son intervention dans la Casbah, alors qu'il essayait de parlementer avec deux combattants retranchés dans une maison, ces derniers ont fait descendre un couffin à travers une fenêtre avec soit disant un mémo résumant leurs conditions pour se rendre, alors qu'il y avait une bombe dans le couffin qui a fait quelques légats parmi les paras qui cernaient la maison...

Drôle de pacification : œil pour œil...

La Vie est un Cirque :

Les élèves de Saint Cyr rendent hommage à Jeanne d'Arc au Puy-du-fou !

a+

Exactement ! 61 ème BI, Demie Brigade de Recherche -Oranie

Exactement ! 61 ème BI, Demie Brigade de Recherche -Oranie

Prière contre la guerre

Mon fils je te demande de faire une prière

Pour tous les innocents qui gisent au cimetière.

Demain tu connaîtras une nouvelle guerre

Dans un pays très loin de ta terre nourricière.

Tu te rappelleras ce que je t'ai décrit

Sur la guerre du Vietnam, sur la guerre d'Algérie,

Sur la guerre du Golfe, sur la Yougoslavie,

Au pays des Afghans et sur la Tchétchénie.

Tu comprendras les bombes, les corps déchiquetés.

La nuit tu entendras le cri des opprimés,

Et tu verras la femme au regard hébété

Nourrir son enfant mort de son sein asséché.

Je te demande mon fils de faire une prière

Pour tous ceux qui reposent au sein des ossuaires,

Enfants du génocide, jouets des tortionnaires

Qui ont couvert des hommes de médailles militaires.

Tu comprendras pourquoi depuis ta tendre enfance

Je te parle d'amour et non pas de violence,

Je te parle de pardon et non pas de vengeance,

Je t'ai appris aussi à fuir l'indifférence.

Si les peuples du monde veulent se donner la main

La guerre n'aura pas lieu en Irak demain.

Prie fort mon petit homme pour voir la paix enfin

Changer notre planète en un joli jardin.

Christine Perois

Prière contre la guerre

...merci de revenir au sujet

c'est a dire la visite d'obama à cuba

si la diplomatie de 2016 ne vous interesse pas...inutile de sortir des poncifs sur la guerre

...merci de revenir au sujet

c'est a dire la visite d'obama à cuba

si la diplomatie de 2016 ne vous interesse pas...inutile de sortir des poncifs sur la guerre

Bonne idée oui.

Merci.

Et en même temps, des opposants au régime cubain sont arrêtés...

Environ 90 opposants cubains ont été brièvement arrêtés hier [...] Plusieurs opposants portaient des masques à l'effigie d'Obama pour protester contre le processus de rapprochement entre les Etats-Unis et Cuba lancé en décembre dernier

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/08/10/97001-20150810FILWWW00015-cuba-90-opposants-anti-usa-arretes.php

Opposants au régime, ou opposé à l’accueil fait à Obama ?

des opposants au regime...vu que raoul a du se justifier en conference de presse

Cuba va finir comme la Chine!

Elle va devenir un paradis capitaliste pour les multinationales américaines...

Et les cubains de véritables esclaves...

:) Fidel pas d'accord avec Raúl

Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs ! :)

Fidel Castro dénonce la visite d’Obama :

Cuba n’a besoin d’«aucun cadeau de l’empire»

Fidel Castro, le Lider Maximo - The Godfather -

Barack Obama était tout sourire en arrivant à Cuba pour mettre fin aux différends qui opposent les deux nations. Mais Fidel Castro, l’ancien dirigeant cubain, n’a pas été impressionné, dénonçant même le «frère Obama» dans une lettre publique.

«J’imagine que chacun de nous risquait d’avoir une crise cardiaque en entendant les propos du président des Etats-Unis» a écrit Fidel Castro à propos du moment où le président américain a déclaré qu’il «était temps de laisser le passé derrière nous».

Bien que Barack Obama n’ait pas rencontré le Lider Maximo lors de sa visite de trois jours à Cuba, cela n’a toutefois pas empêché Fidel Castro de se faire une opinion du président américain et de sa visite historique à Cuba.

«Ma suggestion modeste est qu’il réfléchit et n’essaie pas de développer de théories sur la politique cubaine», a écrit l’ex-dirigeant cubain dans une lettre de 1500 mots intitulée El Hermano Obama, Frère Obama en français, ajoutant que Cuba n’avait besoin d’«aucun cadeau de l’empire».

Dans sa lettre publiée par le média d’Etat Granma, Fidel Castro critique, ligne par ligne, le discours prononcé par Barack Obama à La Havane.

Fidel Castro a dénoncé l’échec du président américain de donner du crédit à l’interdiction de la ségrégation raciale qu’il avait lui-même décrétée à son arrivée au pouvoir en 1959.

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https://francais.rt.com/international/18124-fidel-castro-dit-avoir-frole