Du rififi en vue en Algerie

ON EST TOUS ARABES ...

Il y en a trop, et trop c'est trop... c'est le troupeau

L’arabophobie

Fauteurs de troubles et auteurs de tous les débordements...

Les arabes sont le seul obstacle qui nous sépare de nous-mêmes.

Leur nature est incompatible avec notre culture. Leur culture incompatible avec notre nature.

C'est cette ligne de fracture projetée sur notre écran inconscient qui va devenir notre tourment national et engendrer ce qu'il est convenu d'appeler : notre islamophobie... qui est la peur du musulman parce qu'il est arabe.

Trop c'est trop. L'hybris, le chaos, la démesure. Le pire c'est qu'ils nous en veulent de leur en vouloir...

C'est cette fierté mal placée que la France s'efforce de déplacer, déménager, radier de ses terres.

Pour s'en débarrasser, la piste est toute trouvée : les terroristes.

Si l'islam tue, l'islamophobie fait vivre, espérer et prospérer les ennemis de la différence.

Le plus ingénieux tour de passe-passe consiste à dire : Non, nous ne les haïssons pas, ils sont haïssables... Nous ne les méprisons pas, ils sont méprisables...

Et on met toutes leurs exactions sur la table pour se donner une bonne raison de les achever : les otages décapités, les attentats aveugles, les bombes inhumaines suffisent pour les discréditer pour l'éternité.

Et les États dits libres se donnent la main pour les exterminer à tour de rôles

Légitime défense attestée par tous les civilisés et contestée par les barbares qui ne nous invitent plus chez eux, mais s'invitent chez nous pour nous ramener 10 siècles an arrière... décadence assurée.

Et ceux qui parmi nous, ne les méprisent pas les tiennent pour les victimes expiatoires du nouvel ordre mondial, les idiots utiles de l'impérialisme... ils les sous-estiment, ce qui est une autre manière de les mépriser.

Le problème c'est que l'arabe n'est plus ce qu'il était. Ce n'est plus le peintre en bâtiment. Ce n'est plus le petit dealer de la cité... ce n'est plus le va-nu pied que vous croisez dans la rue...

L'arabe... c'est le français de demain. Votre beau frère ou votre beau-père.

Il a épousé votre cause et lui a fait des enfants.

C'est fait... ce sont les faits.

:p

bsr bena11,

"l'arabe... c'est le français de demain", ha!ha!ha!ha!

les arabistes se réfugient derrière l'arabisation pour masquer leur incompétence et le vide de leur reflexion, mais c'est aussi, grace au lien conservé avec la culture arabe, se prémunir contre une perte de repères, prélude habituel a la déstructuration d'une société, la voila la France de demain

a+

bsr bena11,

"l'arabe... c'est le français de demain", ha!ha!ha!ha!

les arabistes se réfugient derrière l'arabisation pour masquer leur incompétence et le vide de leur reflexion, mais c'est aussi, grace au lien conservé avec la culture arabe, se prémunir contre une perte de repères, prélude habituel a la déstructuration d'une société, la voila la France de demain

a+

La France s'est déjà destructurée , elle s'en est toujours remise non sans violence.

Je me souviens de français nés en Algérie qui reçurent un cercueil avec un mot ,la valise ou le cercueil.

Il est possible que des arabes , nés en France , reçoivent un jour la même invitation.

Pourquoi être venu en France , ce pays colonisateur qui vous exploita .

Bien réfléchi , vous vous êtes faits avoir par de belles promesses et vous vous êtes enfuis pour ne pas crever de faim et échapper aussi à une mort certaine par des révolutionnaires de salon .

Il ne faut pas avoir la mémoire courte en nous racontant de belles histoires qui ne tiennent pas la route.

TOI il est clair que tu est un nostalgique PN qui n'arrive pas a admettre qu'un arabe de nationalité Française doit pouvoir bénéficier des mêmes droits que TOI

Tu ne peut pas reprocher a d'autres de s'êtres enfuis alors que toi même tu l'a fait!!!!!!!!!!!!!!!!!

Pales

Vous devriez avant de jouer au devin ,prendre des cours d'orthographe et ne pas confondre une langue avec une nationalité.

Un marocain parle l'arabe ainsi que l'algérien ,le tunisien.

Il existe deux sortes d'arabe ,le littéraire et le parlé commun.

Un français musulman peut parler l'arabe et le français ,il ne peut en aucun cas croire que cela lui donne le droit de ne pas respecter les lois de la république.

J'espère que vous aurez compris la subtilité.

Si vous possédez la double nationalité ,chose bizarre ,il faudra là aussi respecter les lois du pays dans lequel vous vous rendrez.

Pour revenir à mon précédent message ,il devient possible que l'on vous demande de quitter la France , si vous refusez de vivre selon les lois et us et coutumes.

bsr AGDAL,

"selon les lois et us et coutumes"

il m'est arrivé une fois d'expliquer a un musulman qui faisait une extention a sa maison, et a chaque etape, qu'il y avait des règles d'urbanisme, que ce qu'il faisait, ne rentrait pas dans le cadre, et qu'il devait se rendre a la mairie pour de plus amples informations, a force d'insister, il m'avait alors répondu, "jamais je ne m’intègrerais", je lui avait alors expliqué que ce n'etait pas une histoire d'intégration, mais du respect de la pratique quotidienne de la citoyenneté, respecter la règle tout simplement, bref, le genre de musulman qui mélange tout, et qui deux ans après s'etonne de voir la façade de son pavillon, taguée de petit cochon

c'est mignon,non?, si j'avais ete son proche voisin, son extension, je la faisais démolir, enfin, la loi, qu'il en a de la chance de se retrouver avec des petits cochons tagués

a+

Je me souviens de français nés en Algérie qui reçurent un cercueil avec un mot ,la valise ou le cercueil.

Il est possible que des arabes , nés en France , reçoivent un jour la même invitation.

Pourquoi être venu en France , ce pays colonisateur qui vous exploita .

Bien réfléchi , vous vous êtes faits avoir par de belles promesses et vous vous êtes enfuis pour ne pas crever de faim et échapper aussi à une mort certaine par des révolutionnaires de salon .

Il ne faut pas avoir la mémoire courte en nous racontant de belles histoires qui ne tiennent pas la route.

bsr AGDAL,

et puis il y a eu les algériens qui reçurent a partir des années 90, un linceul et un petit flacon de parfum, déposé au pas de la porte, trois possibilités, vivre au jour le jour, y mettre fin, les plus fragile quant a eux finiront a Frantz Fanon, c'est peut être la pire des choses, continuer a vivre en ayant perdu la raison, non?

a+

AGDAL,

Vous dites ''Je me souviens de français nés en Algérie qui reçurent un cercueil avec un mot ,la valise ou le cercueil.''

Pas tout à fait vrai. Pour preuve le FLN a accepté et souhaité que les Pieds-Noirs qui n'avaient pas du sang sur les mains puissent rester en Algérie tel que reconnu par les accords d'Evian.

C'est plutôt le contraire, c'est l'OAS qui ne voulait pas que les Pieds-Noirs quittent l'Algérie -sans autorisation- et qui a affiché le mot d'ordre : ''La valise c'est le cercueil''.

:p

Formidable!

Chacun fait l'histoire selon qu'il soit d'un côté ou de l'autre.

Les intellectuels qui déclenchèrent la rébellion et qui conclurent les accords d'Evian furent écartés plus ou moins rapidement .

Le résultat fut désastreux.

OAS fit de gros dégâts ,mais les cercueils circulaient depuis longtemps.

Avec le temps ,les acteurs meurent ,d'autres arrangent leurs souvenirs.

C'est avec des histoires enjolivées que l'on fabrique des héros et des salauds dans le camp adverse.

Expliquez moi alors tous les assassinats entre algériens des années 70 . L'Algérie était indépendante depuis 1962.

AGDAL,

Vous dites ''Je me souviens de français nés en Algérie qui reçurent un cercueil avec un mot ,la valise ou le cercueil.''

Pas tout à fait vrai. Pour preuve le FLN a accepté et souhaité que les Pieds-Noirs qui n'avaient pas du sang sur les mains puissent rester en Algérie tel que reconnu par les accords d'Evian.

C'est plutôt le contraire, c'est l'OAS qui ne voulait pas que les Pieds-Noirs quittent l'Algérie -sans autorisation- et qui a affiché le mot d'ordre : ''La valise c'est le cercueil''.

:p

bsr bena11,

en effet le slogan appartient a l'OAS

nous avons enterré mémé voila deux ans, c’était au bled,nous avons enterré une page d'histoire, elle avait toujours son pendentif avec sa petite croix, elle n'a jamais quittée l'algérie, meme pendant la décennie sanglante, période durant laquelle nous avons veillé sur elle comme a la prunelle de nos yeux, mais lorsqu'elle est partie, elle a eu les hommages d'une ville toute entière, le maire en premier

le plus cocasse, c'est qu'elle était de confession chrétienne, sa fille de meme confession s'est mariée a un algérien qui ne croyait pas en dieu, elle s'est reconvertie a l'islam, et par la suite a converti son mari qui était athée, faut le faire quand meme!!

a+

a+

TOI il est clair que tu est un nostalgique PN qui n'arrive pas a admettre qu'un arabe de nationalité Française doit pouvoir bénéficier des mêmes droits que TOI

Tu ne peut pas reprocher a d'autres de s'êtres enfuis alors que toi même tu l'a fait!!!!!!!!!!!!!!!!!

PN ?

Pales

Vous devriez avant de jouer au devin ,prendre des cours d'orthographe et ne pas confondre une langue avec une nationalité.

Un marocain parle l'arabe ainsi que l'algérien ,le tunisien.

Il existe deux sortes d'arabe ,le littéraire et le parlé commun.

Un français musulman peut parler l'arabe et le français ,il ne peut en aucun cas croire que cela lui donne le droit de ne pas respecter les lois de la république.

J'espère que vous aurez compris la subtilité.

Si vous possédez la double nationalité ,chose bizarre ,il faudra là aussi respecter les lois du pays dans lequel vous vous rendrez.

Pour revenir à mon précédent message ,il devient possible que l'on vous demande de quitter la France , si vous refusez de vivre selon les lois et us et coutumes.

La darija n'est pas de l'arabe . A moins que vous parliez de l'arabe standard ?

PN ?

La darija n'est pas de l'arabe . A moins que vous parliez de l'arabe standard ?

bsr Droit De Réponse,

en effet le darija n'est pas l'arabe, sans complexe, le darja capture les mots etrangers et les refaçonne sans egard ni contrainte grammaticales, sa victime préféré est la langue française, vivier inépuisable pour tout ceux qui ne cessent d'inventer des expressions témoignant de l'air du temps

malheureusement, le darja comme le berbère a été brimé aprés l'indépendance, interdite dans les discours officiels ou a la télévision et sur les chaines radio

a+

Réponse de droit :

Alors que beaucoup d’observateurs ont vu dans les mesures exceptionnelles prises par la Présidence, lors des obsèques d’Aït Ahmed (paix à son âme), une tentative de récupération politicienne de l’aura d’une personnalité historique de la Révolution, récupération que l’on a estimée en termes de convergence nationale, personne n’a su éclairer la véritable intention récupératrice de Bouteflika : un aspect sombre du parcours monumental d’Aït Ahmed, mais ô combien précieux, sa participation à la conférence de Sant’Egidio en 1995. Par ricochet, on pourrait interpréter ces honneurs nationaux comme une volonté délibérée du clan présidentiel de rappeler les faveurs «fissistes» de cette réunion qui mit sur un même pied d’égalité un parti antidémocratique, le FIS, et un autre profondément attaché à la démocratie, le FFS. Aït Ahmed avait su taire à l’époque les contestations au sein de son parti de ce qu’on pourrait appeler aujourd’hui un début de conjuration de Catiline au sein du FFS. Cette entrevue en terre romaine n’était en effet pas sans rappeler la fameuse rencontre entre Hitler et Chamberlain, associés à Daladier et Mussolini à Munich en novembre 1938. Triste spectacle que celui de Sant’Egidio, où les dirigeants du FIS, les mains tachées du sang de djounoud, s’offrent une séance d’absolution de leurs péchés dans l’enceinte d’une congrégation pourtant impie à leurs yeux du point de vue religieux. Mais les Européens savaient bien leur leçon de Munich, sur le bout des lèvres, puisqu’elle déboucha sur la Seconde Guerre mondiale. Pour eux, aller à Sant’Egidio, c’était donc dupliquer ce conflit en terre algérienne, une sorte de «guerre d’Algérie bis». C’est ce que n’a pas su voir Aït Ahmed et d’autres défenseurs de la démocratie à l’eau de rose dans leur respect absolu d’un idéal que l’on peut aisément comprendre. On ne saurait tenir rigueur à un homme épris éperdument d’un idéal politique et dont le purisme en mésestimait les effets pervers. Aït Ahmed a payé le prix fort de cette compromission lourde de conséquences sur l’avenir de sa formation, le FFS, au point où, aujourd’hui, ce parti est devenu presque squelettique sur l’échiquier politique, même s’il ne fait guère de doute qu’Aït Ahmed a toujours agi en accord avec lui-même et des principes moraux faits de justice et d’équité. Il aura été cependant pour beaucoup d’observateurs un nouveau Chamberlain ou un Daladier de Munich, qui tous deux furent piégés par les assurances fielleuses d’un Hitler machiavélique. Cependant, alors que le Führer réussit son coup de Munich, les dirigeants du FIS essuyèrent un échec cuisant dans leur tentative de se refaire une virginité en terre catholique et par la fréquentation de partis «démocratiques», sur le sang des innombrables victimes innocentes occasionnées par la légalisation du FIS. Grâce à qui ou selon quelles modalités ? Une partie névralgique de l’ANP que l’on continue de cibler encore aujourd’hui, à travers Nezzar, Mediene et Touati, les derniers Janviéristes.

L’esprit de Sant’Egidio continue de régner...

La mort d’Aït Ahmed a donné lieu à des tentatives de récupération politicienne de l’aura d’une personnalité historique de la Révolution. New Press

http://www.algeriepatriotique.com/article/une-contribution-du-dr-arab-kennouche-chronique-d-une-dejanvierisation-annoncee

Réponse de droit :

Alors que beaucoup d’observateurs ont vu dans les mesures exceptionnelles prises par la Présidence, lors des obsèques d’Aït Ahmed (paix à son âme), une tentative de récupération politicienne de l’aura d’une personnalité historique de la Révolution, récupération que l’on a estimée en termes de convergence nationale, personne n’a su éclairer la véritable intention récupératrice de Bouteflika : un aspect sombre du parcours monumental d’Aït Ahmed, mais ô combien précieux, sa participation à la conférence de Sant’Egidio en 1995. Par ricochet, on pourrait interpréter ces honneurs nationaux comme une volonté délibérée du clan présidentiel de rappeler les faveurs «fissistes» de cette réunion qui mit sur un même pied d’égalité un parti antidémocratique, le FIS, et un autre profondément attaché à la démocratie, le FFS. Aït Ahmed avait su taire à l’époque les contestations au sein de son parti de ce qu’on pourrait appeler aujourd’hui un début de conjuration de Catiline au sein du FFS. Cette entrevue en terre romaine n’était en effet pas sans rappeler la fameuse rencontre entre Hitler et Chamberlain, associés à Daladier et Mussolini à Munich en novembre 1938. Triste spectacle que celui de Sant’Egidio, où les dirigeants du FIS, les mains tachées du sang de djounoud, s’offrent une séance d’absolution de leurs péchés dans l’enceinte d’une congrégation pourtant impie à leurs yeux du point de vue religieux. Mais les Européens savaient bien leur leçon de Munich, sur le bout des lèvres, puisqu’elle déboucha sur la Seconde Guerre mondiale. Pour eux, aller à Sant’Egidio, c’était donc dupliquer ce conflit en terre algérienne, une sorte de «guerre d’Algérie bis». C’est ce que n’a pas su voir Aït Ahmed et d’autres défenseurs de la démocratie à l’eau de rose dans leur respect absolu d’un idéal que l’on peut aisément comprendre. On ne saurait tenir rigueur à un homme épris éperdument d’un idéal politique et dont le purisme en mésestimait les effets pervers. Aït Ahmed a payé le prix fort de cette compromission lourde de conséquences sur l’avenir de sa formation, le FFS, au point où, aujourd’hui, ce parti est devenu presque squelettique sur l’échiquier politique, même s’il ne fait guère de doute qu’Aït Ahmed a toujours agi en accord avec lui-même et des principes moraux faits de justice et d’équité. Il aura été cependant pour beaucoup d’observateurs un nouveau Chamberlain ou un Daladier de Munich, qui tous deux furent piégés par les assurances fielleuses d’un Hitler machiavélique. Cependant, alors que le Führer réussit son coup de Munich, les dirigeants du FIS essuyèrent un échec cuisant dans leur tentative de se refaire une virginité en terre catholique et par la fréquentation de partis «démocratiques», sur le sang des innombrables victimes innocentes occasionnées par la légalisation du FIS. Grâce à qui ou selon quelles modalités ? Une partie névralgique de l’ANP que l’on continue de cibler encore aujourd’hui, à travers Nezzar, Mediene et Touati, les derniers Janviéristes.

L’esprit de Sant’Egidio continue de régner...

La mort d’Aït Ahmed a donné lieu à des tentatives de récupération politicienne de l’aura d’une personnalité historique de la Révolution. New Press

http://www.algeriepa...sation-annoncee

http://www.lematindz.net/news/6738-algerie-le-contrat-national-de-rome.html

Pourquoi tu me parles d'Aït Ahmed ?

http://www.lematindz.net/news/6738-algerie-le-contrat-national-de-rome.html

Pourquoi tu me parles d'Aït Ahmed ?

Je voulais plus parler de la conférence de Sant’Egidio en 1995.

:gurp:

Je voulais plus parler de la conférence de Sant’Egidio en 1995.

:gurp:

Ok mais pourquoi me citer ?

Le FIS a enflé tout le monde et comme dit dans mon lien endormi les européens alors en plein relativisme culturel .

L'anti-arabisme ou les effets collatéraux d'un butin en absence de prémunitions

Les guerres procurent toujours des butins aux vainqueurs, y compris une langue et des connaissances, mais parler de butin culturel, c'est se tromper de vainqueur. «Le peuple d'Algérie est musulman, et à l'arabité il est affilié ».

C'est ainsi que définissait Ben Badis l'Amazigh, il y a près d'un siècle, l'identité civilisationnelle de sa société, en pesant soigneusement ses mots, et en étant rassuré de ne heurter aucun compatriote. Même si ce poème continue d'être récité, force est de reconnaitre que le slogan n'est plus consensuel. Qu'est-ce qui a donc bien changé ? Réveil identitaire salvateur ? Ou effet postcolonial dévastateur ?

L'Arabité de Ben Badis, scellée par nos ancêtres berbères qui ont ensuite porté et déployé davantage sa bannière, est inaliénable. Que les arabes s'unissent dans la vassalité ou les courbettes, notre prophète demeure arabe, et la langue du Coran reste inchangée.

La haine de l'Arabité doit normalement être perçue comme un symptôme inquiétant, et à la limite, le dégoût que peuvent provoquer les échecs et humiliations des arabes ne doit pas affecter l'objectivité et l'impartialité des amazighs épris de liberté et d'équité. Les pays arabes ont sans doute besoin d'être mieux conseillés, mais les critiques constructives demeurent tributaires de la noblesse des sentiments et intentions. Examinons le traitement d'une certaine actualité.

L'IRAN ET LES ARABES

..

http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5223670

Des Berbères devenus pharaons d’Egypte

Assegas ameggaz

C’est le 12 janvier 2013 que ce timbre festif d’une valeur faciale de 15 DA (régime intérieur) a été mis en vente.

Apparemment anodin, il cache en vérité une histoire qui nous transporte jusqu’aux temps des pharaons d’Egypte ? En effet, selon une version qui fait l’unanimité chez les historiens, Yennayer 2966 que nous célébrons cette année commémore l’intronisation du roi amazigh Chechnak 1er (parfois orthographié Chechonq) comme pharaon d’Egypte en 950 avant J. C. Ce jour-là, Chechnak marque sa victoire sur le pharaon Psousennès II, ce qui lui permet de conquérir l’Egypte et de soumettre tout le delta du Nil à son autorité, où il fonda sa capitale, Tanis, ville dénommée actuellement San El Hadjar.

Les trésors de cette 22e dynastie découverts en 1939 dans la nécropole des rois de Tanis par une mission d’égyptologues français sont aujourd’hui exposés au Musée du Caire. Ils racontent l’histoire de ces Berbères devenus pharaons d’Egypte pendant près de deux siècles. Khelifi Saliha, l’auteur du timbre dédié à Yennayer, est une artiste-peintre qui s’inspire dans ses créations artistiques du patrimoine symbolique et du répertoire graphique amazighs.

http://www.elwatan.com/hebdo/magazine/des-berberes-devenus-pharaons-d-egypte-14-01-2016-312075_265.php

Joan A.Polaschik, nouvelle ambassadrice des USA à Alger

ELLE ETAIT LA N°2 DE L'AMBASSADE AMERICAINE EN LIBYE

Azul fellawen, c'est l'ambassade des USA

L'ambassadrice des Etats-Unis à Alger, Joan Polaschik, n'a pas raté l'occasion du Nouvel An amazigh pour présenter ses voeux aux Algériens.

Mme Polaschik a, en effet, posté sur son compte Twitter un message «Assewgass amegaz 2966!» (bonne année 2966) le jour même de la célébration du Nouvel An amazigh.

L'ExpressionPublié dans L'Expression le 16 - 01 - 2016

http://www.djazairess.com/fr/lexpression/233408