Vivre c'est être vulnérable

Vivre c'est être vulnérable. Se renfermer c'est mourir. Qu'en pensez-vous?

La sensibilité implique la vulnérabilité. (il faut puiser à la source du silence pour écouter et regarder)

Celui qui est totalement vulnérable est indestructible?

Vivre, c'est mourir un jour. Sans mort il n'y a pas de notion de vie, et sans vie il n'y a pas de notion de mort.

Donner la vie, c'est condamner à mort (entre autres choses fort heureusement).

Est-ce que VIVRE (dans toute la dimension de connaissance de soi que ça implique) c'est être VULNERABLE ?

Le simple fait d'être , nous rend vulnérable aux tourments portés par l'idée de ne plus être .

Il me semble que l'on est vulnérable a X choses dès lors que l'on éprouve , qu'on a une conscience ...

De la a dire que cela rend indestructible... j'aurai plutôt cru l'inverse ...même si d'un autre côté ça peut rendre fou et destructeur .

Me faut du paracétamol ... :D

C'est quoi vivre ?

C'est quoi être vulnérable ?

Se renfermer? Aux sentiments? Alors oui c'est se condamner. Quand on est introverti on voit plus clair dans le jeu des acteurs autour de nous, on est plus sensibles, touchés pour défendre des causes. Ceux qui ne veulent pas voir ont le cœur sec et tombent en dépression.

Vivre c'est être vulnérable. Se renfermer c'est mourir. Qu'en pensez-vous?

Puisque vivre c'est se rapprocher de sa mort à chaque instant; selon vous, vivre c'est se renfermer peu à peu. Chacun plante les clous de son cercueil. Nous sommes vulnérables, tourmentés, parce que nous sommes les seuls animaux à savoir que nous allons mourir. Mais l'ignorer n'est il pas mieux ?

Etre complètement vulnérable, pourrait signifier faire mourir l'image de soi pour vivre réellement.

Puisque l'on maintient cette image que l'on a de soi à laquelle on porte nos peurs nos souffrances, nos satisfactions, nos conflits etc. Si on n'échappait pas à ces sensations par nos réactions/actions. Alors peut-être qu'en les acceptants et en étant simplement avec la sensation, la vulnérabilité serait telle que la sensation cesserait, on retrouverait qui l'on est vraiment et la vie commencerait.

'acceptation , je ne jugerais pas et les jugement émis en mon encontre me sont indifférent , l’autosuffisance intellectuel , l'absence de débat , ou les choses comme le bien ou le mal ne serrais pas des éléments a débattre mais ou les actes de chacun serrais perçus comme sombre ou lumineux .

la terre une école ou chacun doit en tirer ces propres conclusions.

Tout est accepté , un dieu plein d'amour , mais un dieu du monde des esprits , le dieu qui régis cette univers n'est pas moins que le grand architecte appelé communément Satan ou le diable , dieu avais besoins de lui pour que le système fonctionne , Satan le grand architecte est le maître de la matière il est le maître de la terre et le monde physique et beaucoup plus dure que le monde des esprits celui de dieu , quand deux esprit ce confronte il ne peuvent point ce tuer la notions du mal ou du bien est complètement différente par contre si j’appuie sur la gâchette ... , je suis vulnérable a la matière , ici l'esprit est plus faible que la matière , je ne peu pas bouger les objet par la pensé , mais les objet on biens une influence sur mon esprit , internet , les jeux vidéo , les films , le téléphone , la drogue , la bouffe , la météo , la maladie , etc ... , je suis quand même vulnérable a la matière , je ne prierais pas Satan mais je lui doit ma vie physique et en travers moi je lui amène la pensé du monde des esprits , il peu me tuer physiquement mais il ne peu pas tuer mon esprit, je n’irais donc a l’encontre de rein , mais le monde physique me rend quand même plus ou moins vulnérable , par nécessité.

Ou il y a le cas par exemple de l'enfant , il est vulnérable et innocent de ces actes , le biens ou le mal n'étant pas encore assimilé chez lui et dont la justice ne jugera pas, estiment qu'on ne peu pas punir moralement quelqu’un qui n' a pas conscience de ces actes et s'en suffira a une leçons de moral.

une vénérable justice , la justice des esprits , serrais clémente envers les vulnérables.

bonjour

oui ,le risque de naitre entraine le risque de mourir . avons nous le choix ? nous connaissons le début et la fin , mais , entre ces deux extrêmes , c'est l'inconnu .

au diable les espoirs et les peurs , vivons la vie jusqu'à plus soif et nous tirerons notre révérence à la grande faucheuse qui accomplira son œuvre destructeur comme elle le fait si bien depuis des millions d'années .

bonne journée

"La mort n'est pas le but de la vie, mais simplement sa fin." Montaigne

"Ce qui fait la vie brève et tourmentée, c'est l'oubli du passé, la négligence du présent, la crainte de l'avenir." Sénèque

"On ne doit ni craindre la mort ni la rechercher."

Etre complètement vulnérable, pourrait signifier faire mourir l'image de soi pour vivre réellement.

Puisque l'on maintient cette image que l'on a de soi à laquelle on porte nos peurs nos souffrances, nos satisfactions, nos conflits etc. Si on n'échappait pas à ces sensations par nos réactions/actions. Alors peut-être qu'en les acceptants et en étant simplement avec la sensation, la vulnérabilité serait telle que la sensation cesserait, on retrouverait qui l'on est vraiment et la vie commencerait.

Il semble que vous entendez ce mot "vulnérabilité" comme Krishnamurti l'évoquait. Un état de sensibilité de corps et d'esprit dans le sens d'éveillé, où rien ne se sépare. C'est expérience que les mots trahissent toujours.

On ne fait pas mourir cela s'absente : les peurs, les souffrances, les conflits. Alors d'autres sensations...

Oui