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le merle

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

bonjour

par un beau matin de ce mois d'avril magnifique ,je me réveillais d'une excellente humeur à la pensée de cette délicieuse journée que j'allais passer avec Sophie .

mon amour pour elle grandissait un peut plus chaque jour et , je savais qu'elle éprouvait le même sentiment pour moi .

vers 14 heure , il faisait déjà très chaud et le temps tournait à l'orage ; nous avions fini de déjeuner .

Sophie et moi , désireux de nous retrouver seuls ,nous nous éloignâmes du reste de la petite troupe de mes cousins et cousines

par un petit chemin qui sentait les parfums subtils de la campagne . les autres enfants comprirent notre désir d'êtres seul mais nous lancèrent quelques plaisanteries coquines .

le chemin serpentait dans la colline et notre bonheur d'être ensemble dans ce magnifique décors était inexprimable par des mots .

nous nous tenions par la main que je lâchais de temps à autre pour faire quelque singeries qui faisait rire Sophie . elle prenait alors un air de grande dame offusquée ce qui me poussais à faire le singe de plus bel .

nous atteignîmes ainsi la fameuse pâture ou le taureau , que j'avais pris pour une vache , avait eu droit à mon exhibition de toréador avant de me ridiculiser devant mes amis que j'avais cherché à impressionner .

il était la, entrain de brouter l'herbes tendre de la prairie. Sophie décida de le punir de m'avoir tant fait peur, en nous nous lançament dans un concours de grimaces qui le laissait indifférent en ignorent notre présence .

il finit par tourner la tête en mastiquant de l'herbes d'un air complètement abruti . j' en concluais que ses facultés intellectuelles n'étaient pas suffisantes pour apprécier tout le mal que nous nous donnions pour nous moquer de lui .

de guerre lasse , Sophie décidât de continuer notre chemin , estimant que mon honneur était sauf .

le temps devenait de plus en plus menaçant ,nous aurions du rebrousser chemin pendant qu'il était encore temps car l'orage n'allait pas tarder d'éclater .

mais notre joie d'être ensemble nous faisait oublier tout ce qui était au tour de nous . le vent se leva soufflant en bourrasque et , soudain , un éclair et un grondement sinistre nous fit sursauter nous intiment de nous mettre à l'abris sans tarder .

il était trop tard pour regagner la maison ,quelques gouttes d'eau puis un déluge nous obligea à trouver un abris d'urgence . par chance ,il y avait une grange à cent mètres environs , en courrant le plus vite possible nous l'atteignîmes complètement trempés jusqu'aux os .

la paille nous permit de nous assoir l'un contre l'autre et , chaque coup de tonnerre nous faisant tressaillir et nous rapprochant toujours un peut plus .

la tempête se déchaîna , nous étions à la fois terrorisés et rassuré d'être ensemble car , nous pensions que notre amour nous protégeait de tout .

la nuit tomba et il pleuvait toujours autant ; le plus logique était de passer la nuit dans la grange mais , je ne pouvais m'empêcher de penser à l'inquiétude de mon grand-père et de mes coussins cousines qui devaient êtres très inquiet sur notre sort .

je savais que mon grand-père avait confiance en moi et que je trouverais un refuge mais , il ne pouvait qu'espérer .

nous avions faim et froid , Sophie blottie contre moi ,grelottait , je l'embrassais et appuyais ma tête contre la sienne pour la réchauffer tout en confectionnant une couverture de pailles qui abondait dans la grange .

mon bonheur d'enfant amoureux était indescriptible en cet instant , j'aurai donné ma vie pour protéger Sophie .

la tempête se calma enfin ,alors que nous dormions tout les deux profondément , quand l'aube nous envoya ses signaux orangés .

je me réveillais et contemplais Sophie , ma jolie princesse qui dormais paisiblement , les cheveux couverts de paille , elle me semblais si belle que mon cœur , en la voyant dormir ,battait un peut plus .

elle se réveilla enfin et se frotta les yeux encore remplis de sommeil . reprenant ses esprits , elle me sourit et je l'attirais tout contre moi pour déposer un doux baiser sur ses lèvres .

nous nous levâmes avec de la paille collée à nos vêtements . dehors ,le soleil était revenus ,un beau ciel bleu avait fait place aux nuages menaçant de la tempête de la veille . nous répriment le chemin de la maison ,l'air avait fraichit un peut . mon maillot avait séché pendant la nuit , je le mettait sur les épaule de ma bien aimée qui me souria tendrement .

un quart d'heure plus tard , nous aperçûmes grand- père et tantine ainsi que mes petits cousins et cousines , partis à notre recherche ,et portant des couvertures et des imperméables pour notre usage .

nous nous jetâmes dans les bras les uns les autres dans la joie des retrouvailles . mon grand-père s'inquiéta de notre santé , la joie de nous avoir retrouvé sain et sauf se lisait sur son visage.il nous couvrit avec les couvertures et nous frictionna énergiquement ,mais le soleil nous avait déjà réchauffé et sécher .

nous revînmes à la maison ou nous fîmes honneur au copieux petit déjeuner qui nous attendait .

bonne soirée

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  • 1 mois après...
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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 48 048 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Une frivole petite histoire bien sympathique :)

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