qu'elle était verte ma campagne

bonjour

la valeur n'attend pas le nombre des années ... l'amour non plus .

assis sur un banc , sur la place d'un village ,je regardais des enfants joués . certains se poursuivaient en riant , d'autres jouaient au ballons , mais dans un coin de la place ,sous un arbre vénérable ,un garçon et une fille semblaient se confier des secrets et se jetaient parfois des regards qui en disaient long sur leurs sentiments .

ils devaient avoir 12 ans et , déjà , l'amour frappais à la porte de leurs cœurs .

cela était attendrissant , je ne pus éviter de penser à m'à tendre enfance et à mes amours enfuis à jamais .

oui , ils étaient loin , très loin les amours de mon enfance .

je me rappelle cette année là , c'était au printemps . si belle saison : les odeurs de l'herbe des fleurs sauvages ,une légère brise faisait frissonner les petites fleurs blanches et les feuilles des pommiers .

je devais avoir douze ans .

c'était les vacances de pâques , j'était venu les passer chez mon grand- père comme chaque années , avec un amis de mon âge , mon meilleur ami.

nous étions comme deux frères inséparable . j'étais loin de me douter que ces vacances allait bousculer notre amitié et me faire connaitre mon premier amour , celui de ma vie . l'âme et le cœur innocent du jeune garçon que j'étais n'allaient pas sortir indemnes de cette histoire et resterait à jamais marqué .

tout cela , à cause d'une petite fille de notre âge que mon grand père accepta de recevoir pendant les vacances car ,ses parents préparaient leurs départ pour l'australie et si installer définitivement .

le jour de son arrivée ,nous étions , moi et mon ami jean , partis construire une cabane dans un bois au bord d'une prairie .celle-ci nous créait bien des problèmes car jean la trouvait trop petite et moi , trop grande .

l'un retirait une branche pour la mettre à un autre endroit tandis que l'autre la retirait jugent que ce n'était pas sa meilleur place .

mon grand père nous avais recommandé d'être de retour à 16 heure , l'heure d'arrivée de la jeune inconnue .

absorbé par notre ouvrage , nous fument pris de panique quand nous entendîmes la cloche du village sonner quatre fois .

abandonnent notre ouvrage nous courrumes à perdre allène vers la rivière mais , le pont étant trop loin , nous priment la décision de la traverser à un endroit ou elle n'était pas profonde , pour gagné du temps .

jean me fis remarquer que la berge de l'autre coté n'était que fange et boue .

mais , à la guerre comme à la guerre , il fallait passer .jean retira une chaussette et tata l'eau qui coulait paresseusement .

- elle est froide me dit-il

je lui affirmais que non .

- bien sur , toi tu à un sang d'ours polaire .

je traversais le premier et m'engageai dans la boue nauséabonde et soudain , je glissais et m'étallai de tout mon long dans la fange .

jean éclata de rire , blessant ainsi mon égo .

je lui jetais une poignée de boue , il répliqua et glissa à son tour pour s'étaler dans la fange .

les hostilités étaient ouvertes et bientôt , nous étions méconaissable .

reprenant nos esprits , pied nus nous courrument vers la maison . trop tard , l'inconnue arrivait à l'instant .

elle était belle et mignonne , mon grand père la fit entrer dans la salle principal et lui servis un jus de fruits nous les observions de notre cachette .

moi et jean avions un gros problème , il fallait traverser la pièce pour rejoindre la salle de bain .

dés qu'ils eurent le dos tourné ,nous entrame dans la pièce à pas de loup , laissant des traces de pieds nus sur le carrelage , qu'un yéti n'aurai pas renier .

soudain , jean , le maladroit ,heurta un guéridon ou un magnifique bouquet de fleurs trônait . le bruit fut épouvantable .la jeune inconnue se retourna brusquement et poussa un cris d'horreur en voyant les deux monstres couverts de boue et dégageant une odeur repoussante comme sortis d'un film d'épouvante .

belle entrée en matière .

le soir , au repas , après avoir repris figure humaine , nous rions de notre mésaventure et la soirée finis dans la bonne humeur .

l'inconnue avait un nom , elle s'appelait Sophie .trop macho , nous ne voulions pas jouer avec elle .

pensez dont , jouer avec une fille ... à la poupée .

mais un jour , elle vint avec nous à la cabane et tomba en admiration devant notre " œuvre " nous qui étions sur le point d'abandonner la construction pour incompétence notoire .

elle nous demanda d'apporter quelques retouches à notre cabane . nous acceptâmes .elle rectifia quelques branches et alla chercher quelques fleurs dans la prairie et en décora la cabane qui avait , maintenant un charme certain .

une fille , plus intelligente que deux garçon ? cela ne s'était jamais vu . à partir de se jour , nous fument inséparable . je la trouvais de plus en plus belle et jean de même . une certaine jalousie égratigna notre amitié .

c'était à celui qui la ferait rire le plus .j'allais jusqu'à pénétrer dans un prés pour jouer au toréador avec une vache qui étais bel et bien un taureau et qui m'obligea à grimper à un arbre pour ne pas me faire encorner .

pour sauvegarder notre amitié en péril ,jean et moi fime un serment .celui qu'elle choisirait ne devrait pas garder rancune au vainqueur . au cour d'un pique nique que mon grand père organisa ,je fut celui qu'elle choisi .

j'étais au ange , premier amour , premier baisser .

et , abandonnant lâchement mais principes , je jouais à la poupée avec elle .elle me la confiais et je devait lui donner le biberon , très maladroitement je l'avoue .

la poupée , les yeux grand ouvert , semblait me dire

- fais attention à ce que tu fais , je suis la poupée de Sophie .

et puis un jour ,c'était la fin des vacances et son départ pour l'australie fut pour moi et pour elle un drame car , je savais que jamais plus je ne la reverrais .

cette histoire est une histoire vécu ,bien que je m'en souvienne très bien , je l'ai beaucoup abrégée.

bonne soirée

Bonjour, ton poème m' a fait penser à cette reprise par Claude Nougaro;

ça me fait penser le temps des secrets Marcel Pagnol . ou bien le Château de ma mère je sais plus .

Bonjour, ton poème m' a fait penser à cette reprise par Claude Nougaro;

bonjour

ce n'est pas un poème , mais une histoire d'enfance .

bonne journée

ça me fait penser le temps des secrets Marcel Pagnol . ou bien le Château de ma mère je sais plus .

bonjour

oui , sans être Pagnol ,certaines histoire d'enfance se ressemble .en réalité ,l'histoire complète , je l'ai écrite dans un livre qui à été publiée en 2008 je crois . ou je raconte aussi , l'histoire de ce facteur du village ou il était de coutume de lui servir un verre de vin quand il apportait du courrier. suivant l'état de son ébriété , on pouvait , sans se tromper beaucoup , savoir le nombre de clients qu'il avait eu dans la journée .

bonne journée

:smile2: C'était la bonne époque pour les facteurs .

bonjour

ce n'est pas un poème , mais une histoire d'enfance .

bonne journée

Ben oui, évidement que ce n'est pas un poème. C'est mon clavier qui a fourchu. Mes plus plates excuses et bonne journée itou.

Ben oui, évidement que ce n'est pas un poème. C'est mon clavier qui a fourchu. Mes plus plates excuses et bonne journée itou.

bonjour

tu n'à pas à t'excuser ,la seule chose qui compte pour moi c'est d'espérer que cette histoire t'à plu .

bonne soirée