effexor

Bonsoir

Je voulais savoir ce que vous pensiez du médicament effexor

Car j en prenai et le fait d arrêter ma donner des symptômes très violent j ai vu que le sevrage était très difficile

Avez vous d après vos vécus subit cela

Merci pour vos réponses

J imagine comme beaucoup que dès que tu t es sentie mieux, tu as arreté ton traitement....si tu l as arreté net la crise de sevrage est violente , et tu t exposes au phenomène rebond....

Pr les anti depresseurs le sevrage se fait par palier...peut etre ne les as tu pas respecté?

On me l'avait prescrit, je l'ai mal supporté, donc je l'ai pris peu de temps et le sevrage a été facile puisqu'avec remplacement par un autre produit.

Par la suite j'ai appris qu'il était déconseillé par la revue Prescrire (très fiable) à cause d'effets secondaires à haut risque.

Il ne faut jamais arrêter un anti-dépresseur de sa propre initiative et parler à son psychiatre pour mettre en place une limitation du traitement en diminuant les doses par palier progressivement.

En ce qui me concerne, je suis sous anti-dépresseur depuis 7 ans.

Je suis sous paroxétine, mais un jour, mon psychiatre m'a proposé de changer et de prendre Effexor.. Je ne l'ai pas du tout supporté, car j'ai eu une réaction très violente.

Finalement, j'ai repris mon traitement initial.

Surtout, il ne faut jamais arrêter un anti-dépresseur subitement. L’arrêt se fait en plusieurs étape !!

ces médicaments ne réglent pas le probléme. C'est bon quelques mois, puis ce sera pire

Il faut entamer obligatoirement une psychothérapie.

Effexor, Norset, surmontil etc, il plus de 50 sont des paliatifs et rien de plus. A long terme allié avec xanax , temesr autres, les effets sont désastreux. Il faut trouver les causes de mal et agir sur ces causes

En attendant, mangez du fromage de chévre bio, il contient un précurseur de la sérotonine.

Je suis de la profession. N'arrêtez jamais ces médicaments d'un coup, l'effet est redoutable

Quel est votre probléme, si vous pouvez en parler ? ( Pas d'obligations bien entendu )

Courage;)

ces médicaments ne réglent pas le probléme. C'est bon quelques mois, puis ce sera pire

Il faut entamer obligatoirement une psychothérapie.

Effexor, Norset, surmontil etc, il sont plus de 50 sont des paliatifs et rien de plus. A long terme allié avec xanax , temesta autres, les effets sont désastreux. Bouffées de chaleur, perte mémoire, contractions musculaires , perte libido, pour ne pas aller plus avant. Il faut trouver les causes de mal et agir sur ces causes

En attendant, mangez du fromage de chévre bio, il contient un précurseur de la sérotonine.

Je suis de la profession. N'arrêtez jamais ces médicaments d'un coup, l'effet est redoutable

Quel est votre probléme, si vous pouvez en parler ? ( Pas d'obligations bien entendu )

Courage;)

On me l'avait prescrit, je l'ai mal supporté, donc je l'ai pris peu de temps et le sevrage a été facile puisqu'avec remplacement par un autre produit.

Par la suite j'ai appris qu'il était déconseillé par la revue Prescrire (très fiable) à cause d'effets secondaires à haut risque.

Ces médicaments vont vous tuer à court terme..Les psychiatres le savent mais, ils vivent luxueusement de ça ( l'état, les labos aussi )donc, c'est perdu d'avance. La dépression c'est pire que certains cancers.

Il faut tenter une où des psychothérapies, c'est l'unique voie.

Quelques conseils durs à suivre.

Pas de tabac, pas d'alcool,pas de café, thé etc

Prendre des tisanes de tilleuls,camomilles, valérianes, deux heures avant le sommeil.l'effet apparait au bout de 21 jours

Manger sain. Fromage de chévre bio, légumes frais, fruits frais, tout bio.Essayer de marcher à vitesse assez grande une demi heure par jour.

Manger bcp d'aromates et condiments, ail, échalotes,thym, laurier, menthe, ciboulette, le plus possible. Des olives, de l'huile d'olive, du poisson frais portions , foie de morue.

etc

Bonne chance;)

Bonsoir

Je voulais savoir ce que vous pensiez du médicament effexor

Car j en prenai et le fait d arrêter ma donner des symptômes très violent j ai vu que le sevrage était très difficile

Avez vous d après vos vécus subit cela

Bonjour Carla,

J'ai effectivement vécu la même chose que toi il y a 5 ans environ. Mon généraliste m'avais mise sous Effexor, la petite pilule miraculeuse. Et effectivement ça a été un traitement miracle pour moi. TOUS les symptômes visés avaient disparu. Sauf que l'enfer a commencé au moment du sevrage. La moindre ridicule diminution de dose (je coupais une toute petite partie des comprimés) me provoquait des symptômes hyper handicapants : vertiges, nausées, maux de têtes, confusion de l'esprit, etc

Le médecin a tout essayé, on ne pouvait pas faire sevrage plus en douceur, et à chaque fois c'était un échec, j'étais obligée de reprendre la dose d'Effexor à laquelle mon corps habituée tellement les symptômes du sevrage étaient invivables... Cet enfer a duré deux ans ! -___- jusqu'au jour où un autre médecin m'a proposé une autre méthode de sevrage : remplacer Effexor par un autre antidépresseur plus classique, pour ensuite me sevrer de ce nouveau traitement... Et enfin, ça a marché.

Depuis, dès que je le peux, je déconseille autant que possible autour de moi cette merde. Ne commencez JAMAIS Effexor. Ce traitement est très fréquemment prescrit parce qu'il est réputé pour son efficacité. Mais le sevrage peut être un enfer sans nom.

Donc, Carla, si tu es dans la situation que j'ai connue aussi, parle à ton médecin de cette éventualité de prendre un autre antidépresseur pendant un ou deux mois en remplacement d'Effexor, pour ensuite pouvoir en commencer le sevrage en douceur.

Bonjour à tous je vous remercie pour vos réponses en faite j ai depuis plusieurs années des périodes de dépressions peu confiance en moi et des crises d angoisse je vous en parle me pas. J ai peur du a cela de sortir dehors seule ou même parfois accompagné ce médicament avait cache ces maux du coup je me sentais mieux mais j ai souvent mal au réins depuis la prise de ce médicament et je me dit que quoique il arrive après l arrêt de ce médicament mes maux seront toujours la même en suivant une psychothérapie en parallèle j ai l impression que je resterai identique à moi même... Enfance très difficile perte très jeune de deux de mes amis enterrement ect... Beaucoup de moquerie en étant plus jeune donc peu de confiance en moi... Je ne garde jamais un travail trop longtemps car l autorité me fait peur et le travail en lui même aussi. J ai perdu l année dernière une personne chère à mes yeux et je ne m en suis jamais remise je pleure encore aujourd'hui donc finalement peur de la mort

.. Tout sa en une toute petite personne. Je voudrai à présent avoir un enfant mais je voudrai tellement qu il naisse pas avec une mère comme je le suis aujourd'hui... :-(

La psychothérapie doit être ta priorité, surtout avec un projet d'enfant : un bébé ne te guérira pas. Et le pire c'est qu'un enfant est une éponge à émotions parentales, donc il peut souffrir à son tour (c'est ce qui m'est arrivé).

Par ailleurs une grossesse et un accouchement sont d'enormes bouleversements psychiques et donc peuvent créer une nouvelle crise.

Il ne s'agit pas de te décourager de faire un enfant : si tu en as envie fais-le et c'est une motivation à se battre, mais sérieusement accompagnée. Si tu ne sens pas de confiance parfaite avec ton praticien et de légers progrès, change-en. Et il faut être patiente, c'est long.

Bonjour à tous je vous remercie pour vos réponses en faite j ai depuis plusieurs années des périodes de dépressions peu confiance en moi et des crises d angoisse je vous en parle me pas. J ai peur du a cela de sortir dehors seule ou même parfois accompagné ce médicament avait cache ces maux du coup je me sentais mieux mais j ai souvent mal au réins depuis la prise de ce médicament et je me dit que quoique il arrive après l arrêt de ce médicament mes maux seront toujours la même en suivant une psychothérapie en parallèle j ai l impression que je resterai identique à moi même... Enfance très difficile perte très jeune de deux de mes amis enterrement ect... Beaucoup de moquerie en étant plus jeune donc peu de confiance en moi... Je ne garde jamais un travail trop longtemps car l autorité me fait peur et le travail en lui même aussi. J ai perdu l année dernière une personne chère à mes yeux et je ne m en suis jamais remise je pleure encore aujourd'hui donc finalement peur de la mort

.. Tout sa en une toute petite personne. Je voudrai à présent avoir un enfant mais je voudrai tellement qu il naisse pas avec une mère comme je le suis aujourd'hui... :-(

On est plus la même personne après un psychotérapie même si le mal n'est pas guéri. Rencontrez par exemple une personne dix minutes vous n'êtes plus la même. Pourquoi, parce que maintenant cette personne est en vous.

Un proverbe indien dit, lorsque tu retournes une pierre c'est tout l'ordre du monde qui est changé, c'est très vrai.La peur de mourir est normale sinon , personne ne pourrait survivre, c'est aussi simple que ça. Comme la douleur est normale. Une enfant qui ne sent pas la douleur ne peut pas survivre. Il saute du haut d'un arbre où s'endort les jambes dans le feu.

Vous dites la pschotérapie ne peut pas m'aider, je ne changerai jamais et pourtant vous demandez de l'aide..

Vous voyez qu'un thérapeute comprend très bien les choses. Il suffira simplement pour vous, de remettre ces choses dans le bon ordre

Avec moi, ce serait fait en trois mois

Cordialement.

La psychothérapie doit être ta priorité, surtout avec un projet d'enfant : un bébé ne te guérira pas. Et le pire c'est qu'un enfant est une éponge à émotions parentales, donc il peut souffrir à son tour (c'est ce qui m'est arrivé).

Par ailleurs une grossesse et un accouchement sont d'enormes bouleversements psychiques et donc peuvent créer une nouvelle crise.

Il ne s'agit pas de te décourager de faire un enfant : si tu en as envie fais-le et c'est une motivation à se battre, mais sérieusement accompagnée. Si tu ne sens pas de confiance parfaite avec ton praticien et de légers progrès, change-en. Et il faut être patiente, c'est long.

Le probléme de carla c'est qu'elle est dans le discours "redondant" ( la toute puissance ) personne ne peut rien pour moi. Ce qui est violent donc, cette violence se retourne contre elle.

Elle sera donc dans la fuite, ne pourra pas s'entendre avec ses collégues de travail etc..

Elle se positionne comme l'individu comme centralité, et c'est ça ,qui cause son désordre " psychique"

J'espère être compris. Cette violence chez " la " femme émane sans qu'elle le sache de sa supériorité sexuelle sur l'homme. Ca commence très tôt...Les hommes sont d'ailleurs souvent prisonnier de cette violence féminine et beaucoup sombrent aussi dans la dépression.

Pour faire simple.

Amitiés virtuelles;)

Si seulement la thérapie pouvait se faire en 3 mois et que je puisses profiter pleinement de ma vie avec mon mari ;-)

Je comprends se que tu veux dire mon mari est très fort mais juste extérieurement je sais que je le fais souffrir intérieurement et cela me rends triste... Mais je n ai que lui en dehors de mon thérapeute et parfois je ne peux pas tjrs faire semblant d aller bien tout ressort :'(

En tout cas je prends en compte chacun d vos commentaires et vous en.remercie

Une bonne thérapie ça marche très bien. Si ça ne marche pas on change. Je te conseil de choisir un homme. Pour ma part,je n'avais que des femmes dans mon cabinet.

C'est déjà la différence " sexuelle" qui fait que ça marche. C'est un peu long à expliquer.

J'ai été opéré d'une artérite trés grave ( 5 h en bloc ), j'ai choisi une femme.

L'après midi ( cette femme était passionné par la psychanalyse ) m'à proposé d'aller boire un café. Je marchais à nouveau normalement. Elle m'à dit qu'elle avait des cauchemars "terribles " et qu'elle avait besoin de moi.

Je me suis occupé d'elle. En une semaine, elle allait déjà nettement mieux. Nous nous voyons toutes les semaines à Paris. C'est devenu une amie géniale.

Elle m'opère de l'autre jambe ( c'est moins grave )dans deux mois ), la réussite sera totale. Ca s'appel le transfert en psychanalyse. ( Le désir de l'autre qui n'est pas forcément sexuel )

Chez les grec ce que qui se nomme : La clinique.

Amitiés Carla

Suivre une thérapie, c'est quelque chose qui se fait sur le long terme et non pas sur quelques mois et surtout, il ne faut pas être dans une thérapie obligée.

Une bonne thérapie ça marche très bien. Si ça ne marche pas on change. Je te conseil de choisir un homme. Pour ma part,je n'avais que des femmes dans mon cabinet.

C'est déjà la différence " sexuelle" qui fait que ça marche. C'est un peu long à expliquer.

Pas forcément. J'ai eu un psychiatre homme une fois, j'ai fait une projection de mon père dessus, ça a été désastreux. L'important c'est de trouver quelqu'un avec qui on est à l'aise, c'est tout.

L'après midi ( c'est femme était passionné par la psychanalyse ) nous sommes allé boire un café. Je marchais à nouveau normalement. Elle m'à dit qu'elle avait des cauchemars "terribles " et qu'elle avait besoin de moi.

Je me suis occupé d'elle. En une semaine, elle allé déjà nettement mieux.

Pour certains cas une thérapie cognitive ou comportementale courte peut suffire, mais je trouve assez cruel de faire croire qu'une dépression assortie d'anxiété, maladie chronique et terriblement invalidante se règle en quelques mois. Non, pour aller au fond des choses et guérir la maladie et non supprimer les symptômes, il faut des années.

Et puis, ce n'est pas parce qu'on est en dépression qu'on est inapte à s'occuper d'un enfant.

Inapte,non, pas du tout, mais c'est plus difficile : tu passes du statut d'enfant à celui de mère, c'est déstabilisant psychiquement ; puis ton enfant, en grandissant te renvoie à ta propre enfance, là où se sont ancrées les douleurs les plus anciennes et les plus difficiles à traiter ; tu peux reproduire inconsciemment un schéma blessant ou au contraire faire tout l'inverse, etc.

Un enfant apporte en tout cas la motivation et le courage (il en faut car il ne s'agit pas juste de volonté !) de s'en sortir.

En ce qui me concerne, la psychothérapie n'a pas beaucoup d'effet.

J'aimerais bien voir un psychologue, c'est peut être mieux qu'un psychiatre

Pas forcément. J'ai eu un psychiatre homme une fois, j'ai fait une projection de mon père dessus, ça a été désastreux. L'important c'est de trouver quelqu'un avec qui on est à l'aise, c'est tout.

Pour certains cas une thérapie cognitive ou comportementale courte peut suffire, mais je trouve assez cruel de faire croire qu'une dépression assortie d'anxiété, maladie chronique et terriblement invalidante se règle en quelques mois. Non, pour aller au fond des choses et guérir la maladie et non supprimer les symptômes, il faut des années.

Non

Il y à toutes sortes disons " de névroses" , seule la clinique peut en déterminer, et en soigner les causes.

Il ne faut pas confondre avec la psychanalyse qui peut durer des années et même toute une vie

Ce n'est pas pour rien, si nous avons des psychologues, des psychiatres, des psychothérapeutes, des ethno-psy etc

"

La liste est trés longue. Le mot " psy" est " accoutré" ( une mosaïque ) qui ne lui va pas du tout.

D'ailleurs cette société à tout "psychiatrisé, on parle de mytho pour menteur, de parano pour simple caractériels, de clepto pour voleurs etc

Ca remplace l'injure ( gros con, gros nul , sale menteur etc )

Et ce n'est pas pour rien....Ca rapporte des sommes énormes. Au Usa on bourre les gosses qui bougent un peut trop de médoc..

Ils sont post-psychotiques..Border-line, manque de repères spatio-temporels..On les colle sous xiprexa, tercian etc, et devenu ados, ils tirent et tuent 15 de leurs camarades..

Pas beau tout ça.