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Les musiques de l'ame...

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Les débuts (1952-1978)

1952-1968 : la jeunesse

Issu d'une famille originaire des Landes et du Pays basque, Daniel Balavoine est le benjamin d'une famille de six enfants. Il a deux sœurs : Marie-Françoise (née en 1940) et Claire (née en 1943) et trois frères : Bernard (né en 1944), Guy (né en 1946) et Yves (né en 1948).

Son père Émile est ingénieur en urbanisme et travaille pour le ministère de la reconstruction. Sa mère Élisabeth est antiquaire. Il passe la majorité de sa jeunesse dans le sud-ouest.

En 1959, Daniel entre en pension à la suite de la mutation de son père en Algérie. C'est à la même époque que ses parents se séparent. Il apprécie peu le pensionnat, qui lui fait perdre le goût de la religion et provoque chez lui un profond rejet de la discipline qui y règne. Vers 11 ans, il entend dans l'établissement She Loves You des Beatles ce qui - il le confiera plus tard[Quand ?] - lui donne goût à la musique.

Lycéen à Pau, Balavoine est un élève doué, surtout en littérature. Il s'implique de très près dans la révolte étudiante de mai 68 et s'imagine alors faire une carrière politique. Mais la fin du mouvement le déçoit, et il décide de se lancer dans la musique[2].

Après trois mois de terminale, il quitte son établissement.

1968-1972 : le temps des groupes

Il débute chanteur de bal et se produit à Pau en interprétant Bob Dylan. Intégrant successivement les éphémères groupes de rock Réveil, Shake's puis Purple Eruption, il acquiert ainsi une petite notoriété locale.

En 1971 il décide de monter à Paris avec ses amis une première fois. Grande désillusion. Mais de retour à Pau, il est contacté par le groupe Présence, dont le chanteur vient de partir. De nouveau sur Paris, il passe une audition au cours de laquelle un autre jeune chanteur, du nom de Laurent Voulzy, concourt. Balavoine est retenu et commence à côtoyer les studios. Un premier 45 tours oscillant entre hard rock et slow sort chez Vogue, il ne s'en vendra que 247 exemplaires. Malgré l'échec de ce disque, Présence se produit un peu partout en France[3].

En 1972, le groupe signe chez Warner Bros et Balavoine le quitte[2].

1972-1978 : les années galères

Pour assurer le quotidien, Balavoine trouve un emploi de disquaire mais ne renonce pas pour autant à la musique. En 1973 la maison de disques Vogue le rappelle et l'encourage à entamer une carrière solo. Le 45 tours Viens vite sort mais obtient à peine plus de succès qu'à l'époque de Présence. Il gardera un mauvais souvenir de cette période en raison des exigences du directeur artistique[2]. Accompagné de son frère Guy, Daniel, ayant quitté Vogue, devient alors choriste.

La même année, ils sont engagés dans l'opéra-rock La Révolution française de Claude-Michel Schönberg.

À la même période, Patrick Juvet prépare son passage à l'Olympia et recherche un choriste avec une haute tessiture. Contacté par sa productrice, Daniel est engagé et entame avec l'artiste une tournée au cours de l'année 1974. Daniel Balavoine lui compose une chanson Couleurs d'automne pour son prochain album intitulé Chrysalide ; Patrick Juvet, généreux, la lui laisse chanter. Le disque sort chez Barclay. C'est d'ailleurs pendant cet enregistrement que Daniel fait la connaissance d'Andy Scott, ingénieur du son qui ne le quittera plus. Séduit par la voix de Balavoine, Léo Missir, vice-président et directeur artistique de Barclay, lui fait signer sur le champ un contrat de trois albums. Leur collaboration durera bien au-delà.

Le premier 33 tours de Daniel Balavoine sort en mars 1975 et s'intitule De vous à elle en passant par moi. Aucun titre ne se démarque clairement, l'album ne rencontre pas le succès.

Peu avant il croise la route de Catherine Ferry dont il tombe amoureux. Il devient par ailleurs le pygmalion de la jeune femme[4]. Elle est choisie pour représenter la France à l'Eurovision en 1976 et termine deuxième. Les frères Balavoine chantent les chœurs. Daniel écrira la majeure partie des futures chansons de Catherine Ferry.

Au cours d'un voyage en Pologne, Balavoine, heurté par le climat politique ambiant, imagine un album-concept autour du mur de Berlin. Intitulé Les Aventures de Simon et Gunther..., le disque sort en avril 1977. Malgré le succès d'estime obtenu, les ventes restent faibles et Eddie Barclay s'impatiente des non-résultats du chanteur et fait savoir à Léo Missir que le prochain album sera décisif.

Entre-temps Michel Berger, qui est en passe d'achever la composition de l'opéra-rock Starmania, cherche un chanteur pour interpréter le rôle de Johnny Rockfort. Impressionné par une prestation de Balavoine qui interprète à la télévision Lady Marlène, (l'unique titre du dernier album ayant réussi à percer), il l'embauche. Dès lors débute entre eux une grande et fraternelle amitié

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Baby Forumeur‚
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Oui, Poussy, elle est pas mal ta blague.

Mais moi j'aime mieux rigoler en Vrai avec des Vrais gens, qu'en écrire sur un forum.

Réalité, Réalité.

LA Sacro-sainte Réalité.

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Baby Forumeur‚
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INDIENNE NOIRE

Indienne noire et blanche

Métisse de sang pur

Indienne noire de cœur

Blanche de peau

Indienne noire et blanche

Mélange de sang pur

Fidèle à ma tradition

Soleil de la patrie qui illumine

C’est la voix du peuple

Qui ne meurt pas

C’est la voix, peuple,

Tu vis en moi

C'est la voix indienne

Noire de cœur

C’est la voix,

Peuple tu vis en moi

Indienne noire et blanche

Métisse de sang pur

Indienne noire de cœur

Blanche de peau

Indienne noire et blanche

Mélange de sang pur

Fidèle à ma tradition

Soleil de la patrie qui illumine

C’est la voix du peuple

Qui ne meurt pas

C’est la voix,

Peuple,tu vis en moi

Métisse indienne,

Noire de cœur

Blanche de peau,

Métisse de sang pur

Indienne noire,

Indienne noire

Le sang que la terre

A bu coule dans les veines du

Son

En chantant, je veux continuer

A vivre ma passion

Indienne je suis,métisse

Je suis, de cœur (bis)

Je chante la tradition

Que mon peuple

Est en train de pleurer

Chemin de la vérité

Pour laquelle il continue à lutter

Indienne je suis, métisse

Je suis, de cœur (bis)

Indienne métisse je suis,

Noire de peau

Et blanche de sang pur

Je chante ma tradition,

Oui monsieur

Indienne je suis, métisse

Je suis, de cœur (bis)

Avec la force de la douleur,

Je marche jusqu'au vers

De la clarté,

Cherchant à illuminer

Les rues de la désillusion

Indienne je suis, métisse

Je suis, de cœur (bis)

De la Jamaique à l’Argentine,

Ils défendront leurs rêves

Ne dépasse pas, requin,

Les mille cinq cents miles

Indienne je suis, métisse

Je suis, de cœur

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