Poème pourri.

Par les pieds, par la tête.

Ce que tu es, ce que vous êtes.

Déracinés,

Sans pied ni tête.

Dans le cul.

Et le reste.

A réserver à votre seul usage.

pas du tout à partager.

par delà mon cul

j ai vu !

assise sur mon trône

de verre

une cohorte sublime d étrons

cheminants lourdements

sur de frêles colons

voluptés d excréments

et de gaz anal

enrobé de subtil

vapeurs sulfuré

ivresse volatil

d'une crispation intestinal

diluée dans les cieux

par des fions en feux

(Gertrude de Sainte Castel

surnommé l étrange zaza (1345-1386)

Big up à Gertrude. Trop d'la balle la meuf. Yo.

NS, je comprends mieux celui-ci, bien qu'il soit d'une coprophage.