éternité et infini

bonjour

que sont cinq milliards d'années dans l'éternité ?

que sont un million d'années lumière dans l'infini ?

pas grand chose pour les vermisseaux que nous somme car ,nous ne comprenons pas sans point de comparaison .

et pourtant ,nous existons et vivons dans une bulle ou nous avons nos référence de temps et de distances .

mais cette bulle n'est qu'une minuscule goutte d'eau dans un océan sans limite apparente .

la vie n'est qu'une lueur fugitive qui ne dure qu'une fraction de seconde sur l'horloge du temps .

pourtant ,cette lueur fugitive contient tant de haine et d'amour , tant de peine et de plaisir de désir et de déception .

faut-il s'en plaindre ou s'en réjouir ? ni l'un ni l'autre car la vie ne dure qu'un été pour les uns et , un hivers pour les autre .

et pendant ce temps la ,les galaxies s'éloignent de plus en plus vite les une des autres vers un avenir incertain pour un but inconnus qui n'existera jamais .

bonne soirée

Sacré nom d'un ver de terre !

Bonjour, désolé(e).

Ca mériterait de venir dans "sciences" ou "philosophie" ça.

Qu'est-ce que l'infini ? Qu'est-ce que l'éternité si l'on voit ça comme une durée infiniment longue ?

Et puis immanquablement tu parles de la taille de l'Univers, de la durée d'une vie humaine, d'un instant (??).

Et puis tu traites de la notion de limite. C'est formidable, qu'est-ce qu'une limite dans tous les sens possibles ? En maths elle suggère un objet topologique ou scalaire inatteignable, elle vient garantir l'existence de ce qu'on appelle la frontière d'un domaine. Elle intervient aussi dans ce que l'on nomme l'infiniment petit, ce qui au final est insécable et sécable à la fois !

Le temps aussi voit la notion d'infinité revenir dans nos considérations physiques et métaphysiques : Peut-on dire que le temps est continu ? Si non, y a-t-il une durée qui marquerait la pertinence de toute mesure temporelle ? En astrophysique on a défini le temps de Planck, qui est la plus petite durée qui prenne sens. Mais est-ce vraiment la durée la plus infime qui soit ?

Au final, n'est-ce pas une (éventuelle) limite de l'esprit humain que l'on cherche à définir ? Et de quelle manière serions-nous limités ?

Il y a des choses à dire !

C’est surtout sur la fin, que cela commence à traîner en longueur…

bonsoir

plonger dans les profondeurs insondable de l'infiniment petit et ressurgir dans l'immensité sans limite de l'infiniment grand . l'impression de vertige n'est plus sensible car , nos sens ne peuvent saisir l'inconnaissable .

bonne soirée

Bonsoir, Le merle,

Vous avez raison, mais je m’autorise à écrire quelques petites blagues sur ce sujet auquel nous ne pouvons rien, sinon de nous interroger à l’infini sur le sens de l’existence et du monde vivant en général.

Bonsoir, Le merle,

Vous avez raison, mais je m’autorise à écrire quelques petites blagues sur ce sujet auquel nous ne pouvons rien, sinon de nous interroger à l’infini sur le sens de l’existence et du monde vivant en général.

bonjour

s'interroger sur le sens des choses et de la vie nous permet d'essayer de comprendre , ce qui peut faire évoluer l'humanité en bien , mais aussi en mal malheureusement .la curiosité de l'homme semble aussi infini , et elle semble ètre à la mesure de l'univers .

bonne soirée

Sacré nom d'un ver de terre !

Bonjour, désolé(e).

Ca mériterait de venir dans "sciences" ou "philosophie" ça.

Qu'est-ce que l'infini ? Qu'est-ce que l'éternité si l'on voit ça comme une durée infiniment longue ?

Et puis immanquablement tu parles de la taille de l'Univers, de la durée d'une vie humaine, d'un instant (??).

Et puis tu traites de la notion de limite. C'est formidable, qu'est-ce qu'une limite dans tous les sens possibles ? En maths elle suggère un objet topologique ou scalaire inatteignable, elle vient garantir l'existence de ce qu'on appelle la frontière d'un domaine. Elle intervient aussi dans ce que l'on nomme l'infiniment petit, ce qui au final est insécable et sécable à la fois !

Le temps aussi voit la notion d'infinité revenir dans nos considérations physiques et métaphysiques : Peut-on dire que le temps est continu ? Si non, y a-t-il une durée qui marquerait la pertinence de toute mesure temporelle ? En astrophysique on a défini le temps de Planck, qui est la plus petite durée qui prenne sens. Mais est-ce vraiment la durée la plus infime qui soit ?

Au final, n'est-ce pas une (éventuelle) limite de l'esprit humain que l'on cherche à définir ? Et de quelle manière serions-nous limités ?

Il y a des choses à dire !

bonjour

depuis Einstein , nous savons que l'espace et le temps sont inséparable .il me semble que cela cache des surprises extraordinaire dans l'avenir et bien au de la de notre système solaire .

je pense qu'il ni à pas de limites telle que nous l'entendons car ,nous serions curieux de savoir ce qui ce cache derrière ces limites .

l'un des mystère pour moi , est la vitesse de la lumière , rien de connu ne semble pouvoir l'atteindre , elle semble lié au temps et à l'espace ?

que se passerait-il au de la de cette vitesse ? le temps se retournerait-il sur lui même ?ou n'existerait plu ?

bien sur ,l'esprit humain est partiellement limité aux connaissances de son époque .mais s'il se présente comme un magicien , il réalisera des choses impensable pour les scientifiques actuel , avec le risque de se faire disparaitre lui même à jamais .

bonne soirée

bonjour

depuis Einstein , nous savons que l'espace et le temps sont inséparable .il me semble que cela cache des surprises extraordinaire dans l'avenir et bien au de la de notre système solaire .

je pense qu'il ni à pas de limites telle que nous l'entendons car ,nous serions curieux de savoir ce qui ce cache derrière ces limites .

l'un des mystère pour moi , est la vitesse de la lumière , rien de connu ne semble pouvoir l'atteindre , elle semble lié au temps et à l'espace ?

que se passerait-il au de la de cette vitesse ? le temps se retournerait-il sur lui même ?ou n'existerait plu ?

bien sur ,l'esprit humain est partiellement limité aux connaissances de son époque .mais s'il se présente comme un magicien , il réalisera des choses impensable pour les scientifiques actuel , avec le risque de se faire disparaitre lui même à jamais .

bonne soirée

Bonjour,

Tu poses des questions intéressantes. Je ne suis pas en mesure d'y répondre exhaustivement, mais je peux toujours essayer d'y apporter quelques éléments de réponse :

Alors tout d'abord, tu prétends que "l'espace et le temps sont inséparables"... Oui et non. On parle souvent d'espace-temps, mais c'est désigner par là un tout autre objet que l'espace et le temps pris dans leur contexte.

L'espace est dimensionnellement parlant une distance fois une distance fois une distance, c'est-à-dire un volume matérialisable. Et encore, certains philosophes se demandent encore ce qu'est l'espace. Il s'agirait en effet de toute partie de l'Univers que peut englober (matéraliser) l'Homme dans son esprit.

Le temps, c'est un temps. Une durée, qui est donc dimensionnellement parlant différente de celle de l'espace.

En physique classique, on fait donc une distinction franche entre ces deux notions. On les relie cependant souvent dans d'autres grandeurs, telles l'énergie, la force, la vitesse, la puissance, etc.

Par contre, en mécanique relativiste, on traite communément d'espace-temps pour désigner un espace mathématique à quatre dimensions.

Il s'agit de la vraie notion d'espace et de temps, c'est-à-dire qu'on doit les voir comme étant des grandeurs indissociables, et c'est en toute rigueur le cas.

Mais bon, généralement il faut savoir ne pas trop s'emméler quand on en parle. Il faut savoir que la physique relativiste traite elle seule de la particularité qu'ont temps et l'espace d'être liés et non absolus (!), ce qui ne se rencontre pas en mécanique Newtonienne.

Parler de limites comme tu le fais n'est pas rigoureux. Mathématiquement parlant, une limite est inatteignable. On ne peut donc pas parler de "dépasser" une limite comme on l'utilise abusivement dans nos conversations quotidiennes.

En physique, une limite (utilisée en tant qu'outil, donc) ne fait que désigner en de très grossières approximations un temps/une distance/... très longs, mais pas infinis.

Mais dans la théorie, les astrophysiciens font partie de ceux qui s'intéressent le plus aux confins de l'Univers, qui serait une variété admettant en tous ses points un centre d'expansion.

On se doit donc par là de parler de la frontière de l'Univers si elle existe, et encore beaucoup de scientifiques débattent encore sur la nature de ce qui se cache au plus loin possible de nous.

La vitesse de la lumière, c, est une constante physique. Elle est solution des équations de Maxwell, telle que c²=ε₀µ₀. Les physiciens l'ont tout simplement trouvée de manière théorique comme une constante dont la dimension est une vitesse. Il s'avère que toutes ces équations décrivent le comportement des ondes électromagnétiques (qui ont toutes la même vitesse dans le vide) et c apparait ici tout à fait naturellement.

Pour la trouver, il faut savoir ce qu'est le mètre, qui est fixé de manière arbitraire... Aussi sa mesure est tout sauf théorique, mais demeure quasi-exclusivement expérimentale !

Toi tu sais ce qui se passe si on dépasse la vitesse de la lumière ? Moi non plus, et je pense que personne ne le sait vraiment.

Par contre, là où tu manques de rigueur (et donc ta question n'a pas de sens), c'est que tu ne dis pas dans quel milieu on va comparer la vitesse d'un corps à celle de la lumière !

Et vi, nombre de particules ont déjà doublé la vitesse de la lumière, mais cela n'a été possible que dans des réacteurs nucléaires (où l'indice du milieu aqueux a ralenti le photon par dispersion) ou dans le "non-vide". Le neutrino par exemple rayonne par effet Cerenkov en dépassant la vitesse de la lumière dans de l'eau, mais aucun neutrino ne peut dépasser la vitesse de la lumière dans le vide. Moi-même dans le référentiel du labo je pourrais dépasser la vitesse de la lumière en marchant si on lui fait traverser un condensat de B-E...

Après je ne te suis plus, ça part dans un délire sans nom !

Bonjour,

Tu poses des questions intéressantes. Je ne suis pas en mesure d'y répondre exhaustivement, mais je peux toujours essayer d'y apporter quelques éléments de réponse :

Alors tout d'abord, tu prétends que "l'espace et le temps sont inséparables"... Oui et non. On parle souvent d'espace-temps, mais c'est désigner par là un tout autre objet que l'espace et le temps pris dans leur contexte.

L'espace est dimensionnellement parlant une distance fois une distance fois une distance, c'est-à-dire un volume matérialisable. Et encore, certains philosophes se demandent encore ce qu'est l'espace. Il s'agirait en effet de toute partie de l'Univers que peut englober (matéraliser) l'Homme dans son esprit.

Le temps, c'est un temps. Une durée, qui est donc dimensionnellement parlant différente de celle de l'espace.

En physique classique, on fait donc une distinction franche entre ces deux notions. On les relie cependant souvent dans d'autres grandeurs, telles l'énergie, la force, la vitesse, la puissance, etc.

Par contre, en mécanique relativiste, on traite communément d'espace-temps pour désigner un espace mathématique à quatre dimensions.

Il s'agit de la vraie notion d'espace et de temps, c'est-à-dire qu'on doit les voir comme étant des grandeurs indissociables, et c'est en toute rigueur le cas.

Mais bon, généralement il faut savoir ne pas trop s'emméler quand on en parle. Il faut savoir que la physique relativiste traite elle seule de la particularité qu'ont temps et l'espace d'être liés et non absolus (!), ce qui ne se rencontre pas en mécanique Newtonienne.

Parler de limites comme tu le fais n'est pas rigoureux. Mathématiquement parlant, une limite est inatteignable. On ne peut donc pas parler de "dépasser" une limite comme on l'utilise abusivement dans nos conversations quotidiennes.

En physique, une limite (utilisée en tant qu'outil, donc) ne fait que désigner en de très grossières approximations un temps/une distance/... très longs, mais pas infinis.

Mais dans la théorie, les astrophysiciens font partie de ceux qui s'intéressent le plus aux confins de l'Univers, qui serait une variété admettant en tous ses points un centre d'expansion.

On se doit donc par là de parler de la frontière de l'Univers si elle existe, et encore beaucoup de scientifiques débattent encore sur la nature de ce qui se cache au plus loin possible de nous.

La vitesse de la lumière, c, est une constante physique. Elle est solution des équations de Maxwell, telle que c²=ε₀µ₀. Les physiciens l'ont tout simplement trouvée de manière théorique comme une constante dont la dimension est une vitesse. Il s'avère que toutes ces équations décrivent le comportement des ondes électromagnétiques (qui ont toutes la même vitesse dans le vide) et c apparait ici tout à fait naturellement.

Pour la trouver, il faut savoir ce qu'est le mètre, qui est fixé de manière arbitraire... Aussi sa mesure est tout sauf théorique, mais demeure quasi-exclusivement expérimentale !

Toi tu sais ce qui se passe si on dépasse la vitesse de la lumière ? Moi non plus, et je pense que personne ne le sait vraiment.

Par contre, là où tu manques de rigueur (et donc ta question n'a pas de sens), c'est que tu ne dis pas dans quel milieu on va comparer la vitesse d'un corps à celle de la lumière !

Et vi, nombre de particules ont déjà doublé la vitesse de la lumière, mais cela n'a été possible que dans des réacteurs nucléaires (où l'indice du milieu aqueux a ralenti le photon par dispersion) ou dans le "non-vide". Le neutrino par exemple rayonne par effet Cerenkov en dépassant la vitesse de la lumière dans de l'eau, mais aucun neutrino ne peut dépasser la vitesse de la lumière dans le vide. Moi-même dans le référentiel du labo je pourrais dépasser la vitesse de la lumière en marchant si on lui fait traverser un condensat de B-E...

Après je ne te suis plus, ça part dans un délire sans nom !

bonjour

tu à raison ,je n'est aucune connaissance en mathématique ni en aucune scientificité mais , seul , m'on imagination prend des libertés avec le rationalisme et la science .

l'imagination , comme les rèves , ne connait aucune limite ni de raisons cartésienne .

il y à longtemps , j'avais lu ,sur une revue de vulgarisation scientifique , qu'un corps physique ne pourrais jamais atteindre la vitesse de la lumière car , toute l'énergie de l'univers ni suffirait pas et que sa masse ( je croit ) deviendrait infini .

voici encore une idée saugrenu de mon imagination : je croit qu'un trou noir gigantesque à (avalé) tellement d'étoiles et d'astres et , peut-être sa propre galaxie dans une autre dimention que ,sa densité et sa force gravitionnelle devenue fantastique , à laissé échappé dans une autre dimention ( comme un entonnoir laisse échapper une goutte d'eau ) une infime parcelle d'une énergie concentré et d'une puissance inimaginable qui fut notre big bang et qui créa un nouvel univers , qui est le notre et une nouvelle dimention qui est la notre actuellement .

non , je ne suis pas fou , enfin , je l'espère ? lol .

bonne journée