Les musulmans pour l'application de la charia avec des nuances

Si, il y a une légère différence c'est l'évolution du temps: on n'est plus à l'époque de Saint Louis, roi extrèmement antisémite; les musulmans vivent leur religion (du moment qu'ils restent conformes à la loi) dans un pays laïc. Des gens de religion chrétienne ou juive, ou des athées peuvent-ils en 2013 vivre leur philosophie personnelle de manière publique en Arabie Saoudite ? Ces extraits du Coran demeurent et les djihadistes, les salafistes et d'autres se fondent sur ces sourates pour justifier leur contrôle des musulmans et les agressions non seulement des non-musulmans mais des musulmanes, parfois des mineures et des homosexuels qui sont tués.

Et pas seulement en Arabie, dans quel pays musulman est-ce que c'est possible? Dans quel pays musulman les athées en particulier peuvent-ils s'exprimer publiquement?

Et pas seulement en Arabie, dans quel pays musulman est-ce que c'est possible? Dans quel pays musulman les athées en particulier peuvent-ils s'exprimer publiquement?

des nuances dans l'application de la lapidation ? ( peut être que les pierres sont moins grosses qu'avant ? ).

Les nuances demeurent da Charia inhumaine. Ce sont des nuances entre musulmans fondamentalistes. Mais pour les non-musulmans, pour les musulmans tolérants, pour les musulmanes, cette charia est sans nuances.

Un exemple la Tunisie:

Le chef du parti islamiste Ennahda Rached Ghannouchi a rejeté tout lien entre les violences de lundi et mardi et l'appel au soulèvement en Tunisie lancé dimanche par le chef d'Al-Qaïda Ayman al-Zawahiri. "Ayman Al-Zawahiri n'a pas d'influence en Tunisie. Cet homme est une catastrophe pour l'islam et pour les musulmans", et le courant salafiste en Tunisie, "dont seule une minorité prône la violence, "n'a pas de lien" avec l'organisation terroriste, a lancé M. Ghannouchi.

Le calme semblait prévaloir mercredi au lendemain de deux jours d'émeutes dans plusieurs villes tunisiennes, qui ont poussé le gouvernement à décréter mardi un couvre-feu nocturne sur huit gouvernorats du pays, dont Tunis. Mercredi, ce couvre-feu a été allégé de deux heures.

Des affrontements ont cependant à nouveau eu lieu mercredi soir entre un groupe de salafistes et des habitants d'une cité de Jendouba, dans le nord-ouest de la Tunisie, avant qu'ils soient séparés par les forces de l'ordre au moyen de gaz lacrymogènes et de tirs de sommation, a rapporté l'agence TAP.

Le bilan encore provisoire des violences de mardi est d'un mort --un jeune mort après avoir reçu une balle dans la tête à Sousse (est)--, plus d'une centaine de blessés dont 65 policiers et plus de 160 arrestations.

Dans un communiqué publié mercredi au nom des "trois présidences" (le chef de l'Etat Moncef Marzouki, le président de l'Assemblée constituante Mustapha Ben Jaafar et le chef du gouvernement Hamadi Jebali), l'Etat a condamné "des groupes extrémistes qui menacent les libertés", allusion implicite aux salafistes impliqués dans les violences.

Ces groupes "tentent de perturber le pouvoir et de semer la terreur, s'arrogent le droit de se substituer aux institutions de l'Etat et tentent de mettre sous leur coupe les lieux de culte", ajoute les trois présidences.

Mais les présidences ont aussi mis en cause "des spectres du régime déchu qui tentent de mettre en échec le processus de transition", accréditant la thèse d'une infiltration des salafistes par des ex RCdistes, les membres du parti dissous RCD de Ben Ali.

"Ces événements surviennent à un moment où le pays avance vers l'écriture de sa nouvelle Constitution et l'édification de ses institutions", et où "le pays enregistre des indicateurs économiques positifs et une saison agricole et touristique prometteuse", relève le communiqué officiel.

"A chaque fois que la Tunisie entre dans une phase d'apaisement, de tels événements ressurgissent", ajoute-t-il. Toutefois, comme cela a été le cas depuis un an en Tunisie à chaque éruption de violences liées à des questions religieuses ou morales, les autorités ont aussi dénoncé les "provocations" artistiques supposées avoir mis le feu aux poudres.

citation de l'Express. Extrait d'un article de presse .

des nuances dans l'application de la lapidation ? ( peut être que les pierres sont moins grosses qu'avant ? ).

Les pierres de lapidations ne doivent être ni trop grandes ni trop petites.

Mahomet qui a lapidé au moins trois fois a donné l'exemple.