La prof envoie par erreur des photos coquines sur l'Ipad de ses élèves: ils sont suspendus!

L'erreur est humaine.

Il faudrait veiller à ne pas l'oublier et à l'accepter, si on ne veux pas passer notre vie entourée de machine.

Ce qui m'embête dans l'histoire, c'est qu'on n'a pas la version de la prof... seulement celle des gamins. (et des parents près à tout pour défendre leur petits anges contre les méchants prof qui ne pensent qu'à les martyriser.)

Or pour avoir travaillé avec des enfants de cet âge, j'ai quand même de gros doutes sur leur totale et complète innocence à ces petits anges ^^

Et j'ai l'expérience que les versions avancées par les gamins punis sont d'une considérable relativité sur les faits, et que de nombreux événements peuvent avoir subrepticement et inexplicablement été effacé de leur mémoire.

( pour être bref, la version de gamin punis... ça fait un peu léger quand même... )

Mettons qu'un dossier sois malencontreusement apparu sur leur i-pad....

(étonnant, je pensais impossible de synchroniser un iphone et un ipad La synchronisation est réservé aux ordi fixe, mais mettons qu'elle utilise une autre appli.)

Bref, pour connaître un peu le genre de zouave qu'on peut être à cet âge, je doute très fortement de leur innocence à aller explorer ce dossier, et très fortement qu'il ai vite refermé leur ipad discrètement et chastement, pour préserver la pudeur de leur tendre professeur.

Et j'ai comme vague doute qui pointe sur le pourquoi ils ont été punis, exactement, et pourquoi la prof était énervée ^^

J'ai un ami prof une fois qui a collé un 0 à deux gamines qui avaient deux copies intégralement identique, à la faute près. (parce qu'en plus d'avoir recopier, une des deux qui brillait par son intelligence a TOUT recopié à l'identique...)

Bah mon pote (qui les savaient très salope ces gamines quand même) a pris quelques précautions que j'expliquerai plus tard, et leur a collé bravement un 0 à toutes les deux. (vi, faut être brave pour coller un 0 à un enfant aujourd'hui, quand on est prof.)

Deux jours plus tard, convocation de cet ami par les parents chez le proviseur (vi, c'est les parents qui convoquent les profs chez le proviseur maintenant. Les temps changent...)

Là, les deux gamines soutiennent mordicus qu'elles n'avaient pas copié l'une sur l'autre et que leur copies le prouverons (), et elles partent confiantes toutes deux dans une belle synchronisation pour les chercher dans leur sac.

Et là mon pote sort : "ho ne vous dérangez pas mesdemoiselles... j'ai justement pris avec moi deux photocopies de vos devoir, voyons donc ça".