Se gâcher la vie, c'est tout un art !

Se gâcher la vie, c'est tout un art !

Une psychologue met en lumière les curieux stratagèmes que nous mettons en oeuvre pour saboter nos vies.

Gare aux personnes qui "pédalent en freinant", à force de s'entêter et de ne pas voir le bon côté des choses. © SUPERSTOCK/SUPERSTOCK / SIPA

C'est l'histoire de cette femme qui fait la tête à son mari qui ne lui demande pas ce qui ne va pas, mais qui, à chacune de ses questions, oppose toujours le même "si tu m'aimais, tu me comprendrais". Des exemples de ce genre, la psychologue et psychothérapeute bruxelloise Marie Andersen les collectionne dans son dernier livre intitulé L'art de se gâcher la vie*. Même si elle ne nie pas le fait que personne n'a la recette d'une vie agréable, que les coups du sort ne sont pas distribués de façon équitable et que nul ne peut s'en prémunir à jamais, cette spécialiste estime qu'il n'est pas nécessaire d'en rajouter, de se compliquer encore davantage l'existence.

Bref, le bonheur, il faut le vouloir ! "Les recettes du bonheur, qui se vendent avec tant de succès depuis quelques années nous tracent des chemins vers une plénitude à laquelle on ne parvient guère, alors que l'on semble tous y aspirer", constate-t-elle. C'est pourquoi elle propose d'examiner l'art de vivre heureux sous un angle "un tantinet provocant", en mettant en lumière de curieux mécanismes de sabotage, aussi discrets que bien rodés, qui peuvent gravement empoisonner notre existence à notre insu.

Lire l'article (Le Point).

Je suis assez en accord avec elle. La communication notamment est un gros point faible chez les personnes qui ont l'art de se gâcher la vie. On ne veut pas expliquer mais être compris malgré tout.

Justement , va comprendre quelqu'un qui voudrais que tu comprennes ce quelle aimerais que tu entendes !

Ou on ne veut plus se pourrir la vie à expliquer vingt fois à un(e) âne(sse) bâté(e) ce qui ne va pas.

Quand vous l'avez expliqué 5 fois, vous avez tendance à vous retrancher. Et surtout l'impression qu'il ou elle se fout de votre gueule à vous demander ce qu'il y a...

L'excuse du manque de communication, ça peut passer pour les premières fois, mais quand au bout de 2 ans (expérience personnelle) l'autre continue à vous pourrir la vie (jalousie affective et jalousie compétitive etc etc etc) sans se remettre en question dès les premières fois, c'est vraiment plus la peine d'insister, on laisse le bateau voguer jusqu'à ce qu'il échoue...

Le manque de communication (je suis entrain de grincer des dents à y repenser), c'est la carte abattue bien souvent par celui qui, à la longue pourtant, n'a pas envie de se rappeler que ce n'est pas la première fois... et que c'est toujours sur les mêmes principes que ça part en vrille.

Celui qui se retranche ne se gâche pas pour autant la vie.

C'est l'histoire de cette femme qui fait la tête à son mari qui ne lui demande pas ce qui ne va pas, mais qui, à chacune de ses questions, oppose toujours le même "si tu m'aimais, tu me comprendrais".

J'appelle ça une chieuse...

(la seule réponse viable, c'est "retourne chez ta mère")

J'appelle ça une chieuse...

(la seule réponse viable, c'est "retourne chez ta mère")

C'est officiel maintenant.....................

Si tu veux que je t'en cite un qui se gâche la vie pour le moment....exaspérant, j'abandonne !

Ben j"abandonne aussi du coup......................vu que je ne sais trop à qui s'adresse ce com d'abandon?!

C'est pas bien d’abandonner son chien, c'est marqué là....3ème ligne!