Dispute dans un couple à cause de l'alcool

Désolée pour mon intervention inadéquate.

Non , non elle ne l'est pas .:)

Bonjour,

Tu dois surtout faire attention à toi, car de leur problème, ils ne pourront faire le nécessaire pour te rassurer et surtout, il se peut, qu'ils te prennent en témoin pour être d'un côté ou de l'autre. Il est bon que tu sois au courant de certaines aides qui te sont proposés, merci de cela à Samira, car tout le monde n'a pas cette chance de se sortir de ce dilemme qui ne sera de ces jeunes enfants, des détruits de la vie ou d'un mal continuel dont un certain manque ne sera que présent.

Surtout, ne te renferme pas et prend l'effort de t'en expliquer aux personnes compétentes qui pourront te rassurer et te réconforter. Ca fait si mal de voir les personnes que l'on aime se réduire à une personnalité différente de ce que l'on attend pour en être bien et d'être épanouie de ce que l'on demande de nous apporter.

Ne culpabilise en rien, même si ils viennent vers toi, pour s'en plaindre, ils ne se rendent pas compte du mal qu'ils te procurent, dû à l'égoïsme qu'ils sont ou de ce qu'ils subissent par autrui. Fait aux mieux pour tes études et donne ce que tu peux sans trop penser à ce qui se passe par chez toi, car de ce que tu vis, tu risquerais de refléter ton mal envers des personnes qui ne comprendront pas forcement de ton agissement, dû au silence dont les mots ne sont pas aussi facile de s'en libérer. Avec le temps, tu apprendras à analyser les choses par toi-même et de t'en défendre seul, ceux qui va te manquer, ne sera qu'apporter par l'être aimant ou confiant que tu auras plaisir pour t'en évader de ce mal si présent. Mais petit conseil, ai toujours une réserve et un coin à toi, que lorsque tu rencontras des obstacles diverses, t'y plonger pour te retrouver et t'y accrocher.

Bon courage et demain n'est qu'espérance que les évènements aillent au mieux d'où l'effort que tu entreprendras pour qu'il le soit.

Faut aller parler à ton père pour lui expliquer qu'il se fou en l'air, et toi avec.

Qu'il se fasse aider.

Et dire à ta mère de se détendre, que s’engueuler n'aidera certainement pas.

Essaye de passer du temps avec lui, promenade, sport, cuisine, discutions les soirs, afin d'éviter qu'il ne picole trop en cachette.

Sauve le de lui même. C'est une grosse entreprise lorsqu'on est jeune, mais on n'a qu'un père.

Et dire à ta mère de se détendre, que s’engueuler n'aidera certainement pas.

Dans la théorie c'est assez simple , dans la pratique c'est bien autre chose .

Vas garder ton calme et ta sérénité avec un gars qui picole , sachant les actions et réactions que quelqu'un d’imbibé peut avoir ...

on n'a qu'un père.

C'est à lui qu'il faut dire ça .

Une ado ' n'a pas à supporter la vie infernale d'un alcoolo , père ou pas .

Il faut imposer des principes forts dans le couple et interdire tout alcool.

Et dire à ta mère de se détendre, que s’engueuler n'aidera certainement pas.

Dans la théorie c'est assez simple , dans la pratique c'est bien autre chose .

Vas garder ton calme et ta sérénité avec un gars qui picole , sachant les actions et réactions que quelqu'un d’imbibé peut avoir ...

C'est impossible.

Pour sortir de là, il faut affirmer avec force et puissance des valeurs anti-alcool. Sinon c'est la fin. Et quand je dis la fin, c'est que ça peut très très mal finir si on laisse la situation dégénérer.

Je ne suis pas pour l'interdiction à partir du moment où l'alcool peut être dégusté occasionnellement , à savoir au cours d'un bon repas le dimanche , par exemple .

Un très bon verre de vin à certaines occasions est loin de faire du tord et n'engendre pas forcément l’alcoolisme .

D'autant qu'une personne qui ,au cours de sa vie , pour une raison ou une autre découvrira un penchant pour l'alcool aura maintes occasions en dehors de la maison familiale .

Pour ce qui est d'une personne ayant déjà ce penchant , elle n'aura que faire de cette règle établie du : pas d'alcool ; Elle ira s'en procurer d'une manière ou d'une autre , à l'insu des regards s'il le faut .

Là où je vous rejoins , c'est qu'il est en effet impossible de garder sa sérénité face à cette maladie destructrice .

Un alcoolique engendre l'insécurité à tout les niveaux , un déséquilibre , bref une vie infernale et dangereuse .

Quant aux valeurs anti-alcool il est parfois bien trop tard et ce n'est que lorsque le processus est déjà bien enclenché que le proche entourage s’aperçoit de la dérive .

C'est un engrenage qui , dans de nombreux cas devient impossible à enrayer , quels que soient les messages que l'on tente de faire passer ou qui ont été passés .

Dans l’avalanche tout le monde y passe .

Malheureusement , je n'ai qu'une conclusion , celle de fuir dés lors où l'on a égrainé toutes possibilités , quoi que je serais même d'avis à fuir avant mais au risque d'être rongé par la culpabilité ...

Ce qui fait tenir c'est l'espoir .

L'alcool est tellement pernicieux , à l'heure actuelle nul n'est censé ignorer les dangers qui lui sont liés, et pourtant ....

Je ne suis pas pour l'interdiction à partir du moment où l'alcool peut être dégusté occasionnellement , à savoir au cours d'un bon repas le dimanche , par exemple .

Pour les non-alcooliques, c'est possible, mais il me semble que les alcooliques doivent s'abstenir totalement de boire. C'est en tout cas ce que m'ont dit des rescapés de cette maladie : ils ne touchent plus une goutte d'alcool, même au bar, même lors des grandes occasions.

Dans ce cas précis , oui , c'est certain , l'alcool doit être banni .

Je ne connais malheureusement pas de rescapés à ce jour mais j'ai effectivement remarqué que la simple vue d'un verre d'alcool les perturbait , ce qui est logique .

Ce n'est évidement pas à eux que faisais allusion mais à l'alcool au sein d'une famille n'ayant aucun soucis avec lui .

La chose la plus "simple" pour le proche d'un alcoolique, surtout quand il est mineur, est l'aide téléphonique (Ecoute Alcool 0811 91 30 30, de 8h à 2h du matin.)

Ils offrent une réelle aide, donnent des infos sur des solutions existantes en fonction de la situation précise de l'individu. Ce sont des gens extérieurs à la cellule familiale, c'est donc plus simple de discuter avec eux, et ils ont une réelle connaissance de la maladie, de réelles compétences en matière de soutien aux proches qui se prennent en pleine gueule la maladie sans savoir réagir.

C'est très précieux de pouvoir se confier à des personnes qui connaissent la maladie, qui ne jugent pas, et il y a une réelle liberté de parole. Ca permet d'extérioriser ce qu'on garde en soi et ce dont on ne peut parler à personne, des sortes de psys dispos en un coup de fil.

(Non non je ne suis pas payée pour faire leur pub^^)

Merci pour vos conseils... ^^

De rien . :)

Très sincèrement je souhaite que ton père parvienne à surmonter cet attrait pour l'alcool .

Bon courage .