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La réponse à tout


SSOMW

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Membre, Posté(e)
SSOMW Membre 31 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ce qu'on recherche dans le monde, c'est la preuve de notre existence.

Nous incarnons un point de vue dans l'Univers. Ce point de vue émet sur le monde et reçoit du monde. L'émission se fait par les actions, qui sont le résultat de réactions en chaînes dont le libre arbitre, la volonté, est la cause de départ. La réception est subit, ce sont les perceptions, sensations, émotions, sentiments. Ressentir n'est pas une action, mais nous pouvons réceptionner nos propres émissions en passant par le monde comme nous pouvons nous toucher nous-mêmes, ce phénomène est à l'origine de la pensée. Mais pour penser, nous devons savoir, et pour cela nous avons besoin d'objet statique, nous avons besoin d'arrêter le temps, or le temps ne s'arrête pas.

C'est de là que la science a commis une immense erreur, elle a donné plus d'importance à l'espace qu'au temps. Ce qui est normal, notre capacité de conceptualiser étant ce qu'elle, pour l'améliorer, il faut donc pour étudier quelque chose, que ce qu'elle procure comme données ne soit pas trop vaste et complexe. Alors, on s'arrête, on arrête la chose à étudier. On ne peut étudier un animal en mouvement, on ne peut saisir ce qui est en mouvement trop rapide. Alors, on l'étudie mort, inerte, on ralentie le temps du monde pour avoir plus de temps personnellement. C'est la méthode ayant permis de développer notre conceptualisation. Mais cette négligeance du temps a remplis la science de connaissances statiques. Le problème de la science est l'inerte et la persistance et cela a donné lieu au matérialisme. Mais en réalité, il n'y a pas de dualisme entre matière et esprit. L'existence n'est pas statique. L'existence, c'est le mouvement, l'action, la temporalité. Si on décompose infiniment ce qui existe, le quantum de l'existence est l'action. Tel la richesse, en économie, qui est une accumulation de revenu, l'Etre est une accumulation d'action. L'action compose tout ce qui est. La conscience, la vie, l'Etre, l'existence sont la même chose, issue de l'action. Ce qui différence essentiellement la Terre des autre planète, c'est sa concentration en actions: la multiplication d'actions provoque la variabilité, et la terre a des atômes plus complexe que le reste de l'Univers qui est essentiellement composé d'hydrogène et de carbone.

Les actions définnissent le véritable Etre. Partout où il y a conscience, vie, être, ou existence il y a action, car l'Univers est un être vivant conscient. La conscience individuelle est un noeud de la conscience universelle. Ce noeud se constitue d'une inversion. La raison de cette inversion est le fait que notre conscience échappe au déterminisme de l'Univers, elle est une volonté propre émergeant par inversion de la "volonté" du monde. Etre objectif signifierait être le monde, et parce que notre esprit forme un monde dans le monde, il n'est qu'un miroir du monde, et donc, comme tout miroir il renvoit une image inversée. On peut trouver d'ailleurs un écho de cette inversion dans l'inversion entre le corps et le cerveau : le cerveau gauche dirige la partie droite du corps et le cerveau gauche la partie droite. L'influence du monde sur l'esprit est l'inverse de l'influence de l'esprit sur le monde.

Notre conscience est donc de même nature que la conscience universelle. Cette conscience universelle est omniprésente. Même les objets autour de nous sont vivant, et ont une conscience. Celle-ci se manifeste par la force gravitationnelle. La vie est l'incarnation d'un point de vue dans l'Univers. Un être-vivant est capable de deux choses : recevoir et émettre. C'est le même principe que celui de la gravitation : la force d'un objet sur le monde, et la force du monde sur l'objet.

- La réception est constitué de la perception, des sensations, des émotions, des sentiments, etc.... La réception n'est pas une émission, aimer n'est pas volontaire, nous subissons l'amour : nous sommes séduit. Voir, non-plus, ce n'est pas un acte de volonté. Nous n'avons pas des yeux pour voir le monde, c'est le monde qui est la cause de notre vue. Au cours de l'évolution, les photons à force de frapper sur une zone ont fini par ouvrir une brèche vers notre conscience jusqu'à produire l'oeil.

- L'emission, c'est ce qu'on produit comme action sur le monde. L'emission, si on suit le principe de causalité, a pour origine le noeud de la conscience universelle : le libre-arbitre, la volonté. L'émission est produit pas ce que nous sommes, la conscience de notre être entier, le gestalt de toutes les actions qui nous composent en comptant les actions qui ont causés notre existence depuis la naissance du noeud de la conscience universelle.

La pensée est une combinaison d'emission et de réception. Nous ressentons nos pensées de la même manière que nos sens, et nous agissons sur elle. La perception ressentie constitue la lumière dans notre esprit, nous permetttant de guider notre action sur elle. Ce que nous utilisons pour pensées est ce que nous avons intériorisé. L'intériorisation est la même chose que la réception, que l'imprégnation. Elle constiste en la force du monde sur nous. Notre esprit est le reflet du monde tel qu'on la vécu. Ses structures innées sont le résultat du reflet du monde tel que l'ont vécu nos ancêtres dans notre lignée évolutive. La croyance est une hypocrise, une intériorisation ratée car un point de vue ne peut confondre sa position avec un autre. Car les objets présents dans l'Univers sont à différentes distances des points de vue. Et c'est cette différence qui fait la différence dans le point de vue: c'est notre identité, définit alors pas notre vécu.

La réception, c'est-à-dire la force du monde sur un point de vue, peut être de deux natures : créatrice ou destructrice. La destruction de nos actions amène à la souffrance, la création ou plutôt la confirmation de nos actions amène le bonheur.

Le bonheur est la confirmation au monde de notre existence. Il y a maintes preuve à cette proposition. En amour, les actions de l'autre sur nous, par l'interaction, confirme notre existence. Dans la pyramide de Maslow, le besoin le plus élevé est l'affirmation de soi. Le prosélytisme née du besoin de confirmer dans le monde des pensées qui font partit de nous-même. La fierté est une confirmation fausse, virtuelle, imaginée, essayant de correspondre avec notre véritable niveau de confirmation, qui ne se mesure que par la qualité de nos interactions avec le monde. L'altruisme née par désafectation du Moi, identifié à l'autre, pour cette raison, son bonheur confirme notre existence. L'épanouissement est la production d'actions générées par nos émotions, il les confirment. Le pouvoir, la maîtrise, fait du monde notre esprit, le confirmant, car la maîtrise est la liaison d'un objet du monde avec notre volonté. Le bonheur est subjectif, tout ses moyens dépendent avant tout de notre conscience, avoir le pouvoir dans un espace restreint peut amener plus de bonheur qu'être le roi du monde. Cela dépend avant tout de la qualité créatrice ou destructrice des interactions.

Pour que quelque chose soit défini comme grand, il faut nécéssairement quelque chose d'autre de plus petit. On ne peut mesurer sans établir de rapport, et pour qu'il y est rapport, il faut au moins deux objets. Dans un monde où il n'existerait qu'un seul objet, il est impossible de définir si cet objet serait grand ou petit. La véritable valeur de la grandeur, son moteur, est donc le rapport. Le lien est donc le moteur de la valeur, de la confirmation. Le lien, c'est l'amour. La science est régi par le principe de non-contradiction qui consiste en un lien d'amour entre idées. Des idées confirmant l'existence des autres. Connaître, c'est rétablir l'amour universel dans notre esprit avec les différents éléments intériorisés de celui-ci. C'est l'union. Le rôle de la vie et donc de l'Homme est alors d'inverser l'expansion de l'Univers et de rétablir l'union universelle. L'union et la division correspondent alors à la destruction et à la création, ils sont les bases essentielles de toute construction. La division est le moyen nécessaire à l'union. La division est l'espace, l'espace est donc le moyen. Et le temps est la finalité. C'est l'harmonie spatio-temporelle qui crée l'action. Tout est action.

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Membre+, Amiereuse de Nouille <3 Zalakiss, 31ans Posté(e)
Elsa Membre+ 29 929 messages
31ans‚ Amiereuse de Nouille <3 Zalakiss,
Posté(e)

La réponse est 42.

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Membre, Budweiser addict, 34ans Posté(e)
US_eyes Membre 2 785 messages
34ans‚ Budweiser addict,
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Ca on le savait. Mais quelle est la question ? laugh.gif

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Invité morphee_
Invités, Posté(e)
Invité morphee_
Invité morphee_ Invités 0 message
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Non 33 je crois ^^

(mais sans les références éminentes de ces réflexions c'est complètement clair que microscope ou télescope, voire tensiomètre, la vérification de ces connaissances, dur dur) on est où ? ah dans philo.... on dirait une drôle antithèse du nihilisme -vue de nez à plus de minuit ^^..)

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

Autrefois, les superstitions et les mythes suffisaient à expliquer le monde et le rendre en quelque sorte compréhensible. Dans l'ère moderne, nous avons affiné nos investigations, sysématisé nos raisonements et thèses. Nous préférons garder une vérité réfutable et potentiellement inexacte que de nous trouver dans une situation sans aucune explication, parceque demeurer dans l'absence d'explication est la seule chose qui nous soit strictement impensable.

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