Sommes nous un "un fini"...

Une fois de plus je m'arrange pour que la question du sujet se trouve dans le titre.

D'après vous, car il s'agit bien d'une question de croyance bien que le sujet aurait également eu une place dans la section philosophie, sommes nous un un fini ou bien plutôt infinis ?

Lorsque qu'il est question d'infini, j'ai un terme que j'affectionne particulièrement : je parle de "la maladie de l'infini". J'ai constaté en effet à quel point il est inconfortable d'essayer de regarder l'infini car il s'en suit une sorte de nausée dont je ne sais pas vraiment me soulager. Vous me direz, il est tout aussi désagréable d'affirmer que l'univers est fini car à cette idée suit immédiatement la question suivante : qui y a t il au delà de cet univers fini ?

Alors c'est ici que j'apporte un élément de réflexion (afin que ce sujet ne se morde pas instantanément la queue) en disant :

Le diable en personne se trouve au delà des limites de l'univers. Nous laissant seuls, dans ce monde, avec Dieu.

Ouroboros.Le mythique symbole de l'entropie et de l'éternel recommencement.

Pour croire au diable, il faut croire en Dieu.

Pour croire à l'infini, il faut se croire finis.

Je nous crois finis, et incapable de concevoir justement l'infini.

Cela ne me dérange pas pour autant.

Pour croire au diable, il faut croire en Dieu.

Oui. D'accord. Et pour croire en Dieu il faut croire au Diable. Vous ne réagissez par contre pas du tout à ce que je dis sur le Diable en le positionnant en dehors des limites de l'univers; alors que je met Dieu au dedans des limites de l'univers. Mais je ne vous force ni à croire en Dieu ni au Diable. Ceci dit mon sujet est indissociable de cette notion de Divin et de son antagoniste.

Pour croire à l'infini, il faut se croire finis.

Je perçois une totale contradiction dans votre phrase.

Je nous crois finis, et incapable de concevoir justement l'infini.

Cela ne me dérange pas pour autant.

Là vous faîtes en sorte de retomber sur vos pattes vis à vis de votre phrase précédente. Mais je ne vous comprend pas bien.

Cela ne vous dérange pas que quoi ? De vous croire fini sans chercher à concevoir l'infini ou bien que certains cherchent à concevoir l'infini alors que vous nous croyez finis ?

Et je réitère ma question spécialement pour vous. Si vous nous croyez finis, qui y a t il selon vous au delà de cette ensemble fini auquel nous appartenons ?

Personne ne connaitra jamais la réponse, je crois. Mais cette nausée que tu décris dans la maladie de l'infini me prend aussi

Ah oui ? Et bien cela me réconforte un peu de savoir que je ne suis pas la seule "contaminée".:)

Je l'ai depuis l'âge de huit ans alors que je contemplais le ciel par une belle nuit étoilée.

quand je joue tout seul avec la braguette de mon jeans , si j'y songe, je me dégoûte ; en d'autres occasions au contraire ça me soulage

Une fois de plus je m'arrange pour que la question du sujet se trouve dans le titre.

D'après vous, car il s'agit bien d'une question de croyance bien que le sujet aurait également eu une place dans la section philosophie, sommes nous un un fini ou bien plutôt infinis ?

Lorsque qu'il est question d'infini, j'ai un terme que j'affectionne particulièrement : je parle de "la maladie de l'infini". J'ai constaté en effet à quel point il est inconfortable d'essayer de regarder l'infini car il s'en suit une sorte de nausée dont je ne sais pas vraiment me soulager. Vous me direz, il est tout aussi désagréable d'affirmer que l'univers est fini car à cette idée suit immédiatement la question suivante : qui y a t il au delà de cet univers fini ?

Alors c'est ici que j'apporte un élément de réflexion (afin que ce sujet ne se morde pas instantanément la queue) en disant :

Le diable en personne se trouve au delà des limites de l'univers. Nous laissant seuls, dans ce monde, avec Dieu.

Ouroboros.Le mythique symbole de l'entropie et de l'éternel recommencement.

bonjour

le diable hors de notre univers ?

nous laissant seul avec dieu dans ce monde ?

j ' ai toujour entendu dire que le bien cotoye le mal dans notre monde et s ' affrontent en permanence .

si seul dieu , sans le diable , était la , avec nous , nous seriont au paradis ?

la notion d ' infinitude est une réalitée inconfortable pour l ' esprit humain .

nous somme un , mais aussi une éponge qui absorbe beaucoup de chose par obligation .

qui y à-t-il aprés le finit ? l ' infinit ou rien ou ,

un anti-univers ?

nous ne pouvont qu ' imaginer l imaginable puisque la notion d ' infinie est abstraite .

le physique comme l 'esprit , à besoin de " garde-fou " pour exister dans notre monde ,

la réponse à tout cela , si elle existe ?

appartient , peut-ètre à nos descendants ? dans mille ans , ou cent mille ans ou ...jamais .

bonne soirée

L'argument que "vous avez toujours entendu dire que" n'est pas un argument suffisant pour que je me taise.

Autrement les choses n'avanceraient jamais, voyez vous.

Pourquoi devons nous voir le mal comme étant l'antagoniste du bien ? Pourquoi le mal ne pourrait pas être tout simplement le bien aussi mais sous une forme différente et que nos esprits humains "limités" ne perçoivent pas correctement ou plus exactement de manière incomplète ? D'autant plus que notre vision du bien n'est pas beaucoup plus claire.

Et quant à vivre au paradis, pourquoi pas ? Oui, c'est cela, nous sommes probablement au paradis. Mais encore faut il décider de mettre le mal absolu (et je parle là de mal absolu et non pas simplement de mal comme l'opposé du bien et selon votre approche) en dehors des limites de l'univers.

Einstein disait : il n'y a que deux choses qui soient infinies, l'univers et la connerie humaine. quoique je doute sérieusement en ce qui concerne la première.

l'univers est fini, le temps est fini. ce qui a un début, ne peut être infini. tout vient tout passe.

toutefois l'infini est une conception que l'humain est capable d'appréhender en son esprit. l'infini est du domaine du spirituel.

la différence entre le bien et le mal, si elle est relative selon les cultures et selon les morales y étant intégrées, peut être définie par le fait d'observer (le respect) les lois universelles (pour le bien) et le fait de contrevenir (non respect) à ces lois pour le mal. les lois universelles, provenant par la raison créatrice du monde, sont ce qui dirige l'univers, ne pas se plier à ses lois c'est aller dans le sens contraire de la marche de l'univers, de la vie. c'est donc faire le mal. le diable englobe donc tous ceux qui font le mal, ceux qui déséquilibrent la nature, ceux qui détruisent, ceux qui tuent sans l'intention de sauver leur vie ou de se nourrir, ceux qui mentent car ils déforment la réalité ou la vérité, ceux qui se font des ennemis car ils déstabilisent un ordre de paix, etc, etc, etc.

L'argument que "vous avez toujours entendu dire que" n'est pas un argument suffisant pour que je me taise.

Autrement les choses n'avanceraient jamais, voyez vous.

Pourquoi devons nous voir le mal comme étant l'antagoniste du bien ? Pourquoi le mal ne pourrait pas être tout simplement le bien aussi mais sous une forme différente et que nos esprits humains "limités" ne perçoivent pas correctement ou plus exactement de manière incomplète ? D'autant plus que notre vision du bien n'est pas beaucoup plus claire.

Et quant à vivre au paradis, pourquoi pas ? Oui, c'est cela, nous sommes probablement au paradis. Mais encore faut il décider de mettre le mal absolu (et je parle là de mal absolu et non pas simplement de mal comme l'opposé du bien et selon votre approche) en dehors des limites de l'univers.

bonjour

un argument n ' est qu un outil , il n ' à pas la prétention de clore un sujet , mais de l ' ouvrire pour que tous puissent présenter des contre argument .

mais il faudrait que tu définisse çe qu ' est le mal et ce qu ' est le bien ,

en dehors de leurs signification habituellement admise .

en réalité , c'est vrai , le bien et le mal peuvent ètres relatif à une situation particulière ,

et , peut-ètre interchanger leur sens habituel ?

le bien et le mal ont étés définit pour séparer le bon et le mauvais .

mais , tout est relatif .

bonne soirée :)

@ Le Merle

Je n'ai jamais senti que vous aviez envie de clore le sujet ni que je me taise.:)

En réalité je ne pense pas vraiment pouvoir être plus claire que mon précédent poste mais je vais tout de même essayé juste histoire d'être moins claire (en fait).:D

Je ne crois pas vraiment en l'existence du bien et du mal. Je crois juste que c'est une même et seule chose que nous percevons comme deux chose distinctes parce que nous sommes des êtres imparfaits.

Je ne crois qu'au "mal absolu" qui se trouve au delà des limites de l'univers.

@ Angelot

Je réfléchis encore à vos propos...

Pour croire au diable, il faut croire en Dieu.

Oui. D'accord. Et pour croire en Dieu il faut croire au Diable. Vous ne réagissez par contre pas du tout à ce que je dis sur le Diable en le positionnant en dehors des limites de l'univers; alors que je met Dieu au dedans des limites de l'univers. Mais je ne vous force ni à croire en Dieu ni au Diable. Ceci dit mon sujet est indissociable de cette notion de Divin et de son antagoniste.

Pour croire à l'infini, il faut se croire finis.

Je perçois une totale contradiction dans votre phrase.

Je nous crois finis, et incapable de concevoir justement l'infini.

Cela ne me dérange pas pour autant.

Là vous faîtes en sorte de retomber sur vos pattes vis à vis de votre phrase précédente. Mais je ne vous comprend pas bien.

Cela ne vous dérange pas que quoi ? De vous croire fini sans chercher à concevoir l'infini ou bien que certains cherchent à concevoir l'infini alors que vous nous croyez finis ?

Et je réitère ma question spécialement pour vous. Si vous nous croyez finis, qui y a t il selon vous au delà de cette ensemble fini auquel nous appartenons ?

Pour le placer dans les limites de l'univers, ou même en sortir, il faudrait les connaître. Est-le cas?

Et je ne refuse pas l'idée de divin. Je refuse simplement l'idée, et la notion de Dieu.

Une contradiction dans ma phrase? Possible. Je suis assez paradoxal en général. Mais, si je peux me permettre, si nous étions "infini", ou immortel, serions-nous à tenter de s'imaginer ou de concevoir ce qu'il est?

Je pense que la deuxième affirmation est plus dans le vraie : nous cherchons à concevoir l'infini du fait de notre finitude.

Soit. Réitérez votre question. Déjà, le fait de vouloir à tout prix avoir une suite au delà pose un problème. Pourquoi y aurait-il un après, une suite? Parce que c'est pas possible autrement? Et pourquoi notre ensemble serait finis? Parce qu'on ne voit pas l'après, la suite?

La vérité est que je pourrais poser des suppositions. Oui, je pense ceci, cela. Mais, cela s'opposerait aux convictions diverses et contraires aux miennes. Un conflit entre croyance, plus ou moins personnelle, sans réelle fin.

Peut-être l'univers est-il seulement cette bulle grandissante dans laquelle on vit. Peut-être y a-t-il plus. Peut-être y a-t-il un dieu, ou même Dieu. Peut-être que oui, c'est possible. Mais, il existe une incohérence, de fait, avec la finitude de l'univers car, s'il est finis, pour grandit-il? Et surtout, dans quoi, à supposer qu'il faut grandir dans quelque chose? Bien que notre esprit a du mal à concevoir que ce ne soit pas le cas.

Et oui. Certains considèrent que la vie est un paradoxe. D'autres lancent des sujets bien bien tordus.:D

Plus c'est tordu, plus c'est tordant. :D

Ce n'est pas le but !

...

:)

Je n'ai jamais dit ça, voyons. Mais tout le monde, ou presque, sait que je suis une personne tout à fait délirante :D

Néanmoins, vous n'avez pas répondu à ma réponse suite à la vôtre

Euh... oui, en effet.

Mais je n'ai pas la prétention de pouvoir répondre à tous les postes et de manger tout le sujet à moi toute seule.

Je vous rappelle que le paradoxe nous guette et que Ouroboros est affamé !

Oui, mais à défaut d'avoir la réponse, justifions l'infinité de notre savoir en défendant chacun notre point de vue jusqu'à la lassitude d'un parti

Mais, rassurez-vous, je n'ai pas la prétention, surtout à mon âge, d'avoir réponse à votre sujet. J'aime simplement y répondre, et quand je le peux, faire chier mon monde, en y apportant ma contribution, aussi naïve soit-elle.

@ Le Merle

Je n'ai jamais senti que vous aviez envie de clore le sujet ni que je me taise.:)

En réalité je ne pense pas vraiment pouvoir être plus claire que mon précédent poste mais je vais tout de même essayé juste histoire d'être moins claire (en fait).:D

Je ne crois pas vraiment en l'existence du bien et du mal. Je crois juste que c'est une même et seule chose que nous percevons comme deux chose distinctes parce que nous sommes des êtres imparfaits.

Je ne crois qu'au "mal absolu" qui se trouve au delà des limites de l'univers.

@ Angelot

Je réfléchis encore à vos propos...

çe qui voudrait dire ,relgieusement , que toute faute serai pardonnée puisque le mal réel serait hors de notre univers ?le bien et le mal sont une conception humaine .

dans la nature , ils n ' existent pas tel que nous les voyont

une lionne qui capture une jeune gazelle ,

ne serait pas cruelle , car elle obéit à son instinct de fauve et ne fait que se nourrire .

je ne dirai pas que nous sommes des ètres imparfais mais

des ètre qui ne sont pas aboutis ?

en admettent que notre espèce à un but à atteindre vers une perfection relative ?

pendant des centaines de millions d ' années , le bien et le mal n ' existaient pas , seul l ' évolution était maitre du jeu .

et puis , l ' espèce humaine est apparue et , avec elle , le bien et le mal ou ce qu 'elle croit ètre cela ?

bonne soirée

L'infini n'a pas de limites .S'il en avait, il s'appellerait le fini . Les galaxies fuient dans l'univers a une vitesse qui s'accélère. Si l'univers avait une limite, les galaxies lorsqu'elles l'atteindraient s'écraseraient les unes dans les autres . ..Beaucoup de personnes ressentent un malaise en regardant l'univers .Tout ce que nous voyons près de nous est limité dans la durée et dans ses dimensions .Alors je pense que nous n'arrivons pas à concevoir quelque chose qui n'aurait jamais eu de commencement et n'aurait jamais de fin .Notre mentale a beaucoup de mal pour imaginer une telle chose .