Discours d' Obama pour la Palestine

Hé oui et Obama n'a rien d'un révolutionnaire.

bonsoir zohera,rien d'étonnant,je m'y attendais.

ce qu'il faut bien voir c'est la stratégie d'abbas.

isoler les états unis,le canada et israel diplomatiquement,ça en prend largement le chemin.

et faire parti des états non menbre de l'onu,ce qui leur permettra de saisir la cij a propos des

colonie entre autre.

quoiqu'en disent ses détracteurs,c'est tres bien mené par abbas et ses conseillers.

j'en attendais pas plus des états unis,mais pour eux,ça compliquera leur situations diplomatique

surtout avec les pays arabo musulmans du golfe essentiellement.

ce qui m'a vraiment étonné a vrai dire,c'est le discours de sarkozy,comme quoi

Si Obama obtient le prix Nobel, je me teind en bonde et mange du jambon !!!

,arretes tu ne vas quand meme pas faire ça :gurp:

blonde a la limite ça passe :D ,mais du jambon

Le jambon et son lard

beurkkkkkkkkk

C'est ça le discours d'Obama:

Il y a un an, je me suis tenu à cette tribune et j'ai appelé à une Palestine indépendante. Je pensais alors, et je le pense maintenant, que les Palestiniens méritent leur propre Etat. Mais ce que j'ai aussi dit c'est que la paix véritable ne peut être réalisée qu'entre les Israéliens et les Palestiniens eux-mêmes.Un an plus tard, et malgré les nombreux efforts des USA et des autres, les parties n'ont pas rapproché leurs différences.Devant cette impasse j'ai avancé de nouvelles bases pour des négociations en mai. Ces bases sont claires, et bien connues de nous tous ici. Les Israéliens doivent savoir que tout accord procure des assurances pour leur sécurité. Les Palestiniens méritent deconnaître les bases territoriales de leur pays.Je sais que beaucoup sont frustrés par le manque de progrès, moi aussi. Mais la question n'est pas le but que nous recherchons, la question est comment l'atteindre. Et je suis convaincu qu'il n'y a pas de raccourci pour parvenir à la fin d'un conflit qui dure depuis des dizaines d'années. La paix ne viendra pas par des engagements et des résolutions prises aux Nations Unies, si c'était aussi simple, ç'aurait été accompli depuis. Au final,ce sont les Israéliens et les Palestiniens qui doivent vivre côte à côte. Au final, ce sont les Israéliens et les Palestiniens, pas nous, qui doivent trouver un accord sur les issues qui les divisent: sur les frontières et la sécurité; sur les réfugiés et Jerusalem.

La paix dépend des compromis entre des personnes qui doivent vivre ensemble bien après que nos discours soient terminés et que nos votes aient été comptés. C'est la leçon de l'Irelande du Nord, où les anciens antagonistes ont rapproché leurs différences. C'est la leçon du Soudan, où un arrangement négocié à mené à un Etat indépendant. Et c'est le chemin vers un Etat Palestinien.

Nous recherchons un future où lesPalestiniens vivent dans un Etat souverain bien à eux avec aucune limite pour ce qu'ils peuvent faire. Il n'est pas question que les Palestiniens aient vu cette vision reportée depuis trop longtemps et c'est précisément parce que nous croyons si fort dans les aspirations des Palestiniens que les USA ont investi tant de temps et d'effort dans la construction d'un Etat Palestinien et dans les négociations qui peuvent en créer un.

L'engagement des USA pour la sécurité d'Israël est inébranlable et notre amitié avec Israël est profonde et durable. Et donc nous croyons que toute paix durable doit reconnaître les véritables préoccupations de sécurité auxquelles Israël doit faire face tout les jours. Soyons honnêtes:Israël est entouré de voisins qui ont menacé des guerres à répétition contre elle. Les citoyens d'Israël ont été tués par des rockets tirés sur leurs maisons et des attentats suicides dans leurs bus. Les enfants d'Israël grandissent en sachant qu'à travers la région d'autres enfants apprennent à les détester. Israël, unpetit pays de moins de 8 millions d'habitants, regarde vers un monde où les dirigeants de nations bien plus grandes menace de l'effacer de la carte. Le peuple juif porte le poids de siècles d'exile, de persécution, et la mémoire récente de 6 millions de personnes qui ont été tuées simplement pour ce qu'elles étaient.

Ces faits ne peuvent être ignorés. Le peuple juif a forgé un Etat fort dans leur territoire historique.Israël mérite la reconnaissance, des relations normales avec ses voisins. Et les amis des Palestiniens ne les aident pas (les palestiniens) en ignorant cette vérité, tout comme les amis d'Israël doivent reconnaître le besoin de poursuivre une solution de deux Etats avec un Israël sûr à côté d'une Palestine indépendante.

La vérité, que chaque côté a des aspirations légitimes, est ce qui rend la paix si difficile. Et le cadenas ne sera cassé que quand chaque côté apprendra a se tenir dans les chaussures de l'autre. C'est ce qui doit être encouragé.Ce corps (l'ONU), fondé sur les cendres de la guerre et du génocide;dédié, tel quel, à la dignité de chaque personne, doit reconnaître la réalité vécue par les deux: Palestiniens et Israéliens. Les mesures de nos actes doivent toujours être selon qu'elles avancent le droit des enfants Israéliens et Palestiniens à vivre en paix et en sécurité, avec dignité et oportunité. Nous ne réussirons dans cet effort que si nous encourageons les deux parties à s'asseoir ensemble, pour s'écouter l'un l'autre et pour comprendre les peurs et les espoirs de chacun. C'est le projet vers lequel les USA sont dévoués. Et c'est ce qui devrait être le but des Nations Unies pour les semaines et les mois à venir.

Même si je trouve qu'il place trop Israel en victime des vilains palestiniens, il faut reconnaître que la situation est vraiment très compliquée et il n'a pas tort dans ce qu'il dit quand même.

Le discours de Sarko est une proposition intéressante et surtout intéressé. Si on était pas en période pré-présidentielle il s'en serait peut-être bien tenu à la position américaine. Il est pas con le petit, il sait très bien de quel côté penche l'opinion des français.

C'est pareil pour Obama d'ailleurs. L'opinion américaine n'est franchement pas pour qu'il soutienne la création d'un état palestinien. Mais en même temps il ne dit pas qu'il est contre, bien au contraire.