vous êtes bons ou méchants?

On peut dire qu'il a du succès ton sujet cosette.

Je lisais plus haut que les dégats psychologiques étaient moindres face à une agression physique.

Dans l'immédiat je dirais oui, c'est plus impressionnant.

Maintenant la différence est que tout le monde ne passe pas à l'agression physique parceque l'on sait que c'est directement condamnable, alors certains s'oriente vers la destruction morale, en demi-teinte, à petit feu, insidieuse et obscène, par manipulation.

Au final c'est pareil, un harceleur peut foutre la vie en l'air d'une personne (jusqu'au suicide) , d'une famille, sans jamais être condamné parceque tout aura été fait dans l'ombre, orchestré avec intelligence (hum).

Ecouter ce que les autres pensent de nous est une obligation. Croire que ce qu'ils pensent de nous est l'entière vérité est une erreur.

A chacun de faire le tri entre ce qu'il veut entendre et ce qu'il ne veut pas entendre.

Chacun ?

Oui. Chacun ! C'est notre coeur que nous écoutons (c'est une image, ce n'est pas le coeur exactement dont il est question. Mais le coeur, tout le monde comprend. Le coeur c'est le centre. Le centre de nous même).

Comment notre coeur sait ce qui est bon et ce qui n'est pas bon pour nous ?

Parce qu'il a été nourri et instruit par d'autres coeurs. Le coeur n'est nourri que par ce que d'autres coeurs lui donne.

Comment le coeur donne aux autre coeurs ? En fait je n'en sais rien.

obéir à des ordres injustes c'est se déshonorer, il n'y a pas d'excuse, celui qui fait ça choisit la survie ou ses intérêts au dépend de son honneur et des personnes qui vont subir l'injustice

après il y a qui on voudrait être, et ce qu'on fait quand on se retrouve confronté à un choix

j'aimerais à penser que dans la situation où on me commanderait d'executer quelqu'un d'innocent je retournerai l'arme qu'on m'aura mis entre les mains pour commettre le crime vers celui ou celle qui m'en a donné l'ordre, quitte à en mourrir juste après, mais peut-être que dans cette situation, submergé par la peur, j'agierai comme un lâche, en me disant que c'était ma vie ou la leur, je ne peux pas savoir

comment transformer un humain en tueur ? place le sur un champ de bataille et oblige le à lutter pour sa survie

C'est juste, il y a malheureusement des situations ou on t'oblige à tuer pour survivre, mais dans la vie en société, au quotidien, rien ne nous pousse à de tels actes, en tous cas pas ici, pas maintenant.

Rien ne nous pousse à faire souffrir psychologiquement quelqu'un, non plus.

Enfin, je crois. Peut être le désir de vengeance ? Faire souffrir parque on a soi même été victime de maltraitance ?

@ EnergetikFix76

Au moment ou je te parle, je suis en procès pour harcèlement moral contre... quelqu'un...

C'est plus que très bien parti pour moi, ça a été un très long combat, mais j'en sortirai la tête haute, c'est pour ça que ce sujet me tiens à coeur, et que je me place systématiquement du côté des victimes, mon histoire m'a renforcé dans mes convictions.

Que penses-tu alors d'Adolph Eichmann? monstre sanguinaire ou pas? Pour Hannah Arendt, il était seulement soumis aux ordres! Peut-on alors le trouver excusable...et, de ce fait là, tous les criminels de guerre également?...vaste question, je crois!

Non, je ne pense pas avoir compris qu'elle excusait Eichmann

Oui, vaste question , mais moi, je suis opposée à la guerre et aux armées

Non, les fonctionnaires ordonnant et exécutant les ordres de tuerie ou d'emprisonnement sous prétexte que c'est la loi, ne réfléchissent pas à ce qu'ils exécutent sous les ordres, pour leur carrière, par habitude prise.

Il sufit de lire les livres de Jean Haztfeld sur le génocide au Ruanda, les livres de François Ponchaud et François Bizot sur le génocide de leur propre peuple pendant le Kampuchea

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passage de je viens de trouver sur internet:

Extraits choisis de l'oeuvre de Hannah Arendt (2) : banalité du mal et absence de pensée

06 Décembre 2008 Par Thierry Ternisien En complément des éléments proposés sur Mediapart pour faciliter l'accès à une pensée dont l'actualité reste saisissante (regards , repères, bibliographie) poursuite de la publication d'extraits de l'œuvre de Hannah Arendt

La vie de l’esprit, PUF. Introduction pp.21-23

"Le titre donné à cette série de conférences, La vie de l'esprit, semble prétentieux et parler de Penser me paraît tellement présomptueux que j'éprouve le besoin de commencer par me justifier, plutôt que de m'encenser moi-même. Le sujet lui-même, cela va de soi, n'a pas besoin de justification, en particulier dans le cadre éminent des Gif-ford Lectures. Ce qui me gêne, c'est de m'y risquer moi-même, car je n'ai ni la prétention, ni l'ambition d'être « philosophe », ni de compter au nombre de ceux que Kant appelait, non sans ironie, Denker von Gewerbe (penseurs de profession). La question, alors, est de savoir si je n'aurais pas dû laisser ces problèmes aux experts, et la réponse devra mettre en évidence ce qui m'a poussée abandonner la sécurité relative des sciences politiques et de leur théorie pour aborder des problèmes aussi terrifiants, au lieu de me contenter de mon lot.

Concrètement, c'est pour deux raisons assez différentes que je m'intéresse aux activités de l'esprit. Tout a commencé quand j'ai assisté au procès Eichmann à Jérusalem. Dans mon rapport, je parle de la « banalité du mal ». Cette expression ne recouvre ni thèse, ni doctrine bien que j'aie confusément senti qu'elle prenait à rebours la pensée traditionnelle - littéraire, théologique, philosophique - sur le phénomène du mal. Le mal, on l'apprend aux enfants, relève du démon ; il s'incarne en Satan (qui « tombe du ciel comme un éclair » (saint Luc, 10,18), ou Lucifer, l'ange déchu (« Le diable lui aussi est ange » - Miguel de Unamuno) dont le péché est l'orgueil (« orgueilleux comme Lucifer »), cette superbia dont seuls les meilleurs sont capables : ils ne veulent pas servir Dieu ils veulent être comme Lui. Les méchants, à ce qu'on di sont mus par l'envie ; ce peut être la rancune de ne pas avoir réussi sans qu'il y aille de leur faute (Richard III), ou l'envie de Caïn qui tua Abel parce que « Yahvé porta ses regards sur Abel et vers son oblation, mais vers Caïn et vers son oblation il ne les porta pas ». Ils peuvent aussi être guidés par la faiblesse (Macbeth). Ou, au contraire, par la haine puissante que la méchanceté ressent devant la pure bonté (Iago : « Je hais le More, Mes griefs m'emplissent le cœur » ; la haine de Claggart pour l'innocence « barbare » de Billy Budd, haine que Melville considère comme « une dépravation de la nature ») ou encore par la convoitise, « source de tous les maux » (Radix omnium malorum cupiditas). Cependant, ce que j'avais sous les yeux, bien que totalement différent, était un fait indéniable. Ce qui me frappait chez le coupable, c'était un manque de profondeur évident, et tel qu'on ne pouvait faire remonter le mal incontestable qui organisait ses actes jusqu'au niveau plus profond des racines ou des motifs. Les actes étaient monstrueux, mais le responsable - tout au moins le responsable hautement efficace qu'on jugeait alors - était tout à fait ordinaire, comme tout le monde, ni démoniaque ni monstrueux. Il n'y avait en lui trace ni de convictions idéologiques solides, ni de motivations spécifiquement malignes, et la seule caractéristique notable qu'on décelait dans sa conduite, passée ou bien manifeste au cours du procès et au long des interrogatoires qui l'avaient précédé, était de nature entièrement négative : ce n'était pas de la stupidité, mais un manque de pensée. Dans le cadre du tribunal israélien et de la procédure carcérale, il se comportait aussi bien qu'il l'avait fait sous le régime nazi mais, en présence de situations où manquait ce genre de routine, il était désemparé, et son langage bourré de clichés produisait à la barre, comme visiblement autrefois, pendant sa carrière officielle, une sorte de comédie macabre. Clichés, phrases toute faites, codes d'expression standardisés et conventionnels ont pour fonction reconnue, socialement, de protéger de la réalité, c'est-à-dire des sollicitations que faits et événements imposent à l'attention, de par leur existence même. On serait vite épuisé à céder sans cesse à ces sollicitations ; la seule différence entre Eichmann et le reste de l'humanité est que, de toute évidence, il les ignorait totalement. [1]

C'est cette absence de pensée - tellement courante dans la vie de tous les jours où l'on a à peine le temps et pas davantage l'envie, de s'arrêter pour réfléchir - qui éveilla mon intérêt. Le mal (par omission aussi bien que par action) est-il possible quand manquent non seulement les motifs répréhensibles » (selon la terminologie légale) mais encore les motifs tout court, le moindre mouvement d’intérêt ou de volonté ? Le mal en nous est-il, de quelque façon qu'on le définisse, « ce parti de s'affirmer mauvais » et non la condition nécessaire à l'accomplissement du mal ? Le problème du bien et du mal, la faculté de distinguer ce qui est bien de ce qui est mal, seraient-ils en rapport avec notre faculté de penser ? Pas au sens, bien entendu, où la pensée serait capable de sécréter les bonnes actions, comme si « la vertu s'enseignait » et s’apprenait- il n'y a que les habitudes et les coutumes qui s'enseignent, et chacun ne sait que trop bien à quelle vitesse on les désapprend et les oublie, pour peu qu'une situation nouvelle exige un changement de conduite et de manières. (Le fait qu'on traite généralement du bien et du mal dans les cours de « morale » ou d' « éthique » peut laisser pressentir le peu qu'on sait à leur sujet, car morales vient de mores et éthique d'ethos, mots latin et grec qui signifient coutume et habitude ; or, le mot latin est associé aux règles de conduite, tandis que le mot grec dérive d'habitat, comme notre « habitude ».) L'absence de pensée, face à laquelle je me trouvais, ne résultait ni de l'oubli de manières et d'habitudes antérieures, sans doute bonnes, ni d'un cas de stupidité au sens d'incapacité à comprendre - ni même au sens d' « aliénation morale » car elle était tout aussi évidente dans des circonstances où décisions soi-disant éthiques et problèmes de conscience n'avaient rien à voir.

La question impossible à éluder était celle-ci : l'activité de penser en elle-même, l'habitude d'examiner tout ce qui vient à se produire ou attire l'attention, sans préjuger du contenu spécifique ou des conséquences, cette activité donc fait-elle partie des conditions qui poussent l'homme à éviter le mal et même le conditionnent négativement à son égard ? (Le mot même de « conscience » semblerait l'indiquer, dans la mesure où il veut dire « connaissance par et avec soi-même », type de connaissance qu'actualise tout processus de pensée.) Cette hypothèse n'est-elle pas confortée par tout ce qu'on connaît sur la conscience, à savoir que la « bonne conscience » n'est en général que le fait des gens vraiment mauvais, criminels et autres, tandis que seuls « les bonnes gens » sont capables d'avoir mauvaise conscience ? "

<BR style="CLEAR: both">[1] C’est moi qui souligne

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Tu ne les reçois pas, mais quand je reçois les derniers textes de lois sur les étrangers, les demandeurs d'asile, je viens encore d'en recevoir un, encore plus restrictif sur les possibilités et les délais de recours en cas d'Obligation à Quitter le Territoire Français, tu ne peux que t'indigner et ne pas vouloir laisser faire.

Ces textes ont été votés. Pourquoi? Parce que des gens , tous normaux, ni pires ni meilleurs ,ne veulent pas d'étrangers en France, sans se soucier m^me de ce que les personnes ont dû vivre avant. parce que des gens crient "On ne peut pas vous accueillir ici, sur ce coin de terre qui est la France, partez!"

Méfaits et cruauté du nationalisme.

Alors, il y a débats, même ici, ardus et conflictuels. Sur quoi? Pour dicter ce qu'il faudrait faire sur la vie de tous ces gens.

Si c'est pas la banalité du mal, ça?

Encore.

C'est de l'absurdité, tout simplement, assortie de cruauté.

Je ne le pardonne pas .

Mais ils sont normaux!

De quelle manière te semble t-il avoir été renforcé ? Quelles sont ces convictions ?

Je ne comprends pas tes questions

@ EnergetikFix76

Au moment ou je te parle, je suis en procès pour harcèlement moral contre... quelqu'un...

C'est plus que très bien parti pour moi, ça a été un très long combat, mais j'en sortirai la tête haute, c'est pour ça que ce sujet me tiens à coeur, et que je me place systématiquement du côté des victimes, mon histoire m'a renforcé dans mes convictions.

J'ai quelqu'un dans ma famille qui a été tellement harcelée qu'elle a atterri en HP...C'est bien vrai que cette manière insidieuse de faire du mal peut détruire quelqu'un, d'une autre manière, bien sûr que la torture physique, mais avec également, une grande souffrance! et c'est également vrai que ces personnes qui agissent la plupart du temps, impunément, sont souvent des êtres machiavéliques!

Un truc tout con, et dans la vie de tout un chacun, c'est là que tout commence.

Dans la cour d'école, quand t'es gamin, il y a toujours le petit kaid entouré de ses sbires, qui font régner leur loi sur les autres, et ils ont leurs têtes de turcs, les souffre-douleurs que les autres raillent.

sans jamais avoir été une tête de turc, je ne me suis jamais rabaissé au dictat, dès mon plus jeune âge, j'avais compris qu'il ne fallait pas se mettre la tête dans le cul et jouer le mouton, je me suis toujours interposé, et ça a toujours payé !

aujourd'hui c'est pareil, je réagit pareil, on ne m'oblige jamais par la force ! (ce qui me vaut mon affaire actuelle)

J'ai des défauts comme tout le monde, mais j'ai cette conviction qu'il ne faut pas céder au "mal", à la facilité de se résigner sur sa propre conscience pour s'en sortir "au mieux" ...dans une société qui prône l'agressivité...

Caminde, je suis d'accord avec toi...tant d'injustices, tant d'horreurs autour de nous font que nous ne pouvons que nous sentir coupables si nous fermons les yeux! alors, je me pose la question : suis-je si bonne que ça, puisque je ne peux que laisser faire? mais, je ne suis qu'une malheureuse goutte d'eau perdue au fond d'un océan de misères...nos cris indignés peuvent-ils parvenir aux oreilles de ceux qui ont le pouvoir? Là, je te pose la question, je vous la pose à tous!

Je suis méchant ... ET J'AIME SA !!!

Provok !

En même temps tu as 18 ans, tu changeras peut-être... Je l'espère pour toi en tt cas

Et apprends à écrire au passage...

Je ne comprends pas tes questions

T'a posté ton roman entre temps, mais ces question étaient pour Siestaparty :)

Caminde, je suis d'accord avec toi...tant d'injustices, tant d'horreurs autour de nous font que nous ne pouvons que nous sentir coupables si nous fermons les yeux! alors, je me pose la question : suis-je si bonne que ça, puisque je ne peux que laisser faire? mais, je ne suis qu'une malheureuse goutte d'eau perdue au fond d'un océan de misères...nos cris indignés peuvent-ils parvenir aux oreilles de ceux qui ont le pouvoir? Là, je te pose la question, je vous la pose à tous!

Je ne comprends pas Cosette (désolé caminde), qui a le pouvoir ? le pouvoir c'est toi !

Pourquoi tu aime être méchant Tharc?

@ EnergetikFix76

Au moment ou je te parle, je suis en procès pour harcèlement moral contre... quelqu'un...

C'est plus que très bien parti pour moi, ça a été un très long combat, mais j'en sortirai la tête haute, c'est pour ça que ce sujet me tiens à coeur, et que je me place systématiquement du côté des victimes, mon histoire m'a renforcé dans mes convictions.

J'ai quelqu'un dans ma famille qui a été tellement harcelée qu'elle a atterri en HP...C'est bien vrai que cette manière insidieuse de faire du mal peut détruire quelqu'un, d'une autre manière, bien sûr que la torture physique, mais avec également, une grande souffrance! et c'est également vrai que ces personnes qui agissent la plupart du temps, impunément, sont souvent des êtres machiavéliques!

idem

Jai été harcelée, mais à l'époque, ce n'était pas encore assez bien connu.

Je suis passée par l'HP, psychothérapie etc...

Hi! Très fière de moi, c'est moi qui demandais à y aller, de toutes façons j'étais devenue vraiment incapable de me gérer seule par moments

J'étais comme hantée par les mots des autres, leurs jugements, leur phrases.

Le pire, c'est quand l'entourage pense te dire ce qu'il faut pour que tu ailles.

Quelque part, je remercie la dépression qui m'a fait comprendre beaucoup de choses.

Mais que c'est douloureux, et ce fut long à remonter, avec le travail en m^me temps que j'essayais d'assurer au mieux.

Pfiouhhh

Et au travail, ben seule à souffrir, de toutes façons, tout le monde est stressé, pas le temps de parler d'autre chose que du boulot.

Ouff! J'en suis bien sortie depuis quelques années

Je ne comprends pas tes questions

T'a posté ton roman entre temps, mais ces question étaient pour Siestaparty :)

ah d'accord :)

Caminde, je suis d'accord avec toi...tant d'injustices, tant d'horreurs autour de nous font que nous ne pouvons que nous sentir coupables si nous fermons les yeux! alors, je me pose la question : suis-je si bonne que ça, puisque je ne peux que laisser faire? mais, je ne suis qu'une malheureuse goutte d'eau perdue au fond d'un océan de misères...nos cris indignés peuvent-ils parvenir aux oreilles de ceux qui ont le pouvoir? Là, je te pose la question, je vous la pose à tous!

Oui, Cosette. Tu as le pouvoir. Tu as toi. C'est déjà énorme. Et oui, laisse faire. Agit pour toi. C'est la meilleure façon de changer le monde. Les politiques ou les personnes de pouvoir ne sont pas corrompus. C'est nous qui le sommes en croyant que ce n'est pas une action individuelle qui permet au monde de changer.

J'aime cet esprit combatif et positif, enfin !

@ EnergetikFix76

Au moment ou je te parle, je suis en procès pour harcèlement moral contre... quelqu'un...

C'est plus que très bien parti pour moi, ça a été un très long combat, mais j'en sortirai la tête haute, c'est pour ça que ce sujet me tiens à coeur, et que je me place systématiquement du côté des victimes, mon histoire m'a renforcé dans mes convictions.

J'ai quelqu'un dans ma famille qui a été tellement harcelée qu'elle a atterri en HP...C'est bien vrai que cette manière insidieuse de faire du mal peut détruire quelqu'un, d'une autre manière, bien sûr que la torture physique, mais avec également, une grande souffrance! et c'est également vrai que ces personnes qui agissent la plupart du temps, impunément, sont souvent des êtres machiavéliques!

idem

Jai été harcelée, mais à l'époque, ce n'était pas encore assez bien connu.

Je suis passée par l'HP, psychothérapie etc...

Hi! Très fière de moi, c'est moi qui demandais à y aller, de toutes façons j'étais devenue vraiment incapable de me gérer seule par moments

J'étais comme hantée par les mots des autres, leurs jugements, leur phrases.

Le pire, c'est quand l'entourage pense te dire ce qu'il faut pour que tu ailles.

Quelque part, je remercie la dépression qui m'a fait comprendre beaucoup de choses.

Mais que c'est douloureux, et ce fut long à remonter, avec le travail en m^me temps que j'essayais d'assurer au mieux.

Pfiouhhh

Et au travail, ben seule à souffrir, de toutes façons, tout le monde est stressé, pas le temps de parler d'autre chose que du boulot.

Ouff! J'en suis bien sortie depuis quelques années

Je ne comprends pas tes questions

T'a posté ton roman entre temps, mais ces question étaient pour Siestaparty :)

ah d'accord :)

C'est bien pour ça que tu n'es pas "mauvaise" Caminde, certains t'ont fait souffrir mais le reste du monde est là (même si c'est pas franchement top) tu as eu des moment durs comme moi et je te soutiens de tout mon coeur camarade Caminde.