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Bac philosophie : Peut-on prouver une hypothèse scientifique


Zarathoustra2

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Membre, Surhomme Nietzschéen, 50ans Posté(e)
Zarathoustra2 Membre 8 656 messages
50ans‚ Surhomme Nietzschéen,
Posté(e)

Le bac a commencé aujourd'hui.

Qu'auriez-vous répondu à la place des candidats ?

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

bonjour .une hypothése est une possibilité logique en réponse à un probléme .elle ne peut-étre prouvée que si les recherches confirment , par la suite sa véracitée .bonne journée .

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Membre, Le gremlins à lunette, 36ans Posté(e)
Elhyareno Membre 4 313 messages
36ans‚ Le gremlins à lunette,
Posté(e)

Je chipote surement, mais je dis valider une hypothèse plutôt que prouver. Mais c'est sans importance. Après on peut effectivement valider une hypothèse, du moins partiellement, puisque qu'un modèle permet de prévoir le résultat d'une de modèle il suffit de dire : d'après le modèle on a tel évènement à tel moment ou si on fait ça, d'après cette hypothèse il se passe ça en réaction et de vérifier par des expériences si on obtient bien en pratique ce que l'on prévoit en théorie. Cependant, on doit prendre en considération que l'on ne peut pas tester tout les cas, et que dans certains cas l'hypothèse n'est plus valide. En recherchant ces cas qui font exception et en les étudiant on améliore l'hypothèse pour qu'elle soit valide avec un plus grand nombre de cas. On se rapproche donc à chaque validation de cas d'une justesse globale.

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Invité chat_ooo
Invités, Posté(e)
Invité chat_ooo
Invité chat_ooo Invités 0 message
Posté(e)

c'est très vieux hein, le bac je l'ai eu du premier coup il y a bon nombre d'années déjà... néanmoins : http://fr.wikipedia....st%C3%A9mologie

mot-clé ?

en tout cas à vue de nez plusieurs choses font qu'une hypothèse peut pas être prouvée : on n'a pas encore les moyens technologiques pour / on n'aura jamais ces moyens (exemple : le monde a t-il un début et une fin ?)

et si une hypothèse est prouvée, je crois alors qu'on appelle ça une "loi" non ? après faudrait peut-être opérer un distinguo entre une hypothèse et une théorie ? l'hypothèse précède t-elle les observations (vues alors comme des vérifications de l'hypothèse émise ex nihilo -à partir de "rien") ou bien faut-il un minimum d'évènements auparavant pour qu'elle puisse même être imaginée ?

ensuite dans l'absolu, et non dans les conditions relatives d'un labo par exemple, peut-on dire qu'une hypothèse se vérifie dans tous les cas ? comme le suggère mon confrère du dessus, vit-on dans un monde régi par la logique ou absurde, comme disait Platon peut-on sortir de l'auberge de la caverne, autrement dit sommes-nous des phénomènes (:)), ou bien fondamentalement ne faisons-nous partie de ce monde ? ( :o°)

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Membre, Surhomme Nietzschéen, 50ans Posté(e)
Zarathoustra2 Membre 8 656 messages
50ans‚ Surhomme Nietzschéen,
Posté(e)

Je chipote surement, mais je dis valider une hypothèse plutôt que prouver.

Si valider et prouver n'ont pas le même sens, alors tu ne peux pas remplacer un mot par l'autre.

La question n'est pas ici "Peut-on valider une hypothèse scientifique ?", mais bien "Peut-on prouver une hypothèse scientifique ?"

Si nous pouvions changer les mots de l'énoncé, ce serait trop facile.

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Invité Lemme
Invités, Posté(e)
Invité Lemme
Invité Lemme Invités 0 message
Posté(e)

J'aurai cité le théoreme de Godel :

-une théorie consistante pour faire de l'arithmétique est necessairement incomplete. C'est a dire qu'il existe des propositions indécidables.

Puis j'aurai rendu ma feuille ^^

Je chipote surement, mais je dis valider une hypothèse plutôt que prouver.

Si valider et prouver n'ont pas le même sens, alors tu ne peux pas remplacer un mot par l'autre.

La question n'est pas ici "Peut-on valider une hypothèse scientifique ?", mais bien "Peut-on prouver une hypothèse scientifique ?"

Si nous pouvions changer les mots de l'énoncé, ce serait trop facile.

De toute facon dans un systeme formel, valider une hypothese ce n'est rien de moins que démontrer qu'elle est valide dans ce systeme. Ca revient a prouver l'hypothese. 

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Membre, Forumeur confit, Posté(e)
Enchantant Membre 17 522 messages
Forumeur confit,
Posté(e)

Zarathoustra2,

Ce qui caractérise la démarche des scientifiques, c’est justement d’émettre des hypothèses, puis de vérifier le domaine de validité de ces dernières.

Pour y parvenir, des tests et des épreuves sont réalisées en laboratoire, de tel façon que leurs certitudes ne s’appuient en final que la sur la reproduction expérimental de l’hypothèse formulée.

Lorsque les mêmes causes, dans les mêmes conditions, reproduisent exactement les mêmes effets, les scientifiques en déduisent logiquement que leur hypothèse en ce cas, représentent une parcelle de vérité scientifique.

Mais les scientifiques, savent pertinemment aussi que tous les tests et les essais qu’ils réalisent, ne renvoient pas exactement le duplicata des résultats escomptés, la recherche fondamentale ou appliquée consiste justement à interpréter et rechercher les paramètres environnants ou perturbants qui modifient les résultats de leurs études et expériences.

Prouver une hypothèse scientifique, c’est en fait reproduire à l’infini une même expérience.

La preuve ou la véracité scientifique d’une hypothèse, ne peut faire l’impasse de cette démarche là, autrement c’est de la fumisterie.

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Membre, Surhomme Nietzschéen, 50ans Posté(e)
Zarathoustra2 Membre 8 656 messages
50ans‚ Surhomme Nietzschéen,
Posté(e)

J'aurai cité le théoreme de Godel :

-une théorie consistante pour faire de l'arithmétique est necessairement incomplete. C'est a dire qu'il existe des propositions indécidables.

Puis j'aurai rendu ma feuille ^^

Intéressant, ça signifie que parfois il est impossible de prouver. Mais il faudrait encore étudier les autres cas.

De toute facon dans un systeme formel, valider une hypothese ce n'est rien de moins que démontrer qu'elle est valide dans ce systeme. Ca revient a prouver l'hypothese. 

Oui mais là tu te limites à prouver "dans un système". Comment justifier pareille limitation ? :gurp:
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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)

La science a longtemps été considérée comme formant des concepts vrais, c'est à dire des savoirs véritablement en adéquation avec la réalité. Encore aujourd'hui, elle est souvent le garant de toute affirmation réputée fiable. Faut-il se rallier à la croyance commune qui se fie aveuglement à la science, ou ne faut-il pas en questionner les principes pour en faire apparaître les limites? Nous verrons dans un premier temps comment la science peut témoigner d'une certaine réalité, puis nous analyserons la façon dont ses principes érigés en certitudes peuvent parfois voler en éclat. Enfin, nous définirons la démarche scientifique en termes plus rationnels.

Si nous considérons la médecine, porteuse de savoirs notamment sur le fonctionnement des organes du corps humain, ne sommes-nous pas sommés de croire, aux vues du concept même de médicament, que nous sommes arrivés à des conclusions justes au sujet de l'anatomie et du fonctionnement général du corps humain? Qui pourra raisonnablement soutenir que son foi ne régule pas sa glycémie? Que son cerveau est indépendant de sa pensée ou de ses émotions? Lorsque Newton prétendait découvrir la gravitation universelle, il faisait de sa théorie une description adéquate de la réalité. Son puissant pouvoir explicatif qui devra inspirer tous les développements scientifiques ultérieurs semblait alors être une évidence.

Cependant, l'arrivée d'Einstein aurait prouvé que cette théorie ne se vérifie pas pour des corps en mouvement à des vitesses proches de celle de la lumière. Il en mit donc en évidence des limites qui permirent de fonder une autre approche de l'espace et du temps. Celui qui prit les preuves scientifiques de Newton pour une adéquation avec la réalité dût pour le moins être déçu. Ne faut-il pas en conclure que toute vérité scientifique n'est que temporaire? En regard de la physique moderne, la découverte de la constante de Planck aura elle aussi perturbé la conception mécaniste d'Einstein, notamment en remettant en cause la notion de causalité. Ce qui nous amène à conclure logiquement que le système étudié scientifiquement ne fait que se comporter "comme si" l'hypothèse vérifiée était en adéquation avec la réalité. Ce n'est plus qu'un jeu de concepts provisoire, avec constamment au dessus de la tête l'épée de Damoclès par la possibilité d'une réfutation issue des nouvelles découvertes scientifiques. Cela doit inciter les scientifiques à l'humilité.

Il apparaît de la démarche hypothético-déductive qui est le fondement de la science que toute théorie est une généralisation portant sur un ensemble de faits bien définis et observables (directement ou à l'aide d'instruments de mesure). Ce type de raisonnement porte un nom : l'induction. Ne pourrait-on pas imaginer une autre façon de diviser la réalité que de regrouper une certaine classe de phénomènes arbitrairement sous la même bannière théorique? Et qui peut prétendre avoir traversé tout l'univers et avoir fait l'inventaire de tous les phénomènes touchant à sa théorie? Qui peut prétendre avoir ratissé de fond en comble les fonds des océans? En occident, avant le XVIIIe siècle, les naturalistes étaient persuadés que tous les cygnes étaient blancs, lorsque une découverte inédite en provenance de l'Australie les persuada qu'il existait également des cygnes noirs. Cela témoigne que l'induction est un biais cognitif, bien qu'étant celui sur lequel se fonde toute explication scientifique. David Hume disait pour exprimer cette idée, que le poulet est toujours persuadé que la main du fermier lui apportera le bon grain, jusqu'au jour où cette même main s'approchera pour l'étrangler. Toute hypothèse scientifique semble donc démontrable, mais uniquement au niveau local, sachant qu'en élargissant les perspectives, il est possible que cela mène à un non-sens.

Nous conclurons cette dissertation dans le constat qu'une hypothèse scientifique peut-être démontrable si on entend par démonstration le fait de vérifier en pratique une hypothèse scientifique, mais qu'elle ne saurait être vraie dans l'absolu, le savoir scientifique étant toujours sujet à des remises en question dépendantes du contexte historique qui est le nôtre. Platon pensait pour cette raison qu'il fallait avoir 50 ans avant de pouvoir philosopher (c'est pourquoi j'en appelle à votre clémence), l'expérience étant l'outil qui permettrait de véritablement accéder aux idées en tant que telles. L'induction permet-elle d'acquérir des savoirs vrais?

note du correcteur : 0/20 ; Clémence, et puis quoi encore?

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Invité Lemme
Invités, Posté(e)
Invité Lemme
Invité Lemme Invités 0 message
Posté(e)

Intéressant, ça signifie que parfois il est impossible de prouver. Mais il faudrait encore étudier les autres cas.

Les autres cas? Il y a des hypotheses dont on ne peut prouver qu'elles sont valides ou non. Donc, par negation, les autres types d'hypotheses sont démontrables, c'est a dire qu'on peut démontrer qu'elles sont vrais ou fausses. Si tel n'était pas le cas, on aurait a la fois des hypotheses dont on pourrait dire qu'elles sont a la fois  démontrables et indémontrables, ce qui serait contradictoire. On peut montrer une image du livre de Hofstadter pour visualiser la chose :

AAAAAgQzbKAAAAAAABq4_g.jpg?v=1165920513000

Oui mais là tu te limites à prouver "dans un système". Comment justifier pareille limitation ?  :gurp:

Je pense qu'il suffirait de dire que toutes les sciences sont basés sur des axiomes( la vitesse de la lumiere est constante dans tout les referentiels galiléens pour la relativité restreinte, l'évolutionnisme pour la biologie, etc...) pour les assimiler a des systemes axiomatiques et donc le théoreme de Gödel serait applicable.

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Membre, Surhomme Nietzschéen, 50ans Posté(e)
Zarathoustra2 Membre 8 656 messages
50ans‚ Surhomme Nietzschéen,
Posté(e)

Pas mal quasi-modo. :cool:

Il ne reste plus qu'à expliquer pourquoi la science utilise l'induction.

@Lemme : Mais est-ce que les sciences sont vraiment basées sur des axiomes ? Sur des propositions a vraies a priori ?

L'exemple de la vitesse de la lumière est très significatif : pendant très longtemps les physiciens ont cru qu'elle dépendait du référentiel. Ce ne peut donc pas être un "axiome de base" de la physique, puisqu'il a été découvert tardivement.

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Invité Lemme
Invités, Posté(e)
Invité Lemme
Invité Lemme Invités 0 message
Posté(e)

C'est un axiome de base pour la théorie de la relativité restreinte, et non pas pour la physique effectivement. Si nous trouvons un jour une théorie plus précise que celle d'Einstein fontionnant sans l'axiome de la célérité de la lumiere, alors nous n'hesiterons pas a l'abandonner. Mais la théorie d'Einstein fonctionnera toujours avec cet axiome. La physique est la science qui étudie les fondements de notre monde. Et la science physique est décomposé en théories physiques, qui, si elles sont des théories, comprennent des axiomes.

Et puis bon, je trouve quand meme que parler exclusivement de physique c'est faire injure aux autres sciences car on ne parle ni de l'histoire (d'un point de vue matérialiste scientifique) ni d'informatique ni de mathématiques (j'ai beau défendre que les maths ne sont pas une science, tout le monde la classe la dedans alors bon soit).

On pourrait aussi justifier qu'il y a des propositions indécidables dans les sciences en disant que Le théoreme de Gödel prouve que la théorie des nombres est incomplete, or toutes les sciences utilisent un pan des mathématiques et donc de la théorie des nombres. Ce qui acheve de montrer qu'il y a des hypotheses indémontrables dans les sciences.

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Membre, Tu n'auras d'autre batracien devant ma face, 109ans Posté(e)
Grenouille Verte Membre 32 822 messages
109ans‚ Tu n'auras d'autre batracien devant ma face,
Posté(e)

J'aurai cité le théoreme de Godel :

-une théorie consistante pour faire de l'arithmétique est necessairement incomplete. C'est a dire qu'il existe des propositions indécidables.

Puis j'aurai rendu ma feuille ^^

Et pourquoi ne pas citer l'exemple du théorème de complétude ?

Les littéraires aimes bien fantasmer sur l'incomplétude, oubliant l'autre théorème de Gödel sur la complétude de la logique du premier ordre.

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Invité Lemme
Invités, Posté(e)
Invité Lemme
Invité Lemme Invités 0 message
Posté(e)

Peut etre parceque les langages de second ordre sont beaucoups plus utilisés?

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Membre, Tu n'auras d'autre batracien devant ma face, 109ans Posté(e)
Grenouille Verte Membre 32 822 messages
109ans‚ Tu n'auras d'autre batracien devant ma face,
Posté(e)

Non. Il y a un équivalent de ce théorème au second ordre. Il existe aussi un théorème de complétude du second ordre.

Pire, le théorème d'incomplétude de Gödel a été démontré pour le premier ordre. Il n'est par exemple pas valable pour MSO(<), la logique monadique du second ordre.

De plus, les langages de second ordre sont extrêmement peu utilisé. Ils ne sont connu que de quelques spécialistes pointus. Toutes les mathématiques se font avec la logique du premier ordre.

La principale raison est que le premier ordre est plus simple, et qu'en mathématique on peut tout ramener au premier ordre.

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Membre, Surhomme Nietzschéen, 50ans Posté(e)
Zarathoustra2 Membre 8 656 messages
50ans‚ Surhomme Nietzschéen,
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C'est un sujet de philosophie et non de mathématique. L'idée n'est pas de citer des théorèmes :smile2:

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Invité Lemme
Invités, Posté(e)
Invité Lemme
Invité Lemme Invités 0 message
Posté(e)

Effectivement, ce n'est pas comme si ces théoremes découlaient de Tarski, Chomski, Russell, Quine, Popper et bien d'autres. Qui, faut-il le rapeller, étaient des philosophes.

Non. Il y a un équivalent de ce théorème au second ordre. Il existe aussi un théorème de complétude du second ordre.

Pire, le théorème d'incomplétude de Gödel a été démontré pour le premier ordre. Il n'est par exemple pas valable pour MSO(<), la logique monadique du second ordre.

De plus, les langages de second ordre sont extrêmement peu utilisé. Ils ne sont connu que de quelques spécialistes pointus. Toutes les mathématiques se font avec la logique du premier ordre.

La principale raison est que le premier ordre est plus simple, et qu'en mathématique on peut tout ramener au premier ordre.

Evidemment, je n'y avais pas pensé! Si tout se rammene au premier ordre pourquoi utiliser le second ordre?

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Membre, Tu n'auras d'autre batracien devant ma face, 109ans Posté(e)
Grenouille Verte Membre 32 822 messages
109ans‚ Tu n'auras d'autre batracien devant ma face,
Posté(e)

Evidemment, je n'y avais pas pensé! Si tout se rammene au premier ordre pourquoi utiliser le second ordre?

Bah, en fait, on ne l'utilise pas le second ordre, ça ne sert (presque) à rien :smile2:

La théorie des ensemble, des groupes, des corps, etc... Tout cela c'est du premier ordre.

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Membre, Surhomme Nietzschéen, 50ans Posté(e)
Zarathoustra2 Membre 8 656 messages
50ans‚ Surhomme Nietzschéen,
Posté(e)

@Lemme, @Grenouille Verte : CE N'EST PAS UN FORUM DE MATHS

Les matheux ne sont pas réputé être d'excellents philosophes :D

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Invité Gallium
Invités, Posté(e)
Invité Gallium
Invité Gallium Invités 0 message
Posté(e)
Les matheux ne sont pas réputé être d'excellents philosophes.

Pauvre Pythagore, que dirait-il s'il t'entendait :/

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