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La crise ivoirienne


Honky Tonk

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Honky Tonk Membre 2 messages
Baby Forumeur‚
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Destiné à tous les Français épris de justice et désireux de donner une autre image de leur pays.

A diffuser largement !

"J'en appelle aux français sensibles au respect des droits de l'homme, aux valeurs de notre République chèrement acquises et auxquelles les africains ont participé à leur défense lors des deux dernières guerres mondiales, de dénoncer par tout moyen à leur convenance, l'attitude honteuse de la France."

J'accuse! Je suis Français et j’accuse Sarkozy - Jupé - Fillon - Ban Ki Mon - Choi - Soro Guillaume - de crime contre l'humanité, de génocide et de crimes de guerre à l'encontre de l'état souverain de Côte d'Ivoire et de ses représentants légaux SEM Gbagbo, ses Ministres et ses proches ainsi que à l’encontre de la population Ivoirienne. J’accuse les médias français de complicité active et volontaire dans l'ensemble de ces crimes, de désinformation qualifiée et honteusement amplifiée. J’accuse toute la classe politique française pour non dénonciation de crime, pour son inertie et sa torpeur devant une telle injustice et forfaiture. J'accuse l'Assemblée Nationale Française hormis quelques membres très minoritaires, d'être complice pour avoir encouragé et applaudi ce coup d'état électoral suivi d'un acte de guerre illégal de la France.

Je demande aux députés de l'opposition de faire voter une motion de censure contre ce gouvernement criminel et de demander la démission sans délai du criminel Sarkozy qui devra répondre de ces actes devant le Tribunal Pénal International.

J'accuse la classe politique française de connivence avec les dictateurs Compaoré, Wade, Bongo, Denis Sassou-Nguesso, Eyadema et j'en passe....

Les médias français, AFP en tête nous intoxiquent abondamment en présentant le Président Gbagbo comme un dictateur. Je tiens à rappeler ici que Monsieur Gbagbo fut le premier Président de Côte d'Ivoire qui instaura un véritable multipartisme, une liberté de la presse et une politique de décentralisation des pouvoirs au bénéfice des régions. Le tort de Monsieur Gbagbo est surtout de ne pas obéir aux ordres de l'Elysée, principalement en ce qui concerne les accords de défense incluant le pillage des ressources en matières premières.

Laurent Gbagbo n'a en fait dirigé le pays que pendant 2 ans, de 2000 à 2002. Dès le début de son mandat, il a pratiqué une politique d'ouverture en invitant des leader des autres partis à participer au gouvernement EN 2002, Guillaume Soro à lancé une tentative de coup d'Etat qui n'a pas fonctionné et s'est transformé en rebellion, coupant le pays en deux. Déjà à ce moment là, l'armée française est intervenue pour éviter que cette rébellion soit totalement repoussée jusqu'au Burkina Fasso d'où elle s'était préparée et avait établie sa base arrière avec la complicité de Blaise Compaoré.

Depuis, Gbagbo n'a pas cessé de faire des compromis pour conserver la paix en Côte d'Ivoire. Mais, respectueux de la constitution et de l'ensemble des institutions de son pays, il n'a pas pu organiser d'élection présidentielle tant que le pays était coupé en deux avec la partie nord occupée par des rebelles en armes. C'est vraiment en tout dernier recours qu'il a accepté que cette élection se déroule en octobre et novembre 2010 sous couvert de l'ONU.

Ces élections furent entachées de nombreuses irrégularités découvertes pendant le décompte par la commission électorale indépendante. Ce n'est que sous la pression de Monsieur Choi, émissaire de l'ONU en Côte d'Ivoire et de Monsieur Sarkozy, qu'une mascarade grossière pour annoncer la victoire de Ouattara fut organisée. Depuis, la communauté internationale a emboité le pas sans vraiment se préoccuper du véritable résultat des élections proclamées cette fois par l'instance supérieur de la nation, le Conseil Constitutionnel.

Quand on sait que la CEDEAO dépend en grande partie des largesses de la France via le Franc CFA dont 40% des recettes des exportations sont stockées au Trésor Public Français et redistribuées dans l'ensemble des pays de la sous-région adhérant à la CEDEAO, que la France dispose d'un droit de véto sur toutes les décisions de la BCEAO (banque centrale), que c'est encore la France qui frappe la monnaie de ces pays, que l'Union Africaine dispose d'un budget financé à près de 80 % par l'Union Européenne, on ne peut pas s'étonner de voir les gentils dictateurs qui composent ces organes faire allégeance et surtout éviter de contredire le maître de l'Elysée sous peine de subir le même châtiment que Laurent Gbagbo.

Tout ceci explique que c'est la communauté internationale qui a élu Ouattara et non les ivoiriens. Et il serait dommageable pour la plupart des pays de la CEDEAO de créer un précédent en ne laissant pas Gbagbo être élu par son peuple avec sa volonté d'indépendance. Car l'indépendance des ex-colonies françaises d'Afrique n'existe que de nom.

Je pourrais écrire tout un livre sur les différentes raisons qui justifient cette ingérence de la part des hôtes de l'Elysée, De DeGaulle jusqu'à Sarkozy en passant par Mitterand et tous les autres. Mais ces raisons ne sont que purement d'intérêts financiers et de stratégie politique. En aucun cas, la France ne s'est souciée une seule fois de l'exercice de la démocratie dans ces pays.

J'en appelle aux français sensibles au respect des droits de l'homme, aux valeurs de notre République chèrement acquises et auxquelles les africains ont participé à leur défense lors des deux dernières guerres mondiales, de dénoncer par tout moyen à leur convenance, l'attitude honteuse de la France. Alors que nous pourrions aisément faire de l'Afrique une terre où il fait bon vivre, nous l'avons transformé en un véritable enfer.

Je vous supplie de prendre quelques instants pour réagir. Vous n'êtes pas obligés de me croire, mais faites seulement un travail de recherche et d'analyse sur ce qui se passe en Afrique depuis 50 ans, et vous serrez surement mieux à même d'en tirer les conclusions.

Nous avons un devoir moral auprès des africains. Nous leur devons notre liberté d'aujourd'hui. Nous leur devons de ne pas parler allemand à l'heure actuelle et d'avoir conservé notre belle langue, le Français.

Joignez votre nom à ce texte, et faites le suivre à vos élus, Maires, Députés, Sénateurs, mais aussi à vos amis, voisins, collègues…

Merci pour eux qui ne demandent qu'une chose: vivre en paix chez eux.

Bien cordialement

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Membre, Forumeur confit, Posté(e)
Enchantant Membre 17 759 messages
Forumeur confit,
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Destiné à tous les Français épris de justice et désireux de donner une autre image de leur pays.

A diffuser largement !

"J'en appelle aux français sensibles au respect des droits de l'homme, aux valeurs de notre République chèrement acquises et auxquelles les africains ont participé à leur défense lors des deux dernières guerres mondiales, de dénoncer par tout moyen à leur convenance, l'attitude honteuse de la France."

J'accuse! Je suis Français et j’accuse Sarkozy - Jupé - Fillon - Ban Ki Mon - Choi - Soro Guillaume - de crime contre l'humanité, de génocide et de crimes de guerre à l'encontre de l'état souverain de Côte d'Ivoire et de ses représentants légaux SEM Gbagbo, ses Ministres et ses proches ainsi que à l’encontre de la population Ivoirienne. J’accuse les médias français de complicité active et volontaire dans l'ensemble de ces crimes, de désinformation qualifiée et honteusement amplifiée. J’accuse toute la classe politique française pour non dénonciation de crime, pour son inertie et sa torpeur devant une telle injustice et forfaiture. J'accuse l'Assemblée Nationale Française hormis quelques membres très minoritaires, d'être complice pour avoir encouragé et applaudi ce coup d'état électoral suivi d'un acte de guerre illégal de la France.

Je demande aux députés de l'opposition de faire voter une motion de censure contre ce gouvernement criminel et de demander la démission sans délai du criminel Sarkozy qui devra répondre de ces actes devant le Tribunal Pénal International.

J'accuse la classe politique française de connivence avec les dictateurs Compaoré, Wade, Bongo, Denis Sassou-Nguesso, Eyadema et j'en passe....

Les médias français, AFP en tête nous intoxiquent abondamment en présentant le Président Gbagbo comme un dictateur. Je tiens à rappeler ici que Monsieur Gbagbo fut le premier Président de Côte d'Ivoire qui instaura un véritable multipartisme, une liberté de la presse et une politique de décentralisation des pouvoirs au bénéfice des régions. Le tort de Monsieur Gbagbo est surtout de ne pas obéir aux ordres de l'Elysée, principalement en ce qui concerne les accords de défense incluant le pillage des ressources en matières premières.

Laurent Gbagbo n'a en fait dirigé le pays que pendant 2 ans, de 2000 à 2002. Dès le début de son mandat, il a pratiqué une politique d'ouverture en invitant des leader des autres partis à participer au gouvernement EN 2002, Guillaume Soro à lancé une tentative de coup d'Etat qui n'a pas fonctionné et s'est transformé en rebellion, coupant le pays en deux. Déjà à ce moment là, l'armée française est intervenue pour éviter que cette rébellion soit totalement repoussée jusqu'au Burkina Fasso d'où elle s'était préparée et avait établie sa base arrière avec la complicité de Blaise Compaoré.

Depuis, Gbagbo n'a pas cessé de faire des compromis pour conserver la paix en Côte d'Ivoire. Mais, respectueux de la constitution et de l'ensemble des institutions de son pays, il n'a pas pu organiser d'élection présidentielle tant que le pays était coupé en deux avec la partie nord occupée par des rebelles en armes. C'est vraiment en tout dernier recours qu'il a accepté que cette élection se déroule en octobre et novembre 2010 sous couvert de l'ONU.

Ces élections furent entachées de nombreuses irrégularités découvertes pendant le décompte par la commission électorale indépendante. Ce n'est que sous la pression de Monsieur Choi, émissaire de l'ONU en Côte d'Ivoire et de Monsieur Sarkozy, qu'une mascarade grossière pour annoncer la victoire de Ouattara fut organisée. Depuis, la communauté internationale a emboité le pas sans vraiment se préoccuper du véritable résultat des élections proclamées cette fois par l'instance supérieur de la nation, le Conseil Constitutionnel.

Quand on sait que la CEDEAO dépend en grande partie des largesses de la France via le Franc CFA dont 40% des recettes des exportations sont stockées au Trésor Public Français et redistribuées dans l'ensemble des pays de la sous-région adhérant à la CEDEAO, que la France dispose d'un droit de véto sur toutes les décisions de la BCEAO (banque centrale), que c'est encore la France qui frappe la monnaie de ces pays, que l'Union Africaine dispose d'un budget financé à près de 80 % par l'Union Européenne, on ne peut pas s'étonner de voir les gentils dictateurs qui composent ces organes faire allégeance et surtout éviter de contredire le maître de l'Elysée sous peine de subir le même châtiment que Laurent Gbagbo.

Tout ceci explique que c'est la communauté internationale qui a élu Ouattara et non les ivoiriens. Et il serait dommageable pour la plupart des pays de la CEDEAO de créer un précédent en ne laissant pas Gbagbo être élu par son peuple avec sa volonté d'indépendance. Car l'indépendance des ex-colonies françaises d'Afrique n'existe que de nom.

Je pourrais écrire tout un livre sur les différentes raisons qui justifient cette ingérence de la part des hôtes de l'Elysée, De DeGaulle jusqu'à Sarkozy en passant par Mitterand et tous les autres. Mais ces raisons ne sont que purement d'intérêts financiers et de stratégie politique. En aucun cas, la France ne s'est souciée une seule fois de l'exercice de la démocratie dans ces pays.

J'en appelle aux français sensibles au respect des droits de l'homme, aux valeurs de notre République chèrement acquises et auxquelles les africains ont participé à leur défense lors des deux dernières guerres mondiales, de dénoncer par tout moyen à leur convenance, l'attitude honteuse de la France. Alors que nous pourrions aisément faire de l'Afrique une terre où il fait bon vivre, nous l'avons transformé en un véritable enfer.

Je vous supplie de prendre quelques instants pour réagir. Vous n'êtes pas obligés de me croire, mais faites seulement un travail de recherche et d'analyse sur ce qui se passe en Afrique depuis 50 ans, et vous serrez surement mieux à même d'en tirer les conclusions.

Nous avons un devoir moral auprès des africains. Nous leur devons notre liberté d'aujourd'hui. Nous leur devons de ne pas parler allemand à l'heure actuelle et d'avoir conservé notre belle langue, le Français.

Joignez votre nom à ce texte, et faites le suivre à vos élus, Maires, Députés, Sénateurs, mais aussi à vos amis, voisins, collègues…

Merci pour eux qui ne demandent qu'une chose: vivre en paix chez eux.

Bien cordialement

Honky Tonk,

Quand les choses vont mal dans un pays, la démarche infantile et humaine consiste à désigner des coupables.

Coupables nécessairement étranger. Votre démarche s’inscrit donc dans cette dénonciation du peuple français et de ses dirigeants, afin de vous donner bonne conscience et de vous rassurer à bon compte sur le pays de votre cœur, la Côte d’Ivoire.

Ce qui caractérise malheureusement l’Afrique en général, c’est l’absence d’état au profit des clans et des tribus.

Ces clans et ses tribus sont en fait l’organisation politique la plus répandue, ce qui explique ces guerres intestines permanentes sur ce continent noir, entre clans rivaux.

En effet les chefs de clans ou de tribus, sont les autorités qui négocient pour leur compte avec les multinationales, pour l’exploitation de leur sous sol, dans le cas du pétrole par exemple, ou pour louer leurs terres agricoles aux chinois, sans se préoccuper de savoir si leur population n’ont pas elles aussi la nécessité impérieuse de se nourrir.

Ces chefs de tribus, qui ont conscience de leur fragilité, et qui se méfient particulièrement de leur congénères, s’empressent de placer les sommes qu’ils perçoivent sur des comptes bancaires en Europe ou ailleurs, sans que jamais leur ressortissants puissent profiter de ces richesses, pour faire fonctionner correctement leur état.

Cela se traduit, par des fonctionnaires non ou mal payés, qui racket en permanence pour leur propre compte, instituant ainsi une désorganisation généralisé et continue du pays.

Lorsque l’on découvre l’Afrique avec des yeux d’occidentaux, on est d’abord surpris par une jeunesse nombreuse, gaie, insouciante, qui croque les plaisirs de la vie, la joie de la fête tous les nuits.

Incontestablement, la notion de cigale pour les africains et de fourmis pour les européens n’est pas qu’une fable, c’est la réalité. Avec toutes les qualités et les défauts qui caractérisent ces deux mondes.

Pour revenir à la Côte d’Ivoire, un représentant élu légitimement par une majorité de la population, c’est tellement rare sur ce continent, que vous devriez vous en féliciter au lieu de vous replier bêtement sur votre point de vue clanique ?

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