Les lois de l'Univers s'autojustifient-elles ?

Je pense qu'il y a une erreur fondamentale dans la recherche de la justification de l'existence de l'univers.

Un objet peut être présent ou absent dans une portion d'espace, alors on peut dire qu'il existe ou n'existe pas. Mais un univers n'a pas de contenant, sinon il n'est pas un univers. Il ne peut donc pas être absent ou présent quelque part.

La question y a-t-il un univers n'a donc pas de sens, parce que "il y a" ne s'applique pas à un univers tout comme "il n'y a pas". Comme la question de savoir si un univers existe ne se pose pas, la question de trouver une raison à son existence ne se pose pas non plus. Enfin, on peut la poser, mais une telle question n'a pas de sens, puisqu'elle présuppose que "exister" veut dire quelque chose au sujet d'un univers.

Je pense qu'il y a une erreur fondamentale dans la recherche de la justification de l'existence de l'univers.

Un objet peut être présent ou absent dans une portion d'espace, alors on peut dire qu'il existe ou n'existe pas. Mais un univers n'a pas de contenant, sinon il n'est pas un univers. Il ne peut donc pas être absent ou présent quelque part.

La question y a-t-il un univers n'a donc pas de sens, parce que "il y a" ne s'applique pas à un univers tout comme "il n'y a pas". Comme la question de savoir si un univers existe ne se pose pas, la question de trouver une raison à son existence ne se pose pas non plus. Enfin, on peut la poser, mais une telle question n'a pas de sens, puisqu'elle présuppose que "exister" veut dire quelque chose au sujet d'un univers.

C'est un des premier trucs que j'ai dis sur le sujet...

L'univers englobe tout ce qui est, il est donc son propre référentiel, puisqu'il n'y a rien au dessus ni en dessous (par définition), ce qui m'amène à la question, se justifier de quoi ?

Entre les causes et les conséquences, ou situes-tu la raison ? Doit-on, pour comprendre cette approche considérer la raison comme une conséquence sans cause, un état originel ?

Ce que je veux dire, en allant au plus simple, c'est que quand on dit 'A est la cause de B', ça implique que A est antérieur à B. Quand on dit que "A est la raison de B", ce n'est pas le cas.

Et que donc, dire que tout a une raison n'est pas tout à fait la même chose que dire que tout à une cause.

éa pré-suppose que les choses existent dans un but et non par l'évolution de l'ensemble à partir d'un état brut et selon certaines règles (peut-être est-ce même un cycle, du coup pas de début ni de fin, juste un reboot). Le problème, selon moi, c'est que la raison de quelque chose n'est pas la comme ça, et si on considère qu'une raison est issue d'une raison plus grande ou pour répondre à une nécessité, on en revient au même qu'un système cause/conséquence. (ou alors les raisons n'ont elles même pas de raisons d'être mais ça ne me semble pas logique)

bienvenu 'Pierre le Romain' si tu connais la metaphysique , j'aimerai que tu me donne ton avis :

on a deux theories :

1 - l'homme dit que l'univers a ses constantes physiques , car il existe une infinité d'univers , et chacun possede ces propres constantes physiques .

2 - le dieu dieu dit qu'il a crée sept cieux , on peut supposer que les sept cieux sont sept univers .

à ton avis la metaphysique dit que le nombre des univers est infini ou bien limité ?

bonsoir . de méme , jésus aurait dit , il y à plusieurs demeures dans la maison de mon pére ? bonne soirée .

C'est un des premier trucs que j'ai dis sur le sujet...

Ah ben on est d'accord alors.