vivement le rétablissement des cours civiques à l'école.

Combien ça va coûter au contribuable ?

Le service civique, si jeune et déjà tellement prometteur Jeudi 10 mars - 09:29 Ce dispositif permet de s'engager dans une mission d'intérêt général...

La valeur n'attend pas le nombre des années. Preuve en est avec le service civique, qui souffle ce jeudi sa première bougie et connaît des débuts prometteurs. «Les premiers contrats ont été signés dès le mois de juin 2010 et nous avons fini l'année avec 5.375 contrats de...

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Source: 20minutes

bonjour , dans mon roman " les amours de mon enfance " tirè d ' une histoire vècue il y à très longtemps , je racconte et dècrit la politesse et le respect que l ' on avaient à cette èpoque , pour les adultes . tout cela nous ètaient enseignè à l ' ècole lorsque nous avions 12 ans .bonne journèe .

Le service civique, si jeune et déjà tellement prometteur Jeudi 10 mars - 09:29 Ce dispositif permet de s'engager dans une mission d'intérêt général...

La valeur n'attend pas le nombre des années. Preuve en est avec le service civique, qui souffle ce jeudi sa première bougie et connaît des débuts prometteurs. «Les premiers contrats ont été signés dès le mois de juin 2010 et nous avons fini l'année avec 5.375 contrats de...

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voila une bonne chose pour une partie de notre jeunesse,c,est quant même mieux que de foutre le bordel en banlieue

Source: 20minutes

vivement le rétablissement des cours civiques à l'école.

je me demande pourquoi la reprise de ce devoir ,tarde a étre remi en place

Le civisme..un mot qui dérange.

Il serait tant d'en relancer l'enseignement, c'est une des mission de l'école et donc de l'état.

J'ai vu un reportage sur cela au jT ce soir et ils disaient qu'un contrat rapportait 600 ¿/ mois à un jeune. Ceci dit les payer pour leur apprendre le civisme... ça dérange un peu je trouve.

Le dispositif de volontariat pour les 16-25 ans, lancé il y a pile un an par Martin Hirsch, séduit les jeunes. Mais certains dénoncent un «sous-contrat».

Il y a un an jour pour jour, Martin Hirsch était un homme heureux. Les députés votaient d'un même élan la loi créant le service civique, ce dispositif de volontariat pour les jeunes qui a remplacé le défaillant service civil volontaire lancé après les émeutes de 2005.

Un an et une campagne de com de 1,7 million d'euros plus tard, Hirsch, qui a depuis rendu son tablier de ministre d'ouverture pour prendre la tête de l'Agence du service civique, sourit toujours mais l'inquiétude pointe.

Au chapitre satisfaction, le service civique est un incontestable succès auprès des jeunes. Fin février, ils étaient 7607 volontaires, et 40.000 candidats potentiels se bousculent au portillon si l'on en juge par le nombre d'inscriptions sur le site dédié.

Agés de 16 à 25 ans, prêts à s'engager pour une mission d'intérêt général de six mois à un an dans une association, une ONG, une collectivité, en France ou à l'étranger: ça va de l'aide aux personnes âgées à la mission en Haïti pour aider à la reconstruction. La mission, encadrée par un tuteur, est indemnisée entre 540 et 640 euros par mois.

Qui sont ces jeunes? Des jeunes femmes en majorité (57%), âgé(e)s en moyenne de 21 ans et cinq mois. Côté diplômes, ils se repartissent grosso modo en trois tiers: 36% ont un niveau bac, 40% d'un niveau supérieur, 24% un niveau inférieur.

«Ne pas trahir la jeunesse»

«On a au moins deux-trois candidats pour une mission», confirme Stephen Cazade, président d'UnisCité, association qui accompagne 1300 jeunes volontaires, dont un quart issus de quartiers sensibles. «Le dispositif correspond à une vraie attente, auprès à la fois de jeunes qui galèrent et veulent se remettre en activité, de jeunes diplômés en quête de sens, et de jeunes en réorientation après une première année de fac.» «Tout le monde y gagne», résume Benoit Mounier, chargé d'études jeunesse à la Croix-Rouge, qui compte 200 volontaires. «éa permet aux jeunes de découvrir l'engagement humanitaire, et à nous d'étoffer certaines de nos actions.»

Seulement voilà: si la demande est là, l'offre peine à suivre, faute de moyens. Le budget de 97,4 millions d'euros alloués par l'Etat pour 2011 reste un peu court pour financer les 25.000 jeunes en service civique prévus cette année pour tenir la «montée en charge».

Résultat, l'agence, bridée, ne pourra en 2011 qu'en agréer 15.000. Si bien que Martin Hirsch, qui avait fait valider en Conseil des ministres l'objectif de 10% d'une classe d'âge pour 2014, soit 75.000 jeunes volontaires par an, pourrait devoir réduire la voilure. Ce dont il s'est ému dans un courrier adressé le 23 février à Nicolas Sarkozy, au Premier ministre François Fillon, et aux ministres concernés (Education, Travail, Jeunesse), rappelant le gouvernement à ses «engagements en faveur des jeunes». Et d'appeler, dans le JDD du 5 mars, à «ne pas trahir la jeunesse»: «Au rythme de 5000 nouvelles missions par an, on n'atteindra l'objectif qu'en 2026»

Emploi déguisé?

Autre bémol, pointé par les syndicats d'étudiants et de jeunes actifs: dans un contexte où d'un côté les jeunes ont énormément de mal à trouver du travail, et de l'autre les associations à boucler leur budget, le service civique aurait une fâcheuse tendance à jouer les couvertures pour emploi déguisé. 42% des jeunes volontaires actuels étaient d'ailleurs demandeurs d'emploi au moment de signer leur mission.

«Hypocrisie», répondent certains jeunes pour qui les «faux» services civiques seraient légion, surtout dans le secteur culturel et celui des collectivités locales. «Même à un tarif inférieur au Smic horaire, on sait bien le service civique est utilisé comme un première expérience par beaucoup de jeunes chômeurs qui sont prêts à tout accepter pour percer», s'agace Maxim Hupel, de Asso, un syndicat du secteur associatif, affilié à Solidaires.

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