Seuls dans la foulle

Voila je poste ce poème, je vous préviens c'est pas du Baudelaire et le style est très très libre(c'est mon premier poème). J'espère l'améliorer donc n'hésitez pas à me donner votre avis. Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture et une bonne soirée.

Ce sont des ombres dans nos vies

Dont nous n'écoutons pas le silencieux cris

Le cris de souffrance et d'amertume d'être démunis

Sont-ils morts ou simplement endormis?

Qu'importe puisque bien peu s'en soucient

Moi-même j'avoue et j'expie

Avoir détourné le regard, accéléré le pas devant ces hères fauchés par la vie

Avoir même, à l'odeur d'années de misères, souillés de vomis

Les peu rancuniers pavés d'une place du Beauvaisis

Ceux dont je parle vous l'aurez compris

Ceux sont ces hommes, ces femmes sans abris

Ceux que par un horrible et subtile tour de magie

Ont voient et qu'aussitôt on oublis

Bonsoir, pas mal, j'aime bien ton texte, il y a certainement des choses à améliorer mais je laisse le soin à ceux qui s'y connaissent de donner leurs avis.

Bonjour, pas mal effectivement, j'aime bien ton texte moi aussi, mais t'as pas cent balles pour que jpuisse aller aux putes ?...

... mais je confesse n'avoir jamais demandé aux clodos comment ils font.

(Ce texte me rappelle lorsque je marchais dans le sous-sol de la gare prés de chez moi vers trois heures du mat', alors pas méchants, par contre encombrants, mais ça vous fait de la compagnie le temps que vous êtes obligés de rester sur votre lieu de travail).

Merci d'avoir pris le temps de le lire et merci pour vos commentaires et laetciasonia et chat_ooo, sa me fait plaisir que sa vous ait plus et j'aurais été un peu honteux d'avoir écrit quelque chose de nul sur ce sujet.

ben disons que t'enlève le mot sans-abris et ça se met à concerner tout le monde ; en fait, vagabond sur son blog a fait un truc pas mal lui aussi sur l'image qui vous a probablement inspiré ces mots ; après laeticia sonia, encore une forumeuse que j'aimais bien et qui a fait supprimer son profil.... ouais ouais ouais nan mais euh comment dire ? bah ça me fait plus rien, enfin presque plus rien, disons qu'on a la théorie mais la pratique euh enfin bon ; c'est le fait pas de point savoir qui est chiant, cela dit j'ai rien à me reprocher, au moins dans le monde virtuel on est d'accord et pis après tout bon certes on peut pas dire que je porte les sans abris dans mon coeur, mais si on va par là à une époque j'ai fait du bénévolat pour que des gens se retrouvent pas sans abri justement ; après par contre les raisons pour lesquelles j'ai laissé tomber, ça me regarde, pis toute façon actuellement mon emploi du temps est certes très égoiste, mais au moins dans l'avenir ça peut me servir, et ce qui peut servir à soi sert forcément, même indirectement, à autrui

Je crois que j'ai mal exprimé ma pensée, dans mon précédant post je ne te faisait aucun reproche . A moins que se soit moi qui n'ait pas saisi le sens de ton post

Voila je poste ce poème, je vous préviens c'est pas du Baudelaire et le style est très très libre(c'est mon premier poème). J'espère l'améliorer donc n'hésitez pas à me donner votre avis. Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture et une bonne soirée.

Ce sont des ombres dans nos vies

Dont nous n'écoutons pas le silencieux cris

Le cris de souffrance et d'amertume d'être démunis

Sont-ils morts ou simplement endormis?

Qu'importe puisque bien peu s'en soucient

Moi-même j'avoue et j'expie

Avoir détourné le regard, accéléré le pas devant ces hères fauchés par la vie

Avoir même, à l'odeur d'années de misères, souillés de vomis

Les peu rancuniers pavés d'une place du Beauvaisis

Ceux dont je parle vous l'aurez compris

Ceux sont ces hommes, ces femmes sans abris

Ceux que par un horrible et subtile tour de magie

Ont voient et qu'aussitôt on oublis

C'est bon, il faut dépouiller un peu mais c'est joli.