un jour = une histoire

C'est l'histoire de deux ou trois lurons qui viennent de s'inscrire sur le forum et me font bien rire...ça change..j'ai l'impression de revenir 2 ans en arrière..pourvu que cela dure

bonsoir, ça me rappelle certains mousquetaires...j'adorais lire leurs prouesses!

bonjour cosette

oui , les romans de capes et d ' épées me plaisais aussi.

peut-étre que j ' en écrirai un ?

bonne journée

Evasive, c'est un beau souvenir que tu as là. :)

Frelser, j'admire l'aisance de tes vers! Bien que la touche finale soit plutôt pessimiste.

Cosette, merci, mais en réalité, c'est simplement des questions qui me viennent à l'esprit quand j'écris tout autre chose ou quand je fais tout autre chose. Parfois, je me demande de quelle manière je fais un rapprochement quelque peu logique entre tout ça. Mais, j'ai l'impression que j'ai des jours différents des autres, parce que j'ai plus d'idées qui se suivent à rendre chaotique, parfois, ce que je dis. Surtout lorsque je parle de ce que j'ai dans la tête. Peut-être ais-je une route, et que je fais comme y entrevoir tout et n'importe quoi? Ou alors, ais-je un arbre, et chaque branche mène à de multiples autres? C'est, dans le fond, un questionnement étrange, mais ayant tout son sens. Car je ne sais pas si je privilégie le linéaire à l'arborescence, ou l'inverse.

Bonne journée à vous!

bonjour jedino

j ' aime aussi te lire ,mais on sent une espèce de souffrançe ou de désespérence dans tes postes et aussi , beaucoup d ' intérogations sur toi et la vie en général ?

bonne journée

Avis partagé le merle

C'est l'histoire de deux ou trois lurons qui viennent de s'inscrire sur le forum et me font bien rire...ça change..j'ai l'impression de revenir 2 ans en arrière..pourvu que cela dure

bonjour

- la vague -

le lourd cargo fend les vagues avec difficultée malgré ses 20000 cheveaux .

la mer est d 'huile une douce brise caresse les vagues avec délicatesse .

dans la cabine de pilotage , le capitaine ,

un homme de 55ans , vieux loup de mer , scrute l ' océan avec ses jumelles de marine .

le ciel est bleu , la mer est calme ,

trés belle journée pour naviguer .

la routine quoi .encore trois jours de navigation et le cargo arrivera à destination , valparaiso .

deux jours d ' escale et il faudra reprendre la mer avec une nouvelle cargaison ,

toujour la routine quoi .

cela fait dix minutes que le capitaine scrute l ' horison , tout est calme mais ,

quelque chose l ' intrigue , ho ! pas grand chose mais .

il décroche le téléphone interrieure et appéle la météo .

- avez-vous les dernière donnée de météo ?

- oui mon capitaine , rien de changé , tout est ok .

le capitaine raccroche et reprend ses jumelles et là ,

une espèce de barre d ' eau énorme arrive dans leurs direction sur le coté tribord du cargo .

le capitaine à comprit , il sens un frisson dans le dos , ces une vague scélérate monstrueuse , un mur d ' eau de 45 mètres de haut .

si le cargo est pris de travers par ce monstre liquide , il va couler et ètre engloutis .

-branle bas de combat , barre a babord toute ,vite hurle-t-il dans l ' interphone de bord .

le lourd cargo ne peut manoeuvrer à temps la vague géante arrive sur lui et ...lol

bonne journée

le Merle...

Une mer si bleue,

Des personnages heureux!

Des amants bienheureux

Un tout premier aveu...

Déferle une vague,

Ce ciel qui nous nargue!

Et voilà que chavire

D'un côté le navire,

De l'autre ton sourire...

Pour ne plus revenir!

Les hasards du moment

Empoisonnent rapidement

Tout ce qui aurait pu être

Et le fait disparaître...

... la vague gigantesque ...

Je ferme les yeux se dit l'homme.

Il les ferme si fort qu' il y entend battre son coeur et le coeur aussi des engloutis de toutes les mers.

Il entend leurs cris à l'instant même ou la titanesque déferlante s'écrase. Il entend la supplique, douce mélopée.

Et son esprit s'échappe enfin, survolant la furie des éléments.

Il n'est donc point de fin, pense t'il encore, il n'est donc point de fin qui ne s'accompagne de ce merveilleux espoir !

J'ai vu je vous l'assure, s'elever l'ombre douce de l'homme, je l'ai vue et la vague m'a aussi emportée.

le Merle...

Une mer si bleue,

Des personnages heureux!

Des amants bienheureux

Un tout premier aveu...

Déferle une vague,

Ce ciel qui nous nargue!

Et voilà que chavire

D'un côté le navire,

De l'autre ton sourire...

Pour ne plus revenir!

Les hasards du moment

Empoisonnent rapidement

Tout ce qui aurait pu être

Et le fait disparaître...

bonjour

trés jolis , je ne suis pas poète , ma muse m ' à quittée ,lol bonne soirée

... la vague gigantesque ...

Je ferme les yeux se dit l'homme.

Il les ferme si fort qu' il y entend battre son coeur et le coeur aussi des engloutis de toutes les mers.

Il entend leurs cris à l'instant même ou la titanesque déferlante s'écrase. Il entend la supplique, douce mélopée.

Et son esprit s'échappe enfin, survolant la furie des éléments.

Il n'est donc point de fin, pense t'il encore, il n'est donc point de fin qui ne s'accompagne de ce merveilleux espoir !

J'ai vu je vous l'assure, s'elever l'ombre douce de l'homme, je l'ai vue et la vague m'a aussi emportée.

bonjour .

trés interressant .allez , encore une ...pour la route , lol .

le voyageur du temps

ha ! monsieur félix , comment allez vous ?

belle journée n ' est-ce pas ?

cela fait longtemps que l ' on ne c ' est vu , je suis allez rechercher mes enfants en vaccance chez leurs mamie ,

ils sont adorablent mais aussi de petits chenapants .

heureusement , la mamie est trés patiente et puis , elle leurs fait de si bon gàteaux .

bon , je vous pris de m ' excuser , le devoir parental m ' appéle

heureux de vous avoir rencontré .

monsieur félix n ' est pas trés causant , comme à son habitude , il n ' à pas dit un mot .

son interlocuteur lui tend la main

bonne soirée monsieur félix , celui-çi lui répond par un signe étrange et tourne les talons .

d ' un pas rapide , il rejoin sa voiture , une vieille cadillac bonne pour un musé .

il s ' engouffre dedans et démare .

il sort de la petite ville de campagne et prend une route déserte ,

la nuit est tombée

la vielle cadillac s ' arrète prés d ' un champs bordé par un bois , aprés deux bonnes heures de route .

monsieur félix consulte sa montre

une heure du matin , il est à l 'heure , comme toujours .

il fait quatre appèles de phare et attend .

soudain , sans aucun bruit , un engin énorme en forme de soucoupe dont le pourtour du disque est bordé par des petites lumières d ' un éclat trés vif , fait son apparition et se dirige vers la voiture .

monsieur félix descent et s ' approche sans aucune crainte de l ' engin mystérieux

une espèce de panneau s ' ouvre l ' entement , laissant apparaitre une entrés éclairé par une lumiére bleu éblouissante

une petite passerelle de mètal se déroulle doucement .

monsieur félix grimpe les quelques marches prestement .

le pannaux se referme doucement , sans un bruit puis , lengin mystérieux s ' élève lentement et brusquement accélère à une vitesse prodigieuse et disparait dans le ciel de cette nuit étoilée . lol

bonne soirée

Bonne soirée à vous et merci , z'êtes tous.....beaux dans vos écrits :)

Et toi douce Evasive n'es tu pas belle aussi ? Serait il mensonger ce tendre halo qui t'entoure, qui te niche ?

merci de ton accueil. :)

Nous avons chacun notre style d'écriture et c'est très exaltant , quant à la "beauté " de mes écrits, je ne peux plaire à tout le monde, mais c'est certain que même si il y en a qu'un qui me lit, c'est déjà beaucoup pour moi :)

de rien et Merci à cosette de nous accueillir sur son topic :)

... la vague gigantesque ...

Je ferme les yeux se dit l'homme.

Il les ferme si fort qu' il y entend battre son coeur et le coeur aussi des engloutis de toutes les mers.

Il entend leurs cris à l'instant même ou la titanesque déferlante s'écrase. Il entend la supplique, douce mélopée.

Et son esprit s'échappe enfin, survolant la furie des éléments.

Il n'est donc point de fin, pense t'il encore, il n'est donc point de fin qui ne s'accompagne de ce merveilleux espoir !

J'ai vu je vous l'assure, s'elever l'ombre douce de l'homme, je l'ai vue et la vague m'a aussi emportée.

bonjour .

trés interressant .allez , encore une ...pour la route , lol .

le voyageur du temps

ha ! monsieur félix , comment allez vous ?

belle journée n ' est-ce pas ?

cela fait longtemps que l ' on ne c ' est vu , je suis allez rechercher mes enfants en vaccance chez leurs mamie ,

ils sont adorablent mais aussi de petits chenapants .

heureusement , la mamie est trés patiente et puis , elle leurs fait de si bon gàteaux .

bon , je vous pris de m ' excuser , le devoir parental m ' appéle

heureux de vous avoir rencontré .

monsieur félix n ' est pas trés causant , comme à son habitude , il n ' à pas dit un mot .

son interlocuteur lui tend la main

bonne soirée monsieur félix , celui-çi lui répond par un signe étrange et tourne les talons .

d ' un pas rapide , il rejoin sa voiture , une vieille cadillac bonne pour un musé .

il s ' engouffre dedans et démare .

il sort de la petite ville de campagne et prend une route déserte ,

la nuit est tombée

la vielle cadillac s ' arrète prés d ' un champs bordé par un bois , aprés deux bonnes heures de route .

monsieur félix consulte sa montre

une heure du matin , il est à l 'heure , comme toujours .

il fait quatre appèles de phare et attend .

soudain , sans aucun bruit , un engin énorme en forme de soucoupe dont le pourtour du disque est bordé par des petites lumières d ' un éclat trés vif , fait son apparition et se dirige vers la voiture .

monsieur félix descent et s ' approche sans aucune crainte de l ' engin mystérieux

une espèce de panneau s ' ouvre l ' entement , laissant apparaitre une entrés éclairé par une lumiére bleu éblouissante

une petite passerelle de mètal se déroulle doucement .

monsieur félix grimpe les quelques marches prestement .

le pannaux se referme doucement , sans un bruit puis , lengin mystérieux s ' élève lentement et brusquement accélère à une vitesse prodigieuse et disparait dans le ciel de cette nuit étoilée . lol

bonne soirée

Qu'enfin il s'éveille l'homme étrange, endormi dans le sous bois. Les marauds effarés n'osant approcher de la chose inconnue.

Au poignet de l'être, un bracelet étonnant, résonnant d'un bruit démoniaque, un tintanibulement strident et inconnu.

Le voici approché par une fillette en haillons, à ses pieds, couverts de blessures, de misérables chausses bien trop grandes pour la pauvresse.

Les cheveux emmélés de ronces et de feuilles n'ayant sans doute jamais eut la moindre connaissance d'un quelconque outil, sorte de peigne de corne,

ou de brosse encore en poil de sanglier, comme il en existe, dit-on, dans les demeures à hautes tours.

Monsieur Félix, les yeux sagement clôts attend qu'enfin s'estompe l'effroi. Car il sait bien lui, que le pire sera quand il voudra leur parler.

Il n'a plus dans la voix la rocaille des accents de ces terres profondes disparues depuis mille ans.

Il lui faudra les convaincre avec humilité de n'être pas un envoyé des démons qui peuplent leurs terreurs ignardes.

Dans presqu'une vie son vaisseau le reprendra. Il s'agira alors de savoir quel avenir à cette terre là il fera.

Pour l'heure, il lui suffit pour mener son enquête, de ne pas se faire pourfendre à coup de pierres, de bois et de crachats.

Il se tait donc et attend que veuille bien s'apaiser les craintes de ces pauvres, gueux en ces temps là.

Au plaisir de vous complèter à nouveau...

Je vous remercie :)

Cosette, je n'ai (malheureusement, ou heureusement, j'ignore ce qui convient le mieux), que l'âge mentionné sur mon profil.

Le merle, j'apprécie également te lire (le vocabulaire y est très recherché, je ne connais pas toujours tous les mots :D). Souffrance, désespérance, je ne sais pas.

Il m'est arrivé de souffrir, plus par ma faute que celles des autres. Et puis, la période avant la rentrée a laissé renaitre un peu de mon fatalisme, de mon pessimisme. D'ailleurs, cette journée est pour moi l'occasion de raconter plusieurs anecdotes et sentiments.

En effet, je redouble ma terminale, en raison d'un travail inexistant, d'une volonté absente, et d'un bête désir de simplement quitter mon ancienne classe. Bref, j'ai finis par l'avoir. Pour tout vous dire, je ne suis jamais plus meilleur que lorsque je suis sûr de rater ce que je fais. Je m'explique : à l'oral, après le massacre des chiffres, je savais déjà avoir perdu la bataille. J'ai donc, à mon grand étonnement, idéalement réussi celui de SVT. Il faut savoir que je rejette catégoriquement tout ce qui touche à l'oral, depuis toujours, et ne suis vraiment pas alaise dans ce genre d'exercice. J'étais donc content, ce jour là.

Donc, aujourd'hui, j'ai connu l'effectif de ma classe qui est tout de même de trente passé. J'y connais deux personnes. Des redoublants, aussi. C'est l'heure de recevoir nos emplois du temps. Pas de quoi se plaindre. Ce n'est en plus pas mon genre. C'est que je ne rechigne jamais à travailler, et ne sais pas refuser. Mis à part ça, la journée commence à passer, à son rythme. On prend connaissance des changements tendant vers la sévérité du fait de l'échec important de la terminale l'an passé.

Si je devais parler de ma classe, je dirais que, finalement, je crains ne pas m'entendre avec tous les garçons. Peut-être les filles? Ce serait une première, en tout cas. Tout cela s'annonce pas tout à fait simple, surtout que je ne pense pas avoir la réputation et n'ai pas l'allure de quelqu'un de bien heureux, bien sympathique. Malgré cela, la redoublante que je connais m'a dit plus heureux, ce qui m'a pour le moins surpris un peu. Et puis, je disais cela probablement difficile car j'ai comme eu le sentiment de ne pas être à ma place. C'était plus discrètement le cas auparavant, mais là, je ne l'ai jamais autant ressenti. J'ai pas mal regardé autour de moi, me suis contenté d'écouter ce qu'on nous a enseigné (bien que j'étais capable de sortir la moitié du cours d'Histoire fait en début d'année l'an passé), et me suis dit qu'au final, j'étais "bien" que chez moi, dans la solitude. La présence m'insupporte, et pour cause : coup de chaleur insupportable (je déteste ça, vous n'imaginez pas), puis, dans l'après-midi, douleur abdominale, suffisamment pour motiver la venue d'une céphalée, histoire de compenser la douleur se faisant trop forte. On oublie vite à quel point on souffre à ces moments là une fois en vacance.

Et puis, il y a l'inquiétude du professeur d'Histoire qui vous interroge au plus profond de vous-même. L'incompréhension face à l'échec. Faut dire que tout le monde ne voit pas dans sa vie un terminal scientifique ressortir avec une note presque nulle en mathématiques. J'apprécie ce professeur, vous savez. Je le sens comme sensible. Sans parler de la façon dont il vit ses cours, tenant en haleine son public plus ou moins intéressé. On se laisse vite emporter par ce passionné.

Finalement, la journée se termine assez vite, malgré le changement d'emploi du temps la prolongeant d'une heure. Pourtant, rien n'est finis : la navette ne venant pas, il faut descendre, en espérant trouver son bus encore à l'arrêt en bas. Une fois sûr que non, il ne reste qu'à appeler un parent pour se faire ramener, et il faut tout remonter, à peine descendu. C'est un peu la tradition, la mise en haleine annuelle du lycée : rares sont les rentrées où je n'ai pas connu de soucis de bus.

Au milieu de tout ça, j'ai pu effectuer ma bonne action du jour qui, sans cela, ne serait pas tout à fait une bonne journée. C'est peu, mais c'est toujours aider. Que rêver de mieux que de dire à un père accompagnant son fils que la navette qu'ils attendent n'est pas encore passée et pas encore là?

Ainsi, la vie lycéenne reprend, on y voit de nouvelles têtes, on s'attend à en connaître plusieurs, histoire de ne pas être tout à fait seul. Sauf si, comme moi, on sait déjà que l'affaire sera vite réglée, en raison d'un désintérêt de mon côté, et d'un jugement justifiable de leurs côtés. Car il n'existe pas pire réputation que celle de ne pas en avoir jusqu'à l'entendre siffler dans nos oreilles.

Nous avons chacun notre style d'écriture et c'est très exaltant , quant à la "beauté " de mes écrits, je ne peux plaire à tout le monde, mais c'est certain que même si il y en a qu'un qui me lit, c'est déjà beaucoup pour moi :)

de rien et Merci à cosette de nous accueillir sur son topic :)

ce n'est que moi

ouais c'est remarquable je trouve comme quand on lit certaines choses possédant un style propre que nous ne saurions imiter, je dis pas inimitable dans l'absolu, mais nous non ; nous avons alors le sentiment de faire réellement partie de quelque chose, c'est motivant ; tout comme nous sommes incapables de coucher sur le papier, euh le forum je veux dire, nos véritables pensées, "en live", sans calculer, tenir compte des réactions d'autrui par après ; que nous le voulions ou non avant même de décider de valider un message, avant même de nous relire noir sur blanc, au-dessus ou au-dessous d'un message d'autrui, nous ne sommes déjà plus tout à fait seuls en nous-mêmes, ainsi le message ci-dessus je trouve est complètement révélateur en quelque sorte, je ressens bien ce désespoir, ou cet espoir, en tout cas cette souffrance en attendant le prochain message qui apportera du relief ou de la profondeur aux mots jetés dans le vide, en quelque sorte, le vide intersidéral d'une page blanche incapable de se remplir de mots toutes seules, mais si vos pages blanches le veulent bien, alors je souhaite non pas trinquer comme dans les bistrots, non vous serrer la main puisque les deux miennes sont occupées sur mon propre clavier, mais vous "toucher" un petit peu à ma manière, avec les contours et les angles de ma propre page blanche, fleurie de ces quelques mots.... en cet été déclinant, et l'automne bientôt, je songe...... que nous pourrons encore dans l'avenir, et pourquoi pas en page suivante du sujet, nous fricasser encore les feuillets ? à propos d'effeuillage, mademoiselle évasive, hm , mademoiselle évasive..... qu'il doit faire bon dans votre propre profil, que si je ne parvenais à me satisfaire de moi-même, aussi..... hm j'en piraterais votre compte si je ne me retenais et si je possédais les connaissances

Quel rêveur ce morphee

Point de pages blanches en cet endroit, sinon qu'un peu de maladresse d'y trouver les mots adéquats.

Point de "toucher" en ce feuillet, sinon que d'effleurer émotions et coeurs en légèreté.

Point d'effeuillage, le profil est sage, sinon que de s'y amuser en enfants gâtés.

Point de piratage , cela n'en vaut pas la peine, sinon regrets et déceptions en seraient vos chaînes.

Ainsi va le virtuel, on apprend à ne rien attendre, juste être là, partager, échanger, s'apprécier sans s'y m'éprendre .

Oùla c'est un peu tôt pour déverser mes mots.... en bouillie sera mon cerveau , bonne journée morphee

et à tous mes amis de la plume .

bonjour à tous...

Toujours de belles balades qui nous entraînent au fil de ces pages!

Que ce soit le matin, le midi ou le soir, chacun y va de son petit passage

Pour ravir nos yeux et nos pensées par ses écrits!

Des pages blanches ici que noircissent certains avec la couleur noire, rose ou bleue,

selon leurs états d'âme! mais toujours avec maestria!

Aucun livre jamais n'aura ainsi contenu autant de pages, de récits, de souvenirs,

contés par autant de personnes différentes à tous points de vue!

Que c'est donc étrange, farfelu, charmant, intriguant, émouvant...

Des larmes pointent parfois, des sourires aussi et l'amitié la-dessous

persiste et signe...

J'ai vu l'enfant ! Mais puisque je vous le dis !

Je l'ai croisée un jour au creux d'une allée dans ce parc vert.

Elle courait la douce petite, elle courait de toute la force de ses petits mollets ronds.

J'ai vu la mère, puisque je vous le dis !

La mère affolée cherchant des yeux et de la voix l'enfant perdue.

La coquine se cachait derriere un arbre, un buisson.

Elle se cachait si bien que la mère la croyait volée.

J'ai vu encore les yeux de celle-ci quand elle a aperçu le mouvement de son petit jupon...

Les bras qu'elle a serrés si fort autour d'elle, à l'étouffer.

Les larmes enfin qui ont empli ses yeux et cette joie féroce de l'avoir retrouvée.

"Enfin ma douce, mon enfant, mon bonbon, pourquoi ?"

"Juste ma maman adorée, pour voir encore comment je suis aimée"

J'ai vu la mère et l'enfant. Ils étaient parfaits.

bonjour à tous...

Toujours de belles balades qui nous entraînent au fil de ces pages!

Que ce soit le matin, le midi ou le soir, chacun y va de son petit passage

Pour ravir nos yeux et nos pensées par ses écrits!

Des pages blanches ici que noircissent certains avec la couleur noire, rose ou bleue,

selon leurs états d'âme! mais toujours avec maestria!

Aucun livre jamais n'aura ainsi contenu autant de pages, de récits, de souvenirs,

contés par autant de personnes différentes à tous points de vue!

Que c'est donc étrange, farfelu, charmant, intriguant, émouvant...

Des larmes pointent parfois, des sourires aussi et l'amitié la-dessous

persiste et signe...

bonjour

le chevalier à la rose

le destrier s ' avance dans la poussière de la lise .

il est carapassonné de cuir et de fer et monté par un jeune chevalier à l ' armure étincelante .

sur son écusson , les armoiries de sa maison ,

il tien d ' une main ferme sa lance au bout de la quelle il y à mi une rose .

il y à foule çe jour la car , il y à grand tournoi .

des chevaliers se prépare et s ' arnachent aidés par leurs pàges et leurs écuillers .

les trompètes sonnent soudain ,elle appèlent les concurents à se mettre en selle ,

çe qui n ' ai pas une mince affaire vu le poid de leurs armures chamarées .

au bord du champs de la lise , une tribune trone antourée d ' étendards qui flotent au vent de l ' automne .

dans cette tribune , il y à du beau monde .

d ' abord le seigneur des lieus entouré de quelques conseillers et de vasseaux invités pour çe tournois qui est le plus important de l ' année .il y à aussi quelques belles dames venues admirer ces preux chevaliers qui vont risquer leurs vie dans çe tournois ou les grands du rouaume sont représentés par leurs champions respectifs .

le chevalier à la rose dirige sont lourd destrier vers la tribune ,

il est trés amoureux de l ' une de ces demoiselles qui n ' à d' yeux que pour lui .

la lance levée , il demande au seigneur qui préside ce tournois

la permission de choisir sa belle dulcinée dont le coeur bat pour lui .

seigneur de ces lieux je vous demande la grace et la permission de choisir ma belle .

son cheval renacle un peut et recule soulevant un peut de poussière .

-tu à ma permission chevalier .

le jeune chevalier tour son cheval récalcitrant vers sa belle

qui attend avec impatience et retenue la déclaration de son amour secret .

il baisse sa lance lentement , et présente la pointe et la rose à sa belle

- me permettez vous gente demoiselle d ' ètre votre champion et votre obligé ?

la demoiselle se lève et prend la rose , délicatement , puis l ' agraphe sur son corsage à l 'emplacement de son coeur .

- je vous remerçi chevalier et vous déclare mon champion et vous souhaite

un heureux et victorieux combat

puis elle détache le rubant de ses cheveux et l ' attache à l ' emplaçement de la rose

les deux jeunes tourteraux échange un regard complice et tendre

qui en en dit long sur leurs sentiments réciproque .

le jeune chevalier fait volte façe et éperonne sa monture

puis rejoin la lisse .

un page lui apporte son haumme qu ' il met sur sa tète en l ' ajustant le mieux possible puis

il baisse sa lance en direction de son adversaire

un chevalier réputé , dont l ' armure est noir et trés sombre .

les trompettes annonce le début du combat .

le chevalier à la rose éperonne sa monture et s ' élançe vers sont destin .lol

bonne soirée

:blush:encore :D