un jour = une histoire

Suis-je donc ce que je suis? Suis-je ce que je pense être? Si je ne peux le prouver, ni me le faire confirmer, j'en reste néanmoins convaincu, accroché, comme invaincu, à cette idée que je trouve prétentieuse autant que délirante, mais qui aurait le don de pouvoir m'expliquer, sans encombre, le chemin même de ma vie. Sachant cela, comment ne pas s'accrocher à une pareille théorie, probablement fausse en tout point? Je doute qu'on puisse me répondre aujourd'hui, simplement. Suis-je vraiment ce complexe de la vie, cette parcelle de différence qui me caractérise parmi ceux qui réussissent dans ce secret, ce génie? Je n'en sais rien. Et au fond, je redoute de le savoir. Car ce flux, ce sentiment de sympathie, de jouissance au savoir de sa différence, me rend si vantard et confiant, que j'en perdrais surement mes derniers espoirs décents.

Qui sommes-nous?

Mais que nous sommes donc compliqués! Est-il vrai que nous ne nous voyons qu'à travers le regard des autres? Si oui, les autres ont-ils les bons yeux pour nous voir? Sommes-nous seulement des aveugles qui cherchons, tâtonnons dans le noir?

Je me pose toujours tout un tas de questions lorsque je sens que celui, ou celle à qui je parle ne comprend pas le sens de mes paroles! Nous sommes tous si différents! C'est sans doute pour ça qu'il est si difficile de vivre ensemble et de bien nous entendre! Avez-vous remarqué, pour ce qui est d'entendre que nous ne reconnaissons pas notre voix lorsqu'elle est enregistrée? Peut-être en est-il de même pour notre personnalité!

Parfois, je reste très étonnée lorsque quelqu'un me prête telle ou telle qualité, ou bien tel ou tel défaut! Je ne m'étais pas vue de cette façon-là!

Alors, qui sommes-nous? Bien malin, celui qui pourra répondre à cette question-là! Nous sommes des êtres humains, qui, parfois, n'avons pas grand'chose d'humain et ne le savons pas!

Ma dernière journée de cours en tant que lycéen... (J-9 avant le début des épreuves écrites du BAC)

Levé a la bourg a 5h46,

Pour prendre le train de 6h26

Arrivée a Caen a 7h06

Je descend du train,

Je me sens comme a 2 de tens'..

Je sors de la gare dans l'air "lourd" du matin

Et je prend les transports en commun...

J'arrive au lycée, c'est partit pour

Une heure de droit/éco

Puis une heure de trou,

Une heure a faire un tour.

Allez a la boulangerie,

Prendre un p'tit déj' au self

Faire la pause de 15 minutes.

Repartir en maths pour 55 minutes.

Une heure a dormir debout...

Puis, viens l'heure et demis d'anglais

Qui écourtée

A une heure de cours, nous arrange beaucoup

Pile le temps de regarder un épisode

De buffy contre les vampire

En somme.

Puis, la pause du midi.

Retour a la boulangerie

Pour ce prendre un sandwich...

Plus que deux heures de cours

L'après midi, en GSI

Puis le retour...

Les transport en commun,

La sieste dans le train...

Et j'y retourne pourtant demain

Pour finir de préparer l'oral du sur lendemain...

Dur, dur la vie de lycéen !

Eh bien Stephou, c'est vrai, elle est bien dure ta vie de lycéen! Je compatis :)

Mauvaise nouvelle.

Ben oui , parfois elles nous surprennent comme ça, ces nouvelles dont on a pas envie , ces nouvelles qui nous montent les larmes aux yeux et pourtant , elles sont bien là, installées en nous, à prendre plaisir à nous ronger, nous soucier, nous énerver, elle dansent en nous, chante, nous rappelle en leurs bons souvenirs !

Mauvaises nouvelles à qui nous ne pouvons pas attribuer le mot indispensable pour les chasser, émotions, douleurs, appréhensions, angoisses, elles nous tiennent bien, elles s'installent comme une maladie, petit à petit, nous forgent une prison , impossible de s'y évader, elles s'accumulent .

Par période , elle s'estompent un peu , mais impossible de les effacer, parce qu'une autre viendra vite la remuer, sur enchérir ce qui est déjà ancré, continuer l'évolution des peines, ô combien nous vivons avec , combien elles sont dans notre quotidien, combien nous ne pouvons nous en débarrasser....

Chagrin

Douleur muette qui nous brise le coeur! Nous voudrions crier mais aucun son ne sort de nos lèvres fermées...Alors, peut-être que l'écrire libérera quelque peu nos chagrins!

Lorsque nos larmes couleront, ruisselleront le long de nos joues, elles seront peut-être une libération!

Pour l'instant, seulement nos coeurs renferment nos tourments et ne veulent pas s'ouvrir, ne peuvent que battre un peu trop fort sous le poids du chagrin!

Combien d'heures, de jours, de mois, faudra-t-il encore pour que, petit à petit, l'oubli fasse son nid dans notre vie!

Oui, c'est cela la vie! Nous sommes là, bien tranquilles, tout heureux d'un bonheur qui nous semble tellement naturel que nous n'avons pas vu venir l'orage qui menaçait au loin...

Ecrire,

et si la force d'épendre l'encre sur nos malheurs, soucis , peines ne coulait plus..... Et si d'un coup, nous ne savions plus nous conter, nous exprimer , ne plus trouver les mots.... Et si par mégarde, j'en oubliais le sens des phrases ....Et si....

SI....

Si je faisais ce chemin à l'envers....

Ou si je prenais cet autre chemin...

Si je disais je t'aime à quelqu'un d'autre que toi...

Si je n'étais pas allée à notre rendez-vous...

Si je n'avais pas répondu à ton appel...

Crois-tu que ma vie aurait été plus belle?

De combien de si notre vie est elle faite?

Mais, crois-tu qu'elle serait mieux sans tous ces Si ?

Et puis, à quoi bon les regrets?

Nous aurions bien d'autres soucis, même s'ils ne ressemblaient pas à ceux d'aujourd'hui...

bonjour .- le petit chemin - : qu 'il était beau , qu 'il était vert çe petit chemin qui sentait si bon la noisette et le romarin . avec ma belle en dentelle et escarpins nous nous y promenions la main dans la main .je lui contais fleurette et lui offrais quelques pàquerettes .elle me donnait en récompense ses lévres et un parfum de jasmin qui embaumais ses seins .qand je repense à çe petit chemin qui traversais bois et riviére et se perdait au loin dans la campagne, je repense avec nostalgie à ses moments de bonheurs disparuts à jamais , emportés par la brise des années passées et des amours fanés .bonne soirée .

Bonjour et merci pour cette belle promenade...

ce petit chemin...

Est-il toujours le même ce merveilleux chemin? Est-ce qu'avec le temps, il n'a pas été envahi par les ronces, les orties, faute de ne plus voir ces couples d'amoureux se promener, s'aimer avec autant de poésie? Les lumières de la ville ont rivalisé avec tellement d'éclat, de faux-semblants, de plaisirs factices, que tant de jeunes aujourd'hui ont perdu l'envie de venir s'y promener!

Ou alors, espérons qu'il s'est trouvé quelqu'un, armé d'une faucille, pour l'entretenir et que, quelques couples encore, s'y promènent main dans la main, le coeur battant plus fort quand leurs lèvres s'unissent ...Je sens encore les odeurs d'essences mélangées de ces beaux arbres frémissants sous le vent léger, aussi léger que les rêves d'antan...

"Je t'aime"

Cela fait combien de temps que je n'ai pas dis cela ? Sûrement il y a longtemps car je ne m'en souviens pas, pourtant je devrais me souvenir de cette chose si rare. Peut-être ne l'ai-je jamais prononcé ?

Comment me suis-je passé de prononcer ses mots si quotidien, voir anodin, pour les autres ?

Sans doute parce que je n'ai jamais eu le courage de le faire, parce que j'avais peur de ses mots. Ou tout simplement parce que je n'ai trouvé personne à adresser ses mots qui sont progressivement devenus fades pour moi.

Dois-je m'en réjouir ? Devrais-je me lamenter d'avoir abstrait ces mots de ma pensée ?

Et bien, que cette personne qui est destiné à recevoire ces deux minuscules mots soit comblée de toute la scincérité de ses derniers et qu'elle soit sûr qu'après une si longue attente que la grandeur, la portée et la profondeur de ce "je t'aime" dépassera tout les autres dans toutes les formes et les langues qu'ils furent et qu'ils seront prononcés ! Il aura le tintemant d'une cloche, le craquement du tonnerre et l'effet d'un poème récité à haute voix sur le sommet d'une montagne.

Oui, rejouissez-vous !

Je t'aime " encore"...

Combien de fois l'as tu entendu, je t'aime , ce vaste mot qui ne veut plus rien dire tellement les sentiments sont forts, tellement on aimerait trouver un autre verbe qui le dira encore plus fort.

Je t'aime encore, est -ce que au bout de quelques années, il sera encore prononcé ce "encore" , qui renforcera un peu plus fort les liens existants.

Je t'aime '' en corps"...

Aimer ce corps dont la bonté ne fais que s'offrir, ne reste plus que cette enveloppe , qui d'années en années se fragilisent autant par la vue que par l'imagination.... Pourra t-on encore aimer ce corps.... du temps des je t'aime....encore....

Suis-je donc ce que je suis? Suis-je ce que je pense être? Si je ne peux le prouver, ni me le faire confirmer, j'en reste néanmoins convaincu, accroché, comme invaincu, à cette idée que je trouve prétentieuse autant que délirante, mais qui aurait le don de pouvoir m'expliquer, sans encombre, le chemin même de ma vie. Sachant cela, comment ne pas s'accrocher à une pareille théorie, probablement fausse en tout point? Je doute qu'on puisse me répondre aujourd'hui, simplement. Suis-je vraiment ce complexe de la vie, cette parcelle de différence qui me caractérise parmi ceux qui réussissent dans ce secret, ce génie? Je n'en sais rien. Et au fond, je redoute de le savoir. Car ce flux, ce sentiment de sympathie, de jouissance au savoir de sa différence, me rend si vantard et confiant, que j'en perdrais surement mes derniers espoirs décents.

bonjour .qui suis-je , ou suis-je ? je suis quelqu 'un , quelque par ? les chemins de la vie sont nombreux .il est parfois diffiçile de choisir le bon , enfin ,celui qui semble le meilleur et va dans la " bonne " direction ? descart disait " je pense donc je suis " mais , qui ? qu'elle importence puisque j ' ai la chance d ' exister , et puis , beaucoup se pose cette question qui , parfois n 'à pas de réponse satisfesante .et l ' arbre , se pose-t-il la question ? pourquoi suis-je un arbre et pas une fleur ? pourquoi suis-je à cet endroit et pas ailleur ? mais l ' arbre vit longtemps et les fleurs se fanent vite .bonne journée . :)

Bonjour et merci pour cette belle promenade...

ce petit chemin...

Est-il toujours le même ce merveilleux chemin? Est-ce qu'avec le temps, il n'a pas été envahi par les ronces, les orties, faute de ne plus voir ces couples d'amoureux se promener, s'aimer avec autant de poésie? Les lumières de la ville ont rivalisé avec tellement d'éclat, de faux-semblants, de plaisirs factices, que tant de jeunes aujourd'hui ont perdu l'envie de venir s'y promener!

Ou alors, espérons qu'il s'est trouvé quelqu'un, armé d'une faucille, pour l'entretenir et que, quelques couples encore, s'y promènent main dans la main, le coeur battant plus fort quand leurs lèvres s'unissent ...Je sens encore les odeurs d'essences mélangées de ces beaux arbres frémissants sous le vent léger, aussi léger que les rêves d'antan...

bonjour .les chemins sont comme les souvenirs ,ils demeure si l ' on les entretien .quand la nature reprend ses droits ,les chemins disparaissent en silence et sans effrois .bonne journée . :)

Que de monde dans cet endroit d'histoire...Cosette trouve ses partenaires de rêveries, le merle se perche sur la plus haute branche pour y voir un chat_ooo tout en splendeur, metempsycose annonce sa prose au détour d'une ptitepao qui y fait son petit bout de chemin.

Caloli croasse par ici et là pendant que c'pamoi chemine à travers arbres et buissons. Jedino se cherche en mot , sa pensée Evasive le confond entre Reath qui apparait et Mad-World qui disparait .

Pako tout en bonne humeur rejoint Jainala au centre des douceurs que Jikay et nicolette connaissent par coeur , pendant que Belalex se love sans complexes en l'antre un peu fou de stèph_ou .

Route fleurie croise Mitsakie, chemin de verdure se propose à OhByu, le sentier n'est plus trop loin, tilsim en rougit de ses couleurs arc en ciel.

Ferrofluid. Sev emprunte l'allée de la fontaine et y croise bizar plume légère à la main.....

Merci Cosette pour avoir réuni ces esprits enchanteurs ....

Je t'aime " encore"...

Combien de fois l'as tu entendu, je t'aime , ce vaste mot qui ne veut plus rien dire tellement les sentiments sont forts, tellement on aimerait trouver un autre verbe qui le dira encore plus fort.

Je t'aime encore, est -ce que au bout de quelques années, il sera encore prononcé ce "encore" , qui renforcera un peu plus fort les liens existants.

Je t'aime '' en corps"...

Aimer ce corps dont la bonté ne fais que s'offrir, ne reste plus que cette enveloppe , qui d'années en années se fragilisent autant par la vue que par l'imagination.... Pourra t-on encore aimer ce corps.... du temps des je t'aime....encore....

Je t'aime comme une fleur abandonnée à son chagrin, comme une ombre qui voile ton destin, comme mille soleils triomphants des ténèbres, autant de fois que mon coeur ne battra jamais, du plus profond de moi oui, je vous aimes.

Combien vous me comblez en lisant vos histoires, vos réflexions qui m'interpellent tant!

J'ai de plus en plus l'impression de connaître vos angoisses, vos peurs mais aussi vos bonheurs...

Je me retrouve en vous, je comprends vos tourments,

Parfois, même, je me demande si nous n'avons pas les mêmes pensées, au même moment!

Oui, il m'est arrivé (je vous promets, c'est vrai!) d'avoir songé écrire sur un sujet et de voir que l'un d'entre vous avait eu la même idée!

N'aurais-je pas dû appeler ce topic "le club des poètes"?

Parce qu'il me semble bien que c'est la poésie qui domine ici, et comme je m'en réjouis!

Un grand merci à tous, vous qui êtes un peu (j'ai envie de dire beaucoup!) mes amis...

Très éloquent tilsim

Non cosette, il est inutile d'en changer l'intitulé, c'est bien par ce titre sujet que nous avons été attiré.....

Questionnement....

Encore et toujours un" pourquoi", comme si il y avait un "parce que" qui suivrait forcément.

Encore et toujours un "comment", comme si il y avait un " comme ça" qui surgirait maintenant.

Encore et toujours un " quand", comme si il y avait un " temps" qui s'arrêterait que pour moi.

Encore et toujours un "où", comme si il y avait un " là" que je rencontrerait subitement.

Encore et toujours un questionnement, qui comme d'habitude finira on ne sait où, car on ne savait pas pourquoi, ni quand , ni comment....

Non cosette, il est inutile d'en changer l'intitulé, c'est bien par ce titre sujet que nous avons été attiré.....

tout à fait, le mot poète m'aurait fait peur....

oups :blush:, je ne faisais que passer! :p